GOEDEREN VENDITIE r OPENBARE VERKOOPING M\mi DE CAMPAGNE, SCHOON RENTEMIERSHUiS, BERICHT. MENAGIE GOÉDEREN, BULLETIN POLITIQUE. Phiver. LA MORT DE MGR DUPANLOUP. Mgr Dupanloup, est mort hier soir, a sept heures et quelques minutes, au chateau de La Com he, prés Lancey (béte). II était allé chercher la, chez sou ami, M. A. Duboys, ancien magistral, un peu de repos et de sou- lagement au mal donl il souffrail: la péricar- dite. Depuis huil jours la maladie étail devenue trés grave. Les jambes de l'illustre vieillard étaient enflées, et il fallait Ie transporter dans un fauteuil d'une piéce a l'autre. II a expire en pleitte possession de ses fa- cultés. et, ponr ainsi dire, sans agonie. Sou corps sera emhaumé et transporté a Orléans, oü il restera exposé pendant qnatre ou cinq jours, avant ses obséques solen nel les, qui n'auronl par conséquent pas lieu avant une dizaine de jours. Le glas funébre a commencé a sonner an- •onrd'hui dans toules les églises d'Orléarts, a Angelus' de midi. Mgr CouliVé, coadjuteur do Mgr Dupan- joup qui vient dé1 mourir, a peis i m tnéd ia te- ment ptstession du .siége épiscopal. NECROLOGIE. Eugéne Vermersch, qui s'est rendu nota ble par la publication du Père Duchesne, pendant la Commune de Paris, vient de F mourir Vendredi matin, a Colney Hatch, au nord de Londres. II èlait malude et condam- nè par les médecins depuis lorigtemps. Peu de letnps aprés sou arrivée a Londres, il avail publiè un journal intitule: Vermar ach journalel les attaques violenles contre tous ses anciens amis et les autres réfugiés politi- ques l'avaii fait metlre au ban des commu nards. Depuis plusieurs années il v i va it done a l'écart, occupé, dit-on, de travaux hisiori- ques. II n'avail que 83 ans. AVIS. Caisse des Propriétaires. Agent a Ypres M. A. 1 ouek 4'iéuieufBanquier, rue de l'Etoile, N° 4. Cliroitiijue locale. UN PRÊTRE A JETER PAR DESSUS BORD. Le Progrès persisle en ses protestations de respect a l'égard des ministres du Gulle. II s'en référe (Tailleurs sur ce chapitre aux declarations simillaircs (devinez 'Ie gut, ami lectuur!) de.... Monsieur Garnbelta, l'éminent clépttléCilluslre Itomme WEtat, coinme il l'appelle. Ecoutez le: Les libéraux, disait récem- ment M. Gambetta, l'illuslre homme d'Elal, ne som pas ennemis de la reli- gion, cPaucune religion, lis sont, au eon- traire, les serviteurs de la liberté de con- science, (chacun sail ca, comme dit la chansontémoins l'AUemagne, la Suisse, etc., etc.) el respeclenl toules les opinions religienses et philosophiques (la Foi catho- ligue exceplée). De plus le devoir de l'Elat est de respecter les religions et leurs mi nislres, mais leurs ministres se mouvant dans le cercle de la légaiilé. (Ce dernier trait vaut son pesant d'or; nous y revien- drons bien un de ces jours.) Nous ne pouvons, ajoute le Progrès qu'approuver, sans réserve, les protests- tions aussi franches, aussi nettes de l'étni- nent député francais. Gambetta est done sa caution; Gambetta, que M. Thiers nommait un foufurieux, ce lui-la même qui aujonrd'hi.i traite le clergé de lèpre dévoranle, et qui, l'autre jour, qtta- lifiait Ie calltolicisme de gangrene. Le Progrès ri'esl pas l'ennemi du clergé; tant s'en faul: Le Journal d' Ypres tie- vraitétre le premier, dit-il, a constatcrles écartsde quelques prètres, et a les trouver ensuite indignes de conlinuer l'exercicc de leurs délicates fonctions. Un exem- ple entre mille: (attention!) La Cour de Cassation vient de confirmer l'arrètdela Cour d'Appel, a l'égard du sieur Desettre, curéde St-Genois. Le Journal d'Ypres, el la presse catholique en gériéral, au lieu de jeter Coint du Seigneur par-dessus bord, le considérent comme un noble martyr et une viclitne de ces infantes libéraux.' Est-il élonnant guulors la religion se perd et que le clergé n'est plus entouré de ce respect que les libéraux metrics n'ont cessé de lui témoigner aussi longtemps qu'il s'esl contenté de se mouvoirdaus le cercle de la légalité. (Paroles de Garnbelta.) Si done l'organe de nos libéraux attaque le clergé avec une violence loujours crois- sante, tl a pour lui, d'une part, ('autorité d'un (ou furieux, fort compétent, (comme on sait) en la matière; de 1'autie, un exern- ple recueilU entre mille, Ie cas de M. Deseu re, curé de Sl-Genois. Sans doule il est paifailernent oiseux dc rappeler a nos lecteurs quel fut le crime de cel honorable prèire. On n'a pas oublié les inccndies de St Geuois.ni letrange effron- terie que mirent la prfesse libérale et certai- nes fories tètes du parit a en rendre respon- sables les catboliqucs en général el le clergé de la paroisse en particulier. En fin de compte, qnatre pauvres diables se virent condamnés en Cour d'assises. Ces fails venaienl de se passer lorsque M. Deseüre fut nominé a la cure de St Genois. L'un des condamnés, Vandepnite, vim a mourir aprés avoir fiitau nouveau curé, de- vant iéinoijis, des déclaratious qui avaient paru a celui-ci de nature a innocenter conr- plétemenl les anti es condamnés en cette trisle affaire. Ce n'était pas non plus la pre mière fois que Vandeputie s'étail exprimé en ce sens. Cependant la nommée Virginie Takkens, condamnée avec lui par la Cour d'assises, était également morte en prison. Et dans ces circonstances, M. Desettre, mu par un sentiment de charité et de zéle pastoral, crut devoir en chaire de vérité réhabililer la mé- moiré de cette infortunée. Sur la dénonciation de quelques libéraux de l'endroit, se prélendant tacilemetit dési- gnés, le ministère public jugea que les de clarations du digne curé consiiiuaiem un blame a l'égatd d'une decision judtciaire. Une procédure assez longue s'ensutvit, et la Cour d'appel de Gand eondamna ce grand coupablea 4 peines de 15 jours d'emprison- netiient; 4 amendes de 20 francs chaeune; 2000 francs de dommages-intérêls a la par ite civile, elc. C'est ce jugement que la Cour de cassation vient de confirmer. Tel est Cexernple choisi entre mille, d'ou l'organe des gueux infère gutl n'est pas élonnant que la religion se per de et que le clergé ne soit plus entouré du respect des libéraux mêmes. Tel est le prétre indigne de conlinuer l'exercice de ses délicates fonc tions; Co int du Seigneur d jeter par dessus bord Au moment de meltre sous presse, nous apprenons que la Maison René Begeretn a oblenu la médaille d'or a ('Exposition de Paris. C'est la qttalrième Exposition univer- selle a laquelle cette Maison prend part, pour la quatriéme fois elle öblient la distinction de première classe. II n'y avail qu'une voix a Paris pour prOclamer ('excellence des pro duits, la supériorité des dessins, la correction extréme du travail de la Maison Bègerem. Telles de ces triagnifiques denlelies sont avec raison quabfiées comme objels d'art. llonneur a M. René Begeretn, qui, en pleine crise induslrielle et cornmerciale, s'est imposé les plus généreux sacrifices pour éle- ver de plus en plus bant la renomtnée de nos Valenciennes et nous assurer ainsi de uouveaux débouchés. On nous assure a 1'inslanl que ia Maison veuve Brurifaut s'est vu également décerner la Médaille d'or. Honnetir a ('industrie denlellière Yproise qui a su conquérir définitivement la première [ilace sur le marché du monde. Aucune autre ville n'a oblenu, pour les Valenciennes, la Médaille d'or. llonneur et félicitatious a nos fabricants COLLÉGE ELECTORAL D'YPRES. AVIS. ÉLECTIOAS COMMUNALES DU 29 OCTOBRE 1878. Le Président du Bureau principal informe MM. les élecleurs qu'il recevra les proposi tions des candidats, leurs acceplalions el les listes des témoins qu'ils auront désignés, les Dimanche20, Mardt 22 et Mercredi 23 Octo bre courant, de onze heures du matin a mi di, a l'Hótel de-Vilie, (Salle bleue). Passé ce délai, aucune proposition ou ac ceptation de candidature et aucune désigna- tiou de témoins ne sera plus tecevable. A partir du Vendredi 25 Oclobre, pour- ronl prendre communication, au même lieu el aux mêmes heitres, de la liste ofticielle des candidals, ces candidals ettx-mêmes ainsi que les électeurs qui les ont présenlés. A. Cbev1 HYNDERICK. INSTRUCTIONS La proposition de candidals doil être si- gné par 20 élecleurs communaux au rnoins. Elle doil indiquer les noms, prénoms, do micile et profession des candidals et des elec- teurs qui les présentenl. Elle doit ètre datée et signée et remise au Président du Bureau principal et pas trois des signalaires. Les candidats qui se présentent ensemble doivent ètre inscrits dans la proposition, dans l'ordre alphabétique. KANTOOR van «2en Votai'is JPUKSiSiiK. TE WAT OU. Op DONDERDAG 17 OCTOBER '1878, om 2 uren precies namiddag, te Watou, naby liet Ratlekot, ter liof stede gebruikt door de weduwe van Corneille Venn aarde, VEND1TIE VAN ALLERHANDE en meer andere voorwerpen. Op gewoone voorwaarden en tyd van betaling. TE HOUTHULST, onder Gereken, ten verzoeke van Mev. de D,l'Cassii ns, door 't ambt van b. DE GR00TE, Greffier te Dixmude, Itoiiilcrdag fPS' IseSofecr IS'Ï®, len '1 1/2 ure namiddag; van Sparre-Ameloozcri, Eiken Snoek- Ameioozen. Sparrebttsschen Rodingsblokkeo en koopert Sparren voor timmer li out. Vergadering hij P. Meersman, alwaar er 's morgens ZITTING zal gehouden worden. GEROEREN0 E TE VEIlKOQPENf m a m m k m w i» is k iri èérie Zitting. T' Koop. 1 hectare 41 aren 90 centiaren Weide en Zaailand, zuid west van de groote Vierstraat. Gebruikt door d'becr Pieter Van- denbroucke. GcmcetRc W««<-ostt<.a*<.». 2n Koop. 1 hectare 33 aren GO cent. Zaailand en doelkeu Mcersch, bij de herberg bet [Iazekasteel. Gebruikt door sieur Charies-Louis Sell revel. 3" Koop. 3G aren 40 centiaren Zaailand, langs den steenweg naar Locre, bij de herberg den Volksvriend. Gebruikt door sieur Edouard Knoc- kaert. S« cm{wes ie Wyisclaaete. 4" en 5" Koop. 1 licctarc G3 aren 05 centiaren Zaailand met vioogsken, oost bij den keiweg naar tic Vier straat. Gebruikt door de gebroeders Mcers- seman. VYgisre ci» SsSleïieke. 6" Koop. Eenc scitoone en goede Vette Weide, groot 2 hectaren G3 aren 80 centiaren, weinig zuid-west van den steenweg naar Comen. Gebruikt door d'heer Poiydore Dejaeghere. Rijsselstraat. 7" Koop. Een Huis aan de oost- zyde der Rijsselstraat, N'' 451. Laast bewoond door Jufv. Isabclle Decneuvcl. 8" Koop. Een ander Huis, N1' 449, nevens het voorgaande, met berg plaats en uitgang in liet Rcurzc- straaijc. Bewoond door sieur Acliiile Delfosse. 9n Koop. Een Huis en Erve, aan de noordzijde der Oude-Houtmarkt- straat, Nr 23. Bewoond door sieur Richard Con- taer. 40" Koop. Een ander Huis, Nr 25, nevens liet laatstvoorgaende. Bewoond door sieur Louis Monnié. ZITTING. Deze verkooping zal geschieden in ééne Zitting, vastgesteld op DINS DAG 22 OCTOBER 4878, (in plaats van MAANDAG 24 OCTOBER), om 2 uren namiddag, ter estaminet Ant werpen, binnen Ypre, ingevolge dc voorwaarden, berustende ten kantore van den Notaris VAftDERiïiEEfïSCH, te Ypre residerende. Ook inlichtingen te bekomen ten kantoore van den Notaris H0CKE, te Kortrijk. STUDIE van den Notaris MAHIEU, DONDERDAG 24" OCTOBER 4878, ten 42 uren des middags, ter hofstede van Pieter-Jacobus Goddtjn TE ZUYDSCHQÏE, gehucht Luzerne, 4" Gezaegd en ander Hout; 2" Eiken Cassynen,Vensters, Brand hout en Plantsoenen 3° Landsaiaem, Wagens, Karren, enz. 4U 400 kilos Hommel 5" Twee vommen Hooi 6" Huininelkeet en Nast; En 7" Meubelen, Effecten van me- nagie en een gouden, Zakuurwerk. Tyd van betaling; mits borg. Etudes de IiASliSS h l'gisAs. IRISE-A-PRIX, LE VENDREDI 25 OCTOBRE 4878, ABJUDICATION DÉFiaiTIVE, LE VENDREDI 8 NOVEMBRE 4878, reshectivemettt a 2 heures de rèievéè a l'estaminet-brasserie occupé par le sieur Van Eecke, a Watou. YEN TE PUBLIQ'ÜE d'une p.elli: AVEC JAR DIM LÊGÜMIER, «SVsrlgSsEr piB3.ii*asï9«»ss3salr, située sur la Place de WATOU. avec 88 ares 42 certliares de terre, sous fonds bati, jardin anglais, grand étang poissonncux. légumicr, section A, numéros 330 a 334 inclusivement et numéro 410/2, ie lout plus [im plement décrit aux affiches parec.l- laircs. Entree en jouissance immediate; Pour tous renseignements s'adres ser aux dits Notaircs GAP ELLE et LAM BIN. EEN EXTRA ana «l'S'pes'-'iJa'iact, T E G E ES DE ËROOÏE iïiARKT, TE POPERiNGHE, lactst bewoond door wyle'n Mad. de weduwe Van Renynghe, OjscBsIïsaerSyk tf.e in eenc Zitting, VRYDAG 25 OCTOBER 4878, om 4 uren namiddag, ter estaminet den Gouden Arend, op de Groote Markt, te Poperinghe, ingevolge de voorwaerden berustende ten kantoo re van den Notaris LAVA, te Pope ringhe. CH. GAÜQÜIE, KOÖPïïïAES Iri KQLEPJ, te III x s e Et o t e heeft de eer kenbaar ie maken dat een allergrootste schip Kolen, van de beste kwaliteit die hij ooit gehad heeft, omtrent den 20 'OctobcEvoor zijne rekening zal aankomen. Hij verhoopt dat zijne menigvul dige kalanten, ingezien de geringheid zijner prijzen en de goede hoedanig heid der koopwaar, deze gelegenheid zullen waarnemen om zich bij item le voorzien. De juiste dag der lossing zal verder bekend gemaakt worden. Gn. Gauquie. Olie éleciion a, en effet, line importance con idérable, en ce qu'elle nous rnonlre M. Gamhella iui inême, déja condamné coiume trop modéré ,ar le suffrage universel de Paris. La capitate de la France a afliriné la doctrine 1 ocialiste, rcponssant avec perte routes les fractions .bérales coalisées. depuis le doctiinarisme soi- 'isanl honnêt'e josqu'a l'exlréme gauche do radi- alisme révolutionnaire, mais encore propriétaire. C'est l'éeho des elections de Berlin, oil les pro- jressisles ont subi une écrasante dél'aite morale :t oil Ie socialisme a. en mi an, porté de 30,000 i 60,000 le uombrede ses électeiirs. C'est la réponse de l'lnternationale au discours le Romans, déja jngé insuffisant. Que M. Garn belta y prenne gaide le suffrage universel, sur I lequel il s'appuie, en a assez de son eloquence: il veul des actes révolulionnaires. Le Reichstag alleniand a adopté vendredi les articles 2, 3 et 4 de la loi contre Ie socialisme. Ges articles altribuent ii la police le droit d'inler- dire les associatioiis visées par le projet, prescri- vent la saisie des caisses des associations suppri- mées, et accordenl le droit d'appel contre l'arrêté de suppression. La discussion ayant commence stir 1'article 5, qui present la dissolution des réunions socialistes M. Windthorst, I'orateur du centre, a réclamé le maintien de la fibre discussion, en réunion pu- blique, des questions socialistes. II a en même temps attaqué avec vivacité les libéraux-nalionaux, et en particulier M. Lasker, pour leur abandon des principes de droit commun et leur adliésion a une lui d exception. On esi en train, a t il dit, de créér un grand parti: le pari i Bismark, saus phrases. Avec une loi pareille, tont Allemand, d'après lui, pourra ft re poursuivi coinme socialiste. Mais "i opprimer d'une main l'Eglise el de l'autre se saisir des socialistes, c'est une enlreprise in- sensée. L'orateur catholique a declare ensuile que son parti ne votera pas avec le gouvernement, tant que quinze millions d'hommes seront persé- cutés pour leur croyance rtligieuse. Le centre ne fait pas d'opposition au gouvernement en géné- ral, mais seulettieiil au gouvernement act nel, a dit en terntinanl M. Windthorst, au milieu des applaudissenients du centre el des protestations des libéraux nalionaux et rits conservateiirs. En dépil de tons les efforts des orateurs consli- tutionnels pour sauver le droit d'assoeiation des griffes de la nouvelle loi, le Parlement a finalement rejelé par appel nominal l'amendement du dépulé progressisie ill. Ilaenel a Particle 5. II porlait que la loi ne serail pas applicable aux réunions electo rates pour le Parlement et la Diète prussienne, après convocation des élecleurs. 200 membres se sunt prononcés contre et 166 ont vote pour l'adop- tion de eet amendement. Le Parlement a adopté ensuile Jes paragraphes S et Sa du projet de la commission. Par conséquent la police est désor- inais maitresse en Allemagnedes réunions électo- rales de louS les partis. Nous ne savons guère ce qui va se passer au sujet de l'Afghanistan. La presse anglaise semble sonner un branie-bas de combat sur toute la ligne, et on prétend même que le marquis de Salisbury prépare une circulaire diplomatique pour juslifier l'expédition anglaise projetée contre l'émir de Gabon I. Mais, en somme, on ne sail rien de certain, et line pareïile enlreprise paraït difficile a lentréede Orléans, 12 Octobre. La Caisse des Propriétaires émet des obligations aux conditions suivanlcs Obligations a 5 ans, intérét 4 1|2 °|o td. 10 u 4 3|4 id. a primes 4 1|2 °|0 équivalant a o"|„ avec la prime de remboursement. Pour obtenir les tilres on avoir des renseigne- inents s'adresser a M. VONCK-CLEMENT, séitl ugent de la Société a Ypres. Les obligation- de la Caisse des Propriétaires ont on double gage les hypolhèqnes qui garan- tissenl les préts et le capital de la Société. I.E PRÉSIDENT, AU SUJET DES CANDIDATURES. kend als boeiend. Wij meenen vooral de aan dacht onzer lezers te moeten vestigen op de oleograpliie, welke gratig aan al de geabonneer- den wordt gegeven en op den buitengewonen prijs, welke aan de oplossing van den- in het eerste nommer voorkomenden rebus verbonden is. (Zie de annonce hierachter.) AKKERALLAAM, HüPPEPEliSSEN Met genoegen merken wij op dat de BEL GISCHE ILLUSTRATIE, welke haar Ue" jaar gang ingetreden is, steeds toeneemt in schoon heid en lraaie uitvoering van gravures, die in alle opzichten met die van het buitenland kunnen wedijveren. De tekst is altijd even belangwek- TE YPRE. van ET 51 B O SSL Qu'o.N SE I.E DISE. HANDBOOGGILD SINT JORIS, TE BOESINGHE. BUITENGE W ONE SCHIETING op Zondag, 20" October i878. Oppervogcl, 15 francs en een haas, Ieder zijdvogel, -10 iel. en een koppel kiekens Ieder Kalle, 5 id. en een luuuido. Inleg fr. 5-50 terug fr. 5-00. Inschrijving van 1 tot i 1/2 ure, in het gilclhof.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1878 | | pagina 3