GOEDEREN
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OPENBARE VERKöOPING
MAISON DE CAMPAGNE,
SCHOON RENTENIERSHUIS,
BERICHT.
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MENAGIEGOEDEREN,
te houthulst,
Aujourd'hui il y a mieux encore. L'opi-
nion publique, écrit-il. se prononce avec
s spontanéilé et unanimiié pour radminis-
iralion communale, el conire loute tenia-
live de lulte ou d'opposilion!... Beaucoup
de caiholiques s'exprimenl calégoriqne-
ment dans Ie nièmesens.
Ce que c'est que d'avoir peur! Ces caiho
liques (nous allions dire ces crétins) que hier
encore on iraitait de si hant, ces parias dont
on dèniait tons les droits, dont on calomniail
lous les acies et toutes les aspirations, cette
vermine qu'tl fallail, disail-on, écraser dans
la boue, tout cela recoil un sourire de bien-
veillance; on leur ouvre les bras; el beau-
coup de caiholiques, affirme Ie Progrèsne
demandenl qua s'y jeter. Cette perspective
lui donne du cceur, et fait bien dans son
paysage.
C'est la conséquence logique. ajoutc-t-il,
de la facon dont la ville est administrée,
du bon sens et de fexcellent esprit qui
i) anime noire population, et du caractère
v vexatoire d'une lutte dont l inulitilé est
v par trop évidente.
On ne saurait êlre plus charmant envers
ces bons caiholiques qu'on détesle cordiale-
ment, rnais que Ton redoute, el dont on se
moquera demain s'ils s'y laissent prendre.
Le Progrès annonce que la visite de M.
Ie Procureur de la Province est reculéejus-
qu'au 21 Octobre, done jusqu'a la veille
des éleclions. Le mobile de cette reculade se
devine aisémenl.
CHEMINS DE FER
DE LA FLANDRE OCCIDENTALE.
On nous assure de bonne source que, peu
de jours avant de quitter Ie pouvoir, Ie mi
nistère catholique a proposé de racheter les
chemins de fer de la Flandre-Oecidentale
pour 27 millions, mais que cette offre est
venue échouer contre les exigences de la
direction qui demandait 33 millions.
Les feuilies gueuses onl sans cesse repro-
ché au ministère catholique de n avoir rien
fait en faveur de la reprise de ces chemins
de fer. Leurs reproches étaienl injustes el
immérités.
Nous verrons maintenanl ce que fera le
ministère libéral et a quel point il donnera
satisfaction aux justes exigences desFlandres
RURGERSTAND VAN YPEREN,
H0IVIMEL5VJ ARKT.
SUCRI0EM MARKT.
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ETUDE
I) K V O S
Mise-a-prix: 650 francs.
Masse des art. 1, 2 et 3.
Mise-a-prix: 5710 francs.
Le long du chemin dit llapetstraat.
4° 66 arcs 60 centiares de LA-
Mise-a-prix3390 francs.
ares 20 centiares de LA
BOUR.
5" 38
BOUR.
Mise-d prix: 2000 francs.
Masse des art. 4 et 5.
Mise-a-prix: 5600 francs.
Pavé de Gheiuwe.
6° 34 ares, de LABOUR d'après ca
dastre, tenant au pavè de Wervicqa
Gheiuwe et a la rue de la Procession.
Mise a-prix: 4120 francs.
van den
KANTOOR
Notaris CLkJPËlj
TE WAT OU.
éénf. Zitting, vastgesteld op DINS
DAG 22 OCTOBER 1878, (in plaats
van MAANDAG 21 OCTOBER), om 2
uren namiddag, ter estaminet Ant
werpen, binnen Yprc, ingevolge de
voorwaarden, berustende ten kantore
van den Notaris VAIJDERiKEERSCH
te Ypre residerende.
Ook inlichtingen te bekomen ten
kantonre' van den Notaris HOCKE, te
Kortrijk.
lYwtah'c
ADJUDICATION
Le MERCREDI 16 OCTOBRE 1878,
a 4 heures de relevée, en l'estaminet
Le Faucon, rue Flamande, a
Wervicq, de
Wervicq
rue des Moulins.
1° Une MAISON avec 1 are 48 cent.
de Fonds et Jardin, marquee n" 49.
Occupée par Cnockaert-Catrv.
Mise a-prix: 1800 francs.
2° Une MAISON avec 4 are 41 cent.
de Fonds et Jardin, marquée n° 54.
Occupée par Clément Vandamme.
Mise-d prix: 4700 francs.
3° Une MAISON avec 1 are 78 cent.
de Fonds et Jardin, marquée n° 53.
Occupée par Jean Decerf.
Op DONDERDAG 47 OCTOBER 4878,
om 2 uren precies namiddag, te
Watou, naby liet Rattekot, ter liot
stede gebruikt door de weduwe van
Corneüle Vermaerde,
VENDITIE VAN ALLERHANDE
en meer andere voorwerpen.
Op gewoone voorwaarden en tyd
van betaling.
onder Clercken,
ten verzoeke van Mev. de Dre Cassiers,
door 't ambt van r. üe GR00TE,
Greiïier te Dixmude,
lloiitlci'ting 2^ OcloSier
ten 1 4/2 ure namiddag, van
Sparre-Ameloozen, Eiken Snoek-
Ameloozen, Sparrebusschen,
Rodingsblokken en 6 koopen Sparren
voor timmerhout.
Vergadering bij P. Meersman, alwaar
er 's morgens ZITTING zal gehouden
worden.
ONROERENDE
TE VERKOOPEN
18 B 1% X K P lï K
in ééne Zitting
(■enieenk Mciuiiiel.
1" Koop. 1 hectare 41 aren 90
centiaren Weide en Zaailand, zuid
west van de groote Vicrstraat.
Gebruikt door d'heer Pieter Van-
denbroucke.
Gemeente Westoutre.
2" Koop. 1 hectare 33 aren 60
cent. Zaailand en declken Meerscb,
bij de herberg het IIazekasteel.
Gebruikt door sieur Cbarles-Louis
Sch revel.
3" Koop. 36 aren 40 centiaren
Zaailand, langs den steenweg naar
Locre, bij de herberg den Volksvriend.
Gebruikt door sieur Edouard Krtoc-
kaert.
fcJeineeiite Wytselinete.
4" en 5" Koop. 4 hectare 63 aren
05 centiaren Zaailand met vloogsken,
oost bij den keiweg naar de Vier-
straat.
Gebruikt door de gebroeders Meers-
seman.
Yprc eti Sillcbeke.
6" Koop. Eene schoone en goede
Vette Weide, groot 2 hectaren 63
aren 80 centiaren, weinig zuid-west
van den steenweg naar Comen.
Gebruikt door d'heer Polydorc
Dejaegbere.
«I Ypre,
Rijsselstraat.
7" Koop. Een Huis aan de oost-
zyde der Rijsselstraat, Nr 451.
Laast bewoond door Jut'v. Isabelle
Decneuvcl.
8" Koop. Een ander Huis, N1' 149,
nevens bet voorgaande, met berg-
STUDIE
van den Notaris MAIïïEU,
DONDERDAG 24" OCTOBER 4878,
ten 42 uren des middags,
ter hofstede van Pieter-Jacobus Goddgn
TE ZUYDSCHOTE,
gehucht Luzerne,
4° Gezaegd en ander Hout
2° Eiken Gassvnen,Vensters, Brand
hout cn Plantsoenen
3" LandsalaemWagens, Karren,
enz.
4" 400 kilos Hommel
5° Twee vummen Hooi
6" llommelkeet en Nast,;
En 7U Meubelen, Effecten van me-
nagie en een gouden Zakuerwerk.
Tvd van betaling, mits borg.
Etudes de
jjgircs CAB*ËIjBiE a Watoai
MISE-A-PRIX,
LE VENDREDI 25 OCTOBRE 1878,
ADJUDICATION DEFINITIVE,
LE VENDREDI 8 NOVEMBRE 4878,
respectivement, a 2 heures de relevce
a restaminct-brasserie occupé pat' le
sieur Van Eeckea Watou.
VENTE PUBLIQUE
d'une belle
AVEC JARDDJ LÉGUMIER,
d'originc palriiïioiiialc,
située sur la Place de
WATOU.
avec 88 ares 42 centiares de terre,
sous fonds bati, jardin anglais, grand
étang poissonneiix. lcgumier, section
A, numcros 330 a 334 inclusivement
et numéro 440/2, le lout plus atn-
plement décrit aux affiches parcel-
laires.
Entree en jouissance immediate.
Pour tons renseignements s'adres-
ser aux dits Notaires CAPELLE et
LAM BIN.
Qu'on se le dise.
EEN EXTRA
in tl'ïpei'slraet,
TEGEN DE GROOTE MARKT,
TE POPERINGHE,
laclst bewoond door wylen Mad. de
weduwe Van Ilenynghe,
iipciilnici'ij'k Ic VcB'i&oopci»
in eene Zitting,
VRYDAG, 25 OCTOBER 1878,
om 4 uren namiddag, ter estaminet
den Gouden Arend, op de Groote
Markt, te Poperingbe, ingevolge de
voorwaerden berustende ten kantoo-
re van den Notaris LAVA, te Pope*
ringhe.
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plaats en uitgang in bet Beurze-
straatje.
Bewoond door sieur AchillcDelfossc.
Otitk-lloiitiiiiirkkt raat,
9n Ivoop. Een Huis en Erve, aan
de noordzijde der Oude Houtmarkt-
straat-, N'r 23.
Bewoond door sieur Richard Con
tact'.
40" Koop. Een ander Huis, Nr
25, nevens bet laatstvoorgacnde.
Bewoond door sieur Louis Monnic.
ZITTING.
Deze verkooping zal geschieden in
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KOOPMAN IN KOLEN,
te BS i x s c Si o t c
heeft de eer kenbaar ie maken dat
een allergrootste schip Kolen, van de
beste kwaliteit die hij ooit gehad
heeft, omtrent den 20 October voor
zijne rekening zal aankomen.
Hij verhoopt dat zijne menigvul
dige kalanten, ingezien de geringheid
zijner prijzen en de goede hoedanig
heid der koopwaar, deze gelegenheid
zullen waarnemen om zich bij bent
te voorzien.
De juiste dag der lossing zal verder
bekend gemaakt worden.
Git. Gauquie.
LE PRÊTRE SOLDAT.
Nos gui-tix dt; Be'giqutt et les i-adicaux francais
réclament avec une touchante unanimité I'ineor-
poralion descleics dans l'armée. M. Poiijoulat
•consarre a cette question un article dont beaucoup
,de considerations penvent s'appliquei a noire pays
aussi bien qua la France
En attendant que l'obligation du service mi
litaire pour les écclésiastiqnes se présente dans un
projet de loila presse républicaine lui donne son
adhesion et entreprend dela justifier. Kile I'appuie
dans l'intérét du clergé el de la Religion.
Kous avons le droit de penser quelle ne serail pas
favorable a ce dessein si le bien de la Religion de-
vait en sorlir. Mais Fhvpoci isie trouve toujours sa
place dans la guerre a l'Eglise. Nous ne prendrons
pas au sérieux les sollicitudes au parti républicain
pour le prestige el l'honneiirdu cletgé catholique
nous lui dirons que son dessein est l'oeuvre d'une
pensée ennenrie, el nous le combatlrons it la fois
au nom de la loi, et au nom du bon sens.
Kous nous sommes places l'autre jour sur le
terraijl du Concordat pour repousser des attaques
et pour jnainlenir la liberté de Taction chrélienne.
Aujourd'hui, c'est le Concordat ii la main que
nous vous déclarons que vous n'avez pas le droit
d'imposer aux ecrlésiastiques le service militaire.
Abolissez, si vous le voulez, la convention de
1801, sauf a subir les graves consequences d'un
lel acte mais, taut que ce contra! solennel sera
debuut, vous ne pouvez rien faire de contraire a
ses stipulations essentielles. Or, il est dit, en tète
du Concordat, que la Religion catholique, apos-
tolique romaine, est la Religion de la grande
majorilé des citoyens francais rt, dans Par
otide premier, que cette Religion sera librement
«exercéeen France.
Ces termes clairs et positifs souscrits par la
puissance publique anraientélé un leurresi l'Eglise
catholique n'avait pas gardé, dans noire pays, la
ifacullé de pourvoir a son existence. II n'y a pas
kl'Eglise possible sans recruteiiient sacerdotal.
Aussi, depuis la signature du Concordat, aticun
gouvernement n a eu I idee d'enlraver ce recrule-
jnent s&eré par l'obligation du service militaire,
ï.'arlicle (1 du Concordat aulorise les évéqttes a
avoir un séminaire pour leur diocese, el quoique
les preoccupations militaires lusseut le sigue
«ïistinelif du gouvernement du premier consul* il
ne songea jamais a arracher au séminaire les jeu-
nes aspirants alt sacerdoce pour leur faire endosser
j'nnifortne du soldat. Rec-onnaitre etproclamer
j'existenee de l'Eglise catBo'ique en France ei e;^-
pécher par one loi la perpétuité du service des
autels, c'eülété une conti adicliou el one moquerie.
Aucun gouvernement, depuis soixaute-dix-sepl
ans. n'esl tombé dans one aberration pareille cel-
te dénieiiee eüt élé mie violation flagrante du Con.
cordal.
Nous savons bien que nos républicains onl des
iilées qui tie vieniient a persoune mais il est unie
de les averlir lorsque leurs fantaisies aboutisseut
a la destruction tl'iin contra! fundamental. Ilsnons
parient saus cesse du respect des lois, surtcut
quand il s'agit du clergé qui ii'en a jamais violé
aoctine ils doivent nous savoir gré de les rappe
|er etix-inémes au respect de cette grande loi na
tionale de 1801par la quelle le Saint-Siége et la
France ont inaiiguré des temps de paix après des
secousses si profondes.
C'est aussi au nom du bon sens que nous com-
battons l'obligation du service militaire pour les
ecclésiasliqnes.
La vocation sacerdotale se prépare de longue
main elle demande line vie a part. des habitudes
de recueillemerit et de prière, tine direction con
stante, des pensees d'un ordre supérieur. A vingt
el un ans, le jeune lévite est admis an sous diaco-
nat, ce qui conslilue un engagement sacré. C'est
alors que noire lui viendrail saisir le jeune lévite
pour le jeter dans la vie des casernes on la vie des
camps. Que voulez vous que devienne sa vocation
Carles vocations ne sonl pas des miracles Si, a
vingt et un ans, le jeune lévite n'est pas engagé
dans les Ordres, il lui faudra trois ans avant de
pouvoir rentier dans un séminaire ses études
seront a recommence!- s'il persiste dans les niêmes
sentiments, chose fort donleiise.
On ne s'explique pas comment les saints Ordres
pourraient lui ëtre conférés au milieu de ces
vicissitudes et de ces bouleversements. L'existence
du prêtre serait mise en question et comme sus-
pendiie jusqu'a l age de quarante ans, ou plutót il
n'y aurait plus d'existenee de prêtre parini le petit
nombre de ceux dont la vocation survivrait ii de
semblables épreuves. Les régies de l'Eglise seraient
anéanlies, el le ministère paroissial el les ordres
religieux d hommes si nécessaires dans le grand
travail aposlolique ne seraient plus qu'a l'état de
débris.
Ou n'imagine rien de plus contraire au bon sens
qu'un reet uteinent sacerdotal dans les conditions
qui le préparent, le sauvegardent et l'achèvent.
Nos républicains, qui ne savent pas le premier
mol de Religion, quoique pliisieurs d'entre eux
aient élé séniinarisles avaut d'élre jacobins, rai-
sonnent sur les vocations comme des gens accou-
luinés a ne considérer que le cóté grossier des
choses. Les plus grands génies chréliens onl élabli
une sorte de legislation spintuelle pour arriver a
former un piêtre nos nouveaux maiiies ont une
autre facon de voir ils se donneraienl volootiers
pour des maiii es de la vie spiriluelle aüu de doler
notre pays d'un saceidoce qui les géntrail peo. Ils
disenl que leur syslèine rendrait plus efiicace
le ministère de uos pasteurs. Ah! s'ils songent a Ic
décréter ainsi, c'est qu'ils espèreul bien que toule
efficacité religieuse st rait perdue
Ils osetil dire que l'obligation du service mili
taire aurait pour résiillat de nationalise!' le cler
gé comme si le clergé demeuiait séparé de la
nation francaise, comme s'il n'avait pas du sang
francais dans les veines et si son coeur ne connais-
sait pas la fl.imme sacrée du patriotisme Nous
les irouvons bien hardis, ces prétendus palriotes,
de se dire exclusivemenl la nation, les hommes de
la nation, les amis et les défenseurs du pays. Ces
Francais de Gêues et de Bade, ces républicains qui
suspectent le patriutisme de nos prélres, nous oil
donné de singuliers exemples aux jours du pér il
ils voulaienl lous êlre juges de paix, quand tons
nos Fits el nos frères voulaienl êlre soldats, el nos
prélres. qui ne ponvaient pas porter les armes,
portaient les cousolaliotis au milieu des balles el
des boulcts.
Nos républicains parient trop de nation et de
patrie nous gardons le droit de nous souvenir de
leurs oeuvres. L'hisloire du clergé de France, de-
van den 4 tot den 11 October 1878.
GEBOORTEN.
Mannelijk geslacht i. Vrouwelijk id. 4.
HUWELIJKEN.
Pottel Isidoor, aardewerker en Landerwyn,
Victoria, kantwerkster. Duprez, Gustaaf,
wever en Debrouwer, Maria, kantwerkster.
Strecq Elias beenhouwer en Meirsehaert
Ludovica, herbergierster. Carlier, Leonardus.
kleermaker en Dehouck, Joanna, dienstmeid.
STERFGEVALLEN.
DuponchelleHendrik, 51 jaren, vertinner,
echtgenoot van Maria Houck, Meenenstraat.
Verschoore, Franciscus, 31 jaren, rondleurder,
ongehuwd, Lange ïhouroutstraat. Bossaeri,
Josephus, 60 jaren, rijtuigverhuurder,weduwaar
van Hortensia Bossaert, Voortgangstraat.
Denudt, Victoria, 80 jaren, zonder beroep, onge
huwd, Mondstraat. Legrand, Amelia, 65jaren,
zonder beroep,weduwe van Cornelius Vlaemynck
Lange Thouroutstraat.
Kinderen beneden de 7 jaren.
Mannelijk geslacht 1. Vrouwelijk id. 0.
POPERINGHE, 8 Oct. fr. 68,00 a 00,00.
11 Oct. fr. 70,00 de 50 kilogr.
VEURNE, 2 Oct. fr. 19,00 tot 21,50. 9
Oct. fr. 20,00 tot 22,00 de 145 liters.
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puis douze cents nns. est toule resplendissante de
dévouement ii la France l'hisloire de la troisième
Répiiblique dans noire pays, a travers la Defense
nationale el la Commune, est un spectacle d'imc
honte éternelle.
Et maintenant comprenez bien que. pont' exé
cuter voire menace conire notre recrutement sa
cerdotal. il faut que vous renversiez le Concordat,
et que vous mécounaissiez les notions éléinentaires
de la raison et des convenances vous ferez non-
settlement la guerre a l'Eglise au mépris des lois,
mais la guerre au bon sens. Allez votre train,
voire regnen'en sera que plus court.
POUJOULAT.
(10,50 fr8. franco par an).
SOMMAIRE DU N°. 49.
Gravures Payez d'abord, d'aprós M. Albert
Conrad. La tricoteuse, d'après M. Israöls.
Exposition universelle de Paris. Le pavilion
persan. Un salon du pavilion persan. Un com
bat contre des phoques.
Texte Prime a nos abonnés. Nos gravures.
Chronique deea dela. La justice en Hongrie.
Le cabaret du cheval gris. Du bon sens, s'il
vous plait. Un tableau sous.roc. Poésie. Un
eopjbat contre une ombre. Roman.
,0N S'ABONNE AU BUREAU DU JOURNAL.
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handbooggild sint joris,
TE BOESINGHK.
BUITENGEWONE SCHIETING
op Zondag, October 1878.
Oppervoget, ïsftwws ea een haas,
Ieder zijd vogel» AO id., en een koppel kiekens,
leifep Kalle,5, id. ea een haaude.
(nleg fr. 5r5,0terug fr. 5-00.
inschrijving van 1 tot 111% ure, in het gildhof.