MOBILIE R OPENBARE YERKOOPIp SCHOON RENTENIERSHUIS, MAISON DE CAMPAGNE, DEFINITIEVEN OVERSLAG V E R K O O P I N G HOFSTEDEKEN, MATERIEL l)E FERME, rnêtnes est-il bon qu'une administration soit homogene, [/opposition n'est-elle pas néces saire pour secouer la torpeur lei a t de inarasme clans lesqnels tombenl les ailmim- strations qui ne sont asstijellies a auciin controle el qui sont uniqueinent préoccupées de la predominance d'un parti sur l'autre. pour qu'une administration soit bonne il faut qu'cile ne fasse aucune distinction enlre les citoyens, qu'elle les confonde tons en une jnême sollicitnde. Or en est-il ainsi a Ypres Peut-on dire qn'il y a égalilé entre les Yprois? Ne serail il ;)U contraire pas exact de dire que faveurs, égards, assistance sont d'un ccrté, et mépris, dédain, tyrannie de l'autre? Perinellez moi de citer un petit exemple II y a quelques années une de nos concitoyenues oblini un prix de déclamalion iminédialeinent il fallait lui faire une réeeption avec tous les honneurs dus a son rang. Cortége, garde civique, vin d'honneur, musique, rien ne manqua a la fèle, Ie eonseil communal dé- signa uil de ses membres pour complimenler [Héroïne, et Ie carillon, cornine aux plus beaux jours de Iele (malgré les funérailles de nol re regrette doyen M. Welvaerl qui avaienl lieu le mème jour) fit entendre Irs accords les plus joyeux. II y a quelques se- maines au contraire un de nos amis remporte deux prix d'llonneur au concours interna tional de musique a Paris, on voulut lui faire une petite ovation el pour rebausser la fèle on demanda l'autorisation de faire jouer Ie carillon. Mais cetle faveur fut impiloya- blemenl refusée. II s'agissait d'un cathclique; et dés lors il n'élait pas digne de recevoir les honneurs que l'ou rend au laureat du momdre des concours agricoles. Nos adversaires ont tonjours le mot de liberté aux lévres, ils s'inlitulenl libéraux c'esl-a dire amis de la liberté, mais ils ne veulenl de liberté que pour eux-mèmes. Bien différente est notre conduite, Mes sieurs. nous voulons de la liberté pour les autres comme pour nousmèmcs; nousfaisons sonner moms haul peui-èlre le mot de liber ie, rriais nous la porlons gravée plus profon- dément dans nos cceurs. Nos adversaires ne reculent devant aucune tyrannie et sous prélexle d'arracber les en- fants du people a la superstition el a la do mination du clergé, alors qu'eux mèmes confient leurs (ils aux Jésuiteset leurs lilies aux Dames du Sacré Coeur, ils ont recours a la fairn obligatoire pour forcer les parents pauvres a donner a leurs enfants une éduca- cation opposée a leurs convictions religieu- ses. Notre programme, Messieurs, sera tont autre. Ce que nous voulons c'esi un régime sage et inodéré. c'est la liberté pour tons et la protection pour tons. Enlre ces deux pro grammes le elioix des Yprois ne sera pas douieux el Dien aidant nous pourrons le meiter a bonne fin. M. Henri Iweins d'Eeckboulte, dans un langage Irés-sympalhiqne et trés-applaudi, remercie l'Assemblée de la confiance dnnt elle l'bonore. Son dévouement a tons les intéréts malériels et moraux de la commune sera absolu. Tont le monde sail que le dé vouement de M.Iweins est en effel de tousles jours el de loules les lieures. Nous ne Irou- vons ni le temps ni l'espaee pour traduire et publier ce discours prononcé en flamand. M. Iweins signale rapidement les exrès déja commis par le nouveau ministère liberal, el principalemenl ('action funeste du ministre de [instruction publique. II montre l'ensei- gnèment exclusivement libéral donné aux frais des cont ri bun bles, de plus en plus en- vahissant, de plus en plus menacani, aussi bien pour les finances de l'Elat,des Provinces el des Communes, que pour l'esprit religieux des families el la liberté des citoyens. II flélril les [mutilations opérées sur le corps electoral a seule fin d'empècher Paction legitime, éminemmeiit conservatrice el so ciale dn Clergé. II invoque les fails qui se passent en Alleinagne el en France, pour montrer que le libéralisme, non contenu par le calbolicisme, va droit au socialisme. II fait remarquer que Pincertitude, l'instabi- iité, que le libéralisme determine partout ou il prend le dessus, empêcbe l'essor des affai res, la reprise du mouvement commercial et industrial. Enrayons.cbacun en sa commune, Paction perlubalrice du libéralisme, dit-il, et nous aurons eflicacemcnt travaillé au bien- ètre des families el de la eollectivité commu nale el nationale. Arréter a Ypres los folies dépenses, sauver la liberie des pères de fa milie, Pavenir religieus des enfants des deux sexes; favoriscr de toules faeons les enlre- prises commerciales et indusirielles ètre juste, bienveillanl, impartial dans tont l'or- dre adminislralif, tel est le programme qu'é- videmineut la majorilé de la vilIc désire voir réaliser. Que le 29 elle signifie résolu- inenl cette volonté, el elle sera obéie. M. Napoléon Meersseman se leva ensuite et insista particulièrement sur la nécessilé de tutter, en presence des tendances de nos adversaires en matiére dVnscignemenl. C'est 1 la commune, dit il, qui est cliargée d'appli- quer une foule de lois. Or, Pinterprélaiion de la loi peul rendre les nieilleures, mauvai- ses, lémom [application libérale dé la lol de 1842 et du Deciel de Prairial. Eile peul rendre aussi les lois mauvaises, pi res encore. Nous devous empècher surtout que les nian- dataires de la commune vicienl l'esprit des lois. Voila le bul de la lotte que nous enga- gcoiis contre les candidals du parti liberal. M. Pavocal Colaert prit la parole après M. Meersseman. Voici a peu prés comment il harangua l'assemblée Messieurs, Quand un homme se présenle pour la première fois comme candidal devant le corps electoral, celui ci a le droit de lui de- mander ce qn'il est el ce qu'il vent. Je viens done m'expliquer, MM., et vous faire con- naitre mes sentiments cl mes convictions. Perineltez-moi de voos dire avant lout que j'eusse préférè n'acce|iter aucuii mandal et voir designer, comme candidal en ma place un homme plus avancé en age et en expe rience. Je croyais que l'intérèl du parti aussi bien que mon propre intèrèl léclamaieut mon abstention. Vous m'avez vaincti. Vous m'avez fait comprendre que c'étail pour moi, comme pour tout homme dévoué a son parti, un de voir d'accepter la candidature dans lescir- constances actuelles. J'accepte done. Les ora- teurs qui ont pris la parole avant moi, ont fait connaitre les motifs d'opposition. Oui, la lutle est un devoir. Je n'ai pas de griefs personnels. Mais le libéralisme, voila l'en- nemi. Ceux qui occupent l'Hötel-de-Ville de- puis quaranle ans sont des hbéraux et n'ont que trop agi en libéraux, et a ce litre nous devons les combatlre; loyalemenl bien en- lendu, a visage découvert, sur le terrain des principes et des fails, en ayanl lous les égards possibles poor leurs personnes. Nous devons les combatlre Le libéralisme est l'enneini: il s'esi fait le complice du radi calisme; il s'esl donné pour mission d'arra cber des ames a l'Eglise; il a éerasé la liberie du père ile familie en refnsanl le pain, dont il n'est que le dispensaleur, au pauvre qui ne lui abandonne pas l'éducation de ses en fants! Nons le combaltrons, et en le combat tant avec des armes légales, sous l'égidedela liberie, je suis convaincu que nous rallierons au.to.ur de notre drapcau, une fraction consi derable mème de ceux de nos conciloyens qui ne pensent pas comme nous en toute maliére. Quel père de familie d'ailleurs, qui des cends de parents cliréliens et qui veuille transmellre a ses enfants des sentiments fai- sant le bonbeur de sa vie, ne nous prêlera sou concours? Ne sail-il pas que le libéralis me veul faire de ses enfants une sorte de propriété de l'Elatne laissanl a la familie, pour les soms qu'elle a prodigués a l'enfanl, d autre consolation, d'aulre recompense que celle d'avoir donné le jour a un assez bon Spartiate mais hélas a mi fort mauvais cli rélien? Ne doivent-ils pas nous appuyer de leurs suffrages aussi, les membres du la noblesse cl les propriélaires, les indiislriels, les com- mercants el les eullivateurs, lous ceux qui out mi litre, une ferme, un fonds, une par- eelle tie terre a conserver? Ne voienl-ils pas que les couches socio les se ren verseri tque les lois el les armos ne suflisenl plus pour arréter le courant qui einporte la sociéte? Disons—le a leur honiieur, des esprits libé raux naguère, reviennent de leurs illusions, de leurs rèves; iIs ne sont plus aveugles au point de ne pas discerner entre le mal et le remède. Le mal, c'est le libéralisme: pluslögique qu'on ne se [imagine, le libéralisme qui croit pouvoir se passer de Dieu el de ses comman dements; le libéralisme qui a placé la France sur un volcan tonjours pi ét a faire eruption; le libéralisme qui, au bout de sepl ans de lutle civilisatrice, a fait du pays peul-ètre le plus conservateur du monde, 1'Allemange, ie centre du socialisme, la source d'oüjail- lit le torrent qui inoiiih ra peut ètre l'Euro- pe tout entiére! Le remède, c'est rinslruclion, mais l'in- stnclion liaséesur la religion, sur les droits du pérede familie c'est le respect de l'auto- rité religieuse, et comme consequence, le respect de l'autorilé civile e'esl la oharité chrélienne, Messieurs, co trail-d'union entre le maitre et le servileur, entre le patron el l'ouvrier; en un mot, c'est l'Eglise Voila nos principes, nos convictions. II en est qui pensent que ces principes ne sont pas en jeu quand il s'agit des interets de la com mune. La commune n'a-t-elle pas ses écoles, son bureau de bienfaisance, ses hospices El ne sont ce pas la des instruments puissan is, des engins redoutables pour le bien ou pour le mal D'ailleurs, comme on Ie disaii tan- tól, radministration communale est cliargée de Eapplication d'une foule de lois. Or vous savez combien est daiigercuse ['interpreta tion erronée des lois Pour n'ajouter qu'nn exemple, rappelez vous, M. Piercol inlerdi- sanl a Liége les processions Nous faisons done un appel a tousles ca- lholii|iies, a lous les conservateurs, a lous les hommes d'ordre, pour qu'ils se joignent a nous. Nous aimous l'Eglise, mais'nous aimons aussi le progrés, la science, la civili sation nous aimons 1'inslruction a tous les degiés et pour tous les rangs de la sociélé. L'industrie et le commerce ont toules nos sympathies. Si vous nous honorez de vos suffrages, nous irons défendre a l'Hótel-de- Ville vos intéréts malériels et moraux; nous exercerons au sein du Conseil communal une mission de controle et de surveillance. Mais qu'on le sache, nous ne sommes pas de ceux qui destiluent, qui congédient des ser- viteurs fidéles el lionnètes paree qu'ils ne pensent pas comme eux; nous estimons qu'un bieufait peut gagner l'esprit et le coeur d'un adversaire, tandis que les mesures de parti sont bonnes tout au plus a s'aliéner des amis. Ce sont la nos convictions les plus chères. Vous nous olTrez le mandal de les défendre; nous acceptons ce mandat, mais a vous de faire le resle. Enfin, M. Breyne Devos, conseiller pro vincial, déclara accepter la candidature qu'on lui avail offerte. II sera, riil-il, Ie candidal de ses amis de la campagne; il défendra particu lièrement les intéréts de noire population suburbaine, inléièts qui sont souvent négli gés. Les principes qui viennenl d'etre pro- clamés par les oraleurs précédent? sont les siens. II s'ungage aussi a les défendre dans la mesure de ses forces. Les candidals MM. René Begerem elle Docleur Petit élaient absents. M. Begerem est a Paris, ou il est allé recevoir la médaille d'or. M. Pent, retenu dans l'exercice de ses devoirs professioneels, n'a pu arriverqu'uu moment ou la séance se lermiuait. M. le Président Spilleboul reprit la parole pour remercier les électeurs qui avaient ré- pondu en si grand nombre a l'appel du comité. 11 saisit l'occasion pour engager les cnlholiques a faire, le lendemain, au Procu reur de la Province, l'accueil qu'il mérite. Vous tous, dit-ilqui avez connu l'bonorable Chevalier Ruzetle, pouvez-vous approuver sa destitution? A-l-il jamais poséun acte de parti? N'était il pas un administrateur zélé, un gouverneur modéle Vous saurez done comment il convienl de recevoir sou sticces- seur, eet homme de parti qui est venu sur- veiller on l'a dit notre catholique Flandre. Le nom de M. Buzette retentit dans toute la salie, cl l'assemblée se sépara aux cris de Vivent nos candidals ('.eile brillanle reunion est un gage de succes. Nous al tendons avec confiance la journée du 29 oclobre. Elle donnera la vic- toire aux candidals du parti catholique, nous en avons l'mliine conviction, basée sur la conscience des griefs dont le mécon- tentemenl public réclame le rédressemenl. M. HEYVAERT A YPRES. M. le Gouverneur, nous allions dire le Procureur (comme on l'a justemenl qualifié), de la Province, a fait son entree officielle a Ypres, Lundi dernier. Nous croyons qu'on ne nous conleslera pas .que cette enlrée n'a va i l rien qued'e^? ciel. L'Administration communale avail, aux frais de la ville, plantè de distance en distance, dans les rues que M. Heyvaerl de- vait parcouiir, des mats fort maigrenient pavoisés de banderolles et de peins drapeaux aux couleiirs nalionales et gueuses. L'aspecl de la Grauil'Place eu particulier ofi'rail quel- que cliose de mesquin et de pitoyable. Les libéraux, ainsi qu'un cerlain nombre de personnes ayanl des intéréts a méiiager, avaient poussé un drapeau. Telle est la part que les habitants out prise a la decoration de la ville. Les esprits n'élaient gnére plus dispos; nulle trace de joie rrfit'entraiu dans la foule. La curiosilé élait le sentiment qui poussail lont le monde aux abords de la slation et sur le parcours du cortége. Ou savait de M. Heyvaerl de quelle inaniére il avail succédé a M. Ruzetle, si bien vu, si bien corinti a Ypres, el l'on élait curieux de conlempler cette rare figure de gouverneur. Le cortege officiel vint prendre le héros de la fèle vers les dix heuresa la station. II se composail de la garnison, qu'un décret de Messidor oblli/aait de venir sous les armes; de la garde civique, convoquée par le Major-Commandant en service oöliyuioire; des écoles laïques de' garcons, présents par urdrc; de diverses sociélés d'arcbers, de bouleurs, de joueurs de carles, etc., spé- cialenient convoijuées par M. le bourgmes- tre, et qui toules, en temps de kermesse, jouissent d'une largesse communale quel - conque, sans compter les rafraichissejnenls qu'ils espéraienl pour leur récréation du soir. Arrivé sur la Grand' Place, le cortege se développa dans toute sa largeur, et le Procu reur de la Province monla a l'Hólel de-Y'ille, sans qu'aucun cri parti de la foule salua cette jogeuse entree.. L'entrée officielle élail accomplie. Le cortége qui reconduisit le soir M. Hey vaerl a la station ent un caractére beaucoup plus inlirne. Mais disöns d'abord qu'apiés la réeeption des autorités par Ic Gouverneur et la visite des écoles gueuses, un banquet cut lieu a l'Hólel-de-Ville.A six beures du soir, M. Heyvaert quilla nos murs avec moins de poinpe qu'il n'y élait entré. L'ar- mée avail rempli sa consigne; la garde civi que, quoique invitee, n'avait plus envie de reprendre les armes; il ne restait pour escor te d'honneur au premier fonctioiniairc de la province, qu'une cohue de gamins débraillés etd'ouvriers tilubanls, que l'on avail arrnés de lanternes véniliennes. Ajoutons que les musiques des Pompiers el des Wille klakken faisaïenl partje du cortége. Les particulier?, qui le matin avaient arboré leurs drapeaux, ree au Reurre, rue du Temple el rue des Bouchers, avaienl également cru devoir illu- miner le soir. Toules les aulres rues sont restées dans les ténébres. C'est en vain que, sur divers points de la ville, des libéraux zélés essayérent ile donner le branie; ils en ont élé pour leurs frais de lampions. Une foule de promeneurs s'élaient porlés sur le passage de M. Heyvaerl, gardant, comme le matin, la mème attitude froide et indifférente. Quelques guetix, que l'on cite parmi les plus huppés et qui s'essouflaient a courira l'entour de Ja voiture du Gouver neur, ne parvinrent pas, malgré leurs appels a la foule pour cn obtenir des acclamations, a chauffer la mise en scène ct a rompre la glacé. Au retour de la station, les gueux de tout aeabit, suivant tine habitude qui leur est chère, se répandirent dans les principales rues de la ville. Une promenade aux lanter nes véniliennes leur fournil une Occasion nouvelle de vociférer [ignoble chant des gueux, eiuremèlé de cris cl d'injures a l'a- dresse du calboliques. Ladécoration civique est décernée dans [■arrondissement d'Ypres aux vélérinaires du gouvernement, J. De Meester, a Messines, la decoration de 1lc classe; D. Criem, a Ypres, la médaille de 1ro classe. Recom penses electorates. S T U D I li van den Notaris M A HIEU DONDERDAG 24" OCTOBER 1878, ten 12 uren des middags, ter hofstede van Pieter Jacobus Goddyn TE ZUYDSCHOTE, 1" Gezaegd en ander Hout 2J Eiken Cassynen.Vetislers, Brand hout en Plantsoenen 8" Landsalaem, Wagens, Karren, enz. 4° 400 kilos Hommel 5- Twee vummen Hooi 6" Hommelkect en Nast; En 7" Meubelen, Effecten van me- nagie en een gouden Zakuerwerk. Tyd van betaling, mits borg. EEN EXTRA au (['ïjicrslnuT, TEGEN DE GROOTE Iff ARKT TE POPERINGHE, laetst bewoond door wylen Mad. de weduwe Van Renynghe, Opcntiaci'lyk te lerkwopcn in eene Zitting, VRYDAG, 25 OCTOBER 1878, om 4 uren namiddag, ter estaminet den Gouden Arend, op de Groote Markt, te Poperinghe, ingevolge de voorwaerden bernstendc ten kantoo- re van den Notaris LAVA, te Pope ringhe. Etudes de iVfi1"-» CAPKIjIjG a lVuDiu liA.Ya Ki\ a Y|in s. MISE-A-PR1X, LE VENDREDI 25 OCTOBRE 1878, ADJUDICATION DEFINITIVE, LE VENDREDI8 NOVEMRRE 1878, respcctivcmcnt a 2 beu res de relevée a l'estaminet-brasserie occupé par le sieur Van Eecke, a Watou. VENTE PUBLIQUE d'une delle AVEC JARDIN LÉGUMIER, (Perigiiic palriiiioniale, située sur la Place de WATOU. avec 88 ares 12 cenliares de terre, sous fonds bati, jardin anglais, grand élang poissonneux. légumier, section A, numéros 330 a 334 inclusivement et numéro 410/2, le tout, plus am- plement décrit aux affiches parcel- Iai res. Entréc en jouissance immédiate. I'our tous renseignements s'adres- ser aux dits Notaires CAPELLE et LAMP, IN. Qu'on se i.e dise, KANTOOR van tien Votai is CtAl'IifiliK, Op Donderdag 31 October 1878, om 2 ure namiddag, te Watou. in het Gemeentehuis, bewoond door Jw de we Lermytle, Jl\ ei5ne zitting, van BINNEN V/ A T 0 U langs den steenweg naar den Abeele. Een WOONHUIS, Kamer, Keuken, Vaute, Kelder, Onderlat, Paarde-Koei en Zwijnslallen, Schuur, Wagenkot, twee groote Aal putten (waarvan een 300 hectoliters inhoud) en 8 aren 30 centiaren Erve onder Grond van ge bouwen en Hovenierhof daarmede- gaande, sectie B, N° 6'. Thans gebruikt door den verkooper Ch. Delautre, met, recht tot 1" Mei 1879. Om alle verdere inlichtingen ge lieve men zich te begeven ten kantore van den Notaris CA PELL E voor noemd. STUDIE van den Notaris DE BOO, IN EENE ZITTING, den DONDERDAG 31 OCTOBER 1878, om 2 ure, in d'herberg het Neerhof, gehouden door Aviand Lacante, te Keninghe, van EEN ZEER SCHOON EN ALLERBEST groot onder grond van gebouwen, hofplaets, boomgaerd, weide, zaei- landen maeigras, 5 hectaren, 54 aren, 47 centiaren. Gebruikt door de eigenaers, kinders van wylentS1" Pieter-Jacobas Colpaert. Verdeeld in 0 koopen, met recht van samenvoeging. Onmiddelyken handslag aen de zaeilanden en aen de weiden en gebouwen met den dag der geld- telling. ETUDE de Me L ANNOY, Notaire JEUDI 31 OCTOBRE 1878, a 9 lieures du matin, a Ia ferme oc- cupée par Hubert Descamps-Boutcn, ia Wervicq, VENTE PUBLIQUE Instruments aratoires, liécoltes ET BESTIAUX, TE YPRE. GElfUCIlT Luzerne, van ET TE WATOU. zuid aan de plaats, TE 'OOSTVLETEREN. 83«>3iing5itk, by de Dorpplaets. A COMINES. entre l'Amérique et Cruiseeeke, DE

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1878 | | pagina 3