HUIZEN, WEIDE, HOFSTEDEKEN BERICHT. MET GERIEVIG WOONHUIS, SCHOQNE JEÜBELS. EN HUIZEN, HOF, SC1IÜER EN STALLINGEN, Openbare Verkooping Les Fetiches. On lit dans le Pays bouwden grond en land 74 aren 20 centiaren, sectie D, nummers 98, 99, 100, 101, 102 en 103. Gebruikt door Joannes Capelle, tot 1 October 1880 aan 150 fr.'sjaars boven de lasten. 2° Een Huis met 6 aren 30 centia ren erf, sectie D, nummers 104A en 104B. In pachtedoor Leonard Koffez tot 1 October 1880, aan 60 fr. bij jare. Wijk 't Stampkot. 3° Een Huis met 4 aren 70 centia ren erf sectie E, nummers 1579 en 1580. Bewoond door Karei Cornaert aan 5 fr. 50 cent. te maande. 4' Eene Tweewoonst en 1 are 26 centiaren Erf, sectie E, nummers 1582 en 1583. Verpacht aan 3 fr. 50 cent. en 3 fr. te maande. OVERSLAG, DONDERDAG 16 OCTOBER 1879, in de herberg het Gildiiof, bij Ch. Huyghe teStaden, orp 4 ure namiddag. Voor nadere inlichtingen, men be- geve zich ter studie van den voor noemden Notaris VUYLSTEKE. Gemeente Merckeni. Koop 13. Perceel H00IGRAS, bij de Knokkebrug, groot 1 hectare 23 aren 80 centiaren, gebruikt door Ch. Delerue, tot 11 November naast. Maar ingesteld 5,000 fr. Gemeente Leo. Koopen 14. 15 en 16. H. 2,42,00 C. ZAAILAND, in 't Zavel, gebruikt door Louis Blanckaert tot 1 October 1884 mits 330 fr. 'sjaars. Maar ingesteld 10,500 fr. Stad Loo. Koop 17 en laatste. Een RENTE NIERSHUIS, met 2 aren 44 cent. Grond en Hovenierhof. Onbewoond. Ingesteld 3,000 fr. De verkoopingsvoorwaarden en ti tels van aankomst berusten ten kan- toore van den Notaris Syoen, te Loo, door wiens ambt deze verkoo- ping zal geschieden en men kan ook alle inlichtingen bekomen bij de No tarissen Cornille.te Wulveringhem en Tyteea, te Yper. Openbare verknoping eene ALLERBESTE en SCHOONE gelegen te POPERINGHE, tegen stad, langs de Veurnecalchiede, groot volgens kadaster sectie C, N" 942c, 943A en 944B. 1 hectare 31 aren 30 centiaren, gebruikt door sieur Edouard Wulleman, en handslag met 15 November 1879. Maer verhoogd 11,000 fr. Zonder uitstel, VRYDAG 17 OCTOBER 1879, om 4 uren namiddag, ter herberg le Chasseur in de Bruggestraet te Poperinghe, ten overstaen van den heer vrede rechter, en ingè>$>lge de voorwaerden berustende ten kantoore van den Notaris LAVA, ter verblyfplaets van Poperinghe. van schoon e GKIjEGEV üm"E.\ ÏPKE DIXMUDES PRAAT. lu Een HUIS, ten dienste van win kel, aan de oostzijde der Dixmude- straat, N° 50; Bewoond door Juf vrouw Florence Bubbe. 2° Een ander HUIS, ten dienste van winkel, aan de oostzijde der Dixmu- destraat, N° 46; Bewoond door M. Alphonse Bubbe. 3° Nog een ander HUIS, ten dienste van winkel, aan de oostzijde der Dix- mudestraat, N° 44; Bewoond door sieur Henri Bailleul. NIEUWE HOUTMARKTSTRAAT. 4° Een HUIS, met cour en stalling, aan de noordzijde der nieuwe Hout- marktstraat, Nu 47; Bewoond door verscheide. TEMPELSTRAAT. 5° Een HUIS, ten dienste van win- ËTAT-C1VIL DE LA VILLE D'YPRES, Ene Pcrsomie de cette ville de sire être chargé de la recette de loyers ou bien a être employee aux écritures. S'adresser au bureau du Journal. Studie van den Notaris Vuylstcke, te Staden. DONDERDAG 9 OCTOBER 1879, om 9 uren voormiddag, ten huize bewoond door M. Verdievel, te Sta- den-dorp. Vemlitie van DONDERDAG 16 OCTOBER, om 2 '/a ure namiddag, met tusschcn- komst, van den Notaris Victoor. te Waasten, ten hoeve in gebruike bij Sr Joannes Huyghe, te Staden, wijk 's Graven-Eik. Vemlitie van 2 hectaren Brom op Stam, 8000 droo- ge Hoppeperssen, 16 Hoppezakke», 3 Booren, 2 Eegden, 1 Oeselaar en 4 Ladders. Op tijd van betaling voor de koo pen van 10 franks opwaarts. Beiaaibaar ten kantoore van den Notaris Vnylsteke, te Staden. OPENBARE VERKOOPING TE STADEN, wyk Stadenreke. 1° Een Hofstedeken groot onder be- De piotaris $yoeu, te Loo, maakt bekend, dat er op DONDERDAG 9 OC TOBER 1879, 4 ure namiddag, ter herberg Het Handelhuis, te Pol- linchove, zal overgegaan worden, tot den Definitieven Overslag van de vol gende OMROERENDE GOEDEREN Gemeente Pollineiiove. Eene HOFSTEDE groot onder landen van verscheiden aard volgens kadas ter S' B, n08 427, 428, 436, 486*, 440, 441, 704, 708, 709, 710, 711, 712, 714 en 715. II. 9-16-35 C. verdeeld in zeven koopen, en ge bruikt door d'echtgenooten Feryn- Blanckaert, tot 1 October 1881, mits 1413 fr. 's jaars. In masse niet ingesteld. Koopen 12 en 3, te zamen groot H. 5, 68, 35. Ingesteld 20,000 fr. Koop 4, groot H. 0,87,00. Ingesteld 3,000 fr. Koop 5, groot II. 1.09,60. Ingesteld 3,500 fr. Koop 6, groot H. 0,68,80. Ingesteld 2,400 fr. Koop 7, groot II. 0,82,60. Ingesteld 2,500 fr. Zamen slechts. 31,400 fr. .Vofs Pollincliove. Koopen 8, 9 en 10. II. 2,18,30. BOOMGAARD, HOVENIERLAND en H00I- GRAS, gebruikt, door de echtgenooten Lowagie-Blanckaert,tot lOctober 1880 mits 330 fr. 'sjaars. Ingesteld 12,200 fr. Koop 11. Eene VETTEWEIDE, groot 2 hectaren 23 aren 10 centiaren, ge bruikt door Amandus Hoenraet, zon der pacht. Ingesteld 16,050 fr. Gemeente Oostvleteren. Koop 12. Eene Partie HOOIGRAS, genaamd het Hardeweideken,groot 2 hectaren 35 aren 94 centiaren. Ingesteld 11,100 fr. parmi les récompenses pour actes de courage et de dévouement publiées par le Moniteur.) Se jeter dans la rivière l'Heure, a un endroit oü l'eau atteint plus de deux metres de hauteur y rester durant plus de deux heures par une température glaciale pour alimonter le réservoir des pompes a incendie. et én sortir vivant. On apprend qu'un cercle catholique est en voie de formation a Vilvorde. grève. Les ouvriers de trois puits du charbonnage du Flénu se sont mis en gróve hier matin. La République devient tout a fait divine, tout a fait céleste. II ne fautfias y toucher, sous peine de mort. Le profane qui leva la main sur l'arche sainte et qui vit cette main séehée serait relativement favorisé par rapport a ceux qui se font les con- tempteurs de la République. Elle a ses dieux, ses demi-dieux, ses héros. L'un est cyclope et n'a qu'un ceil, par consé quent; il est même Italien, comme ses aïeux de la fable, qui habitaient l'Etna. L'autre, moins en vue, a fréquente sa propre soeur, tout comme Jupiter. Mercure est député de Lyon. Si nous n'apercevions a l'horizon l'escalier tout a la fois monumental et antipathique de la cour d'assises, nous poursuivrions le tableau des ressemblances entre l'ancien temps et le temps nouveau. La République a ses templesil y en a de toutes sortes. Celui de M. Duhamel est le moins solennel. La République a ses fétiches. I.e bonnet phrygien, les deux fameuses lettres R. F. remplacent pour la France consternée les mots qui surgirent soudain aux yeux de Baltha zar. Mais au-dessus des dieux qu'on peut encore bafouer, des temples qu'on peut éviter, des fé tiches qu'on peut ridiculiser, il y a l'hymne qui plane dans les ondes sonores, l'hymne qu'il faut respecter, qu'il faut entendre a genoux, il y a la Marseillaise Avec ce fétiche-la, il ne faut ni rire, ni résister. L'oreille de la France lui appartient. U faut subir l'air et les paroles. A Lyon, un jeune officier s'en oft'usque. II estchasséde l'armóe. A Ajaccio, on siffle. Des arrestations out lieu. Pourtant, il faudrait s'entendre, citoyens pon- tifes de la République Changez votre chant national, ou laissez-moi siffler Je viens de diner joyeusement et je sors turner un cigare, tout entier a la digestion, seule chose qui reste a ceux qui mangent encore sous la Ré publique, et j'entends crier: Aux amies, citoyens! Cela me choque, m'alarme, et je siffle. Car enfln, je sais très-bien que la plupart des blagueurs républicains déeampaient au plus vite, quand, a une époque peuéloignée, onlesinvi- tait a prendre ces mêmes armes. Un instant après, quelques ivrognes me hur- lent qu'on égorge nos femmes et nos enfants. Je sais pertinemment que c'est une fausse nou velle. Je siffle. J'ai le droit de siffler, tout au moins. Et ainsi de suite pendant toute la soirée, oü les mêmes ivrognes m'affirmentque \ejour degloire est arrivé, ce qui est notoirement inexact; que l'étendard sanglant est levé, ce qui n'est que pi'ématuré, et qu'il faut abreuver nos sillons avec un sang impur, ce qui ne rendra pas meil- leure la récolte du blé cette année,;et ce qui ne détruira pas le phylloxera. Naturellement, et de plus en plus indigné, de plus en plus exaspéré contre une chanson aussi absurde et aussi béte, chanson qui vient me pro- voquer, me chercher, m'assommer, je proteste et je donne a ma protestation une forme qui n'a rien d'excessif et qui est même empruntée a la nature, puisque le sifflet a été inventé parle merle. La-dessus, je suis mis en retrait d'emploi, si je suis officier, et conduit au poste, si j'appartiens a la vie civile. Tout cela, pendant que les revenants du bagne sont fêtés, choyés et élevés aux premiers rangs des citoyens vertueux Franchement, nous ne trouvons pas la Répu blique asservie a la logique et au bon sens. La Marseillaise choque les gens, elle les excite par des souvenirs ignobles et par des phrases qui révoltent. Pourquoila vouloir iraposer Quand les royalistes voulaient se réjouir, ils chantaient Vive Henri IV, Vive ce vert galant, etc... M. Gent lui-même n'avait rien a réclamer contre eet appel galant. Les impérialistes étaient aussi inoffensifs lors- qu'ils répétaient en choeur la légende du beau Dunois. Et a part M. Jules Ferry, qui s'est mariécivi- lement, persorine ne pouvait être choqué de voir marcher a l'autel du Seigneur la plus belle et le plus vaillant. Si la République veut faire respecter ce qu'elle a décoré stupidement du nom de chant national, elle n'a qu'a choisir pour hymne quel- que chose qui ne sue pas la liaine et le sang. La Marseillaise, hors du champ de bataille, hors do son milieu, qui est l'invasion, n'est que l'orchestre du bourreau; c'est elle qui fit valser les têtes dans le panier, c'est elle qui groupait autour de la guillotine les immondes goujats et les sales tricoteuses de la première république; c'est, en un mot, l'hymne de la discorde et de la guerre civile, l'hymne au son duquel on a per du, qui son grand père, qui sa grand'mère, l'hymne enfin des égorgeurs et des assassins Pourquoi s'étonner alors et être surpris quand, a chaque instant, ou nous lejoue, comme pour nous annoncer que même sort nous est réservé plus tard, comme pour nous convier 4 la sinistre fête que les fautes du gouvernement préparent, pourquoi s'étonner que nous nous servions, non d'une épée, non d'un pistolet, mais de cet instru ment que le code pénal n'a pas encore prohibé, et dont nous avons bien le droit, parbleu! de nous servir dans notre propre tragédie, d'une simple clef? PAUL DE CASSAGNAC. van du 26 Septernbre au 3 Octobre 1879. NAISSANCES Sexe masculin 6. ld. féminin4. MARIAGES Bonte Pierre, domestique, et Forrez Amélie, servante. DËCÈS. Ghekiere Clémence, 25 ans, tailleuse, eéliba- taire, vieux Marehé au beis. Coffyn Catherine, 65 ans, épouse de Tanglie Frédéric, rueScbutte- laer. Minne Marie, 85 ans, sans profession, veuve de Christiaens Bernard, rue de la Bouche. Vanstraesselle Henriette, 64 ans, ouvrière de fabrique, veuve de Lebbe, Francois, rue longue de Thourout. Enfants au dessous de 7 ans. Sexe masculin 2. ld. féminin t. C80BO— van

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1879 | | pagina 3