V E N D I T I E X MAISOSS s PEUPLIERS DU CANADA, 5- EN OLIE WINDMOLEN, HOFSTEDEKENS, T'YPRE. TRÉS - BEAUX ORJIES BELLE ill A 4 BOLES, jroil, coBiir plein de zéle cl de dévouemmt, jl s'élail adonné avec une aideur qui peui- g[re dèpassail ses forces physiques, a la de fense de nos liberlés religieuses meuacées par |e libéralisme. Membre nciif des Conférences de SI-Vin cent de Paul, M. Xavier Van den Poerebooin reinplissail avee zéle el assiduilé les devoirs du visiteur des pauvres. Sa dernière maladie fut longue et pénible: il a supporld Pépréuve avee cette energie pa- lieute, cel te siinplicité. celte douceur angé liqoe qui faisaienl Ie fond de ce caraclère ainiable el lui gagnaiept lous les coeurs. Dimancbe matin est décédé a Bruges M.Van Ilollebeke. vérificateur des poids et mesures. M. Vanllollebeke est mort a la suite (fune chute qu'il a faile celte nuit; il est lom bé d'une plateforme sur laquelle il avail l'babitudede se placer pour fumer la pipe. Nous venons de recevoir une trisle nouvelle: M. Ie vicomleCb. Vilain XII1I, an cien membre du Congres national et de la Cbambre des représentants, ancien ministre des affaires élrangères, vient de mourir dans son chateau de Lanklacr prés de Maeseyck, ou il s'etait retire depuis quelque temps. A V Caisse des Propriétaires. Agent a Ypres M. A* Vtmck-Oément, Banquier, rue de PEloile, N° 4. La Baisse des Propriétaires émet des obligations an\ conditions sinvanles Obligations a 5 an< inlérêt 4 112 id. 10 - -i S|4 id. a primes 4 1|2 équivalanl ii b*|. avee la prime de rembourseinenl. Pour obtenir les litres ou avoir des renseigne" nienls s'adresser a M. VONCK CLEHEIST, seul iigunl de la Société il Ypres. Les obligations de la Baisse des Propriétaires onl on double gage les hvpolbèques qui ga ran- tissent les piêls et Ie capital de la Société. Ciira»3iiï«pae TBISTE DEFENSE D'UNE TRISTE CAUSE. L'on sail que notre honorable représentant, M. Slruye, dont le Progrès avail effronté- iiient Iravesli les paroles prononcées a l'As- sociation calhoiique, a oblige le pamphlétai- rc, conformémenl a la loi, a insérer le dis cours incriminé. La fenille gueuse ne sail encore digérer eelte potion medicinale. Ccla lui donne des nausées, et de la les plates injures et les gross'ères personnalités quelle vomit eonlre eet honorable concitoyen. Assurétnenl per- sonne ne s'avisera de ramasser les ignobles invectives de l'organe du libéralisme yprois. Que lesgueux se prélassent dans celtefange, c'est leur élément; nous n'y toucherons pas. j Du resie, toujours fidéle a sa tactique ha bi - luelle, si le Progrès aborde une question, e'est pour la déplacer; s'il riposte, c'est pour masquer sa défaite; s'il discute, e'est pour déraisonner. M. Slruye avail émis en son discours celte observation si juste et si incontestable, et sur laquelle nous aimons aussi a insisler: Le commerce el l'induslrie sont piongés dans tin marasme deplorable. La population va en diminuant toujours et l'r,erbe seule grandit le iong de nos marches et de nos rues déser- tes. Tandis que partoul autour de nous, a Boulers, a Cornines, a Wervicq, a Poperin- gbe, a Iseghem, a Lichlervelde, a Courlrai, parlout ou tl y a des administrations catholi- ques, jusque dans les villages, Ie bien-èlre s'accroit avec le commerce et des industries de toutes sorles, ici les branches ancien nes meurenl et aucune nouvelle ne pousse; les fabriqucs grandeset petiles disparaissenl; notre population ouvriére doit émigrer el la jeunesse bourgeoise est dispersée par tout le pays dans les administrations publiques. Que réplique cependant le moniteur de Fautorilé communale a ce tableau fidéle de notre situation induslrielle? Les plus pi- loyables arguiies. Ecoulez cela En effet, dil-il, e'est grace a M. Berlen que le boublon de Poperingbe est recherché sur lous les marches... L'est grace a nos cleri- caux que le tabac de Wervicq a acquis sa sa veur visa renommee! Courlrai doit a M. Nolf d'etre admirablemenl siluée au point de vuedes communications par lerre et par eauEt aiusi des autres locahlés citées par le grand uraleurMais e'est la faule de I'ad- ministralion si l'Yperlée u'esi pas une rivie re; e'est la faute aux eaux de nos fossés si la vapeur n'a pu faire tourner la roue de la fabrique Barbier; e'est encore faule de générosilg de la part des liberaux que ''industrie de la rubannerie a fiui par dispa- raitre Telles sont les pauvres plaisanteries qu'op- pose Ie Progrès aux lans les plus indénia- bles. Si vscs lecleurs soul convaincus, c'e»l que leur foi libérale est robuste. Mais a qui Ie Progrès compte t-il faire a cc co i re que ia prospente de Poperingbe on do Wervicq est puremenl agricole et se bor ne a la culture du boublon ou du tabac Qui ne sail que la situation lopograplnque do BoulersCourlrai, Comincs, Iseghem, Lichlervelde, n'esl point meilleure que la notre. ou ne conlribue a la prosperilé locale que sous forme d'appoini et nullement cotn- ine cause première et dèlermiuanle Si les loealitésque nouscilons, voienl leur pros- périté s'accroitre, si leur industrie procure a leurs habitants des moyens de subsistaiice, e'est que non-seulemenl elles fiossédent dans leur sein une population active, bonnèle et laboneuse, (et sous ce rapport encore notre ville supporle honorablement la comparai- son avec elles,) mais e'est surtout que I'auto- rilé communale ne fait point de distinction entre ses administrés. C'esl que I'autorité, sans fournir aucunement des subsides pé- cuniaires a l'induslrie privée, (comirie le Progrès en attrib ie sottement l'idée a M. Slruye), soutient ^initiative des particulier» par lous les moyens moraux et administra lifs dont elle dispose. Aussi une administration sageet bienvetl- lante pent beaucoup pour Ie développemenl de l'induslrie locale. Elbe lui'faeilite ou lui procure inêine les moyens de recruter des ouvriers et des apprenlis. Elle ne laisse ja mais planer la moindre arriére pensèeparmi la classe ouvriére sur la nature de ses dispo sitions a l'égard d'un iiidustriel en vne de ses opinions politiques ou religieuses. Elle s'ef- forcede ménager a tons indistinclemeni des moyens d'écoulement, des facililós de trans port, des voies de communication. Elle ad- met tons ses commettants, induslriels, fabri- cants, négociants a participer a leur tour (moyerinanl uri juste controle) aux livraisons el fournilures a charge de la caisse commu nale; point de monopole; point de favoritis- ine; point de pots de vin. Voila queiques moyens bien simples, ra- tionnels el efficaces d'encourager le com merce et l'induslrie, et le Progrès el ses patrons ne semblem pas même s'en douter. Au resle nous comptons bien revemr encore sur ce chapitre. Le Monifeur publie un tableau indiquant, par arrondissement et par province, le noin- bre des électeurs géneraux, provinctaux et communaux, rayés des listes éleclorales de 1879 1880 en suite des articles 2 et 3 de la loi du 2G aoüt 1878, apportant des modifi cations aux iois sur la contribution person nel^ cl au code electoral. Voici le tableau de notre arrondissement Minislres dus cubes. Ypres, gén. 30, prov. 13, com. 3. Total dans la province, gén. 170, prov. 88, com. 13. Mambres da l'enxeignemenl. Ypres, gen. 7, prov. 27, com. 24. Total dans la province, gén. 38, prov. 129. com. 130. Fonclionnaires et employés de C Elat. Ypres, gén. 1, prov. 5, com. 3. Total dans la province, gén. 13, prov. 20, com. 45. Fonclionnaires et emplproo. el com. Ypres, gén. 2, prov. 1, com. 1. Total dans la province, gén. 10, prov. 12, com. 16. Cultivateurs et fermiers. Ypres, gén. 34, prov. 6, com. 0. Total dans la province, gén. 443, prov. 89, com. 15. Mé dec ins, chirurg iens et ai tistes vétérinaires Ypres, 0. Total dans la province, gén. 2, prov. 2, corn. 0. Officiers de fannêe. Ypres, gén. 0, prov. 1, com. 4. Total dans la province, gén. 0. prov. 2, com. 7. A ulres professions. Ypres, gén. 10, prov. 6, com. 1. Total dans la province, gén. 70, prov. 19, com. 14. Ypres, gén. 84, prov. 59, com. 36. Tolaux généraux dans la province, gén. 752, prov. 361, com. 240. font peu parler d'elles. On ne se presse guè- re, il est vrai, de doimer satisfaction aux nombreux intéréts lésès par le retard appor- lé a 1'echange de ces obligations centre de la rente 4 ft. c. beige. La lot autorisani Ie gou vernement a racheler les lignes dece rèseau et a rembourser, au inoyen de la rente pré- citee, les obligations actuellement en circu- latiou, a cependant eté votée en mat dernier. Depuis lors les intéressés et ils sont nom breux altendeut toujours la publication d'un avis éiuanatil des comités de liquida tion de ces ditï'ereoies soeiélés les informant qu ils peuveul ecbanger leurs obligations contre les litres de rente 4 p. c. beige, aux- quels ils onl droit. Ou ne niera pas que ces ponears d'obligations n'aient fait jusqu'a ce jour preovedela plus louabie patience; nous espérons qu'il sera proinptement mis fin a un statu guo préjudiciable a des intéréts qui n'oiiléléque trop leses par le retard apporte a l'opération que nous rappelous aux souve nirs des comités chargés dc la mener a bonne fin. Dans notre Flaudre, les plaintes sur le re tard sigualé sont uuaniines; I'Etoile impute ce retard aux comités de liquidation, mais ces comités ne sont pas chargés d'exécuter la loi votée: cette tache incombe au minis tère, et il n'a rien fait jusqu'ici, que nous sacbions, pour s'en acquitter. St les comités n'avancent pas leur travail, c'est au tninislè. re a leur forcer la main; mais la guerre au clerical l'absorbe trop, il renvoie toujours au lendemain les affaires sérieuses. SOCIETE DE LA CONCORDE. Programme des morceaux qui scroni execu tes le Jeudi, 21 Noviunbre 1878, a 7 henres et deuue du soir, par la musique du l«r régiment de ligne, sous la direc tion de M. CIk 8 mar. Martha, ouverture, Flotow). Scène et air de la Reine d'un jour, (Adam). Sou venir de l'opera Kaiist, (arr. par Ch. S mar, pére). La Bibillarde, polka pour flute, exécuiée par M. Vanzèveren, (J inrnois). Marche égypnenne, (Strauss). Montrose, valse, (Laiutzky). Nons lisons dans I'Etoile: Les obligations du rèseau des Flandres CH BONI QUE BELïGIEUSE. Apostolat de la priöre en Vhonneur de IK. I). de Lourdes pour la conversion des 'prehears. Jeudi 21 Novembre, Presentation de la Nle Vierge, Mes se solennelle a 7 h. FAITS DIVERS. Une statistique de la .justice criminelle en France nous révéle qu'en 1876, le nombre des suicides avérés a été de 5.804. Jamais pareil chiffre n'avait été atleint. Depuis trente ans, le nombre des suicides a doublé en France. Nul doute que les statistiques de 1877 et de 1878 n'accuseut une nouvelle progression. Les femmes ligurent pour un cinquième dans le chiffre total. La Decentralisation dit a ce sujet Gombien avait raison le Pape Léon XIII, dans l'encycliquo qui a suivi sou avénement, de signa- Ier cette épidémie de désespórés comme un des signes particulier» de notre époque C'est la maladie des sociótós matérialisóes; elle sévissait aux dernier,s temps de l'empire romain. Pas mal Un ouvrier vient trouver un camarade de grand matin Dis-donc, pröte- moi ta montre en or,voici la mienne en argent. Pour quoi faireJe dois aller me faire photo- grapliier et cela m'huinilierait de donner mon portrait avec une moutre en argent Aux examens pour le volontariat Monsieur, dit un des examinateurs au can- didat, qu'est-ce qu'uue raciue carrée, je vous prie? Pardon, fait le eandidat, mais je ne me pré sente pas pour l'agriculture, moi Je suis pour l'industrie Un moven d'existence. En police correc- tionnelLe president. Vous n'avez pas de moyen d'existence L'accusé, tirant un hareng, de sa poche. -— Eh bien et ca i Profonde stupefaction du tribunal. WEIDE, ZAAILAfiQ IS A It U 1 2K K A TE VERKOOPEN BINNEN YPRE, in ééne Zitting. BEVEREN, by Rousbrügge. lcn Koop. Een schoon en goede WEIDE, groot 97 aren 90 centiaren, te Beveren, bij het Dorp van Rous- brugge, langs de Sl Thomas of Clytte- straat. Gebruikt, zonder pacht, door de weduwe van sieur Charles üesmedt, aan 140 francs bij jare boven de belastingen. ROÜSBRÜGGE-11AR1NGUE. 2" Koop. Eene partie ZAAILAND, groot 63 aren 90 centiaren, te Ila- ringhe, oost van bet dorp van Rous- brugge, langs de booidreve. Gebruikt door sieur Marinus Lief- ooghe, tot ln October 1882, aan 100 francs bij jare, boven de belastingen. POPERINGIIE. 3" Koop. Een HOFSTEDEKEN, groot 2 hectaren 5 aren 79 centiaren, te Poperingbe, in den Hamboek, weinig oost van de Sl Sixstraat. Gebruikt door sieur OzeeFBuseyne, tot lu October 1882, aan 225 francs bij jare, boven de belastingen. 4" Koop. Een HOFSTEDEKEN, groot 2 hectaren 87 aren 56 centiaren, te Poperingbe, in den Ilelhoek, weinig noord van den steenweg naar den Abeele, langs de Casseldreve. Gebruikt door sieur Pietcr Ler mijtte, tot 1" October 1882. aan 275 francs bij jare, boven de belastingen. STAD YPRE. 5n Koop. Een MUIS, ten dienste van Winkel, aan de zuidzijde der Groote Markt, n° 31. Rewoond door sieur Alphonse De- hem-Weeksteen, met recht tot 1» Fe- bruarij 1885, aan 400 francs bij jare, boven de belastingen. 6" Koop, Een HUIS aan de noord zijde der Lentemarkt, n° 53. Bewoond door de dochter Mortier, zonder pacht, aan 18 francs te maan de, vrij van grondlasten. ZITTING. Deze verkooping zal geschieden in ééne Zitting, vastgesteld op MAANDAG 25 NOVEMBER 1878, om 1 uur na middag, ter estaminet de Getemde Leeuwen, op de Botermarkt, binnen Ypre, ingevolge de voorwaarden be rustende ten kantoore van den No taris VA^ütF.fütERSCH, te Ypre resi ded-en de. BY STERFGEVAL. €5>j»4:s6Ü8ure OVEKSLAG, DONDERDAG 28 NOVEMBER 1878, ten 2 uren, in 't Brouwershuis, l'Ypre, van Doorgangstract. 2 aeneenhoudende Huizen met erve, Vs 5 en 7, verpacht 360 francs 's jaers. Maer ingesteld 5,550 francs. iNeêrstraet. Een onlangs herbouwd HUIS met Erve, nu 5, verpacht 17 fr. te maende. Slechts ingesteld 2,075 francs. Langs den steenweg leidende van de stad naer den Kalfvaerd. Dry nieuwgebouwde HUIZEN, met medegaende Erve, n" 30, 31 en 33, verpacht aen 38 francs, te maende. Verdeeld in 3 koopen. Zg staen maer op 5,000 francs. Door 't, ambt van den Notaris LAfflBIH. te Houthulst, ten verzoeke van Mevr. de Drc Cassiers door 't ambt van r. de GROOTE, op DONDERDAG 28 NOVEMBER 1878, ten 1 ure namiddag, van Drooge Sparre-Amcloozen Eiken Snoekbusschen en Blokken Popu lieren en Larix Boomen. Alles breeder gemeld bij plakbrie ven. De vergadering bij P. Meerseman, alwaar er 's morgens zal Zitting ge houden worden voor de betalingen. ÉTUDE dc Me L ANNOY, Notaire A. LUNDI 2 DÉGEMBRE 1878, a midi, a la ferme occupée par M. Emile Glorieux, a la llaute-Croixj a Wervicq, Yeiitc gtisl»liq«ie propres d la charpente el au charronnuge. B. JEUDI 5 DECEMRRE 1878, a 3 beures de relevée, au cabaret la Station, a Cornines, ADJUDICATION DW' avec 19 ares 85 centiares DE FONDS ET TER RE Ml li PRÉS DE LA GARE, occupées par la veuve Vandewalle et Léon Demeyere, a 22 francs par mois. c. LUNDI 9 DÉGEMBRE 1878, a 9 beures du matin, a la maison Moreau-Leroy, a Comines, HYcnfc g»5!Sïïs«geBC Etude du Notaire DE VOS, Veil te imlilacgue 3 Ormes ET 5 BOIS-BLANCS LE LUNDI 2 DÉGEMBRE 1878, a 1 beu re precise de relevée, A COMINES -ÏENBRiELEN, 1" Sur une pature occupée par Jean-Ble Mabieu-Verstraetesection de la Chapeile d'Epincs, tout prés du chemin de Gbeluvelt. Et 2° Sur un pré exploité par ledit Mahieu-Ver- straete, a proximité du chemin de Kruiseecke et de l'occupation Pierre Doolaeghe. 6 mois dc crédit moyennant caution. STUDIE vat» «lcn JYotarls AIÏB Bil', KERSMISDAG 26 DECEMBER 1878, 1U uren 's morgens, OPENBARE VERKOOPING van eerst: 10,000 B HAKEN, geschikt in koopen zeer schoone Popelieren, harde Iepen, Abcelen, Esschen, Keirzelaer, HollandersErabeis en Wilgen ten meesten deele van 1 m. 50 c. tot 2 m. 50 c. dienstig voor kloefkappers, wagenmakers en timmerlieden, op bet hofstedeken van P.-J. Go.ddyn, te Znid- schote, gehucht Luzcrn, en 't overig te Bixschole, bij Steenstrate, hofstede Karul Vallalys, tusschen de vaert en decalcbiede van Ypre naer Dixmudef Tyd van betaling, mits borg. te ^ta«Ie:i, nit de hand te pachten ofte koopen. zich te begeven bij den Notaris VUYLSTEKE, te Staden. Ij'litiaistratioja SEiaa'opéensae. 9* année d'existence. 10.50 fr. franco par an. 2.65 francs franco par trimestre. o— La seule publication illustrée beige parais- sant toutes les semaines en 8 pages de texte avec 4 ou 5 gravures sur buis. o— Texte. Romans du plus grand intérêt. Nou- velles. Causeries scientiliques. Ghroniques diverses. Art. Industrie. Dócouvertes, etc. Gravures. Portraits des hommes marquants du jour. Actualitós. Monuments. Paysa- ges. Sites pittoresques du pays. Reproduc tion des tableaux modernes les plus remarquables Sommaire du N°. 2. Gravures Lu recu brulé, d'aprés M. C. Becker. A In campagne et au salon, d'aprés M. Biard. Un arbre aux racines fantestiques. Texte Nos gravures. Chronique deca dela. Connaissances usuelles de la semaiue. Quinze mille francs de rente. Nouvelle. La sardine. Maniére de la pèeher, de la preparer el de l'exploiter. Le tilleul de l'abbaye. Un dernier beau jour. Elèonore de rouge eloitre. Roman, Ensemble. ÉG use DE SAINT MARTIN. tuur v rnnr. VAN A COMIIVES. DE DE DE ET D UNE A WERVICQ. O DE TE YPRE. EN TWEEDS WIJK RE VIJFWEGEN, ON S'ABONNE AU BUREAU DU JOURNAL,

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1878 | | pagina 3