HOFSTEDE,
TEL
III
SAFE NERVIÜ3
HANDELSVEREENIGING
PRYZEPi DES KOLEN
PEUPLIERS DU CANADA
HOFSTEDEKENS,
SCHOOfIE HOFSTEDE,
CESSATION M COMMERCE.
j$Èë*
1
KOEREN EN VAN CHEMISCHE GUANO
Encore i.e crime re bruxei.les. Un
PERU-GUANO.
INE SCHOOI EN GOEDE
HUIS,
openbaarlijk te verkoopen,
BINNEN YPRE.
openbaarlijk te verkoopen,
K{
rr ,OOÖ boites vendues dans la
Nous espérons que ces Messieurs, dont le
lalent est corniu au loin el que les plus
grands centres seraient fiers de posséd t,
nous procureront, au long de Phi ver, sou-
vent Ie plaisir de pouvoir les applaudir.
La Section chorale a chanlé avec verve el
goüt Ie chceur inlitulé: Le combat maritime
Nos remerciments a Messieurs Wenes,
Antony, Vanhoever, Leboucq, Doolaeghe et
Declercq, qui tour a lour ont bien voulu
prêter leur appui a cette charmante soiree.
SOCIÉTÉ DE LA CONCORDE. YPRES.
Programme des Morceaux qui seronl exéoulcs
le 8 Novembre 1877, a 7 1/2 heures du
soir, par la musique du lr régiment de
ligne, sous la direction de M. Ch. Simar.
En garnison, marche, (Steenebrngge).
La dame de pique, ouverture, (Snppé).
L'éloile d'Angleterre, polka puur piston,
exécuiée par Monsieur Vandewiele, (Lamotle).
Ernani, fanlaisie, arr: (Ch: Simar, père).
Rénèdiction des poignards de Pop: les
Huguenots, (Meyerbeer). Sturm! galop
arr. (Mornhard).
MAGAZYNEN
YPERSCHK
tegen de Statie van den Yzerenweg
(Quartier du Commerce)
Gailletterie per honderd kilos Fr. 3-35
per hectoliter 2-65
Tout-venant per honderd kilos 2-40
per hectoliter 1-90
Fyne per honderd kilos 2-00
per hectoliter 1-60
FREY^E XOLEH.
Gailletten per honderd kilos
Fr. 2-60 en Fr 3-30
Gailletterie per honderd kilos
Fr. 2-50 en Fr. 3-20
Volgens de kwaliteit.
Gailletins of mosseltjes het 100 kilos
Fr. 2-40
Het te liuis doen a part betaeld.
De leveringen per wagon acn den
pr-ys der koolmynen.
De Magazynen zyn voortdurend
voorzien van allereerste soorten van
en andere landvelten aen de leegste
pryzen mogelyk.
Het kantoor der Handeisvereeniging
is by Mr. Alc. VONCK-CLEMEiMT,
Sterrestraat, Nu 4, te YPEREN.
FA ITS DIVERS.
van den NOTARIS VEYS,
BELANGRIJKE MEDEDEELING.
ZATURDAG 40" NOVEMBER 4877,
om 2 ure 's namiddags, in de estiminet
Hotel des Pays-Bas, Elverdinghestraat
te Ypre, van
van welke de gebouwen onlangs
nieuw gesticht zijn geweest, groot
48 hectaren 49 aren 70 centiaren,
gelegen te KEMEL, bij liet gehucht:
de Vierstraat, zieli bevindende langs
den steenweg leidende van Ypre naar
Kemmel.
Gebruikt door Jean-Baptiste Des-
camps en EngelVyon,aan 2.500 franks
bij de jare, boven de lasten.
Premie van Instel: 4/2 p.
ETUDE DE
Mtre LANNOY, NOT AI RE
k CNmaisues.
ILiimlS ftovemlsre f§ff.
a one heure précise de relevée,
VENTE PUBLIQUE
2° A la ferme occupée par les en-
fan ts Despalures,
A COMIIES,
a proximilé dn nouveau pavé de
Tenbrielen.
SCHOONE
éSemeeuïte v«oir«Ic.
Een HOFSTEDEKEN, groot 5 hecta
ren 65 aren 40 centiaren, te Zand
voorde, wijk Kranenburg, aan het
gescheid met Hollebeke,
Gebruikt door sieur Barlholomeus
Pannekouclce.
Staat op 22/100 francs.
SKiilcbcke.
Een HOFSTEDEKEN met drij ande
re W O O N S T E N daarmedegaande,
groot 2 hektaren 93 aren 96 centiaren
te Zillebeke, weinig oost van de her
berg HET KLEIN ZlLLEBEKE.
Gebruikt door sieur Livinus Donse
en andere.
Staat op 40,900 francs.
Een RENTENIERSHUIS met Hof, aan
de zuidzijde der Onze Lieve Vrouw-
straal, Nr 44.
i Laatst bewoond door den lieer
Edouard Devarver.
Staat op 5,000 franks.
Den ABSOLUTEH OVERSLAG, ZOFJDER
UITSTEL, ZATURDAG 40 NOVEM
BER 4877, om 2 uren namiddag, Ier
estaminet Café de kUnion, op de
Groote Markt, binnen Ypre, ingevolge
de voorwaarden berustende ten kan
tore van den Notaris VAfiJDEBMEERSC'H,
te Ypre resideerende.
GEMEENTE ZONNEBEKE,
bij de plaats.
Eenc schoone en goede Hofstede,
gelegen ter gemeente Zonnebeke,
zuid-west bij de plaats, langs den
keiweg leidende naar liet Hooghe,
groot in lande, volgens cadaster 8
hectaren 33 aren 20 centiaren.
Gebruikt door sieur Frederic-us Mas-
schelein, voor 9 jaren aanvang geno
men den 4" October 4870, aan 4200
francs bij de jare boven de belastin
gen.
Den instel, met gewin vanprerniën,
DINSDAG, 20 NOVEMBER 4877, om 2
uren namiddag, ter estaminet den
Gouden Arend, op de Groote- Markt,
binnen Ypre, ingevolge de voorwaar
den, berustende ten kantore van den
Notaris VAWDERffiEERSCH, te Ypre resi
derende.
Studiën van de
NOTARISSEN
JMEahicia eu VmitlermecrscBi,
t'Ypre.
ZATURDAG 24 NOVEMBER 1877,
4 ure nanoen,
ter herberg Zilveren Hoofd, te Ypre,
Rysseistraei,
iiclhiUicve ioewyaiug
zonder uitstel, van:
Gemeente Elverdincjhe,
noord de Clapstraet:
Ecne HOFSTEDE groot 8 bedaren
39 aren 70 centiaren, gebruikt door
Ampoorler;
Ingesteld 45,000 ft'.
Poperinghe,
weinig oost de nieuwe kalsicdc.
4° 4/7 van een HUIS, Kelder en
Vaute met 2 ander Gebouwtjes, Grond
en Hoving;
Ingesteld 700 fr.
En 2° BOOMGAERD, groot 94 aren
22 centiaren; al gebruikt door Pieter
Devloo
Ingesteld 4,900 fr.
IVvesten
4° 73 aren 40 cent. GRAS.
Ingesteld 2,500 fr.
2" 27 aren 72 centiaren LAND.
Ingesteld 1,000 fr.
Beide gebruikt door Demolder;
En de mas op 3,750 fr.
Bulsó'amp.
Noord de Kerk.
4 hectare 75 aren ZAEILANI) ge
bruikt door Decrop
Ingesteld 7,200 fr.
Stad Ypre.
Een HUIS en Erf, zuidzyde der Tc-
gelstraet, N° 43.
Ingesteld 4,750 fr.
Oostvleteren,
zuid den steenweg naer Westvleteren.
4" Eenc VETTE WEIDE, groot 4
hectare 44 aren 90 centiaren, ge
bruikt door Baes;
Ingesteld 3,000 fr.
2" Ecne andere WEIDE, groot 26
aren, gebruikt door Beek;
Ingesteld 700 fr.
Mas dezer 2 koopen 4,050 Jr.
3° Twee aeneenhoüdende HUIZEN,
Nos 23 en 25, Erf en Hoving, zuidzyde
der kalsiede van de Korte-keer naer
de Kerk;
Ingesteld 4,400 fr.
Reninghe, hi -andhoe k
Twee aencenlioudende VETTE-
WEIDEN, groot 2 hectaren 89 aren
90 centiaren, gebruikt door Martin
Deneckere;
Ingesteld 5,350 fr.
De goederen gelegen te Oostvlete
ren en Reninghe, zyn onderworpen
acn vruchtgebruik.
OecasioH jUussje 1 le.
MAiSOfl L£M0IR SffiUBS,
RUE DE DINMUDE, YPRES.
Ven te au prix de faclure et en
dessous, d'étoffc pour robes, toiie blan
che et bleue, linge de tabic, Orleans,
mérinos, ctoffe a pantalon, cotonette,
etc etc.
La MAISON EST A LOU ER OU A
VENDRE ainsi que les eornptoirs et
rayons. Pour les person nes qui dési-
rent continuer les mèmes articles on
les mettra au courant.
liKPuT CENTRAL Belgique S. 1TOULGT efc O20, rus Impériale, i
Brusolles. DÉPOT GE NÉ RAL Eocteur Morales, a Madrid.
Yente en Gros: E. DELAMARE, 28, rue des Ghapelicrs, Brlxelt.es
(N° 9,904).
solera, comme nous, qspérant que le Très-Haid
vous placera parmi ses élus.
Adieu done, Joseph Mieroo, adieu, que la terre
vous soit légere.
On nous prie de publier la piéce suivanle.
dernier hommage rendu a la mémoire d'un
conciloyeri qui sut se rendre utile el sc
devouer a ses devoirs au mépris de sa vie.
Discours prononcé par Monsieur Delmotte.méde-
cin de la Sociótó philanthropique des Anciens
Frères d'Armes de l'Empire l'rangais, sur la
tombe du dernier de ses membres, Monsieur
Joseph-Franqois Mieroo, chevalier de l'Ordre
de la Légion d'Honneur, décoró de la médaille
de Stc-Hélène, lógataire de Sa Majestó l'Empe-
reur Napoléon I01', Sous-Lieutenant comman
dant" la compagnie des veterans du Corps des
Sapeurs-Pompiers d'Ypres, décoré de la mé
daille de 1® classe le 22 Octobre 1857, décédé a
Ypres le 27 Octobre 1877, a l'age de 89 ans.
Messieurs,
La terre entr'ouverte est préte il recevoir les
dépouilles mortelles d'un soldat du lcr Empire
francais, du dernier mernbre de la Société phi
lanthropique des Frères d'Armes de l'Empire,
établie ii Ypres, de cette belle Société, qui ótait
tant honorée et respectée de la ville entière.
Ayant rempli pendant un grand nombre d'annóes
les fonctions de médecin de cette Société, j'ai
cru ne pouvoir me soustraire ii la tache de rela-
ter a cette assistance sympaihique la belle car
rière du déf'unt,
Joseph-Francois Mieroo, né Ypres d'une
familie bourgeoise, le 16 Octobre 1788, fut con-
scrit de 1807 et recu sous les drapeaux le 12 Aoüt,
a Rennes en Bretagne, dans la 3e légion de réser
ve, lr bataillon, compagnie, légion qui, le
lr Janvier 1809, devint le 122e de ligne, dans
lequel il rentra a Versailles revenant d'Espagne,
ayant étó fait prisonnier de guerre, pays dans
lequel il avait passé les années 1807, 1808, 1809,
1810, 1011, 1812, 1813; en 1814 il lit partie de la
grande Armee. Parti conscrit, au bout de deux
ans il entra comme musicien au régiment, et en
1813 lut nommó musicien d'Etat-Major.
II n'est pas étonnant, Messieurs, que Joseph
Mieroo ait recu maintes blessures sur les champs
de bataille, alors que l'Espagne était en guerre
d'un bout du pays a l'autre, soutenue par des
armées anglaises qui vinrent engager des ba-
tailles rangées et des insurrections, en débar-
quant a l'improviste sur les cótes, soutenuos par
les fameux Guerillas; guerre .cruelle s'il en fut,
qui le plus souvent ne lit pas de grace aux pri-
sonniers: on les Ut mourir sur les pontons par
des privations et de mauvais traitements. Le 18
J uillet 1808, a peine dans le gouft're des batailles,
il recut trois blessures, l'une a la jambe droite,
l'autre a la jambe gauche, et une troisièmeala
machoire, qui lui ont laissó des cicatrices le res
tant de ses jours. Dans la célébre retraite de
Baylen, dans laquelle l'armée frarcaise fut déci-
mée et n'eut qu'ase rendre après une résistance
héroïque, minée par la dissenterie et la famine,
ce qui restait de ce corps d'armée fut fait prison
nier de guerre et conduit sur les pontons; Mieroo
fut du nombre et risqua son existence en se sau-
vant; il put se rendre a Burgos, oü il fut incorpo-
ré dans un bataillon isolé, recruté de divers
regiments. Comme journellement il y avait des
rencontrés avec l'eonemi, le 25 Mars 1809, il
resta de nouveau sur le champ de bataille, blessé
a la cuisse droite; il fut évacué de Burgos sur
BayonneBordeaux et Blaye; guériil rentra
dans son regiment, le 122° de ligne, et fut incor-
poré au registre matricide sous le N° 1396. II fut
aussitöt renvoyó en Espagne, le 21 Juillet 1810,
et eut le malheur d'etre blessé encore a la jambe
droite, dans la vallée de Boston, le 6 Juin 1811,
entre üoujuas et Torrequimada. 11 recut une
dernière blessure au bras gauche le 30 Juin 1814,
et fut renvoyó dans ses foyers avec un certiiicat
constatant sa belle conduite pendant tout le
temps qu'il avait óté sous les drapeaux, dans
une guerre gigantesque comme était celle d'a-
lors. Mieroo Joseph a eu le rare bonheur d'avoir
étó blessé tant de fois sur le champ de bataille,
et d'avoir pu sauver ses jours. Rentré dans ses
foyers, il devint bon citoyen et excellent père de
familie.
Un corps de Pompiers ayant été forme a Ypres
par le regretté Monsieur Henri Carton, bourg-
mestre d'alors, Mieroo y fut recu comme briga
dier le27 Septembre 1827; en 1840, le 27 Septem-
bre, il futnommé fourrier et par arrêté royal du
30 Décembre 1843, notre beau corps de Pompiers
le regut comme sous-lieutenant. Avancé en age,
de.venu incapable de pouvoir faire un service
actif, le 9 Avril 1858, il entra dans la section des
vétérans.
Tant de blessures et tant de campagnes méri-
taient, sans conteste, une récompense publique,
et Joseph Mieroo recut de l'Empereur Napoléon
III, la croix de la Légion d'Honneur. Sentant que
c'était. une récompense due, il la portait avec
tierté sur la poitrineet celaajuste titre/demêrne
que la croix de Ste-Hélène, qu'il avait reque com
me ses autres frères d'armes.
Si lefer et le feu peuvent ópargner la vie d'un
liomme, une cruelle maladie, elle, ne fait pas
grace; et il faut le dire, celle dont il a étó atteint
a la tin de ses jours, doit avoir été bien cruelle et
bien douloureuse pour lui. Ces douleurs, il les a
supportóes avec résignation et courage, tel qu'il
convient a un liomme énergique et a un vieux
brave.
Mieroo,vous êtes le dernier qui ètes resté dans
les ran'gs de vos anciens frères d'armes; allez les
trouver la-haut et continuez a les entretenir de
cette époque glorieuse, ce qui pour vous avait
tant de charmes. Si votre familie épïorée, n'a
plus la consolation do vous posséder, elle se con-
DEli
GELEGEN
genomen in de magazijnen.
lYiG^SCHE KOLEfii.
BANK I EK,
Ou éciit de Louvain, 80 Uclubre, ii I' Lruuixwr
CA.TIIOLIQUE
Ma dernièrecui.respuiidance oijs annougait que
S. M. le ltoi avail acuuidë a phisit urs prul'esseurs
de rUniversilé de Louvain des distinctions llalleii-
ses en élevant au grade de commandeur de l'ordre
de Leopold ill. Crauiux el en octroyant celui de
chevalier du mêutc ordre a MM. Lainy, Gilbert et
Mueller.
Les éludianls de Nulre Anna Maler tje poiivaieul
laisser passer celle occasion de lémoijjner a leurs
prolesseurs leur vive reconnaissance.
Aussi vendredi dernier de noinbreux éludianls
se réiin.ssaieiil aulour du local des fanfares pour ai-
Ier préseuterleursl'éucilatious a MAL Lamy el Cru-
iiinx. MalliBureiiseinent la ujori toule réeeule d'un
des membres de la lanuile de Al. Crauiux viuL em-
pêeher la realisation d'une partie de ia lèie a la
quelle nous clious eouv.és. Ce ne fut dune que
vers la dciueure de M. Lamy que le torloge se
dirigea. lhéeeiiés des fanfares qui faisaienl relen-
iii' u's airs de leurs juyeux accords el éelairés par
les la uiernes ehiuoise=, duin une partie des éiu
dia nis séiail inunie, nous arnvanies vers ueul heu
res el quail dans la cour dil collége Alarie-Thérèse
que ill. le rlianoiue Lamy dirige avec tant de solli-
cilude. La nu spectacle charmant nous atlendait.
De lo ij tos les fenêlrcs se projetaienl uiille Iiiuiiè-
ies qui, joinles a celle d'une baltcrie éieclrique et
de leux de Bengale. dissipaienl les ténèbres. Vous
décrire les acclamations qui s echappcrenl des jeu-
nes et vigoureuses poilriurs des éludianls, serail
cliosc inutile. Bimlól 31. le chlnoiue Lamy se
moutra et adressa a la foui.e des ëlèves de I univer-
sité quelques paroles de remerciments qu'il terini-
na d une liiQon cbarmaiite en nous disanl qu'il
vo'yait dans celle demonstration un gage de nos
propres snores, ear si ses efforts étaient ainsi re
compenses. cenx de ses élèves le servient aussi. Eu
eflVt, dit-il, mon plus grand désir el le désir de
l'Universilé est de voir les èves siirpasser leurs
in ai Ires.
Le ful aux sons de la Brabanconne que les élu
dianls qnillèrenl le collége el relournèrenl au lo
cal de la société qui avait bien voulu par son con
cours rr ba iisser celle dérri on si ral ion dei sentiments
J des élèves de 1'Alnia Maler.
On écrii de la même ville, 2 Novembre
Le chiffre des éludianls déja inscrils ponr sui-
vre les cours de celle année a l'Universitécalhulique,
dépasse oxze cents. La rentree dans les cours des
hrcullésde philosophic eldes sciences est très-forte,
ce qui accuse l'arrivóe d'un nombre considerable
de nouvelles rtcrues. II est a noler que le nombre
des élèves en théologie a diminué felle année de
60 a 70 par suile de la stipression des cours llléo-
logiques éiéinentaires qui se dounaient au Collége
du Sainl-Esprii. Sans celle circonstance la popula
tion universitaire serail dés a présent, c'est-a-dire
au commencenienl du second mois de la rentree-
de prés de douze cents éludianls. II est permis
de penser que le chiffi e de plus de treize cents qui
fiéquenlaient les cours de la fin de l'aunée acadé-
mique de 1877, sera celle année dépassé.
officier de police el une personue témoin s'em-
parèrenl de l'assassin et le eonduisirent au bureau
de police de la rue Blaes. Le témoin auquel nous
faisons allusion rappórte qu'an moment oh il s'ap-
próeha de De Braekeleer, celui-ci en se por-
lanl le premier coup s'est écrié: 'Tis nu al ne
genjaar... (Voiia déjii neuf ans...)
L'élai des cadavres montre que l'assassin élait
en proie a line veritable rage. Les coups onl dü
élre porlés d'une manière en quèlqne sorle fré-
nélique. La femme De Braekeleer ne porie pas
moms de sept blessures dont la inoindre élait
mortelle.
La femme Du Kempeneer est, comme nous
avons dil, mèrë de cin.q enfanls: le plus jeune esl
agé de quelques mois senlemenlSon mari esl en
proie a une douleui' navrante.
De Braekeleer est mort Dimanehe soir, a 6 heu
res, a l'hópilal Sainl-Pierre.
Nous avons om is de dire que l'assassmat a pei
ne accompli, M. Roslanls, vicaire de N-1)du la
Cliapelle, est accouru ponr don'hër aux viclimes
les dcruiers secuurs de la religion, mais il était
trop laid.
Les obséques de la femme De Kempeneer au-
runt lieu Mercredi matin, a 8 heures, en l'égiise
de Notre-Dame au Siblon, et celles de la femme de
Braekeleer dans la cliapelle du l'hópilal Saint-Pierre.
Un enfant de la femme De Kempeneer devait
recevoir hier Ie sacrement de Confirmation.
TE VLAMERTINGHE.
Du agenten van hel Peruviaansch Gouverne-
menl, voor den verkoop van Peru-Guano le
Duinkerken, maken in 'l belang der koopers en
bandelaars in Guano, dal: de lieer Temperville in
gernen deele bunnen agenl is, en dal bij bun in
geene plaats vertegenwoordigt.
Noch hein, noch iemand anders hebben zij op
gedragen voor hen le vei konpen.
Diegenen, welke van hunnen naam gebruik ma-
kan, om den vei koop le bewerkstelligen, verloo
chenen zij, op de grootst inogelijkslu wijze: zij
hebben aan niemand binnen hui: gebied, opdracht
gegeven hun huis le lepreseuteeren, en 'l aller
minst in Belgie, waar de agenten van Duinkerken
zich overigens, bij kontrakt, verbonden hebben,
niet te verkoopen.
Ook behoeven de koopers van Guano, aan deze
geruchten geen geloof le slaan daar dezelve
slechts op onwaarheden berusten. (10001).
do très-beaux
et de quelques
JEUNES O R M E S
4" A la ferme Schoonvelde, occupée
par Mad" veuve Taillieu-Soete
en
SV5vi?H33SrK2S*2072223X3521
O)
A
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U
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M
0
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recommandé et accréditê par plus de devx cents joiimatix. Une extraordinaire acceptation
par tonics les classes de la société.
CD
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b'-'
UI
0
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Q-
UI
Ce médieament guérit infailliblement foute sorte de douleur de tête, depuis la plus legére jusqu'a la
migraine la plus foi'te et la plus tenaee, les accidentsles congestions cerebrates, les parafysies, les
étourdissements, la faiblesse musculaire, nerveusc, générale ou locale, Les mau-caises digestions, les
vomissements, les aigreursle défaut d'appétit, les ardeurs, la fiaiuosité, l'excès cle bilel'histériela
constipation et autres bouleversements qui se prnduisent, dans l'appareil gasti'Q-intestinal; les déran-
gements menstruels, la chlorose, l'hydropisle,_ la diabete, les scrgfules, le rachitisme et toute autre
affection dont la cause est reconnue par l'altération ou la pauvreté du sang.
Son usage jourüalier évite les apoplexies et les congestions cérélwales. 11 est fonique, neurosto-
nique, salutaire par les maladies qu'il évite et une veritable 'panacee pour les maladies des enl'ants.
,De nombrenx eertifleats de particuliers, de médecins et de pbarmaciens, que j'ai a la disposition de
toutes les personnes qui voudront les examiner, font constater le succes obteim dans des maladies
qualiliées d'incurables et spnt la meilleure garantie des bons résultats de ce médieament.
On doit prévénir Te public, pour éviter des contrefagons, que lus boites de ce merveilleux j-umüd-i
portent la signature du Docleur MoraXès et la marque de fabrique.
Kn vente dans les principalespharmacies et drogaeries de Belgiquë, en boites pour 20 et 40 tnsses,
au prix de -I et. 7 francs rospuctivi-ineiit.