iü trois mmm, A. INSTEL, B. DEFINITIVEN OVERSLAG, 3' UNE HAlSOfi, OPENBARE YERPACHTmT5 SAISÖS FL0R1IONB BARTIER, ZOOL- WAG EN A RN AS, I1EESTIAL8S ÏRUCIITliÜ TE VELDE. Openbare Verkooping ÏERRE A LABOUR, de Landgoederen A V IS BULLETIN POLITIQUE. L. VANHEULE. A. op DONDERDAG 1 AÜGÜSTI '1878, om 2 uren namiddag, te Watou-plaats langs den steenweg naar den Abecle, ten huize van sieur Cliarles Delmtre, ÜPEfiBARE VERKOQPifiiG Knip- Keern- en Akkerallaam Hooi, Strooi, Op gewoone voorwaarden en tijd van betaling, mits voldoende borg stellendeten genoegen van voor noemden iNotaris CAPELLE. B. Op DONDERDAG 8 AÜGÜSTI 4878, om 4 uren namiddag, te Watou-plaats, in liet GiiMiiENTF.nuis, bewoond door Jw de wcde Lermytle, Een WoitBnateBiw, kamer, keuken, vaute, kelder, onderlat, paarde-, koei en zwijnstalIon schuur, wagenkot, twee aal putten en 8 aren 30 centiaren erve onder grond van gebouwen en hovenierhot' daarmedegaande, Se B, nummer 6', voorhoofdeude aan voor- meldlp steenweg. Gebruikt door den verkooper sieur Charles Delautre, met recht tot 1" Mei 1879. FA1TS DIVERS. En c. Op DONDERDAG 22 AÜGÜSTI 4878, om 4 ure namiddag, te Watou, ter afspanning «den Gouden Leeuw bewoond door d'heer Servaes Van Eecke, OPENBARE YEKKOOPING G e m e e n t e XV a l o u Eerste koop. Een perceel Eaaa- inhoudende 30 aren, 40 cent., bekend bij kadaster S. G, lY 619, pa lende oost den heer Ridder Ilynderick, zuid d'heer Joos, west en noord de kerkfabriek van Watou. Gebruikt door Francies Ruckebusch, met recht tot 1 Oktober 4880, mits 40 fr. 'sjaars. Tweede koop. Een perceel iSavU- Sasïd, inhoudende 43 aren, 60 echt., bekend bij kadaster S. 1), N" 47, pa lende oost de hoeren Devrière, te Brugge en De Breus d'iJolIebeke, zuid d'heer ridder de Stuers, westen noord d'heer Ramoente Poperinghe. - Gebruikt door PhUippus Decaestelcer, met recht tot 1 Oktober 1882, mits 55 fr. 'sjaars. Alle verdere inlichtingen zijn te bekomen bij voornoemden Notaris CAPELLE, alwaar de eigendomstitelen zijn berustende. Ruchtbaarheid, 4° Eene partie ZAAILAND, langs de Meessenstraet, groot 69 aren 40 G. gebruikt door Fidéle Citeirne. 2" Eene partie ZAE1LAND, in den Ilamhoek, achter d'herbcrg «den Keirzclaer», groot 90 aren 70 cent., gebruikt door Petrus Laconte. 3" 4 II. 77 A. 47 G ZAEILAND en WEIDElangs den steenweg naer Ypre, gebruikt door Philippe Lame- rant. STeess-vrnvs'iaEe (Frankryk). 4" 4 II. 71 A. 42 G. ZAEILAND, in eenen blok, by d'hofstede van Auguste Wynckel, gebruikt door Charles-Loüis Priem. VRYDAG 9 AÜGUSTY 4878, orn 3 uren namiddag, ter herberg «DeiMaen», by St-Bertinus kerk, te Poperinghe, van 4" 2 II. 76 A. 80 C. ZAEILAND, met HERBERG en IIOPPEKEET, by het Ons Ilecren Bosch, gebruikt door Charles CamerlyiiQk cu andere. Te samen maer ingesteld 45,775 fr. jPoperasiglie, i.angs d'Abeele caixhif.de. 2" Een WOONI1UIZEKENmet 75 'centiaren grond, gebruikt door Philippe Syoen. Niet ingesteld. EPotperaBigiH*:., Roeschepesthaet. 3° Een groot en geuievig WOON HUIS, met inrydende poort, peerden- stal, schuer, grooten aelput en rerni- sen, mitsgaders 3 aren 4 0 cent. onder grond van alle dies. Gebruikt door sieur Henri Herat- Vandewalie. Maer ingesteld 8250 fr. ÉTUDE DU ftY LAtülOÏ, k StoBsaiiaes. MISERA-PR IX LUNDI 5 AOÜT 4878, a 5 heures de relevée au cabaret le Godshuistenu par Noli.lt, a Gomines, de: avec 4 0 ares 50 eentiares de ifwiiiias ct *Jhï.rt£ÊBï, I a Gomines, hameau nu Godshuis, oe- cupé par Marie Allard, Bodneet et Dejonghe. 2° Un hectare 48 ares 40 eentiares de a Gomines-tén Brielen, section B, nu méro 277, occujiée par ,L-Blc Pattvn. avec 24 ares 40 cent, «Sc SfmMis, cJuraEasa et Tei'i'e, Section B, Nos 709 a 742, occupée par la veuve Bonduelle Verman. Den MAENDAG 42 AUGUSTUS 4878, ten 3 uren precies, in de Sakristy der kerk van den 11. Nicolaus, te Ypre, zullen verpacht worden, door het ambt van den Notaris LAfóBltl, voor 9 jaren, le beginnen den 4" 8lU!' 1878, Langemarck (St-Juliaen), Ylamertinghe eu Voormezeele, aangeduid op de plakbrieven. Kantoor van den Notaris LAVA, met gewin van premiëu. VRYDAG 2 AÜGUSTY 4878, orn 3 uren namiddag, ter herberg L'Univers in de Yprestraet, te Poperinghe, van rue au Beurre, 10, Ypres. APPAREiLS A EAU GA2EUSE pression administrative, par tous les moyens, le monopole de l'euseignement de l'Etat de mauière ace qu'il tuetoute concurrence. Mais vous me direz encore que ce sont la des opinions individuelies qui n'engagent que ceux qui les émettent et dont un parti n'est pas res- ponsable. Je pourrais vous opposer 1'accueil fait au pro- gramme dont je viens de rappeler quelques ar ticles par tous les organes importants de la pres- se libérale. Aucuu ne l'a formellemeut répudié quelques-uns y ont fait des objections de pure taetique, d'autres l'ont trouvé rriême insuffisaut. Mais soit. Ge sont des opinions iudividuelles; mais'ce qui n'est pas une opinion individuelle, c'est ce qui s'est passé a la derniêie élection de Bruxelles. Deux candidats étaient en presence. L'un est l'auteur du programme dont je parlais plus liaut, l'autre découvrait dans la Constitution des pierres vermoulues, qu'il voulait enlever. Tous les deux se déclaraient prêts a appuyer sa revision. II y a un an l'Association libérale pa- tronnait le premier et il y a un mois elle vient d'adopter le second. Ainsi l'association politique qui dirige l'opinion dans l'arrondissement le plus important du pays, appuie et patronne des can didats qui préconisent ouvertement la révision de la Constitution et elle prend d'abord celui dont le langage est le plus accentué, qui s'est dóclaré autrefois républicain et socialiste et n'a jamais répudié clairement ses doctrines, celui qui s'est proclamó adversaire du eens qui est la base de notre état politique, de la propriété qui est la base de l'ordre social et du principe monarchi- que qui est la sauvegarde de notre nationalité. Produites dans de telles conditions et sous un tel patronage, messieurs, ces opinions ne sont plus des opinions individuclles et l'association qui aprété son apptti aux candidats qui les pro- fessent ne peut en répudier la solidaritó. Vous considórez l'enseignement de l'Etat com- me voire chosevous poussez a constituer par les subsides et la pression administrative le mono- pole de l'enseignement de manière a ce qu'il tue toute concurrence. Mais pourquoi insister? Nous vous disons, nous: si un jour la Belgique entière redevient catholique, ses lois seront ca- tholiques. Vous vous préparez, vous, a faire dans un pays divisé, que les catholiques seuls n'auront plus qu'une liberté illusoire et vous voulez asseoir sur la force le despotisme de l'Etat atliée. Vous voyez la paille dans l'oeil du prochain et vous ne voyez pas la poutre qui crève le vötre. Ce n'est pas cliez nous qu'on trouve les ora- teurs qui rêvent une révision de notre pacte fondamental, non dans un avenir éloigné et su- bordonné a un changement dans les mceurs et les idéés, mais actuelle et plus ou n.oins immé- diate, et ce n'est pas chez nous non plus qu'on trouve les candidats a qui l'on peut demander, sans qu'ils le considèrent comme une sangla te injure, si au jour du désordre ils seront du cötó de l'émeute ou du cóté de la representation na tionale. Caisse des Propriélaires Agent a Ypres M. A« Vtfiick Ciéiuent, Banquier, rue de fEloile, N" 4. La Caisse des Fropi iélaiies émet des oblijj iiinns aux conditions suivantes Ob igalions a 3 ans, inlérét k t|2 °\o id. 10 -4 3|4 °|o ui. ii primes K 112 équivalant a 3 avec la prime de reinbourseinent. Pour obtenir les litres on avoir des renseigne- nienis s'adresser a M. VÜNCK CLEMENT- ne.nl (Kjenl de la Sociélê a Jpres. Les obligations de la Caisse des Propriélaires onl uil double gage les hypolhèques qui garan- tissent ies prêts el le capital Je la Sociélé. Les troupes auslro liongroises sont entrees dans la liosnie et dans l'llerzégovine. La procla mation du gouvernement de Vienne aux popula tions de ces deux provinces est très-pacilique et fort sage et promet a tous la protection tulélaire des autorités. Ce n'est point une occupation militaire dans le sens vr,ii du mot, que va faire l'Aiitricbe Hongrie, c'esl une prise de possession pacifiqiie. Les trou pes, eu effel, ne viveont pas de requisitions, elles paieront en argent tous leurs achats. l'occiipalion de ces deux provinces, malgré ies ferments iusunéciiqnnels qut les agitent, parail devoir s'aecomplir aossi pacitiijiiemenl que eelle de l'ile de Chypee par les Anglais. Quant a l'orga- nisalion acl.roinislrative, elle sera plus longue el surtout plus difficile au sein de ces populations qui n'ont jamais connit que l'anarehie et le despo tisme arbitraire (les pachas. II faudra pliisteurs amices ii J'Aulriche pour uieiier i) bien l'oeuvre que le Congres lui a confiée. Quarid on porle de l'Autriche, on est appelé l'oreément a s'occuper de l'Italie; on se demaiule si celle puissance ne prolitera pas des embarras inherents li l'occiipalion de la liosnie pour en créer d une autre sorle ii I Antriclie? Quoi <jii'on disrnt certains jonrnaux, Tagitalion ne cesse pas dans la péninsule. Nous lisoiis dans ITtaj.ik i|ii'niie grande manifestation pour I'Ii ama. 1KREOEKTA a eu lieu ii Forli. La méme feuille public une lot11o de iUenolti Garibaldi qui dement le fait des einólements volontaires. Mais Veut-on savoir eomineiit ce peisonnage nie les enróle- meiils? Voiei ses paroles lesduellcs; i> II serail hors de propos de faire des enröle- iiients. Le moment venu. er sera tui torrent a qui enlraiuei a le propte el e qouv. i ucinent a i' I aoeoiliplisseinent de ee dé ir carré. l.e désir sacré c'esl l'anihitiun de prendre rrle-te, ie [Trillin, le l'yrol cl mitres lieuX ii la couvi nance des meneurs ilaliens. Quant au tor rent i|ui duit entraiuee le people el le gouverne ment, c'est ;a line promesse de houleverseni' rits qu'il est bon de reti iiir. On Toil que les lêtes chaudes soul loin de se calmer. Nous avcuis dn que le ipouveuienl élail dirigê aussi lueii contre le gouvernement et peul-êlie la dynastie de Suvoie que conti l'Autnclie-Hongiie. Nous le eroyons plus que jamais, ear le paeti républicain grand,t en Italië et piépareiin revolu tion. CHRONIQUE JUDICIAIBE. Lorsque Taffaire de la Mi-Carème ful plai- dèe devant le tribunal correclioiinel de Totiruai, ia defense s'eionna a bon droit que le police ifetti pas eu des yeux pour consta- ler Toutrage aux mceurs dont eerlains gueu.x, escortani le cbar liberal, s'etaietil rendus coupables. Mais il parail que des féinoins onl eu iitenleure vue que dame police, car le tribunal correctioneel de la dile Yillea cott- damnè Satnedi: Le noinnte Adol|»lie Bonduel a huit jours de prison el a 2G francs d'amende pour ou trage aux mceurs; Le nomine (ibarles Bara, fabricant de Su cre. a cent Italics d'amandeou a huil jours de prison, pour outrage aux mceurs. Cel honiiète fabrieanl de sucre esl-il de la familie de fancied el nigral nourrisson des ehanoines de Touniai? Quoi qu'il en soit, les Baratisles out eu cejour la du ntalbeur: Ie méme jour le jour nal la Vé'Hé, orgatie favori de M. Bara, inmistre de la justice, a eté condanmé a (jtialurze peines de cinq francs et quatorze francs de doinniages-interéis pour refus d'insertion d ime reponse que lui avail fade M. favocat Alex. Leschevin. La peine est de20 llorins par joui de retard; le tribunal fa diininuée de plus des trois quarts. ACTES OFF1CIELS. Nous lisons dans le Montteur - Par arröté royal du 27 Juillet 1878, M. de Kercliove de Denterghem (Oswald), conseiller provincial et avocat a Gaud, estnommé gouver neur de la province de Hainaut. Nous lisons aussi dans le Bien public, de Gand, du 7 Juillet 1862 II y a quelques mois, un jeune liomme appar- tenant a unegrande familie de notre ville nou pas de celles toutefois que le Journal de Gand range parmi les crétins qualifies, - se trouvait en danger de mort. Par suite de la position offi- cielle du pèro de cejeune liomme, la ville entière conipatissait a l'aliiiction des parents. Mgr l'E- vèque de Gand unissait ses prières a celles des communautês religieuses pour obtenir du ciel la guéi'isoh du jeune nialade; chaque jour le ve nerable Prélat faisait prendre des nouvelles de cette santé, a laquelle se rattachaient tant d'espó- rances, et témoignait ainsi de la part qu'il pre- nait a la douleur de la familie. Le malade fut sauvé Jeudi dernier, sur le passage du cortege qui conduisait Mgr l'livêque de la gare a la eathédra- le, on remarquait le méme jeune liomme, mal renjjs encore des suites de sa maladie, mêló au groupe des siitleurs qui, devant l église Saint- Bavon, accueillaient le prélat par des demonstra tions brutales. M. Alphonse Tybergh"in. d Ypres, éluiliant a fUniversité catholique de Louvain et ancien élève dn collége St-Vincent de Paul en cette vilie, vient de passer sou premier doctoral en médeeine, avec distinction. VILLE D'YPRES. Ï'ÈTE COMMUNALE DIÏE T BJ :iï A Programme des réjouissances publiques. Les Bourgmestre et Eehevins de la ville d'Ypres, Vu la deliberation du Gonseil communal en date du 10 Mars 1878; Arrêtent Samedi 3 Aoüt, A 6 heures de l'après-midi, le carillon annon- cera la Fête. Dimanche 4 Aoüt, Grand Tir il la cible, offert a tous les gardes civiques du royaume, ainsi qu'aux compagnies de sapeurs-pompiers de la Belgique et de l'étran- ger. Outre le prix d'honneur offert par S. M. le Roi des Beiges, plusieurs prix et medailles seront décernés aux concurrents au norn du Gouverne ment et de :a ville, pour une valeur de 3,500 l'r. Des programmes spéciaux donnent tous les details de cette fête. De midi ii 1 he ure, Concert d'liarmonie sur la Grand'place, donué par Ia musique du tr régi ment de ligne. Jeux populaires, Grjuid Concert vocal et instrumental. Ce con cert sera doiiné par notre concitoyen M. Eugène Van Elslande, Jlutiste, f prix avec grande dis tinction du conservatoire royal de Bmxelles, dans la Salle de Spectacle, a 7 heures du soir, avec le concours de la musique des sapeurs- jmmpiers d'Ypres et de plusieurs artistes, Lundi 5 Aoüt, A 9 heures du matin, reprise du Tir a la cible. Concert organisé par la société des anciens élèves de l'Ecule communale d'Ypres, au profit de la socióte de secours mutflels établie parmi les mèmes élèves. Cette lète aura lieu au local des Halles, a midi, (entree Marcüé-Bas.) Concours de pêche a la ligne, organisé par la société JJe Vrije Visschers. Jeux populaires. A 7 heures, Concert d'liarmonie sur l'estrade de la Grand'place, par la musique des sapeurs- pompiers. Mardi 6 Aoüt, Matinée musicale avec le concours de plusieurs artistes et les élèves des cours de M. De vos, pro- fesseur du Conservatoire royal de Gand. Cette lète aura lieu dans la grande Salie des Halles, (entree par Je Marelié-Bas), a 11 heures du matiu. Jeux populaires. Grand Tir a l'arc a la perche, offert, avec le concours de la ville, par la société d'archers Ypres-Hoekje aux amateurs du pays et de i'étranger. Des primes seront décei'nées par la voie du sort, aux sociétés qui auront pris part a la fête. En outre, des médailles de grand formule seront offertes a la société venant du point le plus éloi gné, ainsi qu'a eelle composée du plus grand nombre de tireurs. A 7 heures, Concert domié par la musique du 2Tne régiment de guides, sur l'estrade de la Grand' place. Grande Fête champêtre, au local de la société de la Concorde. Cette lète comineneera a 8 lieures du soir. Les personnes étrangères a ia ville, se ront admises sur la presentation d'un membre de la société. Mercredi 7 Aoüt, A midi, Concert sur la Grand'place, par la musique des sapeurs-pompiers. Grand Concours de Pigeons-voyageurs, donné par la Fédération Colombopbile de l'arrondisse ment d'Ypres, ayant son siége au Grand Mo- narque. Les inscriptions se feront a l'estaminet le Grand Monarque, le mardi 6 aoüt. A 3 heures, Representation dramatique.donnée par Ia société üe Vlaamsche Ster avec le concours de la soeiété chorale La Lyre Ou- wièreCette fête aura lieu dans la Salie de Spectacle. A 7 heures du soir, Concert par la société de fanfares Witte Klakkensur la Grand'place. Jeudi 8 Aoüt, A 3 heures de relevée, Distribution de prix aux élèvc» de l'Academie des Beaux-Arts et de l'Ecole professionnelle. Le soir, a 8 heures, Concert sur l'estrade de la Grand'place, par la musique du 2"'a régiment de guides. Dimanche 11 Aoüt, Grande Fête Musicale. Festival d'liarmonie et de fanfares, offert a toutes les sociétés du pays et de I'étranger. Des primes et des médailles seront distributes aux sociétés qui auront pris part a la fête. Grand Tir a l'arbalète au hut, donné, avec le concours de la ville, par la société royale des Francs Arbalétriers, établie a l'estaminet la Tête de Bronze. Concours du jeu de boules, organisé par la société établie a l'estaminet le Mortier dlör. Ce concours aura lieu a 3 heures de l'après-midi. L'iuscription se fera au local de la société, rue au Beurre. Des prix en argent et des médailles seront distribués aux vainqueurs. Jeux populaires. DISPOSITIONS GÉNÉRALES Dos circulaires et des programmes spéciaux indiquent les conditions des fétes, jeux et con cours, ainsi que le nombre et la nature dés prix a dècerner. Pendant la duróe de la kerrnesse, le musée sera óuvert au public tous les jours, le matin de 10 heures a 1 iieure, et l'après-midi de 3 ft 5 heures. Les salles des Halles, restaurées etdécorées par MM. Guffens, Swerts et Ferd. Pauwels, se ront également visibles. Fait en séance, d Ypres. le 15 Juin 1878. LES BOURGMESTRE ET ÉCUKYINS, Par le Collége LE SECRÉTAIRE, Ferd. Van Daele. 11 arrive cependant que la calomnie se tourno contre celui qui l'emploie. C'est l'aventure qui vient d'advenir a un gueux de première force. Ce gueux la eünemi des curés, avait dé- noncé a la justice M. le curé de Vv'ayaux. Ilse plaignait que le curé l'avait injurié en pleine rue d uu ton menacant, et que linalement il avait tiré uu revolver de sa poclie et avait ine- nacé le plaignant de mort. A l'audience du tribunal de Charleroi, il fut établi que le curé n'avait point de revolver, qu'il n'avait ni injurié, ni menacé le gueux Aubry d'autre part il fut prouvé qu'Aubry, condamné antórieurement a remprisqnnemeiit pour outra ges envers un Bourgmestre, avait lui-méme gros- sièrement insulté et menacé le curé, et que son récit n'était qu'une dérionciation calomnieuse. Le cure de Wayaux a été acquitté. Le gueux est a son tour poursuivi. 11 paiera clier la satisfaction qu'il s'est donnée de mettre en pratique les liaineuses excitations de la pres- se libérale. 1878. PÉLERÏNAGE A ROME. Depart de Mons le 2 Se.ptembre, retour le 3 Octobre. Prix des places aller et retour, T'e classe 350 l'r., 2"lc classe 250 fr. Le nombre des inscriptions est ümitó a 150. Ce cliiffre atteint, la liste sera close. Pour les inscriptions et-les renseignements, s'adresser au secretariat des Uiuvres pèntilicales, rue des Longs Chariots, 11, it liruxelles, ou a M. L. Henry, chargé de 1 organisation et de la di rection du pélerinage, rue Notre-Dame Débou- naire, 7, a Mons. KANTOOR vis ai «Scsi TE WATOU. VCLTl van Binnen W A T O U zuid aan de plaats langs den steenweg naar den Abeele. Le Hainaut annonce quo les élèves de Pêeole normale de Brugelette out, commo les années précédeates, subi avec un plein succès leurs ópreuves pour l'obtention du diplome d'institu- trice; trente-deux élèves se sont présentées devant le jury de sortie et trente-deux out été diplömées 5 premiers degrés 5 seconds et 22 troisièmes. L'école normale de Brugelette est dirigóe par des religieuses. Le réseau des flandres. Un des der- niers bienfaits du ministère catholique a étó la reprise des voies terrées des Flandres. Mais le ministère liberal qui ne porte pas 1-s Flamands dans son coeur, a trouvé le moyen de rendre la reprise de ce réseau inopérante. La légalité et l'équité exigent que, sur toutes les lignes de l'Etat, tl y ait un barème uniforme il faudrait appliquer lo tarif Wasseige aux lignes des Flandres comme au reste du pays. M. Saine- telette n'en fait rien. L'ancien tarif de la com pagnie, de beaucoiip supérieur a celui de l'Etat, reste en vigueur sur les lignes flamandes. C'est la urie criante injustice. Le materiel roulant de la Compagnie des Bas sins houillers était, au moment de la reprise, dans le plus deplorable état, ce qui s'explique d'ailleurs par la débine dans laquelle se trouvait la société depuis de longues années. Ce vieux bric-a-brac continue a router. L'organisation des trains avait été combinée par la société en vue de favoriser ses propres lignes et de détourner des lignes de l'Etat les transports de voyageurs et de marcliandisès, ce qui n'était que tout naturel.' Cette organisation est maintenue au profit de la société de la Flandre occidentale et au détriment du trésor. Si tous les abus se perpétuent pour le mal heur du public, par contre M. Sainctelette s'est liaté de profiler de la reprise du réseau flamand pour modifier le personnel, dóplacer des chefs de station, chefs-gardes et gardes, faire des no minations, en un mot favoriser ses bons amis. Ces mutations n'ont pas amétioró le service car il est fait moins régulièrement que sous le régime de la compagnie qui laissait cepeudant beaucoup a desirqr. L'hostilité du ministère libéral a l'égard des Flandres se manifeste done dés ses débuts, et il n'y a rien de bon a attendre de lui, P-atrie La calomnie est chóre a la gueuserie. C'est une arme si commodeelle fait taut de taai van (Douvie). (W ulf holhoek). C»<"asïi*eute Poperinglie. Mt'ïiBtigEieEsê, TEGEN GEHUCIITE DEN ÜUDERDOM. ®D«gK'lS,l35g-lae, IllPSHOEK. <xyp*i>^oo de? Kerkfabriek van St-Nieolaus, te Ypre, GELEGEN TE TE POPERINGHE. de deux systénics. uour f,il)ri(|tici' soi-trièute soda, lunoiiades. vius mousseux, ctc. La bouieille Eau gazeiise ntvienl a 7 1/2 een linies la lioutedle, a l'n'de de ces appa- reils (ionl les prix soul de 18, 20 et 22 fr». Les poudres pour leur fabrication s'ob- tieinieni dans la nième rnaison. Assorlitnei11 inagiiifi(|iie tl'arlicles de fan- laisie pour cadeanx, etc. maroipimerie de luxe; |)oreelames d'ari iimniees; caves a li- queurs; bronzes laipie de Chine opliqtie; accordeon-: pendules bronzes; candélabres; ariieiilerte Ruohz; para jiiuiescannes; arti cles de pêche; articles de voyage; contello ries haroitièiresihcrmoinéires; lutielles; pince ttez, etc., eic. ATTENTION! L'ALLIANCE HORLOGÈRE a Chaux-de-Fonds (Suisse) demande des reprèsentants dans tous les pays pour des articles d'une vente tellement facile que toute personue intelligente homme ou dame, pourra dans ses loisirs se créer un fort revenu. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1878 | | pagina 3