ZAAILANDEN, Defin itieve Toewijzi ng, IMM-MlUMIlfi m PROVEN, a Nous voulons arracher des dmesal'E- se, ajoutez vous encore, Mais Dien nons en garde! Notre veen le plus ardent est an contraire de voir entrer an Ciel le plus de nies possible et nous reconnaissons que c'est la l'affaire du Clergé. Que voulez vous de plus? Nous voulons de plus, Gens du Proyrès, que les Ecoles soienl réellement chrétiennes el non anli-callioliques. Mors de l'époque electorale, vous avez dit vingt foisqu'anli- catholiqueselles doivent être.Nous voulons de plus que vous rie calomniiez pas atrocenient nos éeoles chrétiennes. ['our voire chailiinent nous vous citons encore: o Quellessont les éeoles oü les inslitulcuTS n'ont aucune inoralitè? C'est la oü les réguliers el les irréguliers de n'irnporle quel ordre, (lisez: Prêtres et Religieux) adversaires par serment de Ia paternilé et de Ia familie. e.\posent les enfants a des abominations scandaleuses, nées de leurs cerveaux malsains. On lesconnail ces Ecoles! Ce ne sont pas les Ecoles laïques. Oü sont les Ecoles oü Pon n'instruit pas? Giles sont la oü Pon a peur d'inslruire, paree (|ue Pon sail que Tinstruction eest la mort, que répandre la science c'est Ie sui- cide. Ce nc sont pas les Ecoles laïques. Oü sont les Ecoles sans métbode péda- gogiqne? Elles sont la oü toute Pinstrnc- x lion consiste a effrayer des enfants par les b menaces ridicules (lisez: de Venfer et du v purgatoire) a fausser Pinlelligence par des idéés absurdes (lisez les dogmes et les b my stères de la religion) qui révollent le simple bon sens. Ce ne sont pas les Ecoles laïques. ÉLECTEÜRS, Eb bien, oui, c'est la noire plus grand effroi de voir gériéraliser l'Ecole laïque et obligatoire, conlre-pied de nos Ecoles chré tiennes Notre effroi, c'est de ne plus voir a la vil'eel a la campagne et par tout le pays, que des Universités laïques, des Colléges laïques, des Pensionnals laïques et des Ecoles laïques obligatoires pour fl 1 les et garcons, a tons les degrés. El eet article dn Programme, ni vous ni personne ayant voix au chapitre liberal, ne le niera. C'est vous, Progrès, organedu Parti libe ral vprois, qui disiez, il y a un mois a peine, le 25 Avril 1878: Ecoutez, Electeurs, Nous n'aiinons pas les programmes. b Aux longs programmes dont chaque point est discntable et discuté, nous préfé- b rons une formule courte et bonne (gdi b cuntifiit en ge nu e toiiteüi les réfoMiics el nous n'en voyons pas de meilleure que eellequi consign (ernil ii i'aiiiei* tout.es les nuances dn Ulkéralisiiie. Celte formule se résumé ainsi: fn- slriiclioii oblipdoirc. Indépendance du pouvoir civil. Abolition des common (Armée, garde eivique, jury). II nous est mème avis que Se pre- mier point sirflirait, el nous met- tons en fait que dix ans après qu'il aurait été introduit dans nos lois, ou se trouverait b en présence d'une peuple émancipé (lisez ayant rompu complétement avec le catho- licisme). b La ha ine. du parti clerical contre IVnset- gnement laïque dit asscz que c'est la son b talon d'Acbille, son cölé vulnerable, Icdé- b faul de la cuirasse. Oui, c'est en elTet eet enseignement laïque, que nous vous a vous laissé définir vous-inème plus baut, qui est l'ennemi de notre foi, de nos mceurs, de la civilisation el de la vie chrétiennes. Esl-il done si difficile, ajoulnit Ie Progrès, de commencer par le commencement el pourquoi vouloir loujours écorcher par la queue l'anguille cléricale ÉLECTEÜRS, Vous voila düment averiis. Vous n'ignorcz pas d'ailleurs que M. H. Carton est le Vice- Présiderit de la Fédération de toutes les Asso ciations libérales le Président de l'Assacia- tion liberal d'Ypres; pas plus que vous n'igno- rez le rapport dndit Carton avec le Progrès cl les rapports intimes de M. Hynderick avec led it Carton! L'Obligatoire du resle sévit déja avec des intensilés variables a Ypres, centre fonction- naires, employés, fourmsseurs, lenanciers el pauvres, qui reinvent des Administrations libérales. Et le moniteur de toutes ces Admi nistrations, a l'occasion des mesures iniques et inhuinaines du Bureau de Bienfaisance d'Oslende, a acclamé a pleine voix l'obliga- toire brutale et totale Tout secours sera refuse désormais aux parents dont les enfants ne fréquentcraienl pas les Eco'es communales, ou fréqüente- b raient d'autres Ecoles que les Ecoles com munales. (Les ilaliques sont du Progrès.) Ccffe decision fait iion- iiriir aux ineiufires <iu l»u- reaia de hicnfaisaiice d'SJs- teude. ÉLECTEÜRS, Après tout cela, a pics epic vous avez sous les yeux l'aveu de ce sinistre complot contrc Dien, contre l'Eglise, contre l'Enseignement ch réi iet)contre les dogmes, contre les con ditions d'existence du Clergé et des Commu- nautés religieuses, contre toute Paction socia'e el injividuelle de l'Eglise, contre lont ceque nous avons de plus préeieux, l'avenir chrétten de nos enfants, de nos families, de 'a Patrie et de la Sociélé, vous élonnerez- vous que le Clergé avec les Fidéles, en un mot, le Peuple chrétien tout entier, résiste et se défende? Non, voire conseience et voire bon sens crient a la fois: cc C'est 1c devoir ihi Cirrgé rt c'est Se nota e. Aussi, Electeurs de bon sens et de bonne foi, lous vous voterez pour LE BARON SÜRMONT DE VOLSBERGHE. LE DANGER SOCIAL. ÉLECTEÜRS, Aux lueurs siuistres des coups de feu lirés adeux reprises, en trois semaines, sur l'Em- pereur d'Allemagne par les socialistes alle- mands, ouvrez les yeux. Si, I Empereur tué, les socialistes ne se croyaienl en mesure de serendie mailres de la situation, pourquoi chereheraient-ils ai assassiner Guillaume le Viclorieux? ELECTEÜRS, Souvenez-vous du langage que tint un des chefs du socialisme aliemand, au Congrès socialiste de Garni, qui eul lieu en Septembre dernier. Liebknecht disail Ueureusementen même temps que Bis- b march nous poursuit, il poursuit aussi les x Ultramontains ET AINSI IL TRAVAILLE x POÜR NOÜS. LES ULTRAMONTAINS NOUS DISPU- TA I ENT AVEC A VANTAGE L'ESPRIT DES x PEUPLES: le Chancelier lui-même nous clé- x livre de eet ennemi. x Ainsi on voit lerésultat: en 1872, nous x oblenons 140,000 voix: en 1877, APRÈS x QUATRE ANS DE LUTTE CIVILISATRICË CONTRE L'ULTRAMONTANISME, nous en recueillons 600,000.... x Electeurs, qui avez quelque chose a per- dre, évitez la hitte civilisatrice et ses conse quences en Belgique... Progrès et lessiens, suscitent les convoitises contre les biens affectés aux Commnnautés religieuses, décliainent le inonslre. Les biens de ces Commnnautés servent d'Ecoles, d Hos pices, de Refuges. d'Asiles aux enfants el aux infirmes du peuple. SI vous faitcs perdre au peuple le respect de cette propriélé et le sentiment de justice, comment respectera t-il vos biens, vos richesses? Libéraux, de quel ceil verra-l il votre luxe, voire avarice et le reste?... Tremblons alors, car vous anrez atliré vous-inème Ia foudre sur vos (êles autant que sur les nólres.... Aprés la propriété des moines, la propriété des riches et des bour geois. Ce sera plus que logique, ce sera inévi- table.., M. Van Humbeeek lui-méme, Président de l'Association libérale de Bruxelles, ne s'é- criait il pas en présence de la candidature socialiste dejanson, le dernier représentant élu a Bruxelles: que par l'électiou de M. Jansori il considérerail la barrière comme ÉLECTEÜRS, II n'y a que le Cotholicisme, il n'y a que l'Eglise pour résister au Socialisme. Encore une fois, vous voterez. contre le Socialisme, pour le candidal catholique LE BARON SÜRMONT DE VOLSBERGHE. ELECTEÜRS, Souvrnrz vous que eoux qui, contme ie MONSIEUR SÜRMONT, ADMINISTRATEUR PROVINCIAL, ET LES MENSONGES DU PROGRÈS. Pour le Progrès M. Surmont n'a jamais rien fajt de bon. S'agit-il de la voirie Ce service est désorganisé depuis qu'il est tombé dans ses attributions. Or, l'organisalion du service de la voirie date de 1871, avant que M. Surmont soit entré a la Deputation permanente. Les frais d'entretien out augments beau- coup - Cela prouve, Progrès, que nos routes sont très-fréquentées par suite dc l'aügmentation du roülage. Preuve depros- p érité. L'accusation rappélle le fameux adage S'il tombe do la neigo C'est la faute a Wasseige, S'il a rrive un malheur C'est la tante a Moncheur, Rt chaque retard Est la t'aute a Bernard. Progrès, rnon compère, vos accusations sont tout aussi ineptes. S'agit-il de Batiments d'école, ils sont trop petits, comme si Al. Surmont en avait fait les plans. 11 serait assez curieux de faire le relevé des batiments d'école construits sous i'nd- ministration du haut et puissant cornmis- saire Henri Carton, et de connallre quels sont les locaux trop exigus aujourd'hui Nous gageons que laréputation administra tive de M. Henri Carton recevrait un sinsru- lier aceroc. Le Progrès parle des fonds d'agriculture et de l'intruduction de reproducteurs Durham, comme un aveugle des couleurs. Ici le mensonge est flagrant. M. Surmont a signalé l'abus qu'on faisait d'une disposi tion réglementaire: onallouait une indein- nité double pour les maladies cliarbonneu- ses. Tous les rapports sont imprimés; on y verra comment cette matière si difficile est traitée. En fait d'introduction de la race de Du rham, M. Surmont sen est montré l'ad- versaire convaincu et le premier il a de- mandé Tintroduetion de reproducteurs de la race de Cassel. Les discussions du Conseil provincial le prouvent. Si depuis trois ans il n'a pas été impor- lé d'animaux d'Agleterre, la raison en est que la stomatite aphteuse régnaït dans ce pays, et aussi que l'adininistration provin cial refusait de ceder devant des exigences peu justifiées de l'Etat. Le Progrès introduirait des animaux ma- lades dans le pays el les exposerait en venle publique Cela nous parait trés fort si le Progrès désire quelques renseignements sur la der- nière veute tenue il Bruges, ii pourra com- missionner. son petit protégé, qui confond la taxe sur les chiens avec les impositions persoiinelles. Toutes les critiques du Pro grès sont au niveau de cette haute intelli gence. Enfin la slation agronomique de Rou- Iers, excellente institution si elle avait été bien orgauisée. Malheureusement elle tomba entre les mains de ce pauvre M. Surmont et ce fut assez pour tenrayer, 11 écrit: enrayer. Voyons les chiffres et le nombre des ana lyses. Rien n'est moins enrayé que le mouve ment qu'ils accusent. Nous les extrayons des rapports officiels: Nombre total d'échanlillons 145 229 Echantillons de guanos 44 127 Tourteaux 20 27 Nitrate de soude 14 32 Voilii la preuve de la decadence et de la désorganisation. En 1878, le nombre d'échanlillons sera supérieur encore. Si le Progrès ne manque pas d'aplomb, on peut dire que la vérocité lui fail défaut, mais absolument. Notons que toutes les demandes d'analy- ses proviennent d'agriculteurs. Le Progrès cherclie ii donner le change au moyen d'un marchand d'Anvers, qui vint faire analyser trois échantillons a Rou ters. L'argument est digne du Progrès. Le laboratoire de Roulers est une institution provinciale créée dans Tintérêt de l'agri- culture et des cultivateurs et laquelle un règlement interdit toute relation avec les marebands et fabricants. C'est un gage donné a l'agriculture de la sincérité et tlu désintéressement des opérations. Cette institution renÜ d'iminenses servi ces et ne coüte qu'une somme minime i la caisse provinciale. M. Surmont préside le comité de sur veillance. Les chiffres cités plus haut prou vent combien sa cooperation a été utile a eet établissement. Monsieur Surmont loin de laisser les ser vices provinciaux se désorganiser, a cou- tribué a Tadoption d'une foule de mesures utiles cl pratiques. L'emprunt provincial, qui est son oeuvre, sera un de ses meilleurs titres ii l'estime de sescoilègues auSénat. Cette operation qui n'a coüté que 5,000 francs de frais. rend un immense service ii une foule d'admi- nistrations communales sans obérer ies finances de la Drovince. Voilk notre avis, qui est partagé du reste par les collégues de M. Surmont au Conseil provincial. Le Progrès et son frétillant Conseiller l'apprécient autrement. II est ii remarquer toutefois que ce journal combat plutöt le candidal que l'administrateur. Mais l'admi- nistrateur doit être sérieux pour ne rencon- trer dans les colonnes du Progrès que des attaques tout juste aussi ineptes que nom- breuses. Le corps electoral du reste donnera mardi sou avis. M. II. CARTON, M. SURMONT ET LA PRESSION ADMINISTRATIVE. Le Progrès parle de pression administra tive! Le Progrès a la mémoire trop courle. Feu M. le Commissaire libéral de l'arron- dissement d'\pres, II. Carton, élait uil vrai modèle, un type parfait des sous'préfels ii poigne. Qui ne se rappelle qu'k chaque élection il réunissait, noii-seulement les Bourgmes- tres et Echevins, mais les Conseils coinniu- naux au grand complet, les secrétaires et les gardes-champêtres mêmcs étaient de la partie. Le Journal cl'Ypres a publié, il y a quel ques mois, dos lettres émanees de ce haut personnage. II en publiera encore et pour qu'on reconnaisse l'écriture, la reproduc tion en sera faite en photographie. On pourra juger alors, en pleine connaissance, de la pression administrative exercée... au trefois. La colère égare le Progrès; elle est mau- vaise conseillère. M. Carton qui se plaint dc pression ad ministrative! Ob! la! la! 11 n'existe dans toute la carrière administrative de M. Surmont, aucun acte quelconque de pression, mais absolument au cun. Voila la vérité vraie; elle estconnue de tous, CERCLE CATHOLIQUE. PROGRAMME du 1' Conctrt de la saisou d élé, dunne anx membres du Cercle et ii leur familie par les Fanfares calholiques. le Dimanche 9 Juin 1878, a 6 hemes du soir, sons la direeiion de M.G.Wenes: iMarehe défilé, (Steenbnigfjen). Guillaume Teil. grande fanlaisie,(Rossini).Polka.(Wenes). Bouquet de Roses, (Wenes). Festival, fan- taisie varié, (Huys). Rêve d'Amour, grande valse, (Wenes). BURGERSTAND VAN YPEREN, van den 31 Mei tot dm 7 Juni 1S7S. Mannelijk geslacht G. Vrouwelijk id. 5. huwelijken: Wydooghe, Petrus, sekretaris der. Burgerlijke Godshuizen en Otto, Stephania, zonder beroep.— Tegethofl', Emilius, timmerman en Knockaert, Rosalia, kleermaakster. Debandt, Maria, 75 jaren, grondeigenaarstei', weduwe van Engel Dorick, Gaoote Markt. Bervoet, Rosalia, 02 jaren, dagloonster, onge huwd, Beluikstraat. Kinderen beneden de 7 jaren. Mannelijk geslacht 1. Vrouwelijk id. 5. Code Electoral de 1?7?, modifié par les lois du O juillet 1877, 11 i'évrier et 10 rnai 1878, avec commentaires, discussions, circulaires et deci sions se rapportant aux elections électorales, a l'éligibilité, aux incompatibilités, etc., etc, par Jules Derneville, ancien conseiller communal, I vol. grand in 8° 2.25. Tel est le titre d'un ouvrage que l'Editour Rozez a Bruxelles vient de laire paraitre. IJans un pays de democratic comme le notre, oü la souveraineté est exercée par l'ólection, il im- porte que tout citoyen dans son intérêt comme dans celui de l'ordi'e, counuisse ses droits et ses devoirs. En vente cliez M. Van der Ghinste - FossÉ Libraire, rue au Beurre, Gli, a Ypres. Carte de la Belgique Politique d'après la nouvelle loi electorate, dressée par Arthur Lau rent, Géoiuétre et Ingénieur Civil, (Rozez, Kdi- teur a Bruxelles). Ncius recevons un exemplaire spécial, dédié a la Pres se Belgo, d'une Carte de la Belgique, d'une aetualité maiquante; en eti'et, cette Carte* divisée en 41 arrondissements, reuseigne très-clairement dans chacun d'eux, les noms des membres des deux Chambreslesquels noms sont imprimés en 3 couleurs, suivant l'opiuiou politique a la quelle ils appartieunent. Un plan d'une nouvelle salie électorale (dite couloir), ainsi qu'un fac-sirnile du nouveau bulle tin de vote, soint joints a cette carte. Un tableau special indiquaut ia composition des Chambres avant ct après les elections du II juin 1878, fait voir immediaïement quels sont los membres des deux Chambres soumis a réélec- tion en 1878-1880-1882. A cóté de ce tableau ligu- rent 2 colonnes destinées a être rcmpliés par les porteurs de cette carte, au fur et a mesure qu'ils auront connaissance des résultats du scrutin du 11 juin, de manière a connaitre sur le champ la composition future des nouvelles Chambres. Les personiies qui s'occupent peu de politique, comnie celles qui l'onta cceur, y trouveront des enseignements intuitifs qui ne'manqueront pas d'interresser tous les Beiges et mème les étran- gers. Le prix (50 centimes) rend cette carte tout-a- fait populaire. En veute cliez M. Vandorghinste-Fossé, Libraire, rue au Beurre, 00, Ypres. STUDIËN van do Notarissen capelle, fc Watou en van VAM DEH BERGHE, te Rousbrugge-llaringlie. Op DONDERDAG 20 JUNI 1878, om 4 uren precies namiddag, te Waton, plaats, ter Herberg en bierbrouwerij bewoond door d'heer Van Eecke, van GOEDE EN SCllOONE WEIDE E« BEBDUWDE GR0MD, gelegen binnen de gemeenten: 6 liektaren 20 aren 80 centiaren, S. G, nummers 33, 34, 35', 35b, 3üb/2\ 39, 44, 154 en S. B, n" 128, gebruikt door verscheide. Samen intjesleld fr. 25,000-» BOESCUEPE (Frankrijk). 2 liektaren 79 aren 53 centiaren, S. A, nummers 141, 150, 161, 184, 354, 357 en 358, en volgens meting 2 liektaren 90 aren 29 centiaren. Samen ingesteld fr. 10,000-» IIOLJTKERKE (Frankrijk). 2 liektaren 72 aren 33 centiaren, S. 11, nummers 331,349, 350,351, 352, 353, 354> en 355. Samen in afzonderlijke koopen ingesteld fr. 13,750-» BOVEN twee eeuwigdurende BEZETTE BENTEN, dies de eene van 1300 fr. en de andere van 700 fr. In masse ingesteld fr. 1,825-» Alle inlichtingen te bekomen bij voornoemden Notarissen capelle en VAH DEN BERGHE. Ruchtbaarheid HHBCia PRIVILEGES DU CLERGÉ EN DEHORS DU DROIT ROMPUE ENTRE LE LIBÉRALISME ET LE SOCIALISME, x 1876 1877 GEBOORTEN. STERFGEVALLEN.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1878 | | pagina 3