BELLEFERME VENDITIE PIANOS. 1AAÏGRAS ÖP STAM, RINGSTEKHG MET PAARDEN, D'ORNEiENTS EN FLATRE, KLEIN HOFSTEDEKEN, TWEE HÜIZEN A VEND'IE EN LA YILLE D'YPHES. MAISGNS DE MAITRE FABRIEK JULES WALLAERT, PIANOS. PARAPLUIES. L. SI ROUX et Fils, Variétés. te ISsmtSmlst, OP DONDERDAG 12 JUNI 1879 (II. Sacramentdag), len 1 1/2 ure namiddag, door r. de broote, Greffier te Dixmude, ten ver zoeke van Mevrouw Cassiers, van: Eiken Boomjes en Plantsoenen Elzen en Populieren, Larijxen, boom- kroonen, Spaanders, snoekbusschen en blokken. 's Morgens Zitting voor de betalin gen bij P. Meersman. Studie van den KOTARBN fUÏS'B'EK F-, TE STAREN. EN KEN F, TWEEWOONST, TE STADEN. De notaris VBYLS7EKE, te Staden verblijvende, zal, met het houden van twee zittingen in bet openbaar te koop bieden. CieBBseeiate Steden. 1" Koop. Een Woonhuis, Stalin gen, Schuur, Ovenbuur, Hovenierhof, Boomgaard en Weide, rondom in ha gen groot29 aren 90 centiaren, sectie D, Nrs 100,101102 en 103. 2e Koop. 44 aren 30 centiaren, sectie D, Ns 98 en 99 van 't kadaster. Deze twee koopen te samen uitma kende een klein Hofstedeken, gebruikt door den eigenaar sieur Leonardus Capelle-Trybou, tot 1 October 1880. 3e Koop. Een Huis en 6 aren 30 centiaren Grond en Hovenierhof, sec tie D, Nrs 104a en 104b. In pacble bij Leonard Koffeztot' 1 October 1880, mits 60 fr. 's jaars. wijk 't stampkot. 4eKoop. Een Huis en stalling met 4 aren 70 centiaren Grond en Weide, sectie E, N's 1579 en 1580. 5C Koop. Eene Tweewoonst met 1 are 26 centiaren Erf. Deze twee laatste koopen gebruikt door K. Comaert, Cecilia en Rosalia Gheskiere, mils 5 fr. 50, 3 fr. 50 en 3 fr. te maande. Instel: DONDERDAG 12 JUNI Overslag: 26 In d'herberg la Belle Vue bij Cb, Deketelaere, Statiestraat, te Staden. om 4 ure namiddag. D'OniGIfJE PATRIMONIALE Commune de Bixschote. Une Belle et Bonne FERME, d'une contenanee de 22 hectares 55 arcs 90 centiares, sitoéc a Bixschote, ar rondissement d'Ypres, a Test prés du village. Occupée par le sieur Charles War- lop, Mise-d-Prix settlement d 85,000 fr. L'ADJUDIC \TlON DEFINITIVE, JEUDI 19 JUIN 1879, a 2 heures de relevée a l'estaminet Cour de S,c BarbeMarché au Bétail, a Ypres. Par le Ministère du Notairc VAfl- 0ERFV5EERSCH, résidant a Ypres et a rintervention de son collègue Me LEHOfa, Nolaire a Tournai. BELLES et auti'cs liaisons. SISES EN LA YILLE D'YPRES, a vend-re publiquement RUE DE LILLE. 1° Une belle et grande Maison, avec entrée principale et porte-cochèrc, écurie, remises, cour et jardin, a Test de la rue de Li He, N° 27. Dernièrement babitée par feu Ma dame Capronactuellement inoccu- pée. Nota. Cette maison est a voir, les Lundisct Mardis, de 2 a 4 heures du soir. RUE DE THOUROUT. 2° Une autre belle Maison, avec cour, jardin et batiment séparé, a porte coclière avec écurie et remise; au sud de la rue de Thourout, N° 14. Présentement habitée par le pro- priétaire, M dales Capron. Nota. Cette maison est, a voir les Mercredis et Jcudis, de 2 a 4 heures du soir. 1U ELLE DU PARADIS. 3° Deux Maisonnettes, situées au nord de la Ruelle du Paradis, N"s 6 et 8. Ilabitées par I.ouis Vieren et Mar- celin Lauwers. v La mise-a-prix, avec prime, aura lieu le LUNDI, 30 JUIN 1879. a 3 heu res de relevée, a VHotel da Soleil Grand'Place, a Ypres. Par le ministère du Notaire Van- dermeersch, a Ypres. Studie van den NOTARIS VALCKE, TE DIXMUDE. Op WOENSDAG, 2 JULI 1879, om 3 ure namiddag, ter herberg de Dank baarheid, op Mcrckem-dorpplaats. KOOPDAG VAN Bif Uiteren aBles-Deste binnen MERCKEM en WOUl\IEN. Verdeeld in 73 koopen. Gemeente Dickebusch. OP ZONDAG 13 JULI 1879. Prijzen 80 fr. Inschrijving van 1 tot 2 ure, ter herberg hel llallebast, bewoond door Louis Van Eecke. Inleg 1 fr. Engelsche PORTLAND -TEGELS, dienstig voor alle werken, als: faijrie- ken, kerken, Iiuizen voor alle slach van inwoners, serren, koers, trottoirs, remisen, enz. Zij hebben een uitmun tenden schoonen glans, en dóór den duur worden zij zoo hard als marmer. ^potbeen-icliiMiiiliecrc, AVIS. Ktetrcpreiietir. Mu'k Menuisier el Charpentier, Rue de Lille, 121 Choix considérablé de Meubles, tels que Armoires, Commodes, Tables, Bols de Lit, Lavabos, Tables de Nuits, etc. Gros et detail. Entrepreneurs de plaforinages Sgiécialités éo-alement mangé de ce foie, avaient eu aussi des vomissements et la diarrhée. II ne fallait pas chercher plus loin la cause du mal. M. Ie docteur Lingrand administra un con- tre-poison énergique aux patients qui se trouvè- rent bientót hors de danger. Nous devons cepen- dant ajouter que les malades ne sontpas encore complétement rétablis. La plupart continuent de souffrir et gardent le lit; mais leur guérison n'est plus qu'une question de temps. II se pourrait néanmois quequelques-uns ressentlssent pendant longtemps des douleurs d'entrailles. La police, ayant eu connaissance de ce fait, a ouvertimmédiatement une enquête qui, parait- il', a conflrmé pleinement l'opinion de M. le doc teur Lingrand, savoir que I'empoisonnement a eu lieu par le foie de hoeufaclieté cltez M. X... Reste maintenant a élablir comment ce foie s'est trouvé empoisonné. L'a-t-il été par suite d'une rnaladie de 1'animal, ou paree qu'on l'aurait fait cnire dans un vase encuivre? C'est le point Ie plus important de la question que l'autorité aura a élucider. On évalue a deux cents le nombre des victi- mes. Nous tiendrons nos lecteurs' au courant de cette affaire. La Saint-Médard. On prétend que, lorsqu'il a plu le jour de la Saint-Médard, 'comme cela est arrivé Dimanche, l'eau continue de tomber pen dant quarante jours. Un médecin de Versailles, M. Berigny, a eu la bonne pensee de laire des observations la dessus et de montrer que le dic tion populaire n'était point parole d'Evangi'e. Sur 33 années, lorsqu'il y avait plnie le 8 Juin, on a compté en moyenne 7.33/33 jours pluvieux dans les 40 qui suivaient le Saint-Médard. Lors qu'il n'était pas tombé de pluie le 8 Juin, on a compté 7.29/33 jours pluvieux dans les 40 jours suivants. La difference ne vaut pas la peine d'e tre remarquée. Le public de nos campagnes n'en continue pas moins de redouter la pluie du 8 Juin. i BIENFAITS DE LA SCIENCE APPLIQUÉE. En voici quelques preuves: La plaine du Eorez, en France, ne présentant pas assez de facilité pour l'écoulement des eaux, était devenue un lover de pestilence, les tièvres du marais s'ex- lialaient (les étangs qui la couvraient. En 1857, on s'est mis a l'oeuvre pour dessécher les étangs curer les cours d'eau, creuser des fossés d'écou- lement, et, en même temps que l'on faisait dispa- raitre les eaux stagnantes, on amenait les eaux vives, nécessaires a la création des prairies arti- licielles, par un canal d'irrigation emprunté a la Loire et traversant la plaine du Forez. Les tra- vaux ne sont terminés que sur le quart de la sur face et voici le résultat obtenu le petit bassin secondaire du ruisseau de la More est compléte- ment assaini; les fièvres ont presque disparu; la dépense s'est élevée a 540,000 francs, la plus-va lue des terres est de quatre millions et demi; le canal d'irrigation a été ouvert en tunnel oucon- struit en maconnerie sur plus de 6 kilomètres. Quand il sera flni, il aura coütó sept millions; il permettra alors d'arroser 8,000 hectares, aux- quels il donnera une plus-value totale de vingt- quatre millions, soit 3,000 francs par hectare. En outre, le département gagnera 280,000 francs par an par la vente de l'eau. Un travail d'irrigation analogue est en cours d'établissement dans la plaine de Toulouse; le canal de Saint-Martory (alimenté paria Garonne) irriguera 14,000 hectares. Avant l'irrigation, l'hectare rapporte net 55 francs par an; avec l'irrigation. 300 francs. Dans la vallée voisine de l'E,stelle, un canal (['irrigation a fait passer la valeur de l'hectare de 2,500 a 7,500 francs et son revenu de 80 a 350 irancs. Le canal d'irrigation de la Bourne donne ra a la plaine de Valence (Drönie) une plus-va lue de 30 millions. Mais voici mieux. La Dombe, au milieu de Bourg-en-Bresse, était un de ces pays maudits -; les chemins, toujours fangeux, entaillés de pro- loiides ornières, ne permettaient pas aux attela- ges de transporter plus du quart de leur charge habituelle; les étangs couvraient 19,215 hectares, épanchant la iièvre et la mort autour d'eux; les habitants robustes ne succombaient pas, mais restaient frapp.és d'inflrmités qui en faisaient comme une race distincte. Dans 21 communes, la raortalité dépassait les naissances de 17 p. c. En 1854, on entreprit la transformation du pays: 91 kilomètres de cours d'eau furent redresses, J38 kilomètres d'excellentes routes furent tracés, puits publics d'eau potable furent eteusés, 10,462 hectares d'étangs furent desséchés, le chau- age des terres prit de l'extension, grace a l'amé- loration des chemins, et l'emploi de lacharrue 9® Dornbasle lit pénétrer la pluie et l'air dans le i ''ésultats, les voici: le froment a rempla- cc dans les champs le seigle et l'avoine, le trèlle croit sur remplacement (les anciennesjaehères «Prairies artiticielles et la vigne remplacent ies terres en friche; aussi le fermage des terres, lui oscillait entre 8 et 10 francs l'hectare, varie du.)ourd'hui entre 50 et 100 francs. 1857, une moitié des habitants de la Dombe wlfil P- eexactement) était atteinte par esnevres, elles ont presque disparu dans les iö minunes qui composent cette partie du pays. la mortalité annuelle est descendue de 8 a 5 sur 200 habitants; la population s'est élevée de 20 a 31 habitants par kilometre carré. Enfin la durée de la vie moyenne, qui se réduisait a 25 ans, s'élève a 35; ilrésulte de l'augmentation du nom bre des habitants et de leur vie plus longue line somme de travail humain six fois plus grande qu'autrefois. La moyenne des réformés du ser vice militaire s'élevait a 52 ]i. c., elle est réduite a 9 p. c. dans le plus mauvais canton. A l'ouestde la France les landes de Gascogne offraient l'image du dósert et de la stérilité; de- puis 1S58, 2,197 kilomètres de canaux d'assèche- ment ont été crersés, 291,525 hectares ont été ensemencés de pins maritimes sur les propriétés de 1G2 communes; la dépense s'est élevée a fr. 900,000, la valeur créée, a 80 millions apparte- nant aux communes. En outre, 350,000 hectares de forêts, valant 125 millions, ont été créés par les particuliers; la valeur totale des landes, qui était presque nulle, dépasse aujourd'hui 205 millions. Dans la baie de la Seine, des travaux d'endi- guement de la Seine maritime (lont la dépense s'est élevée a 17 millions, il est résulté accessoi- rement la conquête sur la mer d'une superfleie de 8,365 hectares, qui vaudront, quand les 2,077, encore en voie de formation, auront été aussi transformés en prairies, 33 millions et demi. Journal cles Economist es.) Openbare Vf.rkooping van een WIJK STADENREKE, van IN BELGISCHEN GEPOLIERDEN CIMENT, Srootc kniüi van Dessins, KOOPMAN IN BOUWSTOFFEN EN KOLEN, Houtmarkt, N'J 29, YPEREN. Prix très-modérés. Te verkrijgen bij MOERMAN, Vader Zoon, ELVERDINGHESTRAAT, N° 50, goede nieuwe PIANOS, te beginnen van 600 tot 1000 fr., ge maakt naar de beste fransche facteurs. Hij neemt ook oude pianos tegen verwisseling over. Al de instrumenten zijn verzekerd voor het termijn van twee jaren. Are VANAERDE, Di'iitiste, RUK l>U LOMBARD, 19, YPRES, a consulter tons Irs jours de 8 heines du matin il 5 heines du soir. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1879 | | pagina 3