MEUBELS,
RÉCOLTES,
WOONHUIS
HOOIVENDITIEN.
SCHOON HUIS,
HOFSTEDEKEN,
MEUBELS
PROPRIETE
BEESTIALENVRUCHTEN
BEESTIALEN, VRUCHTEN,
ZAAILAND Elf fïiEERSCH,
KOEIHOUDERIJ,
STAMDE DISNES ïfltE,
openbaarlijk te koopen.
HUISKATHEILEN
RYSSELSTRAAT.
B- HUIS VAN TWEE WOONSTEN,
KOOPDAG VAN
HERBERGGETUIG
B I N N E N Y P R E
FÉPINIÈRE.
naulé Jo C)oorite ct intend into de l'Asile.
La Rév. Mére Catherine était digne de la
remplacer, elle fut inveslie aprës elle des
deux mènies fonctions. On ne pouvait mieux
ehoisir. De sa vive piélé découlail une irès-
grande humilité. Un jotynal protestant de la
oolonie, Ie Chroniclefait Ie plus grand éloge
de la Rév. Mere Catherine-Dominique et rend
hommage aux résullats excellents qu'elle et
ses sceurs ont obtenus dans la léproserie de
Cocorite.
Quelqaes années après avoir fermé les
yeux a ses neuf compagnes, elle eut encore
a éprouver deux fois la même douleur. Au
moment ou elle perdait une de ses dernières
fiIles,elle se sentit atteinle. On douta d'abord,
mais Ie mal alia toujour* grandissant. II mil
Irois ansa se développer, faisant passer cette
atne d'élile par Ie creuset divin.Enfin la Rév.
Mère Catherine, offrant sa mort comtne elle
avail offert sa vie, succomba.
Une des sceurs, annoncant cette doulou-
reuse perle, écrit «Jamais je n'ai vu mort
plus douce et plus belle; je crois que c'esl
comme cela que meurent les saints. Aprés
sa mort, elle est reslée sourianle avec un
air rajeuni; on se senlait attiré a aller sou-
vent la regarder. Les malades de la lépro-
serie ont couvert l'orgue en signe de deuil
etresleront un mois sans jouer.Vous voyez
que nos pauvres lépreux l'aimaient.
La grand'messe et les funérailles ont été
célébrées Ie 8 mai, par Mgr O'Carrol, coad-
juteur de Mgr Gonin, archevêque de Port -
d'Espagne.
La Rév. Mère Catherine-Dominique avait
cinquanle-deux ans d'age et seize ans de
profession religieuse.
celui-ci ne compte pas moins de trois routes
entièremenlconstruilespur le gouvernement,
el qui s'achévenl ou vont ètre entreprises
par sections en 1877.
1° La route de Dranoutre a Neuve-Egli-
se, Lexposê sur CE lat de Cudminislra-
lion dans la F/andre occidentale pour 1877
nous apprend que les travaux d'achèvemenl
enlrepris pour la summe de 9?,«00 frs.
seronl exécutés dans le courant de 1877.
2° La route de Puperinghe a Elverdinghe
il reste a exécuter le pa vage sur une longueur
de 2200n,34. Ce travail a été adjugé récem-
ment moyennanl le prix de fr. 5(ivIOO el
sera exéculé dans le courant de l'année 1877.
Les deux premières sections qui sont ache-
vées ont donné lieu a une dépense de
150.S30 fi s.
3° Enfin la route de Reninghelsl a Kern-
mei. On procèdera dans le courant de 1877,
a la miseen adjudication des travaux d'éla-
blissement de cette rou te, que le Départe
ment des Travaux publics a décidé, sur les
instances de nos dépulés, a faire coustruire
aux fraisde l'Etat. La dépense de ces tra
vaux ne va pas a moins deSSO.OOGÖ frs.
N'y a-t-il pas une part dans le crédit de
t .5CMKOOO i 'rs, sollicité pour travaux
de voierie, qui sera affectée aux routes entre
prises dans l'arrondissemeni d'Ypres?... En
outre le projet présenté aux Chambres de-
mande 2,000,000 de francs pour le caserne-
ment. N'exécule-t on pas a cette heure mè-
me des ainéliorations aux établissements mi-
litaires de notre ville
Chrtmiegoie locale.
PÈLERINAGE.
Dimanche dernier, jour de St-Pierre, un
grand nombre de personnes de notre ville
se sont rendues en pèlerinage a la grotte de
Notre-Dame de Lourdes, édifiée dans un site
pitloresque, non loin du village de Weslou:
tre.
Le Cercle des Vrais Amis avait pris
l'initialive de cette pieuse manifestation, dont
le but immédial était d'offrir au nouveau
sanctuaire un superbe lampadaire et une
lampe d'aulel.
Le bruit de cette manifestation s'élant ré-
pandu dans quelques villages environnants,
unc foule compacte était accourue de tous
cótés et se joignit aux pélerins.
M. le curé de Wesloutre adressa a cette
foule quelques paroles simples et émues: ce
fut liitéralement comme on sermon sur la
montagne.
Les sentiments de la foi la plus vive el de
la piété la plus louchante ne cessèrent de
conseiver au pèlerinage un caractére pro-
fondémenlel exclusivement religieux.
INSTITUTION ROYALE
pour Ceducation de filles de militaires
morls ou devenus invalides au service de
CE lal.
Un arrèté royal, en date du 24 Juin 1877,
nomme institulrice a l'institution royale de
Messines, la demoiselle Roland (Palmyre),
élève d plórnée du cours normal de cette
maison d'èducalion et sous-inslitutrice a l'é-
cole communale de Darnpremy (province de
Hainaut).
Nous avons dit, en réponse a une ineptie
du Progrèsdans notre dernier numéro, et
a propos du crédit de fr. 23,330,000, de-
mandé aux Chambres par M. le Minislre des
finances, que ce crédit étant, l'inlitulé en
fait foi, desliné a la continuation el a l'a-
chèvemenl de travaux publics déja en voie
d'executionet 1'arrondissement d'Ypres
n'ayant, sauf le canal, dont nous avons
mis en relief la situation spéciale, pas de
travaux de l'espéce en ce moment, il n'é-
lait pas bien élonnanl que 1'arrondissement
d'Ypres, n'ait pas cette fois une part directe
au gateau. Cette dernière assertion n'est pas
tout a fait exacte, et nous faisions en vérité
la part encore trop belle au Progrès.
Une des premières attributions des credits
sollicités a pour objet les routes et les ponls
Ie projet attribue a eet objet f,500,000
frs.
Or, sans compter les routes communales
subsidiées par I'Elat, en voie d'exécution a
cette heure mème, dans l'arrondissemeni,
KANTOOR
van den
Notaris «'.fc
TE WATOU.
A. OP DONDERDAG 5 JULI 1877,
om 2 uren namiddag te Beveren, ter
herberg cle Zwaan, bewoond door Jo
seph Top
opettliare verkoojieiiiis
DER MAASGRAZEN,
wassende te BEVEREN op de eigen
dommen van Mijnheer Albéric-Marie-
Ghislain Baron des cantons de Mont-
blanc d'Ingelmnnster.
3° 25 Koopen SPARRESNOEIop de
rekken.
4° 5 hectaren allerschoonste ROG
GE.
FAITS DIVERS.
En B. OP VRIJDAG 6 JULI 4877,
om 2 uren namiddag, te Stavele, ter
herberg en brouwerij der kinders
Markey,
openbare vcrkoopiiig
DER MAAIGRAZEN,
wassende te STAVELE en BEVEREN,
op de eigendommen van den lieer
Baron Pycke de Peteghem, te Gent
en den Heer De Bie, te Oostcamp.
Opgewoone voorwaarden.
Door het ambt van den Notaris
GAPELLE, te Watou.
Ruchtbaarheid.
KOOPDAGEN
gehouden door 't ambt van
E. L. STRAGIER,
Deurwaarder te Yper.
1° OP ZATERDAG, 7 JULI 1877,
om 9 ure 's morgens te Yper ten hui
ze van sieur Cesar Vandamme-Huughe
Mondstraat, op saisie, van alle slach
van
en
Wiukclgocffcreii,
te lang om te melden; hekleedende
het woonhuis en winkel thans door
denzei ven sieur Vandamme-Iluughe,
bewoond en gebruikt.
Met den gerceden gelde en zonder
verhoog.
Een schoon gerievelijk HUIS, van
twee stagien, met zijnen grond, kour
remise en voorderc afhangelijkheden
staande binnen de stad Ypre, aan de
westzijde der Rysselstraat, aldaar gc-
teekend N° 62;
Laatst bewoond door de Jufvrou
wen Smaelen, thans ledig.
PJOTA. Dit huis kan gezien worden
de Maandag, Dinsdag en Woensdag
van ieder week. De sleutel berust
bij sieur Louis Wemaere, Rysselstraat,
N° 77.
Deze verkooping zal geschieden
in ééne zitting, Dinsdag, 10 Juli 1877,
ter esiaminet het Zilveren Hoofd, in
de Rijsselstraat, binnen Ypre, door
het ambt van den Notaris VANDER-
WEE3SCH, te Ypre residerende.
Studie van den
NOTARIS S1MPELAERE,
te Alveriiaghes».
WOENSDAG 11 JULI 1877,om 3 ure
namiddag ter herberg den Kanonnier,
te Bulscamp;
OPENBARE VERKOOPING
van een
gelegen te Bulscamp. hij het dorp,
groot 4 hectaren, 7 aren, 32 centia
ren gebruikt door Engelbertus Carrein,
de ZAAILANDEN tot na het scheeren
van den oogst aanstaande en de
gebouwen tot 1 Mei 1878.
2° OP MAANDAG, 9 JULI 1877,
om 2 ure namiddag, te Sl-Jan, op de
dorpplaats ten huize van sieur Louis
Degryse
KOOPDAG
van alle slach van
en
Aarffaiipcls 051 sta aai,
Met den gcreeden gelde en verhoog
van 10
E. Z. II. V.
STUDIE
van den
NOTARIS V ALCKE,
Noordstraat, 38 te Dixmude.
WOENSDAG 18 JULI 1877, om 4
ure namiddag, ter herbergden Boeren-
opzet te Veurne, Bewesterpoort;
LICIT A TIE VERKOOPING
van
A-DE HERBERG DEN
18 O JE M E X ff 1» X E T
voormeld, met 15 aren 60 centiaren
ERF, gebruikt door Henri Vermeersch,
tot 1 Mei '1878.
waarvan d'eene dient voor herberg,
genaamd le Comte de Hainaut, te
Veurne, bij de Adinkerkebrugge
bruikt door August Degrieck en Flori-
mond llouvenaghel. te 244 fr. 's jaars,
tot '1 Mei 1878.
OP DONDERDAG, 5 JULI 1877.
om 1 ure namiddag, ten verzoeke van
den heer Maes-Vandamme, grondeige
naar en Louis Schaut, boschwachter
te Merckem;
1" 30 Koopen 1I0PPEPERSEN.
2° 20 Koopen KEEPERS.
VEN TE PLBLIQJE
de
a
COM IN ES,
ssïs' «fies tefa'cs ocenpées pas*
AI. Vanhaverbeke.
M ERC R E DmTTuIITJET 1877,
3 beu res précises de relevée on
vendra publiquement
1° Un hectare de SEIGLE, prés de
la Station.
2° Un hectare de SEIGLE, le long
du chcmin de Messines.
3° Un hectare 75 ares d'HIVER-
NACHE, le long du pavé d'ilouthem.
Le tout divisé par lots.
La ven te commencera prés de la
station, le long du nouveau pavé.
li<B5ïS; créafist sons caution.
Ministère et recette de Mc LANfêQY,
Notaire a Comines.
8"
DONDERDAG 19 JULI 1877, 1 ure
namiddag ter hofstede van Pieter
Loones, te Alveringhem;
KOOPDAG
van
Kool- <l*ed 'WiagesiEaanaas,
en verdere voorwerpen.
V T U D E
de
^Saiie-ü VEI6EEK, JVotaire
a Moorslede.
Dans une seule séance fixée au
19 «ÏUBIL!LET 1899, a4 heures de
relevée, a l'estaminet occupé par
Bruno Van Colen prés de la station
a Moorslede, le dit Notaire procèdera
VEN TE PUBLIQUE
d'une trés-belle
ZATERDAG 21 JULI 1877, 2 ure
namiddag, ter hofstede van Francis
Vienne, te Isenberghe
VEN DIT IE
van
eia litaeasDsaisaa
Door het ambt van Mlcr VASJDEN-
BERGHE, Notaris te Gyverinchove.
bien située a Moorslede, a un kilome
tre de la dite station et du village,
com posée de Tes-a-a* a Eaboiu* ct
laeaaasïc fP.raiE-ic, d'un seul tenant,
de 18 hectares, 25 ares, 86 centiares,
occupée par plusieurs personnes au
prix modéré de 1835 francs par an,
divisé en 32 lots.
BINNEN YPRE,
GEMEENTE Z1LLEBEKE.
Eenen blok ZAAILAND en MEERSCH,
gelegen le Zi 1 lebeke, op omtrent een
kilometer afstand, zuid-oost van de
Kerk en weinig oost van den keiweg
naar Zandvoorde, groot, volgens ca
daster Ns 288 en 301 der sectie C, 1
hectare 76 aren 80 centiaren.
Verpacht aan sieur Auguslinus-Do
minions Everact en gedeeltelijk ge
bruikt door Pieter Alaerlen.
Slttlsïgs
Deze verkooping zal geschieden in
ééne Zitting, vastgesteld op DONDER
DAG 19 JULIJ 1877, om 2 uren na
middag, ter esiaminet St Laurens,
binnen Ypre, ingevolge de voorwaar
den. berustende ten kantore van den
Notaris VAFJDERR1EEE5SCH, te Ypre rc-
sideerende.
Men kan ook alle inlichtingen be
komen, ten kantore van den Notaris
LAftiGüL', te Ypre.
El) 5°
WOENSDAG 26 JULI 1877, 1 ure
namiddag, ter herberg den Boeren-
Opzet, te veurne, Bewesterpoort
VENDITIE
van
^AcnagicgoesS, 5!5ec&(ialcti,
LANDSALIH di VRUCHTEN.
met
«pesaScats rSiijk tc vcrSitcopcn.
BOTERSTRAAT.
Eenen eigendom, bestaande in groo-
ten Cour met inrijpoort, Woonhuis,
Stallingen voor '12 Koeien en Kamer
daaraan, groote remisen en voordere
bouwgerieven, aan de noordzijde der
Boterstraat N' 68, binnen Ypre.
Gebruikt door sieur Louis Eduard
Grison.
In ééne Zitting
vastgesteld op DONDERDAG 19" JULI
1877, om 4 uren namiddag, ter Esta-
minet« den Sultan «binnen Ypre, in
gevolge de voorwaarden, berustende
ten kantoorc van den Notaris VAKDER-
IWEERSCH, te Ypre residerende.
D'heei* RUBRECHT-JOOS, tot, Godc-
waersvelde, by de Katsberg, (Frank-
ryk) heeft de eer bet, publiek kenbaer
te maken dat by 4000 Peeren, Appel
Abricot, Pêchen Keisen en Perein
Boomen te verkoopen heeft van 2,
jaren tot 3 en 4 jaren, die alle dagen
zichtbaer zyn.
'a foulr, Lcblois eül été écbarpé.
Les premiers areux ont élé fails a M. Mauroy,
bourgmestre de Blaton, et c'esl a lui que l'on doit
d'avoir. dès les premiers moments, Ironvé le
veritable coupable.
Le projet de Tunnel sous marin de Calais a
Douvres sera abandonee a cause des trop grandes
difficullés techniques et financières qu'il soulève.
L'absorption du sol par les eouvenls est un
veritable mythe dit le Bien Public. De documents
otliciels il résulte que M. de Kerckhove-Delimon,
bourgmestre de la ville de Gand, possède a lui
seul plus «d'heclares que tous les religieux de
Belgiqtie
On nous écrit de Blaton
Le parquet de fouinai, averti par un télégram-
ine de 31. Duquesue ddiarchies, est arrivé vendre-
di malin en notre commune et s'est rendu avec
3131. les docleurs Schrevens et Demanet, en la
demeure des époux Leblois-Duquenne.
II s'agissait de procéder a une enquête pour
verifier la vérité des bruits qui circulaient dans la
commune, ou l'on disait que la femme Leblois
avait élé assassinée.
L'expertise a donné raison ii ces bruits et bientót
le man. sur qui Ion remarquait des traces nom-
breuses d'égralignures, après une confrontation
avec le cadavre de sa femme, ce qui ne l'a pas
éuui le moins du monde, entrail dans la voie des
aveux dans la chambre même oil le crime avait
été commis.
31 ariés depuis deux ans el demi, les époux
Leblois-sélaienl aprés qualre mois de mariage,
st-parés de fait: la femme liabita cbez ses parents
a Harchies, tandis que le mari resla a Blaton avec
sa sceur. Leur demeure est une-ferme trés-belle,
comprenant corps de logis, étables, remises, clö-
turée de tous cótésleur culture est assrz forte,
its occupaient six hectares, dont deux étaient la
propriélédu mari ainsi que la ferme.
A la suite de nombreuses démarches, la femme
Leblois consenlit a réintégrer le domicile conjugal
en Aoüt dernier. Le père, inécontent, lui signitia
que sa remise avec sou mari était pour elle défense
expresse de rentier a Harchies. La condition posée
par Mad. Leblois pour son retour était Ie renvoi
d'une belle sceur et l'apporl dotal de mille francs,
qui n'avaient pas élé versésa l'époquedu mariage.
Tont marebait très-bien, lorsque la fennne s'ac-
coucha le 5 juin d'un garcon les couches furent
heureuses, et la mère se disposait L sortir le 28
juin pour se rendrea la incssedesrelevailles, quand
le soir ou la nuit du 27, Leblois, pris sans dunte
d'un accès de fièvre, se rua sur sa femmeet l'élouf-
fa en lui tenant la main tixée sur la bouche et le
nez.
La morle a dü soulTrir et se défendre bien
longlemps avant de rendrc le dernier soupir. Les
nombreuses blessures du prévenu, les traces de
coups sur la femme, le malelas arrachéet le bois
du berceau de l'enfant, oil l'on remarquede nom
breuses traces d'ongles prouvent que la lutte a
été longue el pénible. lnlerrogé sur les causes du
crime, Leblois a siinplement lépondu Elle tn'em-
bêlail, j'en avais assez, elle ne savail. ui polir, ni
coudre, ni sarquêler. Elle brichodail lout, ct, a
sa renlréc, inalgré mes conseils, elle a continué
son premier genre de vie.
Leblois est un homme d'une quarantaine d'an-
néesaux trails durs; il est peu robusle, mais
nerveux. Ses yeux d'un gris foncé sont cachés
dans leurs orbites et semblenl plulöt ceux d'un
idiot.
Jamais les époux Leblois n'avaient eu la moin-
dre discussion suivie de coups, ct l'on ne peut
s'expliquer comment il a pu de sang-froid com-
metlre un pareil crime.
P.-S. Le parquet est de nouveau revenu au-
jourd'hui lundi accompagné de Leblois. Un géo-
mêtre de Tournai a fait le plan de l'habitalion.
A sot) départ Leblois a été hué par la foule. Plus
de qualre cents femmes l'ont suivi de la ferme a
la gare, au moment oü le train quittail Blaton, ce
fut pis encore, el, sans la présence de deux gen
darmes, qui avaienl beaucoupde peine a mailriser
cl lel
OPENBAAliLIJK ÏE VERKÓOPEN
rX;.T.-lXr»^T.!DBm5$aE5l3%.,«30EaEKlSai