ai mm h ®w
HOFSTEDE,
HANDELSVEREEMIGING
PRYZEN DER KOLEN
HOFSTEDEKENS,
CESSATIÖM DE GöMMSECE.
KOEKEN ES VAN CIIËME GUANO
Sterrestraat, iN° 4, te YPEREN.
FA ITS DIVFRS.
EEN WOON II U I 'S
Twee perceelen Mauigras;,
Twee perceelen Maaigras,
S C II O O N E
H U i Z E N
openbaarlijk te verkoopen,
BINNEN YPRE.
ZATURDAG 40" NOVEMBER 4877,
om 2 u re's namiddags, in de estiminet
IIótei. des Pays-Bas, Ëlverdihghc'straat
te Ypre, van
- tirat son épingle du jeu en rappelant son
armee de cc cöté dn Danube. Mais ce n'esl
la qu'un désir.
L'Autriche- Hongrie, de son cötè, mom re
décidémeni les dents au gouvernement de
Bucharest, el d faul que cela se produise
juste au mpuient ou chacun ici croyait a tin
rapprochement avec la monar.cliie auslro-
hougioise aux dépens d'une ainilié plus
eiroite avec la Russïe. Seulement les Hou-
uiains, si bons diplomates qu'ils s'estimeul,
ontcouiinis une faute grave en cherchant a
- grossu" Ie faniöme de I'lncursion des bandes
tiongroises.
C'est, du teste, une manie iei, et votis vous
souvièndrez que les inémes exagéraliuns se
sont déja produiles quand on a vu lesTurcs
dèbarquer a Kalarascli. II est probable que
pour salisf.iire Ie gouvernement austro-hon-
grois, Ie gouvernement roumain devra des-
niuer les agents qui lui orit adressédes rap
ports exagèrés sur eelte alïaire de Transylva-
iiie.
LA BATAILLE DE TEL1SCH.
INVESTISSEMENT DE PLEVNA.
Ou mande de Bucharest, vendredi sou',
au Daily News
La nouvelle du combat sur la route de
Sofia vkiit d'nrriver ici. Les Tuivs avaieni
fortilié une position ent re Corny Diibnik et
Teliehe, ei l'on se souviendra que cetait la
tpie Ie general Kriloff essaya d'arrèter Ie
eonvoi de vivres de Chefkei Poehaen atla-
quanl avec de la cavalerie et de t'artillerie
line position foriifiée au lieu du eouvoi lui-
inètne. Les Tures out évidemrnenl tenté de
retablir leurs communications en élablissant
de petits forts detacliés de distance en dis-
lance Ie long de la route de Sofia. La posi
tion en question étail uu de ces fortius et
com me elle gènaii les Busses ceux-ci s'en
sont emparés comrtie iIs fèroiïl sans douie
de tonics lt s p.psuipns siluées de ce cöté des
Balkans. Les Busses om fait 3,000prisotuiiers
plus un regiment de cavalerie et 4 canons.
Le combat a eié très-acltarné, dit-on. el les
Busses out fait des,[a rtes considerables.
Un officier russe. qui revient des positions
devanl Plevna, dunne Paperen suivanl de la
situation de ce có'é. 11 n'ost pas vrai que les
Tures soient parvenus a introdnire réeem-
menl de nouvelle.* provisions dans la ville.
Aucun convoi dé vivres n'a pu traverser les
lignes russcs depuis que le general Gourko a
pris le commandernant de la cavalerie'.
L'mveslissemenl de Plevna est complet
mainienaul depuis une semaine c'esi-a-dire
un inveslissemenl par Unifaiiterie. Aussitöl
(pie les soldatsde la garde impériale arrivé-
rent, ils prirent position a l'aile gauche des
Busses, oii Ie général Skobeleff se trouve
avec la 16° division. Ces troupes contiuuent
ainsi la ligne d'mvestissemetit sur la route
de Lovtcha, la route de Sofia et plus loin
encore a mesurc que les rehforts arrivenl.
II y a de grandes forces d'infanterie sur
cetle route el aux environs. La ligne conti
nue d'ici a la droile des Bouinains par les
cavaleries russe el roumaiiie commandèes
par Ie général Courko. Plevna est done com -
.pléleinent cernée, et si Pon considére les
■precautions qu'on a pnses, le déploiemeht
«l'infanterie aulour de eette place et plus loin
derrière,on admeitra que le projet des Busses
ue se borne pas siinplemcnl a perinelire a
Osman paella d'évaétier la ville. En rffot, s'il
me s'étail agi que d'arrèter les vivres, de
grandes forces de cavalerie commandèes par
(tioiirko, auraient suffi. II est vrai que cc
général n'aurait pu prévenir l'arrivee des
reriforls, maïs a Panic de son artillerie il
pomvail loujours pulveriser les wagons, toer
les clievaux du train, el detruire les provi
sions alms méme qu'il nepouvatt s'en empa-
rer. L'infanlerie n'etait done pas absoluinent
nécessaire de l'autre cöté de Plevna, ei la
concentration de forces si considerables ne
tend (pi a déinonlrer qu'il entre non seule
ment dans J'inteniiQii des Busses de rèduire
Osman pacha par la famine, maïs encore de
lui cöuper la retraite.
II est impossible de determiner exactement
pour combien de temps Plevna est approvi-
sionnée, et tl est probable que lesTurcs eux-
mètneg Cignorent iriais il est évident qu'a
moiriSjque leurs provisions soient sulïisanles
pour tout l'hiyer. Gltazi Osman pacba sera
bientót dans une position des plus critiques,
une position resseniblani quelque peu a cel le
de Bazaine a Meiz. Nous pouvons supposer
qu'Osman déploiera plus de palriulisme, plus
de connaissances mililairès. el surlout plus
de lénacité que Bazaine, mais il esl évident
qu'a inoins qu'il ait beaucoup plus de vivres
et de munitions qu'on ne le eruit, il se trou-
'vera bienlöl dans une rnaiivaise situation.
Les Busses recoivenl cliaque jour des ren-
foi is, et il y a tout lieu de croire qu'ils
eofiiplent entourer Plevna cornme les Alle-
mands cernérent Paris, a l'aide d'une serie
de travaux qu'Osman pacha aura autanl de
difiici/.'té a traverser (pie le général Troehu
en rencomra en 1870 puur sorlir de Paris.
menlir ces assertalions. II n'esl pas exact,
dit-elle, qu'en ce moment un de ses livres
soit soumis a I'examen de la congregation
de I'Index.
I! esl possible que le R. P. Curci au sur
ccrtaines questions des opinions trés-larges,
mais ce fait ne prouverait qu'uite chose, c'est
que dans la Compagnie de Jésus il existe
une trés-grande liberie d'opmions, et c'est
la rêalité.
Quant au bruit que les feuilles hbérales
om fait courir au sujet de lexpulsion du
B. P. Curci hors de la Compagnie, de son
excommunication, de sa retraite dans un
couvenl inconnu, etc., ce sont autanl de
ruconlars qui ne méritenlabsolumentaucune
creance.
Une corresponds nee romaine de la Gar-
muniade Berlin, s'occupant du mème sujet,
s'-ex prime en ces termes
II est vrai (pie ce religieux a écrit, il y a
quelque temps, une brochure politique com-
muniqnée seulement a quelq ti.es-uns de ses
amis. Lom de s'y monlrer hostile au pouvotr
lemporel du Saint-Siege, l'auleur en recon-
naissait au conirairé la trés haute utihté
mais il exprünait en niéine temps i'opmion
que. dans les circonstances aciuelles, le léta-
blissemeiit de ce pouvoir avec l'aide de la
France n'etuil ni probable, m possible, quelle
que fut d'ailleurs la forme du gouvernement
francais.
Le R. P. Curci conduait done a la néces-
sile de chereher, provisoiremenl du moins,
un autre moyen de garantie I'mdependance
du Samt-Siégeevideminent compromise
dans la situation ou la papauté se trouve a
l'égard du royaiime subalpin. A ce propos,
tout en se montraiit justemeni sévére envers
les usurpaleurs du doiname de St-Pierre,
l'tionorabie publiciste entrail dans des consi
derations qui, au point de vue politique,
parurent plus ou moVns Scabreuses aux amis
auxq.uels il avail douné commumcalion de sa
brochure.
Pour en avoir le coetir nel. le B. P. Curci
prit un psrli vraitnent (ligne d'un eaibolique:
ii söuniU lui-mèote son écrit a I'examen du
Samt-Siége.
I! faul croire que cel examen confirnia
l'iinpreSsion preniière qu'avaient éprouvée
de judicieux lecleurs. Toujonrs est -11 (jue
I'écrivaiiirnü par un sentiment de lotiatile
deference, renunc.i a publier son travail. Le
R. P. Curci, ajoiiie le correspondanl de la
Gmuuniu, se trouve depuis quelqucs jours
a Rome, et il continue a y jouir de i'esiune
due.a un eallioii(|ue plein de soumission en-
vers le Samt-Siége.
VUniiters recoil de Rome la dépêche
stiiyaiiie
27 oclobre, 6 h. 4b, soir.
UOsservulore romuno public simplement
ces inols
II est inexact que le P. Curci ai! éléex-
pulsé de la compagnie de Jésus.
Nous lisons dans le Courrièr de Bruxèilès:
Le correspondanl romain du Temps a
lente de faire du bruii aulour du nom du
B. P. Curci accusé par lui d'avoir cornmis
certains écrits soumis a la congregation de
I Index et a la veil le d'èlre Condainiiés.
Or, yhalte elle-mèmea élé obligée de dé-
de mon ame est chose impossible Et c'est
to us les jours la méme scène renouvelée cent
i'ois Je tie puis sortir saus ine voir aocom-
pagne de multitudes aflamées; et si je m en-
ferme dans ma ehambre, je n'entends lout
aulour que des explosions de pleurs el de
sanglols el je sors encore, el je parcours
celtefoule... Les inéres, se jetanta mespieds,
me présenten! leurs enfants affamés partni
ces petites creatures, il y en a qui sont a
l'ugoaie, et je verse sur leur tèle l'eau du
baptême.
Jusqu'a présent, les parias seuls s'élaient
prêsentes pour embrasser la foi, mais depuis
un mois, les tamoujers (de bonne caste) se
presentent en grand nombre dans le Iribu
de Pallis. Si nous avions des ressources,
cette caste pourrail nous donner des milliérs
de conversions Ainsi done, cher père, je
vous prie de ne rien uégliger afin de nous
envoyer du secours bieu vile pour la con
version des infidéles la fiimine les fera lum
ber au pied de la Croix
Oil que ne puisje me transporter en un
instant en France J'irais frapper a toutes
les potles. j'embrasserais les pieds des riches
et je ne-laehertfis prise qu'a prés avoir recu
une uumöne, et je reviendrais dans l'lnde,
riche, et je convertirais tout le pays, el j'em-
pécherais lanl de gens de mourir de faun, et
loule creature mdieune en rendrail gloire a
Dieu.
Cher Père, etc. J. Foürcade,
Missionnaire aposfölique.
ACTES OFFICIEUS.
LA FAMINE DANS L'INDE.
iM. Foürcade, missionnaire a Allahdy, a
adressè au directeur du Séiiiinaire des Mis
sions étrangères, la leltre suivanle
Bien cher Pére,
Quelle vie que la miemie L'année der-
inére, a paréille epoque, en passant par des
villages païens mon ame s'élevait vers Dieu
el le su[qihail d'ouvrir les yeux de ces infi
déles a la luiinére. Coinme je soupirais aprés'
la conversion du ces infidéles
Cette unnée les róles sont changes les
païens vieniierit se jeter a mes pieds el me
demandent a devcnir caléchuménes el c'est
moi (|ui suis obligé de leur dire
Je lie puis vous accepter.
Mais, pére, c'est vous mèiiie qui nous
av,ez dit de veiur, ei vous avez prouvé t]ue
voire religion seule conduit au honheur du
eiel.
C'est vrai,; que ne m'avez vous écouté
alors
A mesure que le eiel devient de feu,
nous coinprenoiis que voire Dieu u'envoie la
famine que pour nous faire eutrer dans voire
religion. Nous étudierons les pnéres, nou'r-
rissez-nons p ndani ce temps.
Je u'ai plus fjen j'ai loul donné a ceux
(]ui out éttidié préeédeiumeiil... C'esi pour
vous sauvcr ipie j'ai quitté ma palrie, el, en
vous disaiit (pie je ne puis accepter, nion
coeur seen deux
Non, Ie Pére tie nous aitne pas; s'il
nous aiuiail, il ne nous renverrait pas ainsi.
Vous coiiiiaissez I Indien, cher père. V'ous
savez que l'Europécn a beau lui dire qu'il
n a [ins (I argent, il ne le eroira jamais, paree
que l'Europécn esl pour lui I'homme riche
par excellence.
Père, voyez nos enfants. Voyez leurs
plenrs, voyez leurs pieds enfiés par la faun;
lis von! mourir.
Que voulez-vous que je fasse?... je
n'ai rum,
Si vous, vous parlez ainsi, qti'allons-
nous devenir
Et alors. ils se jet tent a pint ventre, pleu-
renl et in'emhras.-eut les pieds.
Oh cher pére, quel tourmenl que celui
la Vous donner une idee de la tristesse
Par arrèlé royal Ju 26 oclobre, la demis
sion de M. H. Cartuyvels, de ses functions
de président de ehambre a la cour d'appel
séain a Liege, est accepléé.
Par arrèlé royal du 26 oclobre, la demis
sion de M. J. De Pouille, de ses fonctions de
jugeau tribunal de 1« instance séant a Mali-
lies, est acceptée.
Par ariètc royal du 26 oclobre, M. A.
Maillneu, subsiitul du procureur du roi a
Coiutiai.es! iioiiunè jnge au IriInitial -ijje l."e
tost a nee séant a Malmes, en rem placement
de iM. De Pouille.
Par arrèlé royal du 26 oclobre, M. Van
Iseghein, subsiitul du procureur du roi a
Fumes, est nomine en la méme qiialilé piés
le tribunal de l,e instance séant a Courira'i,
en reniplaceineni de M. Mailhieu, el tM. R.
Diirufié', av'óué el juge suppléanl au tribunal
de lru instance d Ypres, e>! iiommé substitul
du [irocureur du rot piés le tribunal de l'c
uislanee, seam a Furnes..
Par arrèlé du 26 oclobre, M. J. Montangie,
avocat a Osiende, e.-t nomméjuge suppléanl
a la justice de paix de ce canton, en rempla
cement du M. Licbacrt, déeédê.
MAGAZYNEN
tegen de Statie van den Yzerenweg
(Quartier du Commerce)
(janomen in de muijuzynnn.
fflGNSCHE KOLEN.
Gailletterie per honderd kilos Fr. 3 35
per hectoliter 2-G5
Tout-venanl. per honderd kilos 2-40
per hectoliter 1-90
Fyne per honderd kilos 2-00
per hectoliter 1-60
FREYNE K0LEA'.
Gailletten per honderd kilos
Fr. 2-60 en Fr 3-30
Gailletterie per honderd kilos
Fr. 2-50 en Fr. 3-20
Volgens de kwaliteit.
Gailletins of mosseltjes het 100 kilos
Fr. 2-40
Het, te huis doen a part betaeid.
De leveringen per wagon acn den
prvs der koolmynen.
Ue Magazynen zyn voortdurend
voorzien van allereerste soorten van
en andere landvellen aen de leegste
pry zen mogelyk.
liet kantoor der llandelsvereeniging
is by Mr. A'e. V0lüCK-CLEfi/!ENT,
La supérieure du couvenl de St.- Nicolas Cour-
tr.-ii, la directrice rfel'orplielinatet irois rcligieuses
du méme établissement vieniierit d assignri'devant
le tribunal de Courlrar, les édileurs des jouruaux
suivanis: I.a Constitution. I'Eciio nu parlumkn r,
Ie Journal de Gand, I Indupendanck. la Flan
Studiën van de
NOTARISSEN
MaSiicn cn WistBslcB-ïaiccj-scSs,
t'Ypre.
ZATURDAG 3 NOVEMBER 1877,
i ure nanoen,
ter herberg den Olifantte Ypre,
oja-ftbit cc i'cB'Si.udKjBsng
IN EEME ZITTING,
van:
Gemeen te El ver cl in git e
tegen den steemvegvnaar V latnertinghe
Eene HOFSTEDE groot 8 bedaren
39 aren 31 centiaren; onder bebouw
den Grond, Boomgaerd en Zaeiland,
gebruikt door Francis Ampourter;
Poperinghe,
oost de nieuwe kalsicde.
WOONHUIS der Hofstede, Kelder
en Vaute met 2 ander Gebouwen en
ingangpoort en 21 aren 11 centiaren
Grond derzei ve en Hoving;
2° BOOMGAERD, groot 94 aren 60
centiaren;
Deze 2 koopen zyn gebruikt door
Piet er Devloo
Woest en,
1" 68 aren 40 cent, DRYFGRAS,
noord-oost bv liet gebruik Devloo;
2° 26 aren 60 centiaren ZAEILAND
dacrby
Deze 2 koopen zyn gebruikt door
Demolder;
Bulscamp.
by het Nieuwporfje brugge.
i hectare 75 aren ZAEILAND voor
heen Vctlegras, gebruikt door Fran
cis Decrop
Stad Ypre.
Een HUIS, Erf en Hoving, zuidzyde
der Tegelstraet, N" 13, gebruikt (Joor
de docliter Vanhaeck;
Oostvle teren
zuid aen den steenweg van
Westvleteren.
I" Eene VETTE WEIDE, groot 1
hectare 40 aren 90 centiaren, ge
bruikt door Augusle Paes;
2° Eene andere WEIDE, groot 27
aren, gebruikt door Amand Beclc;
Noord de kalsicde
van de Korte-keer naer de Kerk;
3° Een HUIS, N° 23, Grond en Erf,
gebruikt door de weduwe Vanden-
bergtie;
4° Een ander HUIS, N" 25, Grond en
Erf, gebruikt door Vercamer;
Reninghe, h>•andhoe
5" Twee aencenboudendc VETTE-
WEIDEN. te samen groot 2 hectaren
89 aren 90 centiaren.
Deze 5 laetste koopen zyn onder
worpen acn vruchtgebruik"
P«3>T.
KANTOOR
van den
iSSft CAB^JSSIiSjBS,
te Walou.
woond door den medex erkoopcr van
sicur Seruphin Devloo, ook te Stax'ele-
p laats,
ojtcuharfi vcï*!iJ>»p3n|y
van: a.
TE STA VELE
zijnde den sterl'huizc.
2.
te zelve Staveie,
Sectic A. nummers 213 en 222, samen
inhoudende 1 hektare 37 aren 10
centiaren.
En e.
te Oostvletereu,
niet verre noord van 't gëliuchte
Elsendamme, Sectie A. nummers 5540
en 197, samen inhoudende 1 hektare
83 aren 70 centiaren.
Alles breedloopig bij uithangende
plakbrieven beschreven.
Voor alle inlichtingen zich 1c be
geven ten kantoore van voornoem
den Notaris CAPELLL.
Alle inlichtingen zijn ook te beko-
men ten kantoore van den notaris
FEYS, te Proven.
Ruchtbaarheid.
en
GcBtecnft; ÜSaïB-:2vo«ïSNS{;.
Een HOFSTEDEKEN, groot 5 hecta
ren 65 aren 40 centiaren, te Zond-
voorde, wijk Kranenburg, aan het
gescheid met llollebekc.
Gebruikt door siertr Bartholomeus
Pannekou c ke.
Staat op 22,400 francs.
€S cmcénte Kidc ft e U
Een HOFSTEDEKEN met. drij ande
re WOONST i j iN Ci GvikS •medegaande,
groot 2 heklaren 93 aren 96 centiaren
te Zillebeke, weinig oost van de hor-
berg HET KLUUN ZlLLLBF.KE.
Gebruikt duorsieur Livinus Donse
en andere.
Staat op 40,900 francs.
f-^SiscS Wgjs-s-,
Een RENTENIERSHUIS met Hof,aan
de zuidzijde der Onze Lieve Vrouw-
straat, N'' 4 4.
Laatst bewoond door den lieer
E don ai 'd D evarver.
Slaat op 5,000 franks.
Den ABSOLUTES OVERSLAG, ZÖKBEB
UITSTEL, ZATURDAG 40 NOVEM
BER 4877, om 2uren namiddag, ter
èstaminet Café de kUnion, op de
Groote Markt, binnen Ypre, ingevolge
de voorwaarden berustende ten kan
tore van den Notaris VASDERIÏSEEIlSCrO
te Ypre resideerende.
^t:a3«SSe
van den NOTARIS VEÏS,
van welke de gebouwen onlangs
nieuw gesticht zijn geweest, groot
48 hectaren 49 aren 70 centiaren,
gelegen te kËïïIMEL, bij het gehucht:
de VierstpiAat, ziclt bevindende langs
den steenweg leidende van Ypre naar
Kern mei.
Gebruikt door Jean-Bapti&te Iks-
camps en Engel Vyon, aan 2.500 franks
bij de ja re, boven de lasten.
Premie van Instel: 4/2
OP MAANDAG 5 NOVEMBER 4877,
om 4 ure tix namiddag, te Stavele-
plaats, ten sterfhuize van de weduwe
Louis Joseph Devloo,
kOO|Mlag Vilt!
Li iwuvt rrrari/innnim
ItLLCjllllAlUm l!lLLUVUlll(l(liil)IiniiL\
EN DEN ZELVEN DAG,
ont 5 uren namiddag, ter herberg be.
OcL'itsiosi vxcc2«lioiBiBcl3e.
IHAISafe LENOia ssuns,
RUE DE D1XMÜDE, YPRES.
Yen te au prix de fact ure et en
dessous, d'étol'fepQur robes, toiieblan
che et bleue, jingo de table, orléans,
mérinós, toffe a. pantalon, cotonette,
etc. ctc.
La MAISON EST A LOUER OU A
VENDRE ainsi que les comptoirs et
rayons, i'our les person nes. <|ui dési-
rent continuer les mêmes articles on
les mettra au courant.
irnwfiYffiTiin- -V
DEI!
GELEGEN
BANKIER,
DREUBÉRAl.Ë et la ClIRONIQUE J1EMNOI-E, Il r.li-
sou d'un article public par le premier el reprodoii
par les aulres. Les religieuses réelamcnt 2 600 fr.
de dommages-intéréts.
Devant le proces qui lui esl intenlé la Constitu
tion recule et insère aujourd bui I'liypocrile mea
culpa que voici:
•i Nous yenons d'apprendre c]ue i enquête admi-
ni-lralive au sujet des écbappées dn convent de St.
Nicolas esl terminée. L'euquéle judiciaire reste,
parail-il. encore onvei le.
Si nos renscignemenis sont exacts, les jeu nes
Giles aueaient Gni par faire des aveiix complets aux
délégués des hospices comme aux magistrals in
structeurs.
D'après lelies dérnrères affirmations, elles au-
raieni. seiuhle l il, imagiiié pureiucut el siiiiple-
nieut un pclil roman qu'elles se sernu-ut empres-
sées dr raéonter a leur- parents el aux euiïeux al-
troupés au Marcllé-Vui liois.
Leur réeil inélodraiuatiijue a élé reeueiili par
des lénioiiis présents sur les lieux qui nous en out
iininédialcinent fait pari.
Le passage sera itilt rrompu sur ie pont dit
•i Waercbriig canal du Moerdyk, a la traverse
de la route de Nieiiporl it Gliisielk-s, depuis au -
jourd'hiii jiisqn'aii 1" noVeuibre prochain.
La Curonique annonce que ïl. Ernest Al-
lard vieiit de donner sa démission d'ééhevin de
l'iiislru<-lion pnbiique ii llruxelles.
Celle resolution serail fondée sur ce que le
collége el la section des finances aueaient refuse-
d un co in m u n aec-oid. de meitre ii sa disposition
les ressources nécessaires pour donner a l'ensei-
gnemeul primaire one organisation digue de la
eapilale.
El cc refus lui-méme serail motivê'snr» l'insnf-
fisanee des ressources commuuales. i
rwwv t» wkicorruggjr.- .nrtt--;rLv
TR VL AMERTINGIIE
eSta