H O F S f EDE,
MEUBLES,
MrLE CANAUX AGRICOLES.
Onroerende Verkoopingen.
H O F S T E D E K E N
TWEE WOONHUIZEN,
Adjudication definitive
Lne Belle et Bonne Ferine^
Terre a Labour et Prto
T r 0 i s M a i s 011 s
(Jne .liaison de Campagne,
Et le dernier mot n est pas encore dit.
Nous avons déjit signalé le grand nombre
d'électeurs de l'arrondissement de Warcmme
ayant manifesté hautement leur répulsion
contre la loi-Van Humbeeck; dans le district
de St-Nicolas le blame s'accentue dans des
proportions non moins étend ues: vingt com
munes de eet arrondissement ont envoyé 151
pétitips contenant 8748 signatures de pères
de familie, et il faut y ajouter encore sept
communes oü le dénombrément n'est pas
encore fait.
West-ce pas qu'il n'y a d'agités que les
agitateurs?
Ëcole Lamotte.
Hier, mardi, notre excellente école den-
tellière était en fête.
M. René Begerem avait voulu laisser aux
nombreuses entants de cette école, toutes
ses ouvrières, un souvenir qui leur rappe-
lat les distinctions dont la Supérieure de l'é-
tablissement et lui-même avaient été honorés.
Des jeux avec beaux prix pour les gagnants
leur étaient offerts. Les prix nombreux con-
sistaient en effets dliabillement.
Un goüter avait été préparé: le chocolat et
les gateaux furent accueillis avec joie. Le plus
charmant entrain animait ies enfants. Ce
n'était que francs et joyeux rires, et cris mille
fois repétés: Vivat Mijnheer Begerem! Vivat
Moeder van Lamotte s!
line section chorale chanta des couplets de
eirconstance, composés par i'uue des reli-
gieuses.
En somme, belle et bonne journée, qui
laissera it tous un agréable souvenir.
Féte militaire,
donnée, en la Salie de spectacle, le Jeudi 17
Avril 1879, it 8 heures du soir, aubénéfice
des inondés de Szeged in, par les musiques
reünies du 1" Régiment de ligne et du 2" Ré
giment de Guides, sous la direction de MM.
Simar pére et fils, et avec le généreux con
cours de MM. les sous-officiers de la garni-
son.
Programme: La fête des chasseurs,
ouverture, (Reitmeyer). Picoliuo, lantai-
sie, (Guiraud). Polka pour deux pistons,
exéeutée par MM. Vandewiele et Duwaerts,
(arr. VanGeffen). Jerusalem, fantaisie,
avec solo de saxophone, par M. Vercamen,
(Verdi). Le Rossignol, valse pour flute,
exéeutée par M. Vanseveren, (Jullien).
Travail d'ensemble it Ia pointe. Assaut
de contre-pointe. Exercices du sabre de
cavalerie. Une botte it l'épée et au poi-
gnard.Une partie de boxe anglaise com-
binée avec la savatte. Carré de la caune
royale. Evolutions d'escrime it la baïon-
nette. Un duel américain. Une fête it
bord d'un navire.
Agriculture.
Le Conseil provincial dans sa dernière
session a décidé d'affecter une partie du cré-
destiné a l'amélioration de la race bo
vine, it l'acquisition de reproducteurs de
la race flamande.
•Nous apprenons que les animaux acquis it
^tte lin seront mis en vente publique Same-
U 19 de ce mois, A 11 heures du matin,
lue be Lille, a la Tête de Bronze.
Les animaux pourront être vus avant l'ad-
.jttaicatioa. On peut prendre communication
des conditions de la vente, chez le sieur Ver-
haeghe, huissier en cette ville et dans les bu
reaux du commissariat d'arrondissement.
Italic.
Voici un progrès libéral qu'il est bon de
noter. 11 est toujours utile de montrer it quel-
les consequences funestes aboutissent forcé-
ment. les théories libérales.
VESTE PUBL0UE
cSe S jeiaiirsi
de €l»sscl.
Le Gouverneur de la Flandre Occi
dentalefait savoir quo le SAM EDI, -19
du courant mois d'Avril, a 11 lieu res
dumutin, i! sera procédé en la ville
d'Ypres, a l'estaminet la Tête de
Bronze rue de Lille, chez le sieur
Jules Van den Driessche, it la
vente publique de 8 jeunes Tau-
reaux tie la race de Cassel,
récemment achetés en France, pour servir
h l'amelioration de la race bovine dans la
Province.
Cette vente se fera par le Ministère du
Sieur Wen* Is «eg In*, Huissier, demeu-
rant ;i Ypres.
On pourra prendre communication des
conditions de vente chez cet Agent, ainsi
qu'ii la 3me Division du Gouvernement
provincial, place du Bourg, a Bruges et au
Commissariat d'Arrondissement, ii Ypres.
Les Animaux ii vendre pourront être
vus avant 1'adjudication.
Bruges, le 12 Avril 1879.
T. HEYYAERT.
K A N T O O R
X SD T A SS a S CD A W K 2, JL EC
le IV(don.
DONDERDAG 17 APRIL 1879,
om 3 uren namiddag, te Proven, ter
herberg de Blokke, bewoond door
Henri. Fossaert,
openbare ver hooping
TE PROVES,
langs den gravier naar Watou, in
houdende 2 hekiaren, 30 aren, 69
centiaren, afhangende der erfnissen
van Carolus üeryekeen vrouw.
DONDERDAG 24 APRIL '1879,
om 2 uren 11a middag, te Proven, Ier
herberg de Landing, bewoond
door sieur Carolus Ryon,
€&efiii8iSïeveïa <wei>B&g
samen inhoudende,
volgens nieuwe meting 3 hectaren
95 aren 32 centiaren,
GELEGEN TE PROVEN,
zijnde de hofstede afhangende der
ervennissen van sieur Laurentius
Vanhoucke en Eugenia Ryon, zijne
huisvrouw,
alsmede
te Pro oen-plu als.
Om alle verdere inlichtingen ge
lieve men zich te begeven hij voor
noemden notaris CA PELLE.
Ruchtbaarheid.
Etude du
CD T A £f K K iTt A ÏR I E fi
a Ypres.
LUNDl 21 AVBlL 1879,
t heure de relevée. au Brasseura
Ypres, prés tic la Station, de:
fi"
d Steenkerke,
prés de Furnes, de 21 hectares 50
centiares occupée par les enfants
Mar key.
Mise-i-prix 80,500 fr.
Trois parcel les de
d Middelkerke
le long du pave de Nieuporta Osten-
de, de 2 hectares 35 ares 93 centiares,
occupées par Cn. Muylle.
Mise-a-prix 8,800 fr.
continues a Ypres,
au couchant de la rue der Gliicns Nos
34, 36, et 38, occupées par les héri-
tiers de M. le Docteur Goppieters,
Bangkaert et Maiiieu.
Mise-i-prix 15,000 fr.
d Ypres,
au nord du pavé vers Gheluvelt, sur
27 ares 25 centiares de Fonds' des
Hospices Civils d'Ypres, occupée par
par ia familie Goppieters.
Sans mise-a-prix.
T O D E
«Isa M A SE S JE U
A YPRES.
MERCREDI 23 AVRIL 1879
et jours suivants, a 9 heures du
matin,
VENTE PUBLIQUE
Cristaux, Pendules, Horloges; Batterie
de Guisine, Ustensiles de Ménage,
Guisinière, Objets en Cuivre et en
Etain, grands Tapis de Tournai et
autres, Literies, Porcclaine de Chine
et autres, grands Tableaux de Van-
reysschoot. Vanthulden, Van Oost et
aulres, un trés-bon Piano Pleyel et
une piéce de Bordeaux chateau Sé-
néjac 1874, se trouvant a la mortu-
aire de Monsieur le docteur Goppie
ters, rue des Chicns, n° 36, a Ypres.
Au comptant avec augmentation
de 40
Pour le projet.
Petitions signées par des habitants de
diverses communes19
petitions émanées de conseillers com- 2
niunaux
Petitions émanées de eonseils comm. 4
Petitions signées par un seul individu. 6
Total. 31
jlajorité contre le ministère. 1430
I.es journaux pnblient un texte du projet de
lot italien sur ce qu'ils appellentle mariage civil,
e'est d'une immoralité révoltante.
Le mariage religieux y est traité comme le
concubinage, avec cette différence que le concu
binage est toléré (on peut mème dire encouragé),
tandis que le... concubinage religieux est puni
de six mois de prison pour les époux; en d'autres
termes, il en coutera six mois de prison d'aller
a l'église avant de passer chez le syndic, que
les Romains du menu peuple, peu faitsa ce mot
de syndic appellant le cymque.
On croit que le Saint-Siége n'attendra pas que
ce projet ait été discuté pour le flétrir. II convient
en eflet de ne pas permettre que la mauvaise
presse, préparant l'opinion a accepter cette loi,
induise les lidèles en erreur sur fénormité de
l'attentat.
En faits d'événements, en voici un. Garibaldi,
le pére, arrivera a Rome demain. Le gouverne
ment est inquiet, agité. Après les tuinultesde
Cagliari, de Gènes, de Rimini, de Milan et de
Chioggia, la presence de ce perturbateur doté de
100,000 francs de rente par la monarchie, a de
quoi mettre en sonci les étranges dépositaires de
Tautorité civile et politique.
La Capitale, qui est l'organe de l'ermite de
Caprera, donne ce soir les nouvelles suivantes:
Des dépêches expédiées aux provinces on
relève que le ministère est très-préoccupé de la
prochaine arrivée de Garibaldi. On a télégraphié
plusieurs fois au général pour le dissuader de
venir sur le continent, et Ton a adressé aux pré-
fets de Livourne et de Givita-Vecchia des orures
sévères d'empêcher les demonstrations.
Les mêmes ordres ont été expédiós aux auto
rités politique» de Gènes, de Rologne, au cas oil
bon ferait des demonstrations en apprenant Tis
sue de la motion de Cavallotti a la Chambre.
Puis:
Le bruit court que la lettre par laquelle le
général Garibaldi deconseille l'expédition a la
Rouvelle-Guinée, n'est que le prélude d'une autre
expedition. Mais ce n'est peut-ètre qu'une ma
noeuvre pour justifier 1'appréhension du minis
tère
Nous avons eu trois séances consécutives a la
Chambre, consacrées aux interpellations officiel-
les de Milan et des autres villes. La droite a pro-
testé contre le manque d'énergie du gouverne
ment pendant que la gauche extréme a protesté
contre la cruauté et l'arbitraire Re la répression.
Le ministère a fait des déclarations d'estinées,
cömme vous le faisait prévoir une de mes der-
nières lettres, a satisfaire les partis opposés.
Hier, M. Tajani a fiché des aveux facheux sur
l'état, le nombre et les aspirations des associa
tions républicaines. Aujourd'hui, pendant que
l'on disputait la motion de M. Cavallotti, qui a
été repoussée, M. Depretis est venu dire que la
situation extérieure de l'Italie était grave et
qu'il fallait maintenir l'ordre a l'intérieur. II y a
eu des scènes très-vives a la Chambre, et le cri
d'alarme du président du conseil n'a fait qu'exal-
ter les esprits.
Le roi est malade, non pas au point de garder
le lit, mais au point d'alarmer ses médecins, qui
estime que le séjour de Rome ne lui convient
nullement. Comment trouvez-vous ces médecins,
qui s'accordent ainsi avec tous les bons Romains?
Sous peu de jours Humbert partirait pour se
rendre a Baveno, oü il se rencontrerait auprès
de la reine d'Angleterre avec le prince imperial
d'Allemagne. De Raveno, il ne reviendrait pas a
Rome, niais irait en Sicile.
On dit que l'I tal ie s'est engagée asuivre en tout
la politique de l'Angleferre dans la question
d'Orient. Mais peut-ètre faut-il ajouter que la
Reine a déterminé l'Italie a partager ses idéés
sur d'autres questions. Croyez après cela que
S. M. Vicioria est venue simplement soignei' sa
santé et se distraire au bord du lac Majeur.
Dissidence entre Menotti Garibaldi flls et Jo
seph Garibaldi père. Les Garibaldi ont toujours
été quelque peu négriers. Menotti s'est mis,
avec un certain Fazzari (colonel des chemises
rouges), a la téte d'une traite de blancs en Italië
et les veut conduire a la Nouvelle-Guinee, sous
le prétexte de dunner un cours régulier aux
centaines de milliers d'émigrants. Et le père
Garibaldi crie aux journaux: Pas de ca encore.
La patrie a besoiu de toute sa vaillante'jeunesse.
L'unité n'est pas complétéo. 11 y a les cótes de
l'Adriatique, le Tyrol, etc., etc. II faudrait beau-
coup d etc. pour indiquer tout ce que rève la
voracité itahenne. Et puis, Garibaldi veut qu'on
aille mettre la Turquie a la raisou et arrondir la
Grèce.
L'ihVrnn du ministre de Russie a BruxeUes
a été littéralement assiégé par les nombreux vi
siteurs appartenant au corps diplomatique, aux
notabilités diverses de la colonie russe, etc., a
l'occasiou da l'attentat auquel a si heureusement
échappéS. M. l'empereur Alexandre II.
Le conseil d'administration a l'honneur de
prévenirMM. les porteurs d'obligations que, le
coupon d'intérèt N° 3, échéant le lr Mai 1879 sera
payé a partirdu dit jour. A Paris chez M.
Henri de Lamonta, Banquier, 59, rue Taitbout;
dansles départements chez les banquierscorres-
pondants de M. Henri de Lamonta. A Bruxel-
les chez MM. Lhoest et Coppens, 20, rue de la
Madeleine.
Le montant des coupons est ainsi flxé.
Obligations an porteur, brut! fr. 50. Impöt
ddduitl fr. Obligations nominatives brut 7 fr.
50. Impöt déduit 7 fr. 75. (N° 8,990.)
DE LA
van den
- ■""'X'y.v.'V-öNVQ'
van een
van eene
NABIJ IIET KAAMTJE,
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