MOBILIER,
I L 1 E
CHAR60NS FOUR BRIQOETIERS,
IllSBl
I l-lj
CANAL LYS YPERLÉE.
OPEMTEJOOPEK,
TOUS LES OBJETS
ri(]t)u,
che, échevin, bourgmeslre, conseiller pro
vincial, représentant, minislre pendant de
longues années, minislre d'Etat, il avail fèté
les uns, rendu service aux aulres. proinis
beaucoup a tons. Peut èlre avail il hissè
protester quelques promesses!
- Qui trop embrasse mal étreint.
Chaigé d'honneurS, il jou issailsembla it-il
d'une poptilariic pen commune. Sur cel en
semble étonnant venait brocher tine grande
reputation de moderation, pen méritée
d'aprés nous, car quel mal a t-il empècbé, et
qu'est-elle devenue celte moderation ehez
rhomme qui, un des premiers, a inventé
l'école libérale obligatoire et préconise la
faim obligatoire?
En presence de cc candidal vraiment for
midable et que les callioliques n'avaient pas
combattu deux ans auparavant, se présentait
un honime nouveau. Esprit sérieux, homme
de talent cl de cceur, sans doute, mais peu
connu, ou qui du moins, d'aprés ses arnis, se
faisait trop peu connailre. Quel fut lerésul-
tat? M. Strnye dépassait la inajorilé absolue
et balancait Ie chitïre de voix oblenues par
son adversaire.
Avons-nous raison de dire que l'élection
de 1872 était une défaite pour Ie parli
liberal?
Quatre ans après, les mèmes hommes sont
en presence, Pun resle avec ce passé sur
lequel on le hisse comme une idole, l'autre
n'a ajouté a ses litres que le courage d'avoir
lutté en 1872.
Seulement M. Vandenpeereboom est seul
candidal liberal; le parli n'ose plus produire
de lisle compléte, il est réduit aux expe
dients.
On n'a pas oublié Tissue de cette lutte.
Cmquanle voix de majorité en faveur du
candidal catholique out prouvè que la supré-
matie de la coterie était linie, et que la ty-
rannie libérale avait vécu.
Oui, le libéralisme est jugé dans nos con-
trées.
S'il n'en était pas ainsi,n'aurions nous pas
vu, lors de l'une ou l'autre election, surgir
la candidature de M. Henri Carton, feu notre
commissaire d'arrondissement. Malgré toute
sa puissance et la grande influence donl il se
largue, jamais il n'a osé affronter la lui te,
mème a ce moment propice qui suivit sa
misea la retraite: moment rendu nalurel-
lemenl plus favorable par la sympathie qui
s'altache plus volontiers aux vicliines ou a
ceux qui se prétendent tels.
II est vrai qu'en juillet 1871 on se iron-
vaitsous le coup des horreurs de la Commu
ne de Paris et du massacre des otages. Le
f'rogrès avouail alors que le parli liberal
s'abstenaita cause du discredit que ces hor
reurs avaient jelé sur ses partisans.
Dans eet aveu naïf, clépouillé d'artifice,
Progrês, mon bel ami, vous vous rendiez justice.
Les temps étaienl mativais alors, mais de-
puis? Jamais on n'a vu le vice-président de
la Fédération libérale, le président de l'Asso-
cialiori libérale d'Ypres, le Fils a Papa, Henri
Carton enfin, expritner méme la velléiléde
se présenter au corps electoral qu'il prélend
dominer.
Nous doulons graridement que M. Alphon-
se Vandenpeereboom soit candidat liberal au
mois de juin procbain.
Les motifs que nous venons de rclever
semblent assez probanls, mais il y en a d'au-
tres.
M. Vandenpeereboom, donl les opinions
modérées, concilianles, sont tunt vanfóes,
répond-i 1 aux visées libérales du jour? A t-il,
comme le parti lui-mème, fait cette evolu
tion profonde qui l'a merié auxconfiosdu
radicalisme, tout'prèt a s'effondrer dans eet
abime?
La question a été posée au Progrèsqui
n'a pas daigné rrpondre. Nous pourrions
peul-ètre lui dire: qui ne dit mol consent cl
inferer de son silence que le bonhomme de
ces derniers temps est définilivenient con-
verli aux opinions avancées de l'organe libe
ral yprois, qu'en uri mol M. Alpbon.se se
nomine, avec plus de justice que jamais, le
faux bonhomme.
La conclusion nous semble hasardée.
II a fait un grand pas. il est vrai, en sou-
tenant la tyrannie des Bureaux de bienfai-
sance, abusanl de leuis ressources pour
obliger, au mépris de tous droits, les péres
de familie d'envoyer leurs enfantsaux écoles
mauvaises, indifférenles ou atbées.
Nous ne croyons pas cependant que M.
Vandenpeereboom fasse volontiers litiére de
son passé, renie absolument son education
chrétienne el fuuleaux pieds, de gajtó de
cceur, les sentiments picux de ses ancétres.
Non, il ne lui est pas possible d'accepler des
principes qui aboulissenl a ce denouement
effrayaiil et fatal d'une sociélé en ruines, sans
guide, sans Dieu, livee a tous les caprices
de l'opiuion, a tous les bouleversemeuls
d'une populace lyrannique el l'eroce.
Ou n'en est plus aux modérés ui aux doc
trinaires. Entre le catbolicisme el la libre-
pensee pas de milieu; le liberalisme est la
libre-pensée ou il n'est rien.
Ces affirmations brutales s'étalent partout;
el les sont comprises dans ies programmes
actuels du iibéralishie. Le passé de M. Van
denpeereboom ne lui permei pas d'etre libre-
penseur sans décboir a ses propres yeux et
sans pertire I'eslime ile ses véritables amis.
Voila pounpioi M. Vandenpeereboom ne
peul ètre, d'aprés nous, candidal liberal aux
elections proohaines.
Que si les libéraux yprois décidenl de le
porter, ils ne pourronl en tirer aucun bene
fice; ils auront achevé de l'amoindrir.
Leurs agissements et leur evolution anli-
chrétienne ont defiiiilivemcnt écarté de leur
candidat, quel qu'il soit, les rares élecleurs
modérés qui donnaient autrefois leur vote a
M. Vaiideripeereboom par sympathie person
nels.
Dans nos contrées, oü la foi chrétienne a
des iacines si profuiides, le succès de M. Van
denpeereboom est absolument impossible.
Cel homme ne peul empêcher aucun mal ni
assurer aucun bien.
UN CANDIDAT.
Nous trouvons dans le Journal de Bruges
un extrail de Ylndêpendance que nous nous
etnpressons de meilresous les yeux de nos
lecleurs. Ils éprouveroiil quelques moments
de douce gaiié.
Voici:
«Plusieurs jotrnaux out annoncé que le
candidat des libéraux pour le sénateur a
élire par les arrondissemenls de Furnes et
d'Ostende était M. le chevalier de Sitiers.
La nouvelle est exacte, el nous pon vuns
ajouter que l'éleclion de M. de Stuers est,
pour ainsi dire, certaine.
M. Léon de Stuers a eté pendant un cer-
tain temps commissaire de l'arrondisse-
ment d'Ypres, et, par la. il se trouve au
courant de l'admiuislratiou provinciale.
C'ast un liomme lort instruit, d'une haute
intelligence el très-bien apparenlé. II est
allié a la familie Van Zuylen van Nyevelt,
donl l'intluence est preponderant dans
l'arrondissem. nt de Funics.
II est bon de rappeler que, en 1875, M.
Dubus, qui n'a fait au Sénat que de rares
apparitions el qu'on n'y a pas apercu, cette
année, ne l'a einporle sur sou concurrent,
M. Behaeghel, que de quinze voix. Et en-
core, eet ecart n'ètail-il dü qu'a l'abslen-
lion de quelques libéraux d'Ostende, qui
trouvèreiit bon de sacrificr leurs principes
a de mesquines rancunes. Ces voix seroul,
on nous l'assure, facilement reconq uses.
Tout Ian done prévoir que le sénateur de
b Furnes Ostende sera un sénateur liberal.
La nomination de M. de Stuers est, pour
ainsi direcertaine.
Le coirectif nous semble prudent. II ne
faut jamais vendre la peau de 1'ours avant
del'avoir mis par terre, a dit un vieux pro-
verbe. Les nou velles que nous recevons d'Os
tende. el de Furnes font prévoir, pour M. le
chevalier de Stuers, toule autre chose qu'un
succes.
Les hommes influents du parti libéral a
Furnes ont disparu dans ces derniers temps,
el le reviremenl ipn s'est opéré dans ('arron
dissement d'Ostende est considerable. Trop
lanlaisisles les calculs de I'dépendance!
Son article, du reste, est bien fait pour
poser son candidal.
M. Ferdinand de Stuers commissaire
(f arrondissement a Yfires!!! On se sou vient
que ce diplomate en non aclivité fut aspirant
a ce poste; qu'il se présenta comme culholi-
gue au ministère d'Anetban el que, n'ayant
|ias réussi, il raconla sa inésaventure aux
quatre vents du ciel, obienant parlout un
succès complet.
On en ril encore aujourd'hui.
MFerdinand de Sitters un ho mme
fori tnslruil el d'une haute intelligence! b
Si ses connaissances doivent ètre mesurées
a la durée de son passage an commissariat
dVpres, cbacun peul les apprécier sans
peine.
En.voyé au Conseil provincial comme libé
ral, ce qui prouvc une grande stabilné
dans ses opinions, il a pris place a cóté de
ce collégue qui rangeait la laxe sur les chiens
aux riombre des colisalions personnelles.
11. le chevalier a été attaché de legation,
un pen secrétaire, diplomate enfin.,., en
herbe. II a rapporlé de cette carrière bon
nombre de pelits rubans dont la variété
semble ètre I'nriage de ses opinions ondoyan-
les et diverses.
C'est lout.
FAITS DIVERS.
Un grand incendie a éclaté hier soil* dans les
magasinsde toiles et couvertures de laine de
MM. Bauff'e et Yanswae, rue d'Arenberg, a Bru
xelles. A minuit, les Hammes s'élevaient a une
liauteur telle que de la caserne du Petit-Chateau
on voyait le ciel qui paraissait embrasé. Le feu
était tellement intense que le magasin qui ren-
l'ermait pour 300,000 francs de marchandises, a été
entièrement brulé. Les pompiers, rapidement
arrivés sur le lieu du sinistre, ont eu beaucoup
de peine a préserver les maisons voisines. Les
magasins de MM. Bauft'e et Vanswae torment un
corps de logis séparé du reste de ia maison ils
out une profondeur (1e 27 Metres.
Trop de Zèle. La police de St-Gilles
montre beaucoup de zèle en toute occasion, mais
du zèle pas trop n'en faitil est des cas, comme
celui que nous allons relater, oü le zèle devient
uue grosse faute. Voici le cas
Nous avons annoncé la semaine dernière l'ar-
restation a la gare du midi, d'un jeune homme
demandant d'un air empressè l'lieure du train de
Paris. Les soupcons des agents de St-Gilles ayant
été éveillés par suite de ses allures embarras-
sées.le jeune homme fut invité a passer malgré
ses protestations, au commissariat de police de
cette commune pour s'e.xpliquer la une somme
importante avait été saisie sur lui.
Ce jeune homme, que des affaires urgentes
appelaient a Paris, fut arrèté a la suite de ces
constations, après avoir été traité et fouillé com
me le dernier des voleurs.
Bien qu'il eüt un appartement en ville, car il
liabitait Braxelles depuis 2 mois, il fut maintenu
pendant 6 jours aux Petits-Garmes.
Enfin le 7mo jour, des renseignements ayant été
envoyés de Paris, et prouvant a la dernière
évidence que la sornme saisie appartenait réello-
ment au prévenu, on voulut bien relacher celui-
ci, mais sous caution.
La police s'était bel et bien trompée
Le prétendu voleur est un parfait honnête
homme, il n'en est pas moins resté plusieurs
jours en prisons, paree qu'il avait eu le malheur
de partir pour Paris ayant plusieurs milliers de
francs sur lui.
Ce qui est plus fort, c'est que malgré tous ces
désagréments il passera au tribunal correctionel.
En effetlorsque la police a voulu l'arrèter sans
aucun motif, le jeune Francais a refuse, pressé
par ses affaires, d'accompagner les agents en
bourgeois qui voulaient l'arrèter, et une discus
sion s'ensuivit.
De la prévention d'outrages a la police.
L'aff'aire viendra probablement devant le tri
bunal corectionnel.
En attendant le héros de cette aventure est
forcé de rester a Bruxelles, a la disposition de la
police. Courrier de Bruxelles)
BIBLIOGRAPHIE.
Elcntgiécniic.
(10,50 frs. franco par an).
SOMJIALRE du N°. 26.
Gravures Une École dans le Finistère,
M. A. Guitlou. Un Cimetière, d'aprés M. B.
Brozik. Charles Daubigny. Port-Maurice,
cl'après une photographic. Les Figuiers des
Indes.
Texte. Nos Gravures. Chronique Litté
raire (CEuvres diverses par Einile Augier). Les
Alois, envisages au point de vue Gastronomico-
humoristique. Mai. Dans les Pyrenees. Im
pressions et Souvenirs d'un Touriste beige.
Le Crime de Tolumont, parunMagistratliégeois.
'l'rois Vautours pour urie Colombe, Roman.
Rébus No. 7.
BURGERSTAND VAN YPEREN,
van den 26 April tot den 3 Mei 1878.
geboorten.
Mannelijk geslacht 4. Vrouwelijk id. 2.
Debruyne, Leopoldus, timmerman en Mars-
meyerVirginia kantwerkster. Wenes
Eugenius, schoenmaker en Debreu, Maria, zon
der beroep. Reynhout, Florimondus, hoefsmid
en De Gendt, Alina, kantwerkster. Cardoen,
Theodorasrondleurder en MarselooMaria,
kantwerkster. Cardoen, Fredericus, dagloo-
ner en HeemeryckHerminadienstmeid.
Biomme Henricusbakker eu Joos, Alaria,
zonder beroep. Vanderheyde, Renatus, brou
wer en Parret, Sidonia, zonder beroep.
Hullaert, Josepbus, 71 jaren, zonder beroep,
ongehuwd, Dixmudestraat. Deturck, Joanna,
84 jaren, zonder beroepongehuwdSt-Jans-
liospitaalstraat. Clement, Joanna, 69jaren,
zonder beroep, ongehuwd, Bollingstraat. De-
xvaegemaecker, Joanna, 54 jaren, winkelierster,
echtgenoote van Edouardus Vangeiuwe, Tichel
straat. Lauwers, Regiaa, 90 jaren, zonder
beroep, ongehuwd, Rijsselstraat. Denorme,
Pelagia, 36 jaren, zonder beroep, echtgenoote
van Carolus Carton, St-Jacobs nevens Yperen.
Kinderen beneden de 7 jaren.
Mannelijk geslacht 2. Vrouwelijk id. 0.
HOMÜlELfflARKT.
POPERINGHE, 29 Maart. fr. 00,00 a 00,00 de
50 kilogr.
S'JGH13rJ RSARXTEM.
VEURNE, 24 April, fr. 22,00 tot 25,00. 1
Mei. fr. 22,00 tot 25,00 de i45 liters.
BERGEN (Frankrijk). 22 April. fr. 16,66
29 April. fr. 16.98.
Jeune demoiselleIncn élevée el bien
insB'uite, désire place de gouvernante prés
Monsieur seul. S'adresser init. A. M. Bureau
du Journal.
PBEMIÈRE QUALITÉ,
il i'r. Se uaiiüle kil.
chez E, Peirseqaele, a Ypres
Si 7 K
2 3. f r
r Is
Si
S!
4
H
o
z
S*-
2 I I g I I I
I I I I
I I I I II
g I 1 I I I
I I I I I I
1 g§ I I
2 1 I2|
I I I M
21 I
I M I *2
z Pr
gLo!
w
B 1
S cS
v—
■s i
I I I I I 2
111(11
I 21 I II
IIMII
i g il
Ml I
g II II I
Sp
Sr
'^|o=
c/1 5" os
2
II M M
>S:
Il M I!
(MIMI
I I
I I
I I I
I II I II
g II II II
o
z 2
2 I
I l
£2 s.g
g I 1 2 I I
r- S
MM. les actionnaires sont convoqucs
en assemblee générale extraordinaire
pour Lundi 13 Mai procbain, deux
lieu res de relevéc. N° 15, rue Duques-
noy, a Bruxelles, a 1'elTet de statuer
Sur la creation du capital complé
mentaire pour achever le canal,
Sur l'assimiliation des deux caté:
gories d'actions privilégiées et les mo
difications statuaires qui en décou-
leront
Et compléter l'administration.
AU N0M DU CONSEIL
T0USSAINT, Dr.
Etude de
M"e LANNOY, N0TA1RE
A CoMINES.
A. LUNDI C MAI 1878,
a 2 heures de relevée. darts une salie
(au 1') de l'estaminet le Chat, a Co-
mines,
lente piililiqaic
d'un trés beau
consisiant en: Ameublemenls de salon
en velours rouge, Cadres, Glacés, Fau
teuils, Canapés, Tables de nuit, Lava
bos, Coflrefort, Cliiffonnière, Armoire
a glace, Secrétaire, Bois de li is, Res
sorts, Matelals, Lits de plumes, Tabou
rets, U rei Hers, Draps de lit, Couver
tures et Courtepointcs.
B. Par le Ministère de mo vïcïobr,
Notaire a YVarnêton,
JEUDi 9 MAI 1878, a 4 heures de
rclevée, au cabaret Beun, a NVarnéton,
A«5jgï(£iir» Ji«Ea
DE
.WABNETON, Section C.
1° Un heet. 35 ares 80 cent. de Ter-
re, Nn Tl, 4 Rois.
Mise-d-prix 1,000 fr.
2° Un licet. 14 ares 66 cent. de Ter-
re, N°707 a et b. (Bourgeoisie).
Mise-d-prix 7,800 fr.
3° 52 ares 92 cent, de Terre N° 697a
(Bourgeoisie).
Mise-d-prix 4,150 fr.
4° 22 ares 41 cent. de Terre, N° 701,
(Bourgeoisie).
Mise-d-prix 1,000 fr.
5° Un heet. 15 ares 10 cent, Pat ure.
N05 355 et 373, (Ville).
Mise-d-prix 9,400 fr.
ONROERENDE
■raag
«p EPasscïaencS&eSe.
Mo«a*sfle«ie es» CnlaeSaBvelt^
De Notaris CHRiSTiAEfJ zal by Instel
op Donderdag 9 Mei 1878, ter lierberg
van sieur Dul/ioy en Overslag op den
23 derzelfde maend, ter herberg van
sieur Leo Dochy, te Passchendaelc, in
liet dorp, telkens ten 2 ure namiddag,
verkoopen de volgende goederen, ge
legen op
Pas.se/ienda-ele en Moorslede.
A. Den schoonen en prachtigen
EIGENDOM, «Poteghems goed», be-
staende in 1° eene Hotstede groot IL
19-21-90, gebruikt by de we Vcrsavel,
mits fr. 2,178.» 2° li. 3-97-70 loo-
pendo Land, door dezelve en andere,
mits fr. 450.» al by de.jare, tot Oct.
1880, en 3" H. 26-43-90 Eiken Boom-
en Sparrebosschen van goeden op
brengst.
Moorslede
niet verre noord van het dorp.
B. Twee HOFSTEDEKENS, groot
in erf li. 3-56-70, gebruikt by D Cruyt
en Dejonghemits fr. 403.» by de iare,
tot Oct, 1880.
Gheluvelt
noord by de kerk.
C. Kenen schoonen EIGENDOM,
zynde 3 Hofsteden, groot H. 36-74 88,
gebruikt door BuseyneVandelannoitc
ert Darnez, ten gezamentlyken pryze
van tr. 4,335.» by de jare, met pacht
tot Oct. 1880 en Buseyne tot Oct, 1884.
Al by plakschrift verdeeld in 65
koopert.
De voorwaerden by gezegden Nota
ris CllIllSTlAEN, te Passchendaele.
A ï'jasssc; cSe «Sécès.
Le Notaire DUHIEU, de residence a
Yjires, vendra publiquement le LUNDI
27 M \I 1878 etjourssuivants.a 9 heu
res du matin,
qui garnissent les magasins de feu
M. Antony-Van Boeckxsel.
Ces objets, tels que pendules.vases,
quinquetslampes d'eglise, lustres,
objets religieux, articles de bijouterie
et maroquineric, nécessaires de voya
ge et de toilette, jouets d'enfants, etc,,
se distinguent par leur beauté et se
recoinmandent a fattention de tous
les amateurs.
Les objets seront visibics plusieurs
jours ayant la ven te et des catalogues
détaillés seront envoyés aux person
nels qui en feront la demande.
Etude du Notaire coleks, a Bruges.
POUR CAUSE DE DÉCÈS.
VENTE PUBLIQUE
d'un très-beau
Ai'gcult'pie lilijotiteric
LÏVRES
PLAHTES, FLEURS ET V!NS,
en la maison de campagne dernière-
ment liabitée par Mad" Anne Berney,
veuve de Mr Jean Gilliodts, située a
St. A.ndr^-lez-Bruges
prés de l'Eglise, ie long de la citaussée
de Bruges a Gliistellcs,
Le LUNDI 13 MAI 1878, a 10 heures
du matin eta 2 heures de relevée,
Et les deux jours suivants, a 2 heu
res de relevée.
Pour le détail et l'ordre de la vente
voir les affiches.
Ce mobilier pourra ètre examiné
les Jcudi et Vendredi, 9 et 10 Mai, de
9 heures du matin a 5 heures de re
levée.
Au complant avec augmentation
de 10 °/o pour tous frais
ON S'ABONNE AU BUREAU DU JOURNAL.
HUWELIJKEN.
STERFGEVALLEN.
T^S23iHiïïKUGlt£ELaHn
yy O —t
NS—
- 2 a ra
3
C C O 7- -
O
r-,
lO -»• KS
ND lO I tsi»
P- --
OQ
IG 0
-1
o o
CO w o
-*■ ND
25 pc
0-q
ÏG rf
- I
a O O o O
O O O o O
c_
N3
CO NO O
-I O
IG 00
KB
I M SS
K*- rrj
I
3-
(5 O O O
Ci O O O
v| O O O
c Oi O- c.
O O O NO O o
O O o CC o o
O O CO NS O O
O O O OC O O
?r
NS NO NO NO I NS
C. CO "3 I C:
NS M) I CO I CO
I O I IG
NS
NS °S'
CO PC
M w 1
ét
c; p
<OC - 03-
- O
O)
nD
O
NS NS NS CO
OC IO CO
t>S NS NS CO
C- 05
c=:
3 C
S v
P
I «2
O N
*3 S
O)
O O
O
NS NS NS CO
<JJ w'. U tc lO
O
O
ns cd rr
>-2
4 M
P- p-
O
O c
NS
00 co I O I cï
NS NS
CD
NS
-*■ NS NS NS NS CO
NS C- C. C. tO CO
Cjq
CO
N3
Os
oj f:
cjq pc
F.
GO
O
a s-.
Cv O O