WOONHUIZEN, E L E N UNE FERME, E VELD WEI- EN ZAAILANDEN, DE ZWAAN, ONROERENDE MEUBELEN, UN MOULIN A VENT ZEER GOEDE VRUCHTEN Venditie van Vruchten, a. EENE HOFSTEDE, b. EEN HOFSTEDEKEN, c. EEN WOONHUIS, Faits divers. IL'SSlasstrsatlssBB KasviBpéesBne. 9° ANNÉE D'EXISTENCE. ËTAT-C1VIL DE LA VILLE D'YPRES, Sexe masculin 7. hl. féminin5. Door verandering van icoonst. v e m 19 a t i m Kantoor van den ltcr CAPESiliE. XOTARlg TE YVATOU. TE PASSCH EN DAELE, De Notaris n'HU's/ETTERE, te Zonne- bckc, zal ten verzoeke van Felix Demev, landbouwer te Passchendaclc, op d'hofstede door hem gebruikt, bij venditic verkoopen i° Op MAANDAG 28 JULI 1879, om 4 ure namiddag, 1 hectare50aren schoon Vlasopstam. 2" Op DONDERDAG 7 AUGUSTl 1879, om 9 ure 's morgens, 3 hectaren Tarwe, 2 hectaren Rogge, 2 hectaren 30 aren Aardappels, 3 hectaren Haver, 2 hectaren 20 aren Peerdehoonen, voorts 2 Wagens, 2 Karren, 2 Ploegs, 2 Eegden, Zool, Kegge, 2 Hartcelen, 7 Aalkuipen en 3,000 Hoppcperssen, enz. N. B. liet Lanclsalm en de Iloppe- perssen zullen in den voormiddag ver kocht ivorden. Deze vendition zullen geschieden met tijd van betaling voor de koopen hoven de tien francs, mits borg te stellen ter vergenoeging van genome den Notaris d'HUVETTEke. WOENSDAG 30 JULI 1879, om 3 uren namiddag, te Sta vele, ter herberg de Gcldput, Licitatie verknoping van TE STAVELE, in gronde 2 bekt. 61 aren 20 cent,; ^sïs&iüsÈml cm RSosvIb. TE CROMBEKE, inhoudende 1 bekt. 61 aren 3a cent; IBoscSa hi inhoudende 5 hekt. 16 aren 80 cent.; grond van gebouwen, hovenierhof en weide te Vlamertinghe, bij de plaats, inhoudende 96 aren 23 centiaren. Gebruikt door verscheidene en af hangende der erfnis van den heer Van Egroo-Frutsacrt. MAANDAG 4 AUGUSTl 1879, om 2 ure namiddag, te Beveren, hij het dorp Rousbrugge, ter hofstede voor dezen gebruikt door de weduwe Demaerel-Behaeghclen nu laatst door den overleden Henri Dannoot, Openbare Vcrkooping EÉLiaijB es? Mecrtiailaain, BEESHALEN en Vruchten te Velde. DINSDAG 5 AUGUSTl 1879, om 4 ure na middag, hij de te verkoopen herberg de Z waan, als Tarwe, Platleboonen, Erwten, Hutteboonen, Aardappels en Klavers. SWaaj'ssa ter herberg van de weduwe van Benoit Gesquiere, VERKOOPING van de HERBERG niet 55 aren iSviaiiand, TE BEVEREbl, hij Rousbrugge, langs den steenweg op Bergen. Gebruikt door den eigenaar Augustc Mahieu. Om alle inlichtingen te bekomen, gelieve men zich te begeven ten kantoore van voornoemden Notaris GAPELLE, alwaar alle tijtcls, plans, enz,, berustende zijn. Ruchtbaarheid. STUDIE van Mta' I" II ür ï,Sf E M e NOTARIS TE STA DEN. OPENBARE VERPACHTING van tocbehoorendc aan van Staden, reedvoerig hij uithangende afficlien. DONDERDAG 31 JULI 1879, herberg om 2 uren namiddag ter S' Amand, bewoond door A. Vanbier vliet, te Staden, in liet dorp. Het kohier van lasten en vmor- waarden dezer verpachting is berus tende ter studie van voornoemden Notaris VUYLSTEKE, ter inzage der gegadigden. kerkfabriek beschreven OP VRYDAG 1" AUGUSTY 1879, 1 ure juist namiddag, ter hofstede en op de landen gebruikt door sieur Bruno Dheere, te Moorslede, Vcndide van 4 MELKKOEIJEN, 2 KALVERS, VRUCHTEN TE VELDE, zooals Koorn, Rogge, Haver, Peerde hoonen, Hutteboonen, Vlas, Erwten, Chicorée. Akker- en Seluieegerlef, enz,, enz. Door't ambt van den deurwaerder Cliarlcs Costeiiolilc, t'Yper. Studie van den NOTARIS VALCKE, Op MAANDaFTaÏÏgÜsTI 1879, om 2 uren namiddag, in liet Vredegerecht, te Dixmude, «peaiïiare icrkoojiiiig te Merckcm, ten grooten deele dicht nabij den steenweg van Dixmude naar Yperen, groot 25 11. 17 A. 68 C. Gebruikt door sieur David Vanhee, lot 1 October 1883 voor de landen, en 11 November 1883 voordegrazingen; mits 2,200 fr., bij jare boven de lasten. te Merckcm, groot 1 II. 73 A. 63 Cent. gebruikt door Karei Ilessel, eige naar der gebouwen, tot 1 October 1882, mits 120 fr. bij jare, boven de lasten. en een Perceel BOUWGROND, te Merckcm, op de dorpplaats, groot 6 aren 90 cent. vrij van pacht. Alles bij plakbrieven breedvoerig beschreven en verdeeld in 25 koopen. Etude de Me L EON CE EI, A TELLE, Notaire a Comines, Successeur de Me Lambin. Comines et Lincellés, a in oh ürc 1 e Si 1 c et 3 hectares 51 arcs 46 ccntiares de Fonds, Jardin, Verger et Terre a La bour, occupcs par divers, aux ferma- ges réunies de 1,075 francs, A VENDUE. L'an 1879, le LUNDI 4 AOUT, a 4 heures de l'après-midi, en une 'salie de la Mairie de Comines. Kantoor van den AOTAKlNi B€9BJB9KWW1V te Reninghelst. DONDERDAG 7 AUGUSTUS 1879 om 2 ure namiddag, ter hofstede van den lieer Honoré Be cuwe-Deiiem, te Westoutrc, VENDITIE van te velde, bestaande in: 3 hectaren 50 aren Tar we, 30 aren Rogge met vitsen, 1 hec tare 10 aren Peerdehoonen, 33 aren aver, 33 aren Erwten on 8S aren Klavers (tweede snede). Langen tijd van betaling, mits ^no de borg tc stellen. c des hangars, des poteaux, des instruments ara- toires et toutos espèces d'ustensiles. Tout le long du fleuve, des hommes munis de harpons atta chés a de longues cordes lancent ces harpons aprés les objets cmportés et parfois ils róussis- sent a en ramener a bord. Les pluies persistantes qui accablent notre pays ontgrossi considérablement la Vesdre. Elle avait atteint mercredi prés de deux metres de hauteur. Sur son parcours de Dolhain a Verviers, la plu part des prairies riveraines sont inondées et les pluies continuent avec une constance désespé- rante. Far ce temps, los cléversoirs de la Gileppe doivent couler a flots et le coup d'oeil doit étre magnitique. 11 faut savoir affronter la boue et les ondées, pour iouir de ce spectacle, qui ne peut gnère se produire que par des temps aussi plu- vieuxque ceuxque nous traversons. A la suite des pluies, plusieurs maisons de la rue de Rechain, a Dison, ont été envahies et bon nombre de caves inondées, par les eaux descen dant des montagnes environnantes et par celles venantde Petit-Rechain. Des masses de terre et de gravier ont été emportées dans le chemin dos morts, entre Dison et Petit-Rechain et amoncelées dans la rue Pier- reuse. Traqués a Bruxelles, les colleurs de pla cards contre le roi se sont réfugiés en province. D'après la Meuse, le placard suivant a été ap- posé la nuit dernière, a Liége, sur la Jaqade du Theatre Royal; Léopold est condamnê. II a signé la loi de malheur. Un coup de poignard ou une halte de revolver en fera justice- Ce placard était écrit sur papier calque d'une écriturC imitant les caractères d'imprimerie. C'est un passant qui l'a apercu a une heure du matin. II en a aussitot informé la police qui a fait procédeiGmmédiatement a la saisie du placard. Dans la dernière séance du Conseil commu nal de Mons, on a demandó la destitution d'une institutrice qui faisait de la propagande clóri- cale. Cette demande a dü étre transmise a M. le ministro de l'instruction publique qui, d'après la nouvelle loi, doit déeider l'affaire. C'est ua commencement. L'inspection générale de la garde civiquo propose a M. le ministre de l'intérieur l'adoption d'une nouvelle tenue pour la garde civique. Nous l'avons vue ce matin et elle nous a paru tros Men comprise. Pour le garde, toutes les buf- fletories existantes sont supprimées et rempla- cées par une giberne en cuir noir analogue a celle des ofllciers d'artillerie en tenue de route; le ceinturon, qui n'est plus qu'une simple cour- roie, se porte sous la tunique, le porte-bayon- nette se rattaelie au ceinturon en passant par uqe ouverture ménagée dans la tunique. Les épaulettes sont romplacées par des trèlies en laine rouge dont le prix est moins élové de moi- tió. La tunique est ti'ès-large, ne devant plus étre comprimée par un ceinturon; elle est a deux boutons et les alïreux passahts jannes des man ches disparaissent. Le shako restele memo, sauf qu'il est surmonté d'un gros pompon rouge et que le galon blanc est rem placé par un galon rouge. La giberne, qui est celle de ï'armée, peut conte nd1 trois paquets de cartouches. La tenue de l'officier est la même, sauf que le shako est surmonté d'un plumet en plumes de coq analogue a celui des officiers du génie. Le sabre est celui que portent actuellement les offi ciers de la milice citoyenne, mais le l'ourreau est en accier. La giberne est plus petite et plus élégante. La marquo distinctive du grade se porto au collet comme dans Ï'armée, les officiers supérieurs ayant le collet d'argent. Eu tenue de route, le shako peut êtro recouvert d'une coiffe en toile cirée. Le grand mérite de cette tenue est qu'ello ne diffèra pas assez de la tenue actuelle pour que les gardes, qui n'en seraient pas pourvus, soient ridicules dans les rangs. II suffira qu'ils rempla- cent leurs épaulettes par les trèfles, c'est-a-uire qu'ils fassent une dépense de fr. 2-25, pour pou- voir aller a l'exercice et aux revues de l'ancienne tenue. Aussi le changements se fera petit a petit et suivant la bonne volonté des gardes. La tenue nouvelle a surtout un grand cachet de comme il faut; elle est trés commode et trés peucoüteuse. Nous avons vu un autre spécimen oü la tunique estremplacée par une vareuse; ce n'est pas plus commode que la tunique avec le ceinturon des sous et c'est beaucoup plus laid. Les deux tenues ont été soumises k M. le mi nistre de l'intérieur, il y a quelque.s jours,,par M. ie colonel Brante, chef d'état major a l'inspec tion générale des gardes civiques du royaume. (Indépendance.) Un tristo accident est arrivé, Samedi, aux travaux du chemin de ferdes Plateaux de Her- ve. Les ouvriers de la tranchée de Beribou ve- naient de suspendre leur travail pour diner, le chef de chantier ltt mettre le feu aux méclies de nombreuses mines chargóes. Ces mines s'étageant sur lamontagne sontal- luniées par deux 'ouvriers, préposés a cette be sogne. Les mèches brülaient quand l'un des deux ou vriers un Itaiien s'apercut qu'il avait oublié d'en allumer une. II s'éTanga pourréparer eet oubli et, au même instant, une mine éclatant au- dessus de lui, il eut le pied pris eutre les pierres détachóes par l'explpsion. Impossible do dóga- gor son pied. Le malheureux, saehant que d'autres mines allaient sauter et rendre son sauvetage impossi ble, se mit a crier au secours en faisant des ges tes désespórés. Dix ouvriers veulenf. s'élancer, l'autre allu- meur, les vovantcourir a une mort presqu'inévi- table, les rétientVous ne passerez pas, il vaut mieux qu'il y ait un tué plutót que dix. A ce moment, Cougnet, le chef du chantier, n'écoutant que son courage, court prés du mal heureux et, le prenant a bras-le-corps, parvient a l'arracher de l'étau de pierres qui lui ócrasait le pied. II va le jeter de cöté et se sauver avec lui quand, tout-a-coup, une autre mine éclate et les frappe tous deux. Ils tombèrent l'un et l'autre. Ils 11e devaient, hélas plus se relever. Le malheureux Cougnet, victime de son géné- reux dévouement, eut la poitrine brisée par un quartier de roche et il expira après une agonie de quelques minutes dans la forge oü on l'avait transporté. Le pauvre Itaiien a payé de sa vie une minute d'imprudence. II fut enseveli sous plus de 1,000 kilos de roche et il fallut travailler du cric pour relever son cadavre tout brisé. Cet accident a causé sur les travaux la plus pénible impression. Cougnet et l'italien ótaient célibataires. 10.50 fr. franco par an. 2.65 francs franco par trimestre. SOMMAIRB DU N°. 38. Gravures La Levée du Siége de Metz par Charles-Quint, d'après M. L. Mélmgue. La Chanteuse des Rues, d'après M" L. Dubréau. Les grands Phénomènes de la Nature. La Grotte de Luray (Virginie), L'Héritière de Duiven voorde. Epilogue. Texte Notre Salie d'Exposition. Nos Gravures. Chronique deca et dela. Connais- sances Usuelies de la Semaiue. Une Excursion au Mont Etna. Rêveurs et Reveries. David- lè-Baladin. L'Héritière de Duivenvoorde. Episode de la Lutte entre les Hameeons et les Cabillauds: ON S'.VBONNE AU BUREAU DU JOURNAL. du 18 au 25 Juillet 1879. NAISSANCES DÉCÈS. Dewilde Rosalie, 36 ans, sans profession, épou- se de ütton Charles, rue de Menin. Slem- brouck Marie, 8 ans, St-Jacques-lez-Ypres. Vandewynckei Mélanie, 66 ans, sans profession, célibataire, rue de 1,111e. Vanwalleghêm Char les, 56 ans, journalier, célibataire, rue d'Elver- dingbe. Debouck Louis, conducteur de lr0 classe des ponts et chaussées, veuf de Van Praet Catherine, rue du Séminaire. Enfants au dessous do 7 ans. Sexe masculin 2. ld. féminjn 0. ÜLi wijk 's Graventafel. Kis fiirie Wooiifuikcn cm dependentiën 'j-— van j TE DIXMÜDE. van

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1879 | | pagina 3