D'ANTÏQïïITÉS MEUBELEN, MOBILES CHARBONS DE PRYZEN DER KOLEN MEUBLES MODEENES, A YPRES, ET 155 CESSATION DE COMMERCE. CHARBONS FRÊSNF. TOUT GROS HANDELSVEREENIGING gl £1 1 g s RÊCÜLTES CHEVAL HONGRE BAi pacha au camp do Kozkan. Nous lui avons iiiimédiateineni envoyé le corps de Djavid Rescind. Lo coinbal a duré cinq heures, entre Kozkau el Hadjivali. Malgré les renforts recus par les Russes, ceux-ci sesonl repliés a la faveur de l'obscurilé. Nous avons bivouaqué en partie sur nos premières positions el en partie sur le champ de baiaille. Nous continuous sans obstacle noire concentration. Les peries des Russes s'élèvent a 1,200 hommes. Les tiölres som inconuues. Londres, 11 cciobre. On mande d'Erzeroum. en date du 10, inidi, a I'Agence Renter, qti'une baiaille s'est engagèe bier prés d'Aladjadagh. Ello a dure de midi a 6 heures du soir. Lcs peries sonl fortes des deux cólés. Le mouvement actuel du camp russe indi- que une reprise de ['engagement. On signale dans l'iniéricur de la Russie des symptömes d'agitation. A Moscou, des affiches hosliles au gouvernement out été affichées et. d'après une dépêche adressee de Berlin au Morning Pont de Londres, la police russe auraiL dècouvert un nouveau complot de mliilisles, dans lequel seraient compromis jusqu'a des généraux. De nom- breuses arrestalions auiaient été, fades a Moscou et a Kielï. Le Czas, de Cracövie, dit tenir de source sure que depuis quelque temps des envois M. deFourtou vient d'adresser aux préfels la circulaire suivanle Le mini aire de l'inlérieur aux préfels. d'armes sont fails de Paris et de quelques j sincérité du vote. Mais, aux abords des salles, autres ca pi ia les a l'adresse des nihilistes de Russie. Jusqu'ici, les conspnateurs russes auraient reen 50,000 fusils avec munitions. La même femlle ajoute qu'un grand inécon- téntcment règne dans les hautes classes de la société russe cl qu'on désire vivemenl la prompte conclusion de la paix. D'auire part, on affirme, d'après des avis de Russie, que les nihilistes auraient mis le feu a des magasins contenanl des vivres des tines a l'armée du Danube. On parle d'une quantité considerable de biscuits emmagasi- nés a Okermann, qui auraient été aussi ré- duits en cendres. de foürtoij. MAGAZYNEN ïf aDn<:g§f«»C'iïK tegen cle Statie van den Yzerenweg (Quartier du Commerce) genomen in de magazynen. 1Ï10NSCHE KOLEN. Gailletterie per honderd kilos Fr. 3 35 Le minislre des affaires élrangères de la Subütne Porte adresse au représentant Otto man a Bruxelles la dépêche suivanle Constantinople, 10 oclobre. S. E. Ghazi-Ahmed-Moukhlar pacha vient de nous envoyer un compte-rendu détail Ié des combats successifs livrésa Yag- nilar, a Gulverin et a Aladja-Dagh. Lesjour- nees des 2 el 3 oclobre ont élé Irés-glorieu- ses pour les armes oltomannes. Malgré leur supériorité numérique les Russes ont été battus el refoulés sur toule la ligne, grace a la bravoure et a 1'inlrépidilé de nos soldats et a la clairvoyance de notre commandant en chef qui a su déjouer tous les plans de l'ennemi. Le grand-due Michel commandait en personae, Les Russes avaient engage dans ces combats, .04 bataillons d'inl'anlerie, 14 regiments de cavalerie et 130 bouches a feu. a Ahmed Moukhtar pacha évalue les pertes de J'ennemi de 8 a 10,000 hommes, lant blesses que lués; mais tl ajoute que, d'après les dires des habitants du pays, les pertes russes s'élèveraienl a prés de 10,000. Les nótres s'elévent a 2,500 hommes environ. Nos troupes out fait en outre quelques prisonniers. Actuellement la majeure partie des forces ennemies s'est repliée des hauteurs de Kabak au pied des collines de Karajal. A la suite do ces combats Ahmed Mouk- tar pacha a établi son camp a Karadja-Dagh. Tout récemment un combat d'arttllerie s'est «engage et a duré cinq heures. II a été suivi td'un combat d'mfauterie dont nous ne con- jitiissons pas encore Tissue. Nous avons aussi de trés-bonnes nou- celles de ia guerre au dela des Balkans. De leveringen per wagon aen den Plu^ieurs convois ont pénétré a Plevna. Les i prys der koolmynen. communications entre cette place el Ork- per hectoliter Tout-venant per honderd kilos per hectoliter Fyne per honderd kilos per hectoliter 2-65 2-40 1-90 2-00 1-60 3-30 FREYME KOLEN. Gailletten per honderd kilos Fr. 2-60 en Fr Gailletterie per honderd kilos Fr. 2-50 en Fr. 3-20 Volgens de kwaliteit. Gailletins of mosseltjes liet 100 kilos Fr. 2-40 Het te huis doen a part betaeld. haute son.'- tout a Ia'Jl rétablies. Des engagements ent eu lieu aux envi rons de Silistrie e.f, Appolhu-hey Rogbas (prés de Damat Bazar), dans lésquetö nos troupes out eu Tavaulagft. De Magazijnen zijn voortdurend voorzien van allereerste soorten van FRANCE. L E MARÉCHAL DE M A C - M A II O N AU PEUP LE Eli A NCA IS. en andere landvellen aen de leegste prijzen mogelijk. Het kantoor der Handelsvereeniging is by M'. Ale. VOPJCK-CLEIVIENT, terrestraat, N° 4, te Y PER EN. FA ITS DIVERS. BURGERSTAND VAN YPEREN van den 5 lot den 12 October 1877. Mannelijk geslacht 2. Vrouwelijk id. 3. Derous, Augustus, wever en Claeys, Stephania, kantenwerkster—Dedier, Augustus, blikslager en Gorsellis, Silvia, kleermaakster. r-—-■■- o g. I I I I I I O O r- g! M IMII MIMI S I i co I S I I SIM o-w ?r IMS II I S I li I I II I I l -2 IgII I ts[ SI 1(1 IMII 1 I l i .ao ggI I I iaiiii I I 2 -< z g i g I I l ll M ll cs v> co <J oSbjSSQ ft O Q cr. w v I I I I I I I I I 1 eó P- c SZ O P3 I I agiiigi eo I 11 I II iM II M I I i I i M M II o- o I I I fSelle 1 cute et de IiC liiiutSI 38 etjoui' suivant, a -10 heures du matin et 2 heures de rclevce, a la mortuaire A 1' .0 S LA PLACE DE SOUS-INSTITEUR a l'é- cole communale de Wytschaete est vacante. Le traifement attaché a cette filace est de I J 50 francs. VERKOOPING van om 1 uur namiddag, ter woonst van Mmc de weduwe Vanaer de-Lapier e, in de Boterstraat, N° 35, binnen Ypre. Door liet ambt van den Notaris VANDERIYIEERSCH, te Ypre. rue des Bouchers, N° 27, a Yprcs; notamment, de 9 beaux buffets, style renaissance, dont un avec étagère; Potiches, Plats et Assiettos en porce- laine du Japon et de Chine; Potiches en faience de Delft et autres objets; ainsi que d'un beau mobilier moder ne. R'SïTl. Les antiquités seront vendues le MARDI, dés 11 heures du matin. Cette vente se fera au comptant avec augmentation du 10mc et par le minstère du Notaire VAiUDERiSEERSCH, a Ypres. Pour cause de cessation d1 exploitation. Le LUNDI et MARDI 22 et 23 OC- TOBRE 1877, chaque ibis a 9 heures précises du matin, en la ferme et sur les terres occupées par Ie S1' Navier Bondüelle- Pollet, cultivateur h Bas- Warnéton, Vente pureique de tout Ie 2 Chevaux, 8 trés-belles Vaches lailiè- res, 4 Génisses, 5 i}orcs gras, 30 Pou les, Coqs et 10 Canards. Nota. Des Bestiaux seront vendus le Mardi a 2 heures. Crédit moyennant caution solvable pour les marchésau-dessus de 5 IVs. Par le ministère et a la recette de l'Iluissier désiré opsofiSER a Wervicq. Men biedt aan ten kantoore van den Notaris VABOECASTEELE, tePope- ringiic IV. aan 8op lief hoofd eener persoon van 52jaren, (lijfrent) en IV. op termijn. Alsook kleiner sommen en op iands- bezit. aB«»ssE* «'tmsu cle «aé|5as'to A VENDUE BE SUITE ut) lion cl fort DE l"1 64, porlant lage en bouche. Ce clieval convicndrait parfaite- ment pour un service mixte: pour l'agriculture, le camionnageou le service d'un brasseur. A voir tous lcs jours: s'adresser au Commissariat d'an'ondissement, 73, rue de Lille, li Ypres. fyiAiSOs! LF.M0I3 S2ÜRS, RUE DE DIXMUDE, YPRES. Vente au prix de facture et en dessous, d'étoffe pour robes, toile blan che et lileue, linge de table, orléans, mérinos, étoffe a pantalon, cotonette, etc. etc. La MA1S0N EST A LOUER OU A VENDRE ainsi que les comptoirs et rayons. Pour les personnes qui dési- rent continuer lcs mêmes articles on les mettra au courant. lre QUALITÉ. Tout venant a IV. 2-40, Fines a IV. 2-10 lf qualilé a 3-20; 2" quaiité a 2-80 le tout par cent kilos pris en magasin chcz K. U' K t A IKBC A YPRES (Station). Vous volet ez pour les èatididals q it- je re- comaiande a vos uhres suffrages. Frani;lis. l.'heuie est venue. Allez saus crainle au scrutin. Rendez-vous llion appel, el 11101. piaeé par la Constitution a un pos te que le devoir in inlerdit d'abandonner, je lépomls de l'ordre et de la paix. I.E PKÉS1DECIT DE 1, V HÉPUEL10UE Maréchul de MAC-MAHON. (Circulaire). Paris, le 6 Oclobre 1877. Monsieur Ie prêfct, Au moment ofi tons les eiloyens francais sont convoqués a l'rffel d'éiire line nouvelle Cliauibre des deputes it app.irlient ii 1'auloiilé d'assurer a l'accoiuplisseinent des devoirs et a l'exerciee des drolls eleeloraux une compléte sécui ilé. Si, pariui les élecleurs, tl sen trouve que le souvenir dcnie- nuees, d'insultfs mi de violences rmpéche de s'ap procher de l'iirne, il imporle de les rassurer el de leur faire coniiaïtre quits peuvenl avec confianee venir reinpltr leurs devoirs civiques. 1,'aiislention, qui serail due a un sentiment de crainle, doune- rail de l'élal de nos inoeurs i'idée la plus facheuse el devrail, eu loul cas, être reproctlée au gouver- nemenl, ipu u'anrait su meltre les élecleurs a I abri d'entreprises eoupables. La police de Fasseinlilée éieclorale apparlieiit au president du bureau, qui saura, je n'eu doule I pas, faire respecter la sécürilé de l'élecieur el la des manoeuvres, des f.iils d'iniiuiidaliun ont été li op souvent signalés, el out pu deinenrer inipu- nis faille de la presence d un agent de l'autorilé. Vous ne tolérerez pas que ce scaudate se renou- velle, el vous prendrez .es dispositions nécessaires pour assurer compléte protection aux élecleurs. La présence aux abords de la salie de vote d un comtnissaire de police o>i ditn gendarme dans les villes, du garde cbhinpêlre dans les eommunes i urales, garantira que nul acle d'inlimidation, nulle menace, nulle violence ne pourronl se pro- duire sans ètre iintnédialemenl constates et répri- més. La sécu rité des élecleurs, la sincérité du vole, tel est le double but que le gouvernement doit rechercherrl qu it tientii lionueur d'atteindre. Recevez, etc. I.E M1NISTRE DE lTmÉRIKUR, DER GELEGEN PRÉSIDENT DE LA P.ÉPUBI.IQUE u Franqais r, Vous allez voter. i> J.es violences de I opposition out dissipé lotiles les illusions. Aucnue calomnie ne pent plus altérer Ja vérité. Non, Itf Constitution répnbiieaine n'est pas en danger. Non, Ie gouvernement, si respeeltieiix qu il soit envers la rel igion, n'obéit pas ii de prétendues influences eléi ica les, et l ieu ne saurail t'i-iilraïner a tine politique co mproiiieltanle pour la paix. i" Non, vous n'êtes menaces d aueun retour vers les alms du passé. La lutte est entre l'ordre et Ie désordre. a Vous a'vez dëj'a pranoncé. ii Vous ne vouiez pas par des elections hostile? jeler le pays dans un avetur iiicoinuf de crises et de coiijhls. ons vouiez la trampnillité assurét- au dedans coinme au dehors, l'accoisd des pouvoii.-, publics, la sécu rité du travail et des affaires. BANKIER, Les anversois sA p'aignent a haute voix des vols nocturnes dont leur rille est journellement le théêlre. La police anversoise est lli po'ur empécher que ces vols se fassent sur one trop large ét-helle Mats on ne le croirait pas, teu»inent MM. les voleurs ont pen ii se sought de MM. les policiers. Aussi, les Anversois parleul sérieuseinent d'organiser des patrouilles nocturnes! Comme au bon vieux temps Heureusenient que M. Dewael. !e respectable bourgmestre d'Anvers, vient de revenir des va- eances qu'il s'est dounées it Illankrnherghe. Car, il faut espérer que les 20,000 francs de Uaiteinent que ses acolyte-; du Conseil communal lui ont gtïicieusenirnl cl géiiéieiisciHenl octroyés, en pinsant dans ia poclie des panvres eotilribua- blcs. tl laut espérer que ces 20.000 leancs, fiiuront bien par faire de 11. Dewael un chef de police un pen convenable. Dame! pot"' 20,000 francs, on peut déjii se procurer un policier en chef capable de douiier unpen de peur aux brigands et capa ble de dunner unpeu ue satisfaction a qui Ie paie! Ca n'va pas 0n se la men le un peu partoul, surtoul dans les grandes villes, sur le ma- rasme des affaires. A ee sujet on écrit d'Anvers e Aprês les lêtes de Rubens, voici venir la mi- sère. Un signale en effel, une stagnation géné- ii rale au port el aux bassins. Le commerce lau- guit, les affairesdevienneiiL rares et le capital se ii cache, Lne mort, qui ne fera pasnaitre de regrets parmi les lionriêtesgens, eslcelledu Mot d'Ordre journal ultra-radical, A vail I de mount1, le Mot d'Ordre a annoncé que, actable sous les condam- nattous. uil se voyait force de suspendre sa pu blication. Toule sa redaction passe au Rèceil. La courteexisteiiee du Mot d'Ordre s'est signa- lée par des condemnations évaluées b pies de 20,000 francs d amende et a p nsieurs mots de prison. - liiEX, trés BtEtx. On vient de saisic, en France, une brochure, publiée en Belgique, intitiilée Le prèlre ennenh de Dieu En prenaut de telles iiiesiires, Ie gouvernement francais Iravaiiie ii sa conservation en même temps qu a telle de ia société. Dotv pedro, cmpereur du Brésil, est de retour dans ses Flats. Dieu veuille que Sa Majesté ne dise pas li op de inal de noli e Europe ii ses siijels Donne nouvelle M. I dmuud Dwyer Gray, depute de Tiperary au Parlement anglais, directeur politique propriétaire du Freeman's Journalvient de se eunverlir au calliolicisme. Nos metlleures félieitations et nos méilleurs voeux a notre nouveau frère- Une église prise d'assaut. Nous lisons dans le Muniteur de la Loire Nous sommes en mesure de confirmer de toal point les détails sur le scandale impie doril l église d'lzieux ii élé vendtedi Ie theatre. Dix des misérables arrêtés par M. Tuzoli et conduits, sous bonne escorle, ii Saint Ftienne, ont fait les avetix complets a Tinstruelion. Prés de trente autres signalés a M. le procureur de ia Répubiiqtie, soul aetivement recherchés. La plupart auront ii répondrc des accusations les plus graves et les plus avérées. Des téuiuignages reeiu-illts, ii telle heure, tl pa ra it résulltr que ia inauifeslutioii navait élé prépat ée depuis deux ou trois jours cl qu'elle était dirtgée pac des meiieurs élraugers peut être a la localtlé dont on a eonstaté le dégiiisemeiit. Ges hommes ii grande barbc noire et postiche, cxeilaient la bande et semblaicnt prendre un plaisir i xliéme aux scènes odieitses qui s accoiupiissaienl. Les perturbateurs sacriléges élaieig au nombre tie cent, atnsi que nous Tavons dit. Parmi eux, on a reiuarqué beaucoiip d'uidividus de Saint Chamond cotinus de longue date pour deslapageurs d égli se a Gette spécialité de jacobins anlireligteux, habitués a troubler les cérémonies dn cuile en at tendant micux abonde, nous assure-1 on, dans ctlle ville. Le bi ts des chaises, la sonnerie des cloeiies, Tes calade de la chaire, non par «une citoyenne», mais par un« ciloyeu sont des fails acquis abso- luinent ii l information judiciaire. Les iiisullesaux femmes ont élé uiéuie beaueoup plus graves encore que nous ne i'avons écrit. On leur a luucé a ia face des« chiqtics de tabac «el des pierres. La piofauatioii des lieux saints a été poussée aux dernièces indtgnités. Les cbenapans out trem- pé nu chien dans le béuiliec cl quelques-uns sont allés jusqu'a... au milieu du saucliiaire Le vicaire ayant essayé d'intervenic a été violenté, jeté par lerre, et Irappé ii coups depoing. L'auteur de cette agression iuqiialifiabie n'est pas encore art été. Lesenvatiisseiirs élaienl eutrés a l église en ehan- tant ii tue-tête. A leur sortie, ils ont boitscótilé tont le monde el réentonué la MarSeiilaise jus- qu'aux portes de Sl-Ghauiynd. Nous ti'avons pas besoin d'ajouter queTiiidigua- tion est au cotnble a Izieux el dans les localités voisines. i.es gens honnêtes el paisibles léclamenl une prompte et exemplairt- repression. La justice, saisie de Taffnie, arrivcra sansdoule a en dérouvrir tons les Ills secrets et les ramifica tions encore obscures. D'après les indices des pius sériënxou eruit que« le coup availt'-té monté le mercredi soir, bans un eoneiliabule leun a Saint-Chaiuoiid pas des afllliés ii I'lnleruationale, dom cette ville est liirgeinent ponrvue et oü la secle i cdoulable en- tietieul un chef dont ie iioin u'e.>t ou inystère pour personue. L'enquête éclaircira. nous n'eu dottlons pas, ce point important, qui pourrait meltre l'autorilé sul les traces d'une organisation dangereuse que lont le monde soiipgonue, que ehacun sent, mais qui a échappé. jusqu'a présent, atonies les investigations de la justice. Nous lisons dans le Soir Une Hgenee lélégrapliique nous communique une dépéehe dotuiant une nouvelle grave, dont nous voulons lui laisser Ia i esponsabililé, et qui nous scmbic de nature a être tont au moms ex- pliquée. D'api és cette depêche, Sun Fxe. le marquis de Molins, ambassadeur d'F.spagne en France, aurait requis Tapposilion des scellés a I hotel Da- silewski, résidence ordinaire de la Reine Gabelle, mère dn Roi Alphonse XII. GEBOORTEN. HUWELIJKEN. STERFGEVALLEN. Houvenagel, Amelia, 48 jaren, kantenwerk ster, ongehuwd, Meenenstraat. Clynekemalliei Jacobus, 72 jaren, zonder beroep, weduwenaar van Pauwels, Amelia, Jauseniusstraat. Claeys- sons,Josepha,83 jaren,zonder beroep,echtgenoote van Elewaut, Petrus, Bollingstraat. Lescau- wier, Rosa, 70 jaren, zonder beroep, echtgenoote van Delbeke, Hubertus, Rijsselstraat. Leroy, Petrus, 49 jaren, daglooner, echtgenoot van Ryckeboer, Maria, StNicolaus nevens Ypre. Ryckebusch, Amandus, 54 jaren, facteur der brieven post, ongehuwd, Rijsselstraat. Kinderen beneden de 7 jaren. Mannelijk geslacht 2. Vrouwelijk id. 1. d. z 5! £5 1 Kr- 03 S o r. OOZg.Ka pri O c_0 O us I Q vJM O o i s -il S- 2 N cc c KS M CO CU CC W w c w w o: w CD O O IO 'DO I KO OO CC -4 O CO o co N3 p- c: CfQ O o -C. O I to I co co co Cl C cx ex O O -C O O CO O O O co co O O O, CC'C I to O i «O cc co CO O 00 <1 CS lO 00 rO CO O O Pi "C CD o to CO i to hS co CO I cr- O s'C ex CA p- CA' P rr OQ P. O o o o scr O M M M M M O Lij tx CO CO I-O !7. CS I 2 C O c O CC O O - JST* TT TFT *3 ivS l: co l-O CX CC CC I O CS O I I FC cc tC tO cc cr. O c C O O O co O O TT TT N to to to te tC NS o. a cc- te to I te te co -o cc i cc co te m pa -s rq u TT CO cc 00 gcc«^' ie CS co »e Hij te te co o cc ie P3 - I ie te ie OO CX Cs O co te te te m te co I te i —4 co te i te p-2: co o i ie o IQ CO o i te co 00 te te te co c ie c. te te te te co co o cc ex cc co NJ p- ~r fis fr- do. CX CX Q p rjTT^T^iXS'f-TTVTTr HOB—P OiSS^BBBSS GARNISSANT LA RITE FERME EN GRANGE ET SUR PIED,

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 3