GOEDEREN IP ILIER, OPENBARE VERKOOPING SCHOON RENTENIERSHUIS, DEFINITIEVEN OVERSLAG VERKOOPING, HOFSTEDEKEN, MAISON DE CAMPAGNE, TER RE A LABOUR, BURGERSTAND VAN YPEREN, H0IHMELMARKT. SUCRIOEN MARKT. "232 8 •3 5 willig llllll II M M r- c MIS IIMII II M I l I c-l 5= U M i I I I I 1 I I I I I I c c c C°:C P cfj oc (/j F-73 s mimi's III© I I I I I I I I I I I II II II cz I I s I S8 2.2 r" as c/^cc-*: 9E -» s ..1°:: -< liet voorgaande, met uitgang >erg- in hot Beurze- 0NR0ERENDE TE VERKOOPEL\ KB I tC A 1 I» IB SI in ééne Zitting. Gemeente Keiiimel. ln Koop. 1 hectare 41 aren 90 centiaren Weide en Zaailand, zuid west van de groote Vierstraat. Gebruikt door d'heer Pieter Van den broucke. Gemeente Westoutre. 2" Koop. 1 hectare 33 aren 60 cent. Zaailand en deelken Meerscli, bij de herberg het Hazekasteel. Gebruikt dooi1 sieur Charles-Louis Scb revel. 3" Koop. 36 aren 40 centiaren Zaailand, langs den steenweg naar Locre, bij de herberg den Volksvriend. Gebruikt dooi'sieur Edouurd Knoc- kaert. Gemeente Wytsehaete. 4" en 5" Koop. 1 hectare 63 aren 05 centiaren Zaailand met vloogsken, oost bij den keiweg naar de Vier straat. Gebruikt door de gebroeders Meers- seman. Ipre en Zillelteke. 6" Koop. Eene schoone en goede Vette Weide, groot 2,ahectaren 63 aren 80 centiaren, weinig zuid west van den steenweg naar Gomen. Gebruikt door d'heer Polydorc Dejaeghere. .Stad Y pre, Rijsselstraat. 7" Koop. Een Huis aan de oost- zyde der Rijsselstraat, Nr 151. Laast bewoond door Jul'v. Isabellc Decneuvel. 8" Koop, Een ander Huis, Nr 149, nevens plaats en straatje. Bewoond door sieur Achillc Delfosse. Oude-lloiif marktstraat. 9n Koop. Een Huis en Erve, aan de noordzijde der üude Houtmarkt- straat, Nr 23. Bewoond door sieur Richard Con- taer. 10" Koop. Een ander Huis, Nr 25, nevens het laalstvoorgaonde. Bewoond door sieur Louis Aiormic. ZITTING. Deze verkooping zal geschieden in ééne Zitting, vastgesteld op DINS DAG 22 OCTOBER '1878, (in plaats van MAANDAG 21 OCTOBEBJ, om 2 uren namiddag, ter cstaminct Ant werpen, binnen Ypre, ingevolge de voorwaarden, berustende ten kantore van den Notaris VANDERMEERSCH, te Ypre residerende. Ook inlichtingen te bekomen ten kantoorc van den Notaris H0CKE, te Kortrijk. S T D I E van den No taris M A HIE U DONDERDAG 24" OCTOBER 4878, ten 42 uren des middags, ter hofstede van Pieter-Jacob as Goddyn TE ZUYDSCHOTE, 4° Gczaegd en ander Hout; 2" Eiken Gassvnen,Vensters, Brand hout en Plantsoenen 3" Landsalacm, Wagens, Karren, enz. 4° 400 kilos Hommel 5" Twee vummen Hooi 6" ilommelkeet en Nast; En 7° Meubelen, Effecten van me- nagie en een gouden Zakuerwerk. Tyd van betaling, mits borg. EEN EXTRA TE POPERINGHE, lactst bewoond door wylen Mad. de weduwe Van lienyngbe, 0(iciil)iiei'Iyk te Vcrkoopcn in eene Zitting VBYDAG, 25 OCTOBER 4878, om 4 uren namiddag, ter estaminet den Gouden Arend, op de Groote Markt, te Poperinghe, ingevolge de voorwaerden berustende ten kanloo- re van den Notaris LAVA, Pope ringhe. Etudes de M'"' CAfJEI,!.,»: a WatAH Op Donderdag 31 October 1878, om 2 ure namiddag, te Watou in het Gemeentehuis, bewoond door J'v de w Lefrmylle, BINNEN WATOU, lanys den steenweg naar den Abeele. Een WOONHUIS, Kamer, Keuken, Van Ie, Kelder, Onderlat, Paarde- Koei en Zwijnstallen, Schuur, Wagenkot, twee groote Aalput len (waarvan een 300 hectoliters inhoud) en 8 aren 3Ü centiaren Erve onder Grond van ge bouwen en llovenierliof daarmedc- gaande, sectie B, N° 6'. Thans gebruikt door den verkooper C/i. Delautre, niet recht tot 4" Mei 4879. Om alle verdere inlichtingen ge lieve men zich te begeven ten kantore van den Notaris GAPELLEsoor- noemd. STUDIE van den Notaris DE BOO, IN EENE ZITTING, den DONDERDAG 34 OCTOBER 4878, om 2 ure, in d'herberg het Neerhof, gehouden door Amand Lacanle, le Reninghe, van EEN ZEER SCHOON EN ALLERBEST groot onder grond van gebouwen, hofpiaets, boomgaerd, weide, zaei- land en maeigras, 5 hectaren, 54aren, 47 centiaren. Gebruikt door de eigenaers, kinders van wylent Sr Pieter-Jacobus Colpaert. Verdeeld in 6 koopen, met recht van samenvoeging. Onmiddelykcn handslag aen de zaeilanden en aen de weiden en gehouwen met den dag der geld tel ling. MISE-A-PRIX, LE VENDRED1 25 OCTOBRE 4878, ADJUDICATION DEFINITIVE, LE VENDRED18 NOVEMBRE 4878, respectivement a 2 heures de relevce a l'estaminet:brasserie occupé par le sieur VanEccke, a Watou. VENTE PUBLIQUE AVEC JARDIN LÉGUM1ER, WATOU. avec 88 ares 12 centiares de t er re, sous fonds baii, jardin anglais, grand étang poissonnenx. legumier, section A, numéros 330 a 334 inclusivement et numéro 440/2, le tout, plus am- plement décrit aux affiches parcel- laires. Entrée en jouissance immédiate. Pour tous renseignements s'adres- scr aux dits Notaires CAPELLE et LAM lil N. ON DEMANDE aemprunter une som- me de 40,000 francs a l'intérèt de 4 72% Pan, avec garantie hypothé caire au lr rang sur des imrueublos d'une valcur de 500,000 fr. Réponse au bureau du journal sous les lettres C L. ETUDE de Me L ANNOY, Notaire LUNDI 4 NOVEMBRE 1878 a 4 heures de relevéc, au cabaret la Belle Vue, tenu pat' Duthoit, a Comi- nes Tenbrielen, MISE-A-PRIX 1" 3 hectares 27 ares 52 c. de section B, n° 623\ divisés en 3 lots, occupés par divers au fermage de 552 francs, sans bail. 2° 48 arcs 60 c. de TEllllE A LABOUR, méme section, n" 341, occupés par Montaine-Delrue, k 70 francs par an, sans bail. 3" 56 ares 80 c. de méme section, n" 278, occupés par' Vandelannoitte, it 65 francs par an et Pinipot, sans bail. de Me ETUDE LANNOY, Notaire JEUDI 31 OCTOBRE 4878, ii 9 lieu res du mal in, it la ferme oc- cupée par Hubert Dcscamps-Bouten, a Wcrvicq. VENTE PUBLIQUE Instruments aratoires, Récoltes ET BESTIAUX» On dépense follement au profil du peul nonibre; on supprime iniquenieiil .subsides et secours au détriment de lous. La lulle est uit devoir, paree que loules les faveurs, clientèle, places, emplois, four- nilu.es, exeniplions, secours, sont arbitral - reiiieut allribués a une categorie de ciioyens a rexciusion des auires. La lulle est nn de voir, paree que loutes les forces de l'Admi- nisiralion sont tournees conire les intéréts, les droits et les devoirs des Catholiques. La lulle est un devoir, paree que nolannnent sur Ie terrain de l'enseigneinent public, au collége communal, a l'école moyenne, aux écoles de garcons, a fécole superieure et a l'ecole inferieure de filles, nos administra teurs communaux gaspillent a pure perle et au plus grand détriment des eontribuables et des intéréts moraux des sommes énormes qu'on ne reirouve pas |iour exécuter les tra- vaux les plus nécessaires, entre autres pour doler la villed'un nouveau régime des eaux indispensableinent requis par la salubrité publique. Concitoyens impartiaux el concitoyens catboliques, ouvrez les yeux; a quoi toules ces sommes folies ainsi gaspiilées aboutissent- elles? Au collége communal, a faire payer par les eontribuables, pour chaque éléve des classes latmes, méme pour les fils des fa milies les plus riches, des centaines de francs par an, et cela a seule fin de yueusifier la jeunesse yproiseü Eiecteurs, tons les jours vous consiatez cela de vos yeux el de vos oreillesle long des chémins et sur nos places publiques.Eiecteurs,vouslesavez aussi bien que nous, beaucoupde pères libéraux, malgré les menaces et les désagréments malgré la pression la plus odieuse, préfèrent pour leurs propres enfants les élablissements catholiqnes, el vous savez qu'ils ont raison. Si encore les éléves de notre collége eatholi- que et libre, qui ne coüie pas un centime au coniribuable, avaienl moins de succés dans les examens, dans toules les professions et toules les carrières, on pourrait tenter d'ex- cuser les sacrifices énormes que l'Administra- tion communale nous impose mais, tout le monde sail que le contraire est vrai et que ce n'esl pas seulement par leur moralité et par leur esprit de religion el de familie que se distinguenl les éléves de notre collége calholique, mais par toules les qualités qui font le bon et l'utile ciloyen. Pourquoi done nous imposer ces sacrifices extravagants? Pourquoi exercersur quiconque reléve d'une administration publique, eelte pression et celte coaclion lyranniques qui, dans le présent et pour Pavenir, préparent lesan- goisses el les chagrins des families Pourquoi cetle méme coaclion et ces mè- mes folies dépenses pour deux Ecoles des filles, Ecoles aussi funesles qu'inutiles, nous préparant une classe ou vriére sans foi et sans Joi, dus jeunes filles de parade et sans réser ves et des inéres sans dévouemenl. Qui ne connait et les discours exlravagamment an- tireligieux qu'olEciellemenl on leur tient? Qui ne connait leurs patrons et leurs protec- teurs? Qui ne connait les cris et les chants de ces Ecolières coininunales dans leurs ex cursions ofiiciellement hbérales? Eiecteurs, n'avions-nous pas assez d'ex- cellentes Ecoles, qui se perfectionnaient, se complélaient lous les jours? Fa ut- i 1 épuiser Ja caisse communale pour comprotnellre l'avenir chrétien de nos families ouvriéres et bourgeoises? Fallail il spolier PEcole sécu lairede Lamolte, chasser inhumamement et ignominieusement les Inslutrices et les Sceurs les plus dévouèes des Pauvrcs pour amener d'aussi tristes et déplorables coosé- quences? Et cependanl telle est Pmuvre des hommes quisollicilenl de nouveau vos suffrages, lis s'appeilent Libéraux, et de la liberté des pères de familie, ils ne veulent pas. II faut que tout plie sous eux, que tout cède devant eux, Pinlérèt, l'affeelion, le devoir des famil ies, le devoir surlotit affirmé par la conscien ce du pauvre, la conscience du puuvre, ■cette chose sainte qui devrait ét re d'aulant mieux respeclée qu'elle se trouve désarmèe. Nos administrateurs libéraux de la Bienfai- sance publique subordonnenl impitoyable- menl leur assistance des pauvres a Pabandon des enfants de ceux ci a Paction laïque el libérale. La tentative est générale, Pexécu- Hion ne Pest pas encore. Mais la tentative d'aujourd'hoi sera suivie de Paction demain. On ne s'en defend pas, et ('Administration communale, enconragée d'eri haul, si elle n'a pas encore donné l'ordre d'exéculion générale, en a depuis longtemps donné faulorisation. Eiecteurs, maintenanl que vous disposez Uibrement de vos suffrages, mainienant que voire vole est stir, ment secret pour tout autre que pour vous-u.éme, vous voterez suivant voire conscience; vous lelirerez Pappui materiel que pour beaucoup, malgre vous, vous aviz cru ne pimvoir refuser a des Administrateurs que voire conscience, voire loyaute el voire coeur désapprouvaient. Vous voudrez dunner enfin un coutróle et un freui a ceux qui n'onl pas satisfait aux besoms, aux intéréts, aux droits de la po pulation qui leur eta11 confiée. Demain se reuml l Assucianon calholique conservatrice pour arréter le cbotx des can- didals. Le devouemem d'hutnmes capables et honorables a tous egards, nous osons le croire, ne vous fera pasdefaut. Vous les ju- gerez. Les cireonstanees sont plus graves que amais. Un ministère liberal prépare au pays toute une série de mesures oppressives et iberlicides. II compte trouver dans les Ad ministrations communalcs les executeurs fa- natiques de sesdécrels. Voussauverez notre Ville et vous vous sauverez vous-mèmes des excés el des injustices qu'ils nous prèpareut. Concitoyens, il y a do trenle a quarante ans que les Libéraux sont a PAdininistralion; qu'oni-ils fail pour la prospénlé du commer ce et de l'induslrie? La depopulation gra- duelle et continue de la vlHe, voila ce que les rapporls officiels constatenl chaque an- née. Aussi savons-nous qu'en grande majo- rité vous vous plaignez de PAdininistralion acluelle. A ceux qui se plaignent, de faire valoir leurs jusles plain les. lis en ont la facullé et le pouvoir. Le redressement ne reléve que de vos fibres suffrages. Nous vous les demandons dans Pintérét public. On lit dans le Progrès de Mercredi Nous avons la conviction que tous les b libéraux sauronl faire abstraction de leurs preventions PERSONNELLESet se rallierool aux cboix de Passociation libérale. L'idée est beureuse et Pexpression jolie. Et comrne c'est flaneur pour Messieurs les candidais libéraux de rallier les suffrages de leurs électeurs, malgré les préoentions per- sonnelles qu'ils inspirenl Le Progrès constate que la nouvelle loi éleclorale, donl le but était de déposséder les curés de leurs droits èlectoraux, a sorti ses meilleurs effets dans le Luxembourg, ou sur 367 prèires électeurs, on est parvenu a en exclure 182, u'est-a-dire la moitié. Quelglorieux tnoinphe d'avoir privé de leurs droits 182 électeurs intelligents el moraux dans la seule province de Luxembourg, et d'avoir su maintenir sur les listes dans la seule ville d'Anvers S00 faux électeurs, commis el saule ruisseaux des gueux BIBLIOGRAPHIE. li'IIllustration Kiiropécniic. (10,50 fr8. franco par an). Sommairk 1>U N°. 50. Gravures Lo promenoir Leopold II a Spa. Le retour d'un moderne enfant prodigue. -- Exposition universelle de Paris. Le restaurant francais. Incidents de la fiévrejaune en Amé- rique. Les Paradisiers. Texte Prime a nos abonnés. Nos gra vures. La justice en Hongrie. Le cabaret du cheval gris. Causerie. L'iniigrante. De la locomotion aérostatique, P article. Ruse de chasse. Un combat contre une ombre. Roman, ox s'abonne au bureau nu journal. van den 11 tot den 18 October 1878. GEBOORTEN. Mannelijk geslacht 2. Vrouwelijk id. 4. HUWELIJKEN. Hubert, Julianus, daglooner en Missy, Emelie, kantwerkster Deeoninck, Petras, barbier, en Deweerdt, Maria, zonder beroep. Delveaux, Nestor, peerdesmid bij het 2Je regiment gidsen en Ferrand, Carolina, zonder beroep. sterfgevallen. Vandermeersch, Augustinus, 44 jaren, kleer maker, ongehuwd, Meenenstraat. Bollaert, Ludovicus, 61 jaren, bellanger, weduwaar van Huys, Elisa. Meenenstraat. Ilarbez, Petrus, 57 jaren, daglooner, echtgenoot van Brackez, Isabella, St-Pieters nevens Yper. Dewilde, Paulina, 10 jaren, Sint Jacobstraat. Kinderen beneden de 7 jaren. Mannelijk geslacht 1. Vrouwelijk. id. 0. POPERINGHE, 11 Oct. fr. 70,00 a 00,00. 18 Oct. fr. 68 a 70 de 50 kilogr. VEURNE, 9 Oct. fr. 20,00 tot 22,00. 19 Oct. fr. 19,00 tot 22,00 de 145 liters. Met genoegen merken wij op dat de BEL GISCHE ILLUSTRATIE, welke haar lleujaar gang ingetreden is, steeds toeneemt in schoon heid en fraaie uitvoering van gravures, die in alle opzichten met die van het buitenland kunnen t cc> F i 5 - O O 73 cs ft: rrr - - cr re re re O re re O Q c_ o_ rr 2. hS CO u I co co CX CO 1 Ci O co co re O O O O O y pr 9L cr KS IsS CO CO CO CO CC CC KL KL CX I I C. C- KL M c- I - I CfQ 2 N 73 \ye4jjyerefl. De tekst is altijd even belangwek kend als boeiend. Wij inlenen vooral de aan dacht onzer lezers te moeten vestigen op de oleographie, welke gratis aan al de geabonneer- den wordt gegeven en op den buitengewonen prijs, welke aan de oplossing van den in liet eerste nomnier voorkomenden rebus verbonden is. (Zie cle annonce hierachter.) re o 0_ pc SST OG -"J NL NL O CX to 73 OO O FS O CX O'. I KL CO I CO -vl I C~> cx I rC I ft: ft: P- ft: 3Q or •o PT- 73 O O Ni 71 O O 73 - - I O 4^ I 1 CO CO I 4^ I g Si %x\ a I os 1 oq r- c-. o F3 -c re -» re re* SL pr zr. zr. I to to CO GO I QO -4 CX pr CO 00 07 lO to to KL rsi! v| C. O- CO <1 -I KS CX TT VT vr 7T - bS *3 I -4 rO to KL 73 O Z2 73 C- cs 7^ C 73 7^ 73 j lO IO tO tO wt CJI o O p-c: J tO KL CO oc co to 2 to I to I 1 CO I I O o D cd "T P- 73 r* to CX TT pr TT pr PT- pr tO KL KL KL tO kL IO bi K 2 N 2 73 C 73 71 73 2 -c CO I I to QO I 1 1 1 CX 1 re pt o o r- p p- w cd r*: o 3 73 73 - co -3^73 7C0 Q-73 ^73- 3- 73 CO 2 5* rsi OO W' 05' "Ï3 J15 zu CO zr *-i OG 1 X 0 ex V N SO 1 KL "i ©- CO GO 1 1 ft: 73 CO I I I OQ JZ 1 1 1 1 1 1 O 73 2 Ki IvL KL KL KL O CO OO 4=^ 4»- - OO r~f 1 I CX ZX. I 1 1 1 TE YPRE. gehucht Luzerne, van in iï' Y gierst a-act, TEGEN DE GROOTE MARKT, F.T kl.UUIN a V[in>. KANTOOR van den Notaris UAl'KIjïiK, TE WATOU. IN EÉNE ZITTING, van zuid aan de plaats, TE OOSTVLETEREN. Gemeente ISeniiighe, by de Dorpplaets. d'une belle «Forigine (latrimonialc^ située sur la Place de Qu'on se le dise. A COMINES. DE a Co Junes Tenbrielen, T S<: It BC K A COMINES. entre l'Amérique et Cruiseecke. DE

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1878 | | pagina 3