Agent de Change, Fonds publics,
Escompte Recouvrements.
o V^TrTla g
SSAAÏL&NBEM
AFVAL VAM BOOMEN
EENEN KOORNWINDMOLEN,
ARTHUR DEVARVER,
H0ÜBL8N POPERINGHE.
D'HUITRES D'OSTENDE,
isE
MATERIEL DE FERME,
EEN HUIS EN ERF,
BIENS IMMELBLES
MEUBELSLANDS ALM,
vssaj€BtTas/%t.
HUITRES ANGLAISES
FRANCE.
BIBLIOGRAPHIE.
L'IlliiMfratioii Kinro|Ȏciiuc.
BURGERSTAND VAN YPEREN,
HOMiMELIHARKT.
S'JCRIGEN MARKT.
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Mill
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Notaire d Convives.
LUND I 30 SEPTEMBRE 1878,
a 2 lieures précises de rclcvée, a la
lerme occupée par Vandelan-
noitte a Zandvoorde,
Venle ridiliijuc
DE
6 Vaches laitières, 2 Genisses, 2 Ycaux,
2 Pores et 1 Ane.
50 ares de Pomraes de Torre.
Betteraves.
STUDIE
van den Notaris MA HIE U,
MAENDAG 30" SEPTEMBER 1878.
3 uren namiddag, in Ret llötel des
HrasseursVleescRRouwersstraet, te
Ypre, van
JFcnigen kuop.
TE YPRE
zuidzyde der Boterstraet, N" 105.
Titans ledig.
Ingesteld 4,725 francs.
ETUDE
VENTE PUBLIQUE
avec gains de 1/2 de mise-a-prix,
dependants de ia succession de W",c
Vanhaverbeke-Vandamwe
Wervicq
rue des Moulins.
1° Une MAISON avec 1 are 48 cent,
de Fonds et Jardin, marquée n° 49.
Uccupée par Gnockaert-Gatrysans
bail.
2" Une MAISON avec 1 are 41 cent,
de Fonds et Jardin, marquée n° 51.
Occupee par Clément Vandamme
sans Rail.
3" Une MAISON avec 1 are 78 cent,
de Fonds et Jardin, marquée nu 53.
Occupée par Jean Deccrf, sans bail.
Le long du c/iemin dit Rapetstraat.
4° 66 ares 60 centiares de TËRRE
EN LABOUR.
5" 38 ares 20 centiares de TERRE
LAB0URABLE.
Occupés avec I'article 4 par Théo-
pliileCasier, jusqu'au 1 Octobre 1879
a 180 francs fan et l'impöt.
Pavé de G hel uwe.
6° Une partie de TEBRE A LABOUR
de forme triangulaire, contenant d'a
près cadastre 34 ares, tenant du cou-
cbant au pave de Wervicq a G Rel uwe
et du midi a la rue de la Procession.
Occupée par GR. Libert et Pierre Dc-
clerck.sans bail, ensemble au rendage
annuel de fr. 71-50 outre l'impöt,
Divisée en terrains a batir.
Séances de la vente
MISE-A-PRIX le Mercredi 2 Octobre
1878,
ADJUDICATION Ie Mercredi 16 du
méme mois,
chaque fois a 4 heures de relevée, en
l'estaminet «Ze Faucon», i'ue Fla-
mande, a Wervicq.
KAN TOOR
van den Xotariü CAPKÏjIjE,
OP VRIJDAG 4 OCTOBER 1878,
om 3 uren precies namiddag, te
Watounabij de Vuile Seule, ter
hofstede gebruikt door sieur Désiré
Van Cuyzeele-Demol,
SCHOONE VENDITIE
als Kroonen, Spaanders, Hout bundels,
Resten, 4 gevelde Wilgen, enz., ver
deeld in 70 koopen.
Op gewoone voorwaarden en tijd
van betaling.
Notarissen VEYLSTEKE te Staden
en BOE D I S te Eerneghem.
CPE^BARc VERK00P1«G
EN MEERUCHEN,
TE STADEN EN ZARREN,
langs den steenweg van Rousselaere
naar Dixmude.
komst van don Notaris ESm-dt*. (e
EernegRcrn openbaarlijk te koop
bieden de volgende onroerende goe
deren
GEMEENTE STADEN
Koop 1. Een wel geklant. KOORN
WINDMOLEN gerieflijk Woonhuis,
Schuur, Wagenkot, Koei- en Peerden-
stal met 25 aren 50 centiaren Erf,
onder bebouwden grond, boomgaard,
tuin en land, sectie A, nrs 101, 102,
103, 104 en 105.
Koopen 2 en 3. Partij LAND, Sc A,
n' 112, groot 59 A. 60 G.
Koop 4. 56 A. 70 C. ZAAILAND,S" A,
n' 141.
Koop 5. 66 A. 70 C. ZAAILAND, SCE,
rv 1365'.
Koopen 6, en 7. 80 A. ZAAILAND
Se E, rr 1411.
Koopen 9, 10 en 11. 84 A. 10 C.
ZAAILAND, S" E, n' 1413'.
Koop 12. 4 A. MEERSCU, Se E, nr
1425".
Koop 13. 3 A. 10 G. MEERSCU, Se E,
n' 1425".
GEMEENTE ZARREN
Koop 14. 19 A. 30 G. MEERSCU,
Se B, tv 447" en 448\
Koop 15. Partij MEERSCU groot
28 A. 10 G. S' B,' n,s 447" en 448".
In genotlreding van de hierboven
gemelde goederen met den dag der
betaling.
Inslelpcnningen te winnen.
INSTEL, Maandag 7 October 1878,
ter herberg den Engel, bewoond door
Désiré Vanheule,
OVERSLAG, Maandag 21 October
1878, ter herberg la Belle Vuê, be
woond door Gil. De Keteiaere, beide
te Staden en telkens om 3 uur na
middag.
Voor nadere inlichtingen men be-
geve zich ter studiën van de Nota
rissen NUYLSTEKE en BOEDTS voor
noemd.
De Notaris fisySstekc, verblij
vende te Staden, zal, met tusschen-
Dcn DONDERDAG 10 OCTOBER 1878,
om 9 uren voormiddag, ten hove ge
bruikt door Ambrosias Pacquet, le
Staden, wijk Mispelaar Eik,
V K 0 I T S E
1 Peerd, 3 Koeien en 22 Zvvijns.
De Notarissen t'tsj-Sstekc, te Sta
den en Eloedtx. te Eerneghem, zijn
met deze vendilie gelast.
CHEZ
a 12 fr. le
IIOMARDS, FLIK HOTS
POISSONSDE MER.
Sï1, rwc do BjIHc, Sf,
Ouverture fixée au 2 Septembre 1878.
Une personne solide et. active se
présente comme AGENT pour la vente
de lloublon Popcringhc. en IIoleande,
surtout dans Ie Limbourg. Quanta sa
personne, il peul donner les meilleurs
eerlificats. S'adresser au bureau du
Venloosch Weekblad a Venloo (lloll.)
A LA GARPE,
Kïai'eSic Poiftüioiis, l'itroN,
v- M ER Al NY-MORT IER;
A 12 FRANCS LE GENT.
Ilomards, Tm bols, Saumon et tout
autre Poisson de mer pour Diners et
Banquets.
I,a souseriplion ouverte a l'Evêilié, pour les
viiraux de Jeanne d'Arc a la calliédraie d Orléans
el la rest.iuration du monumenl expiatoire ile
l liéroïne, s'élève aiijoiud'hui a 98,979 fr. 50 e.
LE LOURDES POLONAIS.
On écrit de Posen, 13 Septembre, au Monde
J'ai un peu tardé a vous envoyer l'écho des
dernières merveilles dont l'humble haraeau de
Gietrzwald, le Lourdes polonais, a été de nou
veau le théatre au 3 Septembre dernier. Mais je
tenais a recueillir le plus possible de détails et
de témoignages authentiques. Aujourd'hui, en
essayant de vous décrire uue fois de plus ces mi
racles de la miséricorde divine, je voudrais met-
tre dans ma lettre un peu de ce parfum du ciel
et de cette divine allégresse que rapportent de
eet endroit béni tous les pèlerins qui ont eu le
bonheur d'y recevoir la bénédiction de la Très-
Sainte Vierge.
Le concours des fidèles a été prodigieux dés la
veille de la Nativité. Toutes les voies ferrées,
tous les chemins de traverse étaient eneombrés
par une immense vague humaine qui s'avanqait
vers le but du pèlerinage en chantant de pieux
cantiques. Le propre de la dévotion polonaise
est de louer le Seigneur par un chant interrom-
pu. Les 60,000 personnes accourues de toutes les
parties de la Pologne pour rendre hommage a
leur Reine, chantait done nuit et jour autant de
l'endroit privilégié. Le village offrait bien pu
d'abri pour coutenir une foule aussi nombreuse,
la plupart des pèlerins couchaient a la belle étoi-
le, ou plutót veillaient en prières. L'église ne se
désemplissait point non plus: les classes élevées
de la société avaient envoyé un contingent de
pèlerins fort respectable, oil nous i etrouvions
des noms illustres et bien portés; mais, tout na-
turellement, c'était le peuple qui était en majo-
rité, ce peuple si pieux, si fervent et si croyant
a la'fois, qui ne cesse d'etre pour nous un motif
d'édiflcation et d'encouragement. Si la foi trans
pose les montagnes, on peut soutenir assuré-
inent qu'un pareil mouvement de foi est capable
de toucher, d'amollir les cteurs les plus endur-
cis La simplicité, la piété de ces paysans, accou
rus ici au prix de trés réels sacrifices, souvent
au péril de leur vie, pour ceux qui, sans passe-
ports, traversaient les frontières russes, leur
douceur au milieu des privations qu'ils avaient
a supporter leur charité aimable et réciproque,
enfin et surtout leur élan d'enthousiasme pour la
Mère de Dieu, tout cela formait un ensemble iué-
narrable.
Environ soixante prêtres se trouvaient mêlés
a la foule des pèlerins; malgré la presence des
gendarmes qui essayaient d'empêcher toute fonc-
tion sacerdotale par une surveillance minutieuse
et ininterrompue, on se confessait sur tous les
points de l'immense assemblée, on demandait
aupc prêtres de bénir des objets de piété, etc. De-
puis l'aube. les messes se succédaient sans inter
ruption dans l'humble petite église; quatre heu-
res durant, cinq ou six prêtres sufflsaient a peine
a donner la communion a la foule qui se pressait
a la Sainte-Table. A 7 heures et demie, la foule
se porta vers l'arbre du cimetière, au-dessus du-
quel la Sainte-Vierge daigne apparaitre a ses ser-
vantes. Aussi loin qu'on pouvait distinguer, eé-
tait une veritable mer humaine de tétes incli-
nées. Les enfants de l'école coinmencèrent la ré-
citation du Saint-Rosaire: toute la foule s'y asso-
cia silencieusement ou a demi-voix. Les deux
petifes filles privilégiées de l'annóe dernière
étaient absentes par ordre de leur évêquo, Mgr
d'Ermland. II n'y avait que la veuve et la jeune
fille, qui sont seules, cette fois, a contempler la
céleste apparition. Comme de coutume, l'extase
commence dans le second mystère et dure en
moyenne sept a huit minutes. La figure des
voyantes se transfigure et rappelle les plus tou-
chantes inspirations du pinceau de Fre Angelico.
II y a différence dans l'expression du regardles
yeux de la veuve ne respirent que joie et ten-
dresse, ceux de la jeune fille semblent dénoter
encore une espèce d'étonnement craintif. La
Sainte-Vierge bénit les fidèles: elle est souriante,
satisfaite du mouvement de foi et de piété qui
amène tant de monde a ses pieds. En récompense
de eet élan d'amour, elle promet de revenir l'an-
née proehaine aux mèmes fêtes de la Portion-
cule, de l'Assomption et de la Nativité. Au mo
ment de sa bénédiction marquée par le salut
profond des deux voyantes, l'enthousiasme ému
des fidèles déborde: ce sont des pleurs, des cris
d'amour, des gémissements prolongés.Les voyan
tes voient disparaitre la céleste Visiteuse et re-
prennent aussitót leur expression naturelle. La
récitation du chapelet s'achóve; aussitot des prê
tres emmènent les pieuses femmes au presbytè-
re, ofi on les interroge chacune séparément, afin
de dresser un procés-verbal exact.
Les réponses coincident parfaitementleurs
descriptions s'accordent en tout avec cette seule
différence que la veuve voit toujours la sainte
Vierge avec l'Enfant Jésus dansles bras, tandis
que la jeune fille l'aperyoit sous la figure de
l'immuculée-Conception. D'ailleurs, la coinci
dence est parfaite; 1'une et l'autre décrivent la
mënie robe blanche semée de lys dor, avec
eeinture et mauteau d'or, les mémes anges aux
pieds et au-dessus de la céleste Vision, la méme
voix harmonieuse et touchante. N'ayant pas sous
les yeux le procés-verbal destiné a l'évéché, je
n'ose vous répéter tout ce qu'on assure avoir été
dit par la Sainte-Vierge. On a remarqué qu'elle
se refusait a répondre a des questions d'un
caractère politique, mais promettait des temps
meilleurs pour l'Eglise, a la condition de beau-
coup prier. La fidéle récitation du Rosaire coii-
tinuera a être un gage de bénédiction pour les
maisons et les personnes qui garderont pieuse-
ment cette pratique. La Sainte-Vierge a encore
appelé a la pénitence les pécheurs endurcis et
surtout les ivrognesassez nombreux parmi
notre peuple. Elle a promis, en outre, que pour
vaincre les hésitations de l'évóque du diocèse,
qui se'tient jusqu'a présent dans les bornes d'une
prudente réserve, une apparition de son véué-
rable Epoux, saint Joseph, vieudrait prochaine-
rnent conttrmer les merveilles préeédentes.
L'eau de la l'ontaine et les ardentes prières des
fidèles qui y ont recours ont dója amené plusieurs
guérisons. J'ai lu. entre autres, le rapport d'un
pi être affirmant la guérison immédiate d'un
perelus qui, après avoir perdu l'usage de ses
membres pendant cinq années, a été guéri aux
pieds de la Sainte-Vierge. Je n'en dis pas davan-
tage, afin de ne point me risquer a vous parler
de faits moins prouvés, dont cependant l'enthou
siasme de la foule émue se fait l'écho. C'est ainsi
qu'il est bruit de maintes autres merveilles, de
possédés délivrés, d'aveugles qui voient et de
muets qui parient. A l'évêque de si ces faits sont
tous miraculeux et authentiques. Quant a nous,
nous savons que personne n'est allé porter a
Gietrzwald le fardeau de ses peines ou de ses
fautes sans en revenir le coeur plus léger que
personne aussi, en approchant de ce lieu béni,
n'a pu garder la moindre défiance ni le moindre
soupcon a Tégard de l'authenticitó de ces mer
veilles.
Ces visites réitérées de la Consolatrice des
affiigés nous sont un gage de sa maternelle bien-
veillance a l'égard de son royaume. Un prédica-
teur allemand, qui s'adressait aux pèlerins de
cette nationalitó dans l'après-midi de la fête
s'écriait avec émotion Comment s'étonner des
graces spéciales que la Sainte-Vierge accorde
aux Polonais, quand on voit la piété incompa
rable de ce peuple, qui pourrait enseigner aux
autres nations comment il faut chérir et louer la
Mère de Dieu
Mais tandis que les célestes assurances sem
blent nous annoncer une ére de paix, nous qui
ne connaissons pas l'heure de Dieu, marquée
peut-étre dans un temps différent de nosmesures
humaines, nous éprouvons une angoisse doulou-
reuse en voyant se dissiper en fumée les sem-
blants de conciliation dont l'entrevue de Kissin
gen nous donnait l'espérance. Jusqu'a présent,
nous ne sentons nullement l'effet des belles pro
messes du chancelier; au contraire, les arresta-
tions se succèdent, et les prêtres prisonniers
sont traités avec une sévérité renforcée. Défense
d'adoucir pour eux le régime de la prison, de
leur faire parvenir des journaux, de leur laisse-
dire la messe. Si le projet de loi contre les socia-
listes passé dans le Parlement, on l'étendra sans
nul doute aux catholques et aux Polonais, ce
projet contenant une phrase ambigue qui peut
être généralisée au gró des autorités locales.
Comme vous vous en souvenez sans doute, nos
diocèses out servi de champ d'essai pour la lutte
persécutrice, et c'est l'admirable résistanee du
cardinal Ledoehowski qui a donné pour ainsi
dire le ton a l'attitude de toute l'Eglise d'Allema-
gne. Ses exemples et sa fermeté ont empêché
toute défaillance dans le camp des persécutés.
Les premiers au feu, nous avonsl'honneur d'etre
encore les derniers a l'essuyer; les haines politi-
ques y aidant, nous pressentons bien que le
Kulturkampf aura beau cesser en Allemagne,
on le prolongera encore pendant quelque temps
dans nos diocèses, afin d'écraser par ce moyen
l'élément polonais.
Le prince de Bismark a, dit-on, manifesté ses
dispositions hostiles a notre égard dans ses en-
tretiens avec Mgr Masella, s'en prenant a Rome
des encouragements que le Pape serait censé
donner a la résistanee nationale des Polonais.
Voila comment sont interprétóes les paroles de
consolation que le Captif du Vatican daigne
adresser de temps en temps aux plus malheureux
d'entre ses enfants.
Done, pour le moment, nous ne voyons pas
encore luire l'lieure de la délivrance et de la
paix; bien au contraire, les sévices augmentent
en nombre et en sévérité, et l'horizon ne présente
point d'éclaircies liumaines. Kspérons que les
promesses de la Sainte-Vierge ne se rapportent
point a un aveuir éloigué, mais se réaliseront
plus tot que les événements ne semblent 1'au-
noncer.
II est dur de reprendre le chemin du Calvaire
quand on a entrevu le Thabor. Or, p.endant que
duraient les illusions d'un accord prochain, basé
sur la volontaire reconnaissance des torts que
sembiait vouloir abjurer a Kissingen M. de
Bismark, uue allégresse indicible s'emparait de
tous nos coeurs, surtout a l'idée de voir revenir,
avec le signal do la paix, le Pasteur vénérable
que nous avons vu eloigner de nous, il y a
quelques années, au milieu d'une desolation
générale. Ahcombien ce lien doux et sacré qui
unit un óvéque a son troupeau s'est reserré enco
re au milieu de nos épreuves, nonobstant la sé-
paration et la distance Exile de ses diocèses, S.
Em. le cardinal Ledoehowski n'a cessé d'y être
présent par cette sainte ingénuité d'un cocur vé-
ritablement episcopal et paternel, qui ne cessait
de veiller a tout et d'adressér de lom comme do
prés a ses enfants les encouragements, les conso
lations et, les remoutrances qui pouvaient leur
ëtre nécessaires. 11 n'est presque point de niai-
son, point de presuytère qui ne garde comme
uue relique quelques mots de cette écriture
vénérée qui daigne apporterde la lumjère et do
la joie aux plus petits de ses tils. Dans ces condi
tions d'amour, imagiuez ce que serait le retour
de notre saint arciièvéque, et mesurez tout ce
que nous souffrons en voyant ce nioment béni
s'éloigner d'une maiuére indéterminée.
soignés qui constitueront l'album-souvenir de
ces fétes. Cet album, véritable oeuvre d'art, sera
le seul souvenir sérieux et son prix minime (5 fr.)
franco a destination dans toute la Belgique, le
met a la portée de tous nos lecteurs. Comme le
tirage de cet album sera très-restreint, nous en-
gageons vivement les amateurs a adresser, sans
retard, leur souscription, 64, rue Froissard, a
Etterbeek-Bruxelles.
Quelques artistes d'élite qui ont pris, sur les
lieux, le croquis des cérémonies mémorables des
fétes des noces d'argent de LL. MM. le Roi et la
Reine des Beiges, vont publier sept dessins très-
(10,50 frs. franco par an).
SOMMAIRE du N°. 47.
Gravures: Le Barrage de la Gileppe. La
Confidence, d'après M. Meyer von Bremen. Le
Cardinal Nina. Exposition universelle de
Paris. Salie du Salvador, dans la section de l'A-
mérique centrale. L. Axolot.
Texte: Nos Gravures. Chronique littérai
re. Pékin et l'intérieur de la Chine, par le comte
Julien de Rochechouart. Réflexion sur l'Ar-
chitecture. Le Fiancé de la Baronue von
Landshort. Récit d'un voyageur. L'Argent!
Vive l'argent! Boutade. Un Combat contre une
Ombre. Roman.
ON S'AÜONNE AU BUREAU DU JOURNAL.
van den 20 tot den Ti September 1878.
GEBOORTEN.
Mannelijk geslacht 4. Vrouwelijk id. 2.
HUWELIJKEN.
Maerten, Alfons, daglooner, en Berten, Rosa
lia, hovenierster.
STERFGEVALLEN.
Daucliy, Maria, 72 jaren, zonder beroep, on
gehuwd, Rijselstraat. Gryffon, Celina, 26 jaren
kleermaakster, ongehuwd, Moscoustraat. De-
bruyne, Maria, 79 jaren, zonder beroep, weduwe
van Albertus Pannekouke, Gaspard Konijnstraat.
üondeyne, Joannes, 82 jaren, daglooner, echt
genoot van Sophia Coemelck, Paddepoelstraat.
Deroulé, Joannes, 78 jaren, zonder beroep,
weduwenaar van Ludovica Deleye, Dixtnude-
straat.
Kinderen beneden de 7 jaren.
Mannelijk geslacht 2. Vrouwelijk id. 2.
POPERINGHE, 27 Sept. fr. 69,00 a 75,00 de
50 kilogr.
VEURNE, 18Sept. fr. 20,00 tot 21,50. 25
Sept. fr. 19,00 tot 21,00 de 145 liters.
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ci-aprèsi désignés,
TE WATOU.
van allerhande goed
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VAN DE
van
in volle nijverheid,
gelegen
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Koei- EN Peer DENSTAL,
wijk Mispelaar Eik.
langs den steenweg van Rousselaere naar
Dixmude.
ZITDAGEN:
T E SI 15 S Bi 23 - S-l IIA Oi
et toutes sortes de
Conditions avantctgeases.
CHEZ LA
TOUS LES JOURS FRA1S,