Un fourbu de la vie, un irrité, un révolté a TOUJOUBS LE DROIT de se lever un ma- MAEIGRAS, SCHOON HUIS HUIS, MEUBELEN, GOEDEREN, ZAAILANDEN, VENDITIE ZAEILANDEN, INSTEL EF, ENZ. Definitieve Toewijzing, ROUSBRUGGE-HARINIilIË M PROVEN. EN GERIEYIG WOONHUIS, «I -URM ALLEWSTB MAMAS, A louer UNE MA I S O N BULLETIN POLITIQUE. Les perspectives de paix s'accenluenl, Lien que Ie congrés ne soit pas -encore rétmi. On écril de Londres que Ie projel de moLiiiser te corps d'armée cantonné a Aldersholi est abandonué. D'autre part, Ie gouvernement indien a élé avisé qu'il n'y a plus de mollis pour qu'il envoie en Europe tin nouveau con- lingenl de troupes indigènes. Enfin Ie Jour- nul de Saint Pélersboury nous apprend que la Russie et l'Angleierre ont jugé inutile de relarder la réunion du congrés par des deli berations techniques sur Ie retrait de leurs forces respectives a Constantinople. Ce retrait préajable pouvail s'imposer, tant que de pro: fond es divergences cxistaient ent re les deux puissances, maïs il n'en est plus de mème aujourd'fiui que les dispositions eoncilianles et coufiantes avec lesquelles el les vont abor- der Ie problètne oriental écarlenl lout danger de conflil. La Porte ne s'est pas conlenlée d'enyoyer aux puissances Ie memorandum que nous avons reproduit et relatif aux négocialions de San Stefano. Elle y a joint tout un pro- gramme de reformes politiqnes et adrnini. stratives qu'elle se propose de soumeltre au congrés. L'empereur Guillaume se remet beaucoup plus rapidement que ses médecins n'avaicnl osé l'espérer. Ses nuilssoril calmes, ses bles sures se cicatrïsenl, il n'a pas de fièvre, il ne lui faut plus guére que du repos. L'affection que lui porie son people, fexaspéraliou cau- sée par Uattentat jusque dans les couches les plus infirnes de la population, ont évidein- inent encouragé Ie gouvernement a poser devant Ie pays la question de la dissolution du Parlement et a se débarrasser ainsi, par la mème occasion, de l'appui que lui dounaient les lib'éraux nationaux, II va essayer de se constituer, avec les conservateurs de toule nuance, une majorité plus docile. Peut-èlre mème ira-t-il jusqu'a se réconcilier avec les centres calholiques par l'abandon du Kullur- k'impf. Mais ce sera la Ie contingent de l'ave- jih. Pour Ie moment celte èvenlualité est écartée par Ie retrait de la demission de M. Falk, Ie ministre de l'mslruction publique. Le nouveau Parlement sera convoqué aussi- tól après les éleclions, fixées a la fin de juillet. Les discussions qui s'engageront d'ici la dans les journaux, une connaissance plus compléte des mesures legislatives et admi- nistratives que prépare Ie ministère prussien pour vaincre Ie socialisme, pourronl seules dire jusqu'a quel point M. de Bismark verra I'Allemague répondre a son appel. Pour le moment, il suflit de constaler que Ie courant de I'opmion publique encourage sa politique. Un souffle de conservation a passé sur les esprits. A PROPOS DE L'ATTENTAT DE BERLIN. Le docteur Nobiling appartient bel et bien au parti socialism. Ses antécédanis, ses relations, sa corres pondence, ses aveux lout le prouve; il n'a fait qu'appliquer la maxime burinée par Vic tor Hugo, dans ce vers célébre: Tu peux tuer eet homme avec tranquillité. A l'université de Leipzig oü il a fait ses études, le docteur Nobiling s'était déja signa- lé por l'extravagance de ses opinions radica ls. C'est une sorle de Raoull Rigaull frotté d'inslruclion laïque et de philosophie alle mande. En fail de religion, nous ne serions pas éloignés de supposer qu'il pense, qu'il parle et qu'il bait absolumënt coinine la Flandre libérale el Ie Journal de Gand. Les premiers détails recueillis sur l'allentat indiquent d'ailleurs que celui-ci a été le ré- sultal d'uüë sorle de conspiration social isle. On a lire au sort pour savoir qui devait faire le coup el Nobiling, désigné par cet aveugle oracle, s'est exécuté avec une sou- imission toute maennnique. Nous nous trouvons done ici, non pas en presence d'un crimjnèl isolé, mais en présen- ce d'un parti, d'une secle ptiissanle, dont les recrues se multiplient et qui vient, en quel- ques jours, de se signaler par deux tenlati- ves de regicide. Et comment la presse socialism elle-mème pane t elle du nouvel attentat dirigé contre 1'Empereur fioillaume? Eu Alletnagne, la Presse libré de Berlin, principal organe de la secte, se décfiSjue contre M. Tessendorf, Ie |irocureur-général qui dirige les poursuites. Ede Ie désigrie ex- pressémenl aux vengeances du parti en fai- sunt entendre que s'il y a un bomme dont il faut se débarrasser a lout prix, c'esl bien celm-la. Et, il y a peu de jours, en France, a pro pos de l'aitenlat de Hoedel, comment s'ex- primait le journal, les Droits de I'llotnme, organe, comme son litre I'mdique, de la libre-pensée el des principes de 89? Nous cilons lextuellement: El M. Victor Hugo, célébrant, le 30 mai, le centenaire de Voltaire, ne disait-il pas devant un audiloire éminemment socialiste el républicain On ne change pas la figure du meurlrier paree qu'au lieu d'un bonnet de forcat on lui met sur la lêle une cou- ronne (f Empereur II s'agissail des souverains qui ont fait la guerre. L'Empereur Guillaume en estil est mème particuliérement désigné pmsque c'esl après ses campagnes victorieuses qu'il a ceint le diadèrne imperial... Pour en revenir au Journal de Gand et a sa leltre particuliere, il n'est que trop évident qu'une maebme^de guerre aussi pitovable el aussi usée ne saurait ni prévaloir conlre le lémoignage des fails, ni délourner les esprits des pensées que suggérenl naturellement les attentats réitérès du socialisme germanique. Ces pensées se sont emparées tout d'abord de l'Empercurd'Allemagne lui-niéme. Comme M. Louis Goetbals le rappelait avec tantd'a propos a noire assemblee éleclorale de di- manche dermer, apiès le crime de Hcedel, quelle est la première parole que le vieux monarque ait adressée a ses nu nistres II leur a reconunaodé de fortifier Céducation religieuss dans les clusses populaires II est évident en eltel qu'a mèsure que le déchrisliunisme décroït, le socialisme monte. Qu'est ce qu'aprés tout que Ie socialism? C'est un prolétaire secularise qui ne croit plus a rien et qui veut donner a la libre-pensée sou couroimenient naturel, la libre vie. Uit peu- plesans religion cour! au socialisme de lui - mème et comme entrainè sur une pente fata le. Le frein qui retenail des convoitises ar- dentes s'est bnsé, l'équilibre moral et social est rompu. A ce point de vue, le politique libérale de M. le prince de Bismarck, cetle lulte civihsu- triee daus laquelle nos Gueux de Belgique voient un exemple bon a imiter, n'a pas médiocremeut coutribuéa slimuler les pro- grés du socialisme. L'Empereur Guillaume expie bien cruellemeni aujouid'hm la faute eapiialede sou premier ministre. Quand l'histoire, dit trés bien, a ce pro pos, M. Poujoulal dans I'Union de Paris, quand l'histoire jugera M. de Bismarck, elle lui reprocbera sou mépris pour les forces morales, pour la justice, pour le droit; elle lui reprocbera d'avoir donue a sa palne pour fondement de sa gloire la force pure, la baionnelle et le canon el d'avoir poursuivi la portion la plus conservatrice du nouvel empire, cetle portion catbolique qui s'inspi- re toujours de la conscience el pour laquelle le respect est une loi sacrée. II est de mode parmi nos libéraux de dé- clamer contre I'mfluence du clergé: si celte influence, toute de persuasion et d'ailleurs trés-leginme et trés-salutaire, vena11 a dispa- raitre, lis seraient les premiers effrayes des déchai-nemeuts''el des bouleverseinenls qui ne larderaieol pas a se produire. Notre conclusion est done celle de I'Empe- reur Guillaume lui-méme. Au lieu de com bat! re I'influence religieuse, at: lieu de sécu- lariser a oulrance, au lieu de I'isoler dans noire sociélé laïque comme un revenant d'un autre age, il faut seconder la diffusion de l'espril cbrèlien, senI rempart moral qui nous teste encore conlre les menaces el les agressions du socialisme. Voila pourquoi la politique conservatrice etcatholique est non-senlement la plus juste mais aussi la plus actueile el la plus utile! LOGES MACONMQUES. Daprés les dernières révélalions venues de droite et de gauche, la franc-maconnerie a p'us que doublé le nombre de ses adeptes depuis 1831 et elle en compte aujourd'bui seize millions rupartis dans doiize mille loges. L'un de ses grands mailres allirmail naguére qu'a de rares exceptions prés, tons les rois, présidents, ministres et liauts fonciionnaires des deux mondes appartenaient a celte socié lé secrèle. La franc-maconnerie, simplement libérale en apparence mais radicalemeril révolution- naire en réalité, n'est plus combattue que par I'Eglise catbolique qui n'a pas cessé d'en condamner les tendances impies el antiso- ciales. De la naturellement la guerre arden- te, implacable que tons les fréres font au clergé el aux fideles, surloul aux jésuiles dont 1'organisalion sévère el universclle est regardée comme un obstacle rival. Ce n'est passous le rapport numerique que la sociélé deJésusesl redouiable aux francs-macons, car elle compte a peine 72,000 membres, la plupart missionuaires très-inoflënsifs dans les pauvres contrées ou les francs-macons n'orit garde d'aller leur faire concurrence, tandis que ces derniers sont aussi nombreux que lous les militaires réunis des cinq par ties du monde. KOOPDAG van 7 hectaren Oü aren KLAVERS EfJ VLAS, op Stam, T K ES K I V G M E OP DONDERDAG 43 JUNY 4878,^ om 3 uren namiddag, zal er open- baerlyk verkocht worden ter herberg het lioF van Commerce, bewoond bv de weduwe GlüUebaert, te Boesinghé- plaets. 4° 2 Hectaren 65 Aren MAEIGRAS, 2° 1 Hectare 76 Aren KLAVERS, en 3° 2 Hectaren 65 Aren VLAS. Verdeeld in koopen 'telks gerief. Wassende ter hofstede gebruikt by den heer Aloïs Deseghcr-Slruyve. Alles voorafgaendelyk te bezichti gen, vermits hetzelve zal verkocht worden ter voormelde herberg. Deze venditie zal geschieden op gewoone voorwaerden en tyd van betaling, mits stellende goede en sol vabele medekoopers, betaelbaer ten kantoore van den Notaris ELLEBOUDT te Langentarck verblyvende. Maekt liet ruclilbaer. Mttsiit'iitg' If »3satsi ten 4 uren namiddagter herberg den Olifant, te Ypre, van een aan de oostzijde der Rysselstraat N° 429, binnen YPRE; Bewoond door den heer Vantighem; Door 't ambt van den Notaris VAN- DERIMERSCH, te Ypi'C. Ook inlichtingen bij den Notaris sursan, te Wevelghem. STUDIËN van de Notarissen BOUDEWYM, te Rcninghelst en VEYS, te Vlamertingbe. A. Woensdag fif> «Eniii om 3 uren namiddag, in de te koopen herberg, OVERSLAG van EEN GROOT GERIEFLIJK EN WEL GELEGEN, ten dienste van herberggenaamd de Kroon, met 44 aren 69 centiaren Erf, Cour en Hof, staande te RENINGHELST, op de plaats, lest bewoond door Catha- rina Baeldeweduwe van Martinus Dehaesemet aanslagaan't huis en de stallingen met de geldtelling en aan den kour en den hof met 4U Oc tober 4878. Maar hoogst ingesteld 8,800 fr. Est 3£.13oit<Ici'rittg£t!)*lesiti om één uur nahóéiï, in dê aange wezen herberg de Kroon, VENDITIE van Studie it Notarissen LAiïlBlN en VAHDERWEERSCH TE YPRE. VERKOOP!N G in eenen zitdag, den «Susii S8?S, ten 2 uren juist, in de Getemde Leeu wen, Botermarkt, ie Ypre, van de ONROERENDE waervan volgt de aanwyzing: Stad Ypre, Korten Meerschstraet. 4" koop. Een RENTENIERSHUIS, in goeden stael van onderhoudmet deszelfs grond en erve, geteekend N° 4 3, zvnde het sterfhuis van wylen M. den Pastoor Scheemaeker. In genottreding met de geldtelling. Gemeente Vlamertingiië, Wvk Krommen Eist. 2" koop. Èene party goed ZAEILAND groot by meting 78 aren. 41 Cn. 3" koop. Een stuk ZAEILAND groot volgens meting 62 aren, 28 C°. Beide deze partyen zyn gebruikt door sieurs Dewickere, vader en zoon, landbouwers daerby woonende, met regt tot den 4n October 4887, ten prys van 448 francs. Wyk Brandhoek. 4» koop. 30 aren, 64 C". ZAEILAND. Verpacht lot. den 1" October 4903, ten prys van 30 francs 'sjaers, aen Catharina Bruneel, wedc Purmenlier, eigenaerster van het daeropstaende huisje. Gemeente Reninghelst, tusschen de Dorpplaets en 't gehucht de Klytte, langs den nieuw le maken steenweg naer Kern mei. 5" koop. 32 aren, 65 C". goed ZAEI LAND genaemd het Lindestuk. Verpacht aen sieur Capoen-Gouden- hooft, tot den 1" October 4887, ten prys van 37 francs by jaer. STUDIËN van de Notarissen CAPELLE, te Watou en van VAN DtfJ BERGHE, te Rousbrugge-Haringhè. Op DONDERDAG 20 JUNI 4878, om 4 uren precies namiddag, te VVatou, plaats, ter herberg en bierbrouwerij bewoond door d'heer Van Eecke, van GOEDE EN SCIÏOONE WEIDE EN BE80UWJE GRGN0, gelegen binnen de gemeenten: Op 20 JUNI 4878, (H. Sakramentdag), ten 4 1/2 ure namiddag, TE HOUTHULST ONDER CLERCKEN, ten verzoeke van Mev. de Dre Cassiers, van 40 hectaren llooigras op stam 70 koopen Plantsoenen en Lijste- boomen 50 koopen Boomkrooncn en Toppen van Plantsoenen 30 vummen Rodingsblokkcn 2000 Eiken Snoekbusschen 40 koopen Larixen Vergadering bij P. Meersman, al waar er 's morgens zitting zal gehou den worden voor de betaling. 6 hektaren 20 aren 80 centiaren, S. C, nummers 33, 34, 35*, 35b, 3572", 39, 44, 454 en S. B, nu 428, gebruikt door verschei.de. Samen ingesteld fr. 25,000-» BOESCUEPE (Frankrijk). 2 hektaren 79 aren 53 centiaren, S._ A, nummers 144, 460, 464, 184, 354, 357 en 358, en volgens meting 2 hektaren 90 aren 29 centiaren. Samen ingesteld fr- 40,000-» HOUT KERKE (Frankrijk). 2 hektaren 72 aren 33 centiaren, S. B, nummers 331,349, 350,351, 352, 353, 354, en 355. Samen in afzonderlijke koopen ingesteld fr. 43,750-» BOVEN twee eeuwigdurende BEZETTE RENTEN, dies de eene van 1300 fr. en de andere van 700 fr. In masse ingesteld fr. 4,825-» Alle inlichtingen te bekomen bij voornoemden Notarissen CAPELLE en VAN DEN BERGHE. Ruchtbaarheid. Schoone patrimonieefe BOSSCHEN, fi/IAEIGRAS ópenbaerlyk te koopen. Stad Poperinghe, Ypreslraet. 4° Een schoon gerievig WOONHUIS van 2 sfagien, met remise en 4 are 05 een), erve, laelst bewoond door wylen d'heer Louis Duytscijaver en titans ledig. Poperinghe, Oosthoek. 2" Eene pari ie ZAEILAND, groot volgens sectie I), N° 486, 44 aren 70 cent., gebruikt door Seraphin Le- febvre. 3° 63 aren 40 cent. BOSCH, sectie D, N° 110. Irt regie. Poperinghe, langs dyElverdinghe calchiede. 4" 2 H. 57 A. 60 C. ZAEILAND, in eenen blok, sectie C, N«s 485,486,187, 488, 489 en 4 93 c 5° Eene partie ZAEILAND, groot volgens N" 55a sectie C, 2 II. 22 A. 30 C., palende aen het gescheid van Elverdinghe. De twee laetste nummers gebruikt door sjeur GHEEiuERT.ter uitzondering van 45 aren uit Nu 4, gebruikt door sieur D'Engloo. Elverdinghe, big de Vuile Seule. 6" liet BOSCH genaemd Gronkelhof, groot volgens sectie B, :V 76, 1 11. 09 A. 40 C. In regie. Gemeente Oostvleteren. 7° Eene partie MAEIGRAS, palende noord en oost aen den Drevelare groot volgens sectie A, N° 47,111.13 A. 30 C. In regie. Proven, inden Blokboek. 8° Het ROSCll de Wagenmaker», groot volgens sectic D, N° 349, 1 11. 4l A. In regie. Deze verkooping zal geschieden IN EENE ZITTING, Tryilrtjs Si .Isuny «8?8, ont 3 uren namiddag, ter herberg Le Chasseur in de Bruggestraet, te Poperinghe, Ingevolge de voorwaerden berus tende ten kantoore van den Notaris LAVA, te Poperinghe. Studie van den NOTABtBS VAfcCICE, TE DiXMÜDE. Op WOENSDAG, 3 JULI 4878, om 3 uren namiddag, ter herberg de Dankbaarheid, OP 1YIERCKEM - DORPPLAATS, KOOPDAG VAN binnen Merckem en Wo urnen, verdeeld in 72 kodocn. riu; «Se B.sSSe. 63, avant 2 salons, 2 caves et cuisine, jardin, remises, 8 belles chambres en hauf, etc. Code Electoral de 1872, modifié par les lois du 9 juillet 1877, 14 février et lü mai 1878, avec commentaires, discussions, circulaires et déci- sions se rapportant aux éleetions électorales, a l'éligibitité, aux incompatibilités, etc., etc, par Jules Derneville, ancien conseiller communal, 1 vol. grand' in 8U 2.25. Tel est le titre d'un ouvrage que l'Editeur ltozez a Bruxeltes vient de faire paraitre. Dans un pays da démocratie comme le nótre, oü Ia sauveraineté est exercée par l'élection," im porte que tout citoyen dans son intérêt comme dans celui de l'ordré, connaisse ses droits et ses devoirs. En vente chez, M, Vas dhr Ghinste - FossÉ Libraire, rue au Beurre, GO, d Ypres. TIN DE MAUVAISE HUMEUR ET DE S'OFFRIR LE LUXE D ALLER ABATTRE UNE TÈTE COURONNÉE. S'lL MET DANS LE MILLE, IL Y A QUELQUF, CHANCE DE GA- GNER LA T1MBALE S'lL MET A COTÉ, ON LE MET DEDANS, ET TOUT EST DIT. TüUS LF.S GOUTS SONT DANS LA NATURE, ET NOL'S N'AVONS PAS A NOUS PRONONCER SUR CELUI Cl. VAN DE ■■iwroa—M WiiSEÜB,

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1878 | | pagina 3