I m mSÈÊÊFÊ 878. ^^/Qlri^-liVA^ «50» y- - n^GANc mm 'mm. Samedi 17 A out 1 1 annéc. N° 1.318. KKSHlBï I e Journal parait In Mfrcredi «t Ie Samedi. Les insertions content IS centimes la Iiijne. Les réclames et annonces'judieiaires se paieul. 30 centiuies la hgne. On traite d forfait pour les insertions par année. Un numéro (Ju journal, pris au Bureau. 10 centimes. Les numéros supplémentaires commandos pour articles. Réclames ou Annonces, content 10 fr. les 100 exemplaires. CMS IK ]?B E 2V S SC Ef B-C ES. LE DYNASTIE LIBERALE. N'ousavions bien raison, il y a sixsemai- nes, de prémunir nos amis pOlitiques cóntre les manoeuvres libérales possibles, a Pócca- sion des noces d'argent de Leurs Majestés. Ou* nous répóndit alorsVouS combaltez des iiioulins a vent le jour n'est pas plus pur que le coeur de 51. Auspacb M. Anspach veul une féte nationale on nc fera pas de politique; il n'y aura cc jour-la quo des Bei ges, etc., elc. Et aprés cela en avant la musique et les recruleurs de souscriptt'ons a vmgt-cinq cen times Tant que dura la période de sous- scripiion, les feuilles anspachardes se turenl. Mais uue fois le coup de filet réalisé, c'est a dire l'argent recueilli, el les se sont empres- sées de jeter le masque et de dunner une couleur libérale aox leles nuptiales projelées. Elles sont pour tout dire relournées a leur vomissementel nous les voyons depuis quelques jours calomnier avec ardeur les clérieaux el essayer de faire eroire qu'ils ont refusé de signer les listes qui leur ont été présentées. C'est d'abord la noblesse catbolique qui a elé en butle a cetle calorn- nie, puis ca été le tour du clergé; aujourd'hui voila que les bètes d'enere gueusess'al- laqueut aux campagnes Or, ia vérité la voiei les baules classes beiges aussi bien que le clergé el les ruraux ont été un ne peut plus sympalbiques a la manifestation en voie d'organisation, et il est permis de dire que, dans les mélaux et les joyaux qui out servi a confectioneer la couronne qui sera offerte le 22 aoüt a la Reine Mane-Hennetle, d y a quatre-vingl- sepl pour cent d'or catbolique. Ce qui est vrai, eest que dans bien des villes libérales, les autorités ne se sont pas mème oecupées de la souscriplion; que dans d'autres el le a clé froidement aecueillie. A Bruxelles, par exemple, dans des rues que nous pournous citer, les femmes libres-penseuses, républi- caines, socialistes, jacobines et communardes j| y a de tont cela sur la lignasse de la belle Bruxelles répondaienl grossiérëment aux' colporteurs de souscriplion Passez votre cliemin uue couronne a la reine; et pourquoi faire? Qu'elle l'acbète si elle la désire. Elle a mieux le moven que nous. Voila la liitérature pairiolique de ces dames, les bonnes amies de la presse gueuse, qui cherche aujourd'hui a dénigrer les fem mes catholiques beiges Nous avons peut ètre toil de relever les vifénies actuelles de cette presse. Ilesi.en effef, avéré qu'en fait d'atlaebemeut a leurs princes; ee n'est pas chez les libéraux que nous devons aller prendre des lecons. Ce n'est pas nous que I on vuil insuiler le Roi lorsqu'il a ailtour de lui des ministres libé raux. Ce n'est pa5 nous non plus qui avons jamais erié dans les rues de n'unporte quelle cité beige Vive la Itëpublique et A bas Léopold II, ni qui avons souscrit pour les pillards des Tuileries. Au surplus uos Sou- verains saven! parfaitemenl a quoi s'en (enir sur !e monarchisme de nos adversaires. lis ont pu s'assurer depuis longlcmps que sou iutensilé est en raison directe de la somme de prépotenee politique qu'ils exercent. C'est I aussi avec toute la fermeté que commande ee qui faisait due a un bemme politique i notie triste situation. Un pélitionnemeni éminent de ,1a generation de 1830 Les libéraux ont deux sortes de dynastismes; l'un pour l'opposilion, qui marque parfois zéro fautre pour le pouvou' il est tout en el tout feu. Nous sommes a eelte dernière phase, cela se voit aiséin'eni. Soil, mais au moins que uos adversaires aieni la pudeur de respecter noire dynaslisme, a nous catitobqu.es, qui est lout pelrt de fidélile et de sineérilé. TRISTE SITUATION. Une sorie de fièvro s'empare du pays; un mêconteniemeni subit se manifeste parloul et graiidu de jour en jour. A la surface, eet ébranleineni n'est nen encore, mais au fond de tous les ecenrs catholiques, dans nos cer- cles, comine a l'mteneur de nos maisons, le Rol de l'irrilation montè; sous le double soufilel que vient de recevoir la Belgique catbolique. Blesses dans nolrc dignilé eomrnë dans nos droits, par les acies brulaux et révolu- t ion na i fos que vient de poser le ministère liberal, qu'avons-nous a faire désormais? 51ais voyons d'abord ee qu'auraient fait nos adversaires s'ils avaient eu a subir l'humilia- lion qui nous est faite On le sail, nos gueux auraient jelé sur le pavé de nos grandes villes, la tourbe de leur parti, continue par eux, et excilée par le gemèvre. lis auraient ené: Demission De mission! on bien: A bis le Roi! Ln Garde civupie libérale cüi levé la erosse en fair comine tn 1870; elIe ministère catbo lique, coupable d'avoir deslilué des gouver neurs libéraux, eüt été deslilué a son tour. Cette supposition est incontestable. II n'y a a ee sujet qu'une voix en Belgique; libé raux el catholiques sont d'accord sur ce point. Ce sont mème des choses qui se di- saienl alors a haute voix qui s'écrivaient dans la presse libérale et èmeutière sans distinction, et que l'ou répète partoul au jourd'hui. Non, les catholiques beiges ne descendronl pas dans la rue, mais iIs auront assez d'é- nergie, assez de volonlé pour ne point se comber devant l'omnipotenee révolution- naire des gueux. Nous savons bien sur quoi ils comptent pour avoir le dernier mol dans la crise na tionale qui se prepare; ils comptent sur notre patience, lis disenl laissons erier les catholiques, ce sont au fond de bous enfants; aprés avoir uu peu réclamé ils se tairom, el aceepteront ie fail accompli comine iIs font fail pour la loi des bourses et bien d'autres. Eb bien le libéralisme se troinpe. II faut une fin a tout et nous saurons lui prouver que celie lin est arrivée. Nous sommes pa tients el bons, trop bons belas comine les libéraux le disent eux-tnèines, mais qu'ils Ie saebenl, nous ne sommes point des laoiies disposés a laisser perseculer nos prétres et a subir la lyranniedu plus fort, Allons au Roi. Demandons-lui justice Faisons valoir nos griefs avec oaline, mats s'organise da.is tons les cercles du pays. Est-ce assez Non. II n'est pas un village, pas un hameau de la Belgique donl la population ne soit catbo lique. Qu'a dèfaut de eercle ou d'organisation pour se joindre a nous dans la protestation nationale qui se prépare, qu'tin catbolique dévouè serve d'iniermèdiaire. Car il imporle que les ealboliques de toutes les communes du pays é'éveiU la voix jusqu'au pied du tröne contre l'inique conduite d'un ministère qui veul réd ui re les catholiques beiges a l'étal d'eselaves et de parias. NAIVETÉ DE L'IN DÉPENDANCE. Les clérieaux, dit f l/idépvndance, en sont déj.i a demander f.intervention du Roi dans nos débats poliliqticsel a le prier d'arrèter la marehe dangereuse dn cabinet liberal. II nous semble que ces clérieaux abandonnenl bien vit e le terrain parlemen taire. II leur faut des moyens exceplionnels pour faire marcher le pays. Nous nous bor- nerons a signaler l'incorreelion de sollicila- lions pareilles et nous nous garderons bien de les discuter. La naïveté de Hndépendance vaut sou pesanl d'or. A qui veut-elle que les ealboli ques s'adresseni done si ee n'est au Roi Serait-ce au Parlement Mais c'est une piai- santerie. II n'y a plus de Parlement pour les catholiques Li tnajorité qui y tröne en fait une Chatnbre d'mjustice en laquelle nous n'avous plus foi. Et puis que pouvons-nous attendre des jacobins de la gauche sinon la haineetla persecution? Nous n'avons done rien a leur demander. Nous nous adresserons done au Roi, et quelque incorreeles que nos sollicitations puissent paraitre a fin dépendance nous demanderons au Souverain de tous les Beiges justice des abus de pouvoir du libéralisme. PARALLELE ET CONTRASTS. La presse libérale, pour atténuer le detes table effet produil par la brutale révocallon de M. le chevalier Ruzette, essaie d'opposer a celte rnesure l'arrète royal du 24 juillet 1870, par lequel 51. Carton, commissaire d'arrondisseinent a Ypres, élait admis a faire valoir ses droits a la retraite. C'est assimller deux situations essenlielle- ment diffefen'les. St 51. Carton a été mis a la retraite, eest quil Pa bien coulu, et ce n'est pas précisé- mcnl le eas pour 51. Ie Gouverneur relevé de la Flandre Occidentale. Rappelons en peu de mots les fails qui se sont passés en 1870. A la suite du soulagement nniversel, les Chambres furent dissuutes et des elections generales eurent lieu dans le pays. II importait évidemmenl a la sineérilé du seruiin que les fonctionuaires s'abstinssenl d'mterveiiir cumme tets dans la lutle electo rale. Celte abstention leur fut recommandée par une circulaire de tM. le baron Kervyu de Lettenbove qui, tout en lour reeonnaissant la pleine liherté de leurs opinions mdivi- duellcs, leur prescrivait de no p.vs interveuir dans la hitte electorale, d litre (TautorUê comine rlrsenl les libéraux, eu parlanl de la loi de 1842. C'est a cette prescription si legitime que M. Carton refusa d'obéir. II préiendit inener la campagne electorale contre le gouverne ment dont il élait l'agont el se scrvir a cette fin de l'iuflueiice inseparable de S'-s fonolions de commissaire d'arrondissi inent. N'éiait-ee pas. en termes, jionr ainsi dire formels, de mander sa mise a la lelraite Legonver- nement la lui a aceordée el personne n'en a fait sérieusement un grit f au ministère de celte époque. La presse libérale devrait bien ne paseon- fondre eorail avee éperon el verrnicellè avec trombone. Les deux meidciits tpi'elte rap- proche n'onl absolument rien de eommun. Bien Public). DIFFOBMITE ELECTORALE. 51. V. Jacobs a spiriluellement dofini le [irojet de loi sur la mutilation du corps elec toral, soumis en ee moment a I'examen de la Chatnbre. C'est, a-t-il dit, dans h séance Je same di, un enfant dont 51. Graux n'est que le par- rain, dont l'bonorable 51. Frére est le pére et dont la toilette a eté latte par la Fèdérulion libérale-, cel enfant est dós-naturel peut-èlre, mats irés-peu legitime. L'émiiienl depute d'Anvers juslifij cetle definition eti faisant ressortir le inanque absolu d'iiTiparlialile du [irojet de loi. Ce <pii distingue fceuvre niinistérielle, retnarque l-il, c'est la suppression eu masse d'un grand nombre d'eleeteurs catholiques; il s'ingénie a eouper court a toutes les frau des dool les ealboliques pourraient profiler, sans -prendre aueune mesure de quelque nature qu'elle soit a l'égard des fraudes dont les libéraux usenl et abuseut. La justesse de cetle appréeiation saute aux yeux en présence du refus obsimé du gou vernement d'edicter la moindre disposition contre les faux palenlables qui, a Anvers par exemple, allèretR dans une si large mesure la sineérilé du corps élecloral. Nous eitious, il y a quelques jours, d'apiés fEscuul, des chiffres et des fails qui altes ten t ton le l'enormité des fraudes pratiqwées par les Gueux anversois. Ces fraudes sont si cónsidérables et si étendues que, mème en ralifiant la souslraclion de B00 voix eommise le 11 juin, par deux bureaux électoraux au détriment de la listedu Meeting, les libéraux d'Anvers seraienl encore de loin en minorilé si on leur dèfalquail tous les suffrages illégi- tiincs. M. De Wael n'a pas été élu settlement par les éleeteurs du pourboire; il l'a été avant lout par les faux palenlables et par les faux commis. Néanmoins, alors que, sous prétoxle de fraudes, on execute tmpitoyablemenl les chevaux inixtes, les palentos sitnulóes jouis- sent d'une invio'abilité compléte. Esl-ce im partial Est-ce juste II tombe cependanl sous le sens que la sineérilé des listes électorales est bien autre- ment atleinte par les faux palenlables que [iar les faux chevaux inixtes. Void a eet égard, et tout juste pour l'ar- rondissemenl d'Anvers, des chiffres tirés des slatistiques oflieielles de eesd'Tniéresannées: Années 1873 1874 187o 187G Chevaux mixtes 820 861 908 1,200 PatentesdecominisSlO 745 670 1,626 [,a progression d'une année a fautre, de 1873 a 1870, est de 33 p. c. pour les che vaux inixtes, de 130 p. c. pour les commis! Nous le demandons, en présence de ces donnèes irrécusablesest-il possible d'ad- mettre que le projet de loi soumis aux Chatn- bres ait, dans la pensee de ses auteurs, le bul de eouper court aux fraudes de quelque ■part qu'elles viennenl Personne n'oserait loyalemerit le soulenir. Sous prétexte de réprimer les fraudes, on élimine, d'une part, du corps élecloral des éleeteurs parfaitemenl irréprochables; tandis que, d'aulre part, on y maintient sciemment des éleeteurs parfaitemenl fraudaleux. L'ceuvre ininislérielle n'est done pas im- partiale, elle n'est pas mêuie honnête, et c'est a bon droit que le sentiment public révolté demaiide au Roi de ne pas sanction eer ce tripotage législalif. L'accueil qui sera fait aux amendements présentés par 5151. Jacobs, Woisle el Malou acbëvera de nous édifier sur le degré de rnoralitè politique du libéralisme en celte occurence. On aura lemarqné que ces amendements sont parfaitemenl dans la logique et dans la gamine du projet de lotIls ne font qu'éten- dre aux fraudes libérales les dispositions cointninécs contre les chevaux mixtes et ils reproduisetil jusqu'aux termes meines de ces dispositions. Qu'opposer a eet argument par analogie? Pourquoi épargner l'abus le plus grave, alors que l'on extirpe l'abus moindre jusqu'au point de üupprimer le droit lui- inème C'est évidemmenl Ie eas d'appliqu'er le vieux bioeard: Ubt vadem ley is ratio, ibi debet esse eadem ley is dispositie. Mais les Gueux se souciem bien d'etre lo- giqnes el d'èlie jusles II s'agil avant tuut, dit le Journal de Gatul, de mettre le parti cléricaI dans l'nnposibilitè d'aequérir une nouvelle preponderance. Tel est le sommaire mais sincere exposé du projel de loi; tout Ic reste n'est qu'une phraséologie inenteuse a laquelle la majoritè ne croit pas plus que l'opposilion elle-mème. LES AFFAMÉS. On éerit de Bruxelles a la Patric Je suis revenu depuis bier de la campa gne. et si Bruxelles n'a guère de visiteurs ètrangers, elle fourmille de solbeileurs. Le diabte de la curiositè me poussant, je suis M>1rai ''u r s/N-N.iV v --r«rii^sj|. -.mi- war Pope- Poperinghe- Ypres, 5-15, 7-00, 9-2S, 11-00, 2-15, 5-05, 9-20. Ypres-Popérirfgtvp, 6-30, 9-07, 12-07, 3-57, 6-50, 8-45, 9-50. ringhe-Hazebrouck, G-53, 12-25, 7-10. ilazebrouck-Poperinglie-Ypres, 8-25, 4-00, 8-25. Ypres-Roulers, 7-50, 12-25, 0-30. Roulors-Ypi'es, 9-10, 1-50, 7-50. Roulers-Bruges, 8-45, 11-34, 1-15, 5-16, 7-2019-55 Thourout.) - Bruges - Routers, 8-05, 12-45, 5-.05, 6-42. Tliourout - Courtrai, 5-15 mat. A'pres-Gourtraip5-34, 9-46, 11-20, 2-35, 5-25. Courtrai-Ypres,- 8-jOS, 11-05, 2-56, 5-40, 8-49. Ypres-Thourout, 7-00, 12-00, C-07, (te Samedi a 5-50 du matin jusqu'a Laugeuiardv.) Tliourout-A pres, 9-00, 1-05, 7-45 (ie Samedi A 6-20 du matin do Langötnarck a Ypres). Comines-Warnêton-Le Touquet-Houplines-Armentières, 6-00, 12-00, 3-35. Armentièros-Houphnes-Le Touquet- Warnêton- Comines, 7-25,2-00, 4-45. Comines-V.'arnéton, 8-45 mat. 9-30 soir, (le Lundi (i-30.) Warnêton-Comines, 5 30, 11-10 (ie I.undi 6-50.) ges, 5£45, 8-,40 1-25, 5-30. Ingelmunster-Deynze-Gand, 5-00,9.-41,2-15. Ingolmunster-Deynze, 6-10,7-15. Gand-Deynze-Ingelmunster, 6-58,11-20, 4-41. 7-21. JDeynze-Ingelm unster, 12-00. Ingelmunster-Ansegfiem, 6-05,12-55, 6-13. Anseghem-Ingelmunster, 7-42, 2-20,7-45. Lichtervelde-Dixmude-Furpes et Dunkerque, 7-10, 9-08, 1-35, 7-50. Dunkerque-Furnes-Dixmude et Lielitervelde, 6-15, 11-05, 3-40,5-00. Dixmude-Nieuport, 9-50, 2-20, 8-35. Nieuport-Dixmude, 7-15, 11-55, 4-20. Thourout-Ostende, 4-50, 9-15, 1-50,8-05. Ostende-Tbourout, 7-35, 10-40, 12-20,6-15. Selzaete-Eécioo, 9-05,1,25, 9-03. Eectoo-Selzaete, 5-35, 10-20, 5-05. Gand-Terneuzon Selzaete-Lokeren ',en (station), 8-17, 12-25, S-05. (Porte d'Anvers) 8-30, 12-40, 8-25. Terneu/.on-Gand, 6-00, 10-30, 5 30. 5ren, 9-04. 1,25, 9-03 (le Mercredi, 5-10 matin). Lokeren-Selzaete, 6-00, 10-25, 3-25 (leMardi, 10-00). coo.B.tiHi'OHrxjivwcKS. COURTRAI, BRUXELLES. BRUXELLES, COURTRAI. Courtrai dép. 6,37 .40,53 12,33 3,42- 6,35. llruxelles arr. 8,5(1 1,35 2,25 6,10 8,51. COURTRAI, TO URN AT;' LILLE. Courtrai dép. 6,37 9-37 10,56 2,51 5,31 8,47. Tournai arr. 7,28 40,15 11,47 3,48-6,39 9,41. Lille 7,42 10-42 12,03 4,00 6,37 10,01. Courtrai dép. 6-42 Gand arr. 8,01 COURTRAI, GANP. 9,49 12,31, 3,44 6,40 9-32. 11,08 1,51, 5,04 8,00 10,20. BRUGES, GAND, ERUXELEES. Bruxelles dép. 5,22 S,28 12,21 5,35 6,47. Courtrai arr. 8,00 10,46 2,44 7,56 8,14. LILI.E, TOURNAI, COURTRAI. Lille dép. 5,10 8,12 11,05 2,21 4,10 -8,10 Tournai 5,42 8,56 11,32 2,40 5,26 8,50 Courtrai arr. 0,12 9,49 12,31 3,14 6,40 9,32 GAND, COURTRAI. Gand dép. 5,15 8,45 9.34 1,28 4,20 7,21. Courtrai arr. 6,37 9,37 10,50 2,54 5,34 8,47. BRUXELLES, GAND, BRUGES. Bruges cf. 6,49 7,04 9,39 12,31 2,52 6,43 Bruxelles dép.ö,22 7,20 7,25 9,00 11,06 1,35 3,02 5,55 5,01 8,10 S,20. Gand dl 7,34 8,19 10,54 1,49 4,07 7,58 9,33. Gand arr. 5,55 8,29 9,31 10,22 1,17 3,59 4,11 7.17 7,02 9,10 10,20. Bruxelles 8,50 10,35 12,39 4,00 7,15 9,31 10,42. Bruges 7,15 9,23 10,51 11,20 2,38 5,01 8,38

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1878 | | pagina 1