WOONHUIZEN, MEUBELEN, MOBILISE*, DE ZWAAN, BEESTIALEN, WEI- EN ZAAILANDEN, INSTEL Vcnditie van Vruchten, MENAGIE-GOEDEREN, AKKEIlflUM, WAGMRMSCII, MENAGIE-GOEDEREN, !!EESTI\LE.\ M VELDVHUCHTEN. La demande de subside en faveur des rou tes du Koolhof Dambrug au gravier de Fur- nes est déclarée recevable et celles de Wyn- eene k Hertsberghe, Poperinghe b Oost- vleteren, Poperinghe a Westoutre, non recevables. Séance du 11 Juillet. M. Iweins-Storm donne lecture de la pro position suivante qui est parvenue au bureau: Les soussignés ont l'hormeur de proposer au conseil d'émettre auprès du gouvernement un voeu tendant a obtenir 1" qu'il soit pns des mesures promptes et efficaces pour évi- ter les inondations désastreuses laissées par les débordements de la Mandel et du Gaver- beeck 2" Qu'il soit dressé, dans le plus bref dé'lai, par les soins de l'administration des ponts et chaussées, un plan complet et détaillé de tous les travaux nécessaires pour prévenir le retour de pareilles inondations. (Signé) Bon Betbune, V. Dedonckcr, Opso- mer, Loontjens, B. Verbaeghe, B™ Gilles, Bon E. de Montblanc, Em. d'Ydewalle. i M. le baron Bethune, développe cette pro position et signale les débordements de la. Mandel qui ont ravagé les communes de Meu- lebeke, Oostroosebèke, St. Eloi et Denter- ghem. Les causes de ces inondations sont multi ples. M. Dedoncker appelle Fattention du conseil sur l'urgence des travaux k exécuter au cours du Gavrebeke et k ses affluents. Le conseil ordonne le renvoi de ce vceu a la 2° commission. Sont déclarés non recevables les projets de route de Ruysselede h Scbuyfferscappelle et a Wyngliene, de Cortemarck au cabaret de Capelle. Sont déclarées recevables, les routes de Het Beestje k Midswege, sous Eerneghem etd'Eerneghem au cabaret le Boeut. Le Conseil approuvelecompte du Fonds eommun, dressé par le Directeur de la caisse d'épargne. Chronique j udiciaire Faits divers. Studie van den NOTARIS M A H I E U t' Ypre. ZATERDAG 19 JULIUS 1879, 2 uren nanoen, ter herberg, de drie Koningen, Groote Markt te Ypre, van C«esneent« gehucht Gaepaercl. 1 Koop. 79 aren 37 cent. Zaeiland. 2 Koop. 8 aren 82 cent. Zaeiland. 3 Koop 88 aren 20 cent. Zaeiland by't voorgaende; 4 Koop. 23 aren 80 cent. Zaeiland houdende aen koop dry. Deze vier artikels liggen oost op weinig afstand der kalsiede van Ypre naer Waesten; 5 Koop. 70 aren 11 cent. Zaeiland palende oost de kalsiede. CScmeente Wounien. Meerschen in de Rülebroek. G Koop. 1 heet. 32 aren 50 cent, by kad. Sectie C. N° 636; 7 Koop. 57 aren 60 cent, strekkende oost en west; JEii tficmeentc flSrielen, ter plaets langs de steenweg. 8 Koop.TweeaeneenhoudendeHui zen, N"s 55 en 57 en 8 aren 715 mil- liaren grond en bof, gebruikt door Sabbe en Louf; En 9C Koop. Twee aeneenhoudende Huizen, Nos 56 en 58 met een are 45 cent. grond en hof, gebruikt door Francis en Henri Soiiier. Kantoor van den Mtei' CAPISSiliE, 1VOI.1BIS TE WATOU. DINSDAG 22 JULI 1879, om 4 ure na middag, bij de te ver- koopen herberg de Zwaan, als Tarwe, PlatteboonenErwten, llutteboonen, Aardappels en Klavers. Itiiai'iia ter herberg van de weduwe van Benoit Gesquiere, VEIIKOOPILNG van de HERBERG met 55 aren ^itaüand, TE BEVEREtJ, bij Rousbrugge, langs den steenweg op Bergen. Gebruikt door den eigenaar Auguste Mahicu. WOENSDAG 23 JULI 1879, om 9 ure juist voormiddag, EN DES ANDEREND VAGS 24 JULI, om 2 ure juist namiddag, te Proven, ter hofstede voorgaande- lijk gebruikt door de weduwe Van- dromrne, nu door sieur Dekeyser, Merkwèerdige koopdag als tweebaaideruinpaarden en zeven melkkoeien, akkerallaam, wagenhar- nas, en 20 hektaren tarwe, haver, peerdeboonen, klavers, aardappels, erwten rogge en vlas. VRIJDAG 25 JULI 1879, om 1 ure na middag, te Haringhe en Proven, langs den keiweg van Watou naar Proven, nabij den Kleinen Kcirsel,» ter hofstede en landen laatst gebruikt door den overleden Karei Derycke. Venditie van KUIP - KEEB» - EN AKKE8ALLAAI», Wagriiiiariiasch, WOENSDAG 30 JULI 1879, om 3 uren namiddag, te Sta vele, ter herberg de Geldput, Licitatie verhooping TE STAVELE, in gronde 2 bekt. 61 aren 20 cent,; Zaailaml en Uoscïi, TE CROMBEKE, inhoudende 1 bekt. 61 aren 35 cent; HSoscli in lVestvlcteren, inhoudende 5 bekt. 16 aren 80 cent,; Eu drie Woonhuizen en dependentiën grond van gebouwen, hovenierhof en weide te Vlamertinghe, bij de plaats, inhoudende 96 aren 23 centiaren. Gebruikt door verscheidene en af hangende der erfnis van den beer Van Egroo Frutsaert. MAANDAG 4 AUGUSTI 1879, om 2 ure namiddag, te Beveren, bij bet dorp Rousbrugge, ter hofstede voor dezen gebruikt door de weduwe Dcmaerel-Behaeghelen nu laatst door den overleden Henri Dannoot, Openbare Verkooping M n ip en M.cci*nallaaui, BEESTIALEN en Vruchten te Velde, Om alle inlichtingen te bekomen, gelieve men zich te begeven ten kantoore van voornoemden Notaris CAPELLE, alwaar alle tijtels, plans, enz., berustende zijn. Ruchtbaarheid. V E N T E A TPRES. LE MARDI 22 JUILLET 1879, et jour suivant. cliaque fois a 10 heu res du matin et 2 heures de rclevée, a la maison mortuaire de Madame Capron, rue de Li lie, N° 27. Par le ministère du Notairc VAN- OERIWEERSQH, a Ypres. Le tribunal de commerce de Bruxelles, dans son audience de Samedi, a homologué les der- uières operations faites par M. S. Philippart. Par suite de ces opérations, tout le passif existant au moment de la déclaration de faillite estéteint. et MM. les curateurs sont autorisés a rendre leurs comptes au failli. On nous assure que la deman de en réliabilitation sera prochainement intro duce devant la cour d'appel. C'est la première fois, croyons-nous, et ce sera probablement la dernière, que nous rencontrons dans les anna- les judiciaires un fait pared. En moins detrois ans un passif considérable s elevant a prés de vingt huit millions, se trouve complétement rem- boursé en principal, intérêt et frais, sans que l'actif constaté au moment de la déclaration de faillite ait été entamó. Quelque invraisemblable que la chose puisse paraitre, le doute aujour- d'hui n'est plus possible en présence de la déci- sion de notre juridiction consulaire. D'après les bruits du palais, la solennité de la réhabilitation, qui doit avoir lieu devant la cour d'appel, toutes chambres réunies, et après des formalités assez longues, ne pourra se faire qu'après vacances. Les placards de laeken. Samedi soir, vers 10 heures et demie, la police de la lrp divi sion territoriale de Bruxelles opérait ce qu'on peut appeler une capture a sensation, celle de 1 auteur présumó des placards apposes ces jours derniers a Laeken et rue de la Paille. L'inculpé est un ouvrier peintre nomnié Vanden Broeck, qui avait été signalé a la police comme ayant proféré a différentes reprises des menaces de wort contre le Roi, a propos de la promulgation de la loi de malheur. Cet individu a été arrêté rue de la Pai)le, dans un petit restaurant oü il allait prendre ses repas. M. Willemaers, procureur du Roi, immédia- tement averti, arriva au bureau de police de la 1™ division, aftn de procéder lui-même au pre mier interrogatoire du prisonnier. Gelui-ci nia d'etre l'auteur des placards en question, et quant aux menaces qu'on lui a enten- du proférer envers le Roi, il répondit a peu prés ceciJe suis un catholique pur sang il y a quelques jours, un prètre que je ne connais pas m'a olïert d e l'argent pour assassiner le Roi, mais j'ai refusé. On ne tarda pas, parait-il, au cours de cet in terrogatoire, a reconnaitre que le prisonnier di- vaguait, et cela de telle facon que l'on s'apercut que ses facultés mentales étaient évidemment troublées. II a été colloqué provisoirement en observation a l'höpital, dépot des aliónés. Si done on a réellement sous la main l'auteur des placards qui ont faittant de bruit depuis peu, il serait au moins consolant de pouvoir constater que ces mêmes placards étaient l'oeuvre d'un fou. Le programme des fêtes de 1880 jugé par un officieux Nous avons fait ressortir ici a diffé rentes reprises l'esprit routinier et le manque total d'initiative de la commission des fêtes du cinquantenaire. Pas une voix dans la presse, sauf celle des intéressés, n'a songé a prendre fait et cause pour un programme qui provoque la cri tique dans tous les camps. La commission est si peu a la hauteur de sa taclie que, la oü elle s'imagine innover, elle donne tête baissée dans la plus impardonnable des bé- vues. Un paysan qui avait a solder une dette a un négociant de Louvain avait toutes les peines du monde a s'en acquitter et, pour le faire, il était obligé de remettre a son créancier le reste de son petit avoir, consistant en quelqües lots de la ville de Bruxelles. Le créancier s'apercut qu'une des obligations remises était sortie lors d'un précé dent tirage et était remboursable par 25,000 fr. 11 réalisa la somme et bien stupéfait fut le campa- gnard de se voir appeler un de ces derniers ma tins a la ville pour se voir remettre cette petite fortune a laquelle il n'a vait plus droit, par suite de la cession qu'il en avait faite. Un Cercle catholique vaêtrefondéa Lessi- nes. Déja un vaste établissement vientd'être ac quis a cette lin. Le local est situé dans la rue des Tanneurs, la plus fréquentée de la ville, M. de Stumm, ancien attaché a la légation prussienne auprès du Vatican, en dernier lieu attaché militaire a l'ambassade d'Allemagne a Paris, actuellement premier secrétaire a l'ambas sade d'Allemagne a Saint-Pétersbourg, est entré dans le giron de l'Eglise catholique. II s'est marié la semaine dernière avec M"" de Hofmann, jeune et riclie Américaine. Le mariage a été célébró a la cathédrale de Saint-Michel a Fulde. Mgr Hahne, administrateur du diocèse, a procédé au mariage. Le lin-soie. Sous ce titre, le Petit Lyon- nais nous donne la nouvelle suivante «Ilya une quinzaine de jours débarquait a Lyon un personnage inconnu qui se rendit aus- sitöl cliez plusieurs fabricants de notre ville. II expliquaalors qu'il était l'inventeur d'un procédé qui lui permeLait de tisser avec des lilies de lins (a9 fr. le klig.) une étoffe en tous points sembla ble comme aspect aux étoffes tissées en fil de soie (a 35 fr. le kilogramme) et ayant sur ces derniè- res une supériorité marquée au point de vue de l'usage et des emplois auxquels on la destine. Nous n'étonnerons personne en disant que les susdits fabricants ne prireut pas plus au sérieux l'invention que l'inventeur. Get inconnu ne demandait, en eiïet, rien moins que de faire souscrire 5 a 6,000 actions de 500 fr. chacune et de fonder ainsi une société chargéé de l'exploitation de son brevet. Les choses en res- tèrent lal II y a deux jours, l'inventeur se présentait de nouveau chez un de nos prineipaux fabricants, mais cette fois muni de telles preuves a l'appui, qu'en moins d'une heure quatorze fabricants et nous pourrions citer leurs noms avaient couvert lasouscription. Une sommede trois mil lions venait d'etre spontanóment mise a la dis position de l'inventeur. Cette histoire, comme bien on pense, a fait traï- née de poudre, malgré toutes les précautions et les recommandations de discrétion. Les actions, souscrites ilya deux jours, a 500 fr., faisaient prime hier de 30 0/0. Des essais doivent être faits a Lyon incessam- ment. Un second journal, le Salut Public, a donné quelques jours après sur cette nouvelle dócou- verte des renseignements plus explicites II n'est bruit sur notre place, dansce moment, a-t-il dit, que de ladécouverte d'un fll de lin qui, après des preparations chimiques ad hoe, de- viendrait souslerapportde la finesse du brillant, de l'élasticité, tout a fait propre h remplacer la soie, si bien que ce 111 mériterait le nom de simi le soie. Le cöté vraiment surprenant de cette dó- couverte, c'est que l'inventeur aurait trouvé le moyen de réduire les dócliets de soie en une bouilledans laquelle ce fil de lin est trempé et se revét d'une enveloppe soyeuse. Nous avons vu des échantillons qui nous paraissent stupéfiants. On a sous lesyeux un textile nouveau. Le lin a disparu et il ne'reste plus qu'un fil de soie bril lant et trés rósistant. Aussitöt après ia divulgation de cette décou- verte, il s'est formé a Lyon une société au capi tal de six millions, sur laquelle trois millions (Tactions ont été réservés a Tinventeur, qui est a Paris. Les trois autres millions ont éte sous- crits très-rapidement. Les actions font même a Theure qu'il est, deux cents francs de prime. Si l'invention annoncée tient toutes ses promesses, c'est une revolution dans la fabrique lyonnaise. van van van d'un beau KKHMHXP^üT»-

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1879 | | pagina 3