HOFSTEDEKEN
WEIDE,
SGHööNE MEUBELS.
EN HUIZEN,
MET GERIEVIG WOONHUIS,
HOF, SCHUER EN STALLINGEN,
aui'ont accaeilli ce grotesque document avec
un sourire narquois... Als de vos de Passie
preekt, boeren wacht uw ganzen!
(Courrier de Bruxelles.)
La loi de malheur.
L'Avenir de Charleroi publie la pétition
suivante que les habitants d'une commune
des Flandres se proposent d'adresser a S. M.
Ie Roi
La situation, décrite dans cette requête,
est celle d'un très-grand nombre de commu
nes.
Elle pourrait être très-utilement signalée
au Roi, non-seulement par les habitants, mais
par les autorités communales elles-mêmes.
II est bon que Sa Majesté soit exactement
informée des conséquences produites par la
loi de malheur dans le pays entier.
On dit Léopold II fort surpris de l'émotion
soulevée de toutes parts, grace la soi-disant
réforme scolaire. Les ministres, y compris
les membres du septième ministère, lui
avaient persuadé que cette mesure était con
forme aux vceux du pays et que les catlioli-
ques eux-mêmes s'y plieraient avec résigna-
tion.
Qu'on juge done de l'étonnement du Sou-
verain en voyant surgir dans chaque com
mune des écoles catholiques et libres, aussi-
töt peuplées Dans les communes voisines
de la résidence royale, le Roi a pu constater
lui-même, durant les promenades qu'il aime
ii faire en compagnie d'un aide-de-camp,
combien le mouvement catholique est fécond
et combien les écoles libres se multiplient.
11 nous revient que S. M. en aété très-impres-
sionnée.
Le peuple, exploité par des ministres in-
dignes ou incapables, disait autrefois Ah!
si le Roi le savait
II dépend de nous aujourd'hui que Ie Roi
sa cheque la loi-VanHumbeeck est véritable-
ment une loi de malheur et le Roi le saura
On lit dans le Courrier de Bruxelles:
M. Frère-Orban est rentré hier a 3 heu-
res ;t Bruxelles.
II y a eu aujourd'hui uil conseil des minis
tres pour étudier la situation, qui est grave.
Le désarroi du ministère est tel, sur le terrain
d.e l'enseignement, que le ministre de l'in-
struction publique est en proie a une vérita-
ble panique provoquée par la désertion des
écoles officielles. On nous cite d'autre part un
haut dtrecteur qui voue la loi ;i tous les
diables et la déclare détestable...
La bureaucratie se perd dans les mille
questions soulevées par les circulaires de M.
Pierre YIndécis sur le tlième Rien n'est chan
ge. La légalité de ces circulaires est fort sus
pecte même aux yeux de ces messieurs, no-
tamment en ce qui concerne la gratuité pro-
clamée en tait, sans loi, par le ministre de
l'instruction publique, agissant motu proprio
en usurpateur des pouvoirs du Parlement.
On lit dans le Journal de Courtrai
Le bruit se répand depuis quelques jours
en notre ville et produit une certaine émotion
dans toutes les classes de Ia société, que les
établissements des frères Vandale, Verrue
et Amerlynck vont être confisqués par le gou
vernement en vertu de -la loi sur les bourses
d'études. Nous croyons la nouvelle tout au
moins prématurée, pour le moment"il y a
bien longtemps que la menace existe de con-
fisquer ces établissements charitables, mais
grace ii l'énergie de notre administration
communale, jusqu'ici la menace n'a pas été
suivie d'éxécution. 11 y a cependant anguille
sous roche, et rien ne doit nous étonner si
un beau jour nous voyons arriver en notre
ville un commissaire spécial pour expulser de
leur établissement les frères Vandale, les
soeurs Verrue et Amerlynck. Ge qui est con-
solant pour les Courtraisiens, e'est que ja
mais, au grand jamais, ni bourgmestre, ni
échevins, ni conseillers communaux ne prê-
teront la main pour chasser de leur demeure
les frères Vandale et dépouiller les religieuses
des fondations charitables.
Faits divers.
Studie van den
Notaris Viaytotckc,
te Staden.
DONDERDAG 9 OCTOBER 1879,
om 9 uren voormiddag, ten huize
bewoond door M. Verdievel, te Sta-
den-dorp.
Vcnditie van
DONDERDAG 16 OCTOBER,
om 2 Va ure namiddag, met tussehen-
komstvan den Notaris l ïctoor. te
Waasten, ten hoeve in gebruike bij
S' Joannes Huyghe, te Staden, wijk
's Graven-Eik.
Venrfitie va,t»
2 hectaren Brom op Stam, 8000 droo-
ge Hoppéperssen, 16 Hoppezakken,
3 Booren, 2 Ecgden, 1 Oeselaar en 4
Ladders.
Op tijd van betaling voor de koo-
pen van 10 franks opwaarts.
Betaalbaar ten kantoore van den
Notaris VuyMekw, te Staden.
OPEN BARE TeRKOOPING
TE STADEN, wyk Stadenreke.
1° Een Hofstedeken groot onder be
bouwden grond en land 74 aren 20
centiaren, sectie D, nummers 98, 99,
100, 101, 102 en 103.
Gebruikt door Joannes Capelle, tot
1 October 1880 aan 150 fr.'sjaars
boven de lasten.
2° Een Huis met 6 aren 30 centia
ren erf, sectie D, nummers 104A en
104".
In pachte door Leonard Koffez tot
1 October.1880, aan 60 fr. bij jare.
Wijk 't Stampkot.
3° Een Huis met 4 aren 70 centia
ren erf sectie E, nummers 1579 en
1580.
Bewoond door Karei Cornaert aan
5 fr. 50 cent, te maande.
4" Eene Tweewoonst en 1 are 26
centiaren Erf, sectie E, nummers
1582 en 1583.
Verpacht aan 3 fr. 50 cent. en 3 fr.
te maande.
O VERSLA G,
DONDERDAG 16 OCTOBER 1879,
in de herberg iiet Gildhof, bij Ch.
Huyghe teStaden, om 4 ure namiddag.
Voor nadere inlichtingen, men be-
geve zich ter studie van den voor
noemden Notaris VUYLSTEKE.
GBUMnTSS fcOMaSïTI*rG
Mij.iheeren en Medebroeders,
Wij hebben de eer UI. uit te noodigen tot
deze Schieting die zal plaats hebben op den
12 OCTOBER 1879, onder de volgende
voorwaarden
De prijsvogels zijn gegeven door den Ede
len lieer B°" Gaston de Vinck.
Daarenboven zullen er twee medailjen ge
geven wordenEene aan de verstkomen-
de Maatschappij, ten minste uit 6 leden be
staande, en eene aan deze die bet meeste
getal schutters zal opleveren.
In afwachting, Mijnheeren, dat gij ons
met uwe tegenwoordigheid zult vereeren,
groeten wij u met achting.
0pessliia,re verkMOjaïïig
van
eene ALLERBESTE en SCHOONE
gelegen te
POPERiNGHE,
tegen stad, langs de Veurnecalchiede,
groot volgens kadaster sectie C, Nrs
942c, 943A en 944". 1 hectare 31 aren
30 centiaren, gebruikt door sieur
Edouard Wullernan, en handslag met
15 November 1879.
Maer verhoogd 11,000 fr.
ajwiuler uiistel,
VRYDAG 17 OCTOBER 1879,
om 4 uren namiddag,
ter herberg le Chasseur in de
Bruggestraet te Popcringhe,
ten overstaen van den heer vrede
rechter, en ingevolge devoorwaerden
berustende ten kantoore van den
Notaris lava, ter verblyfplaets van
Popcringhe.
GEMEENTE B0ES1NGIIE.
MAATSCHAPPIJ SINT-JORIS.
«fas&Erllijlkscïic §e!ïSeting,
op Zondag '19 October 1879.
SIRE,
Nos prévisions se sont réalisées.
Mercredi dernier, premier Octobre, s'est faite
la rentrée aux écoles communales.
Tous ont suivi, les uns, l'honorable instituteur
qui a passé l'école libre et catholique; les autres,
les dignes et dévouées religieuses qui depuis
tant d'années donnent aux enfants de la com
mune une instruction au-dessus de tout éloge et
une óducation d'autant plus solide qu'elle a pour
base ces grands principes sociaux et moraux
dont l'Eglise est l'unique dépositaire.
Malgré cela, Sire, nous serons forcés de payer
chaque année de lourdes contributions afin d'en-
tretenir deux écoles désertes, et de faire des
rentes a deux instituteurs et a deux institutrices
sans élèves.
Vous saisirez, Sire, l'injustice flagrante de pa-
reils procédés, qui, quoique devenus officielle-
ment légaux par ie vote d'un sénateur que Dieu
a déja appelé a Lui pour rendre compte de ses
actes, ne sont rien moins qu'óquitables.
Sacbant, Siro, que vous avez toujours été l'en-
nemi de l'injustice, autant que votre regrettó
père, Léopold Icr, surnommé le juste, nous ve
nons avec conflance vous faire connaitre la po
sition qui nous est faite, sürs que nous sommes,
que notre voix sera entendue et que personnel-
lement vous voudrez atténuer, sinon effacer com-
plóternent, les sacrifices que nous impose la loi
du ler Juillet 1879 a laquelle vous avez accordó
votre signature.
Vos fidèles et dévoués sujets
(SüIVENT LES SIGNATURES.)
Le conseil communal de Bruxelles a eu
une séance obligatoire le 6 Octobre.
A son ordre du jour, nous voyons figurer un
objet qui ne manquera pas de réjouir profondé-
ment la population bruxelloise: un nouvel em-
prunt.
On y entendra le rapport annuel, on y lira le
projet debudget pour 1880.
Après quoi on s'occupera de la conclusion
d'un emprunt. Va bene!... Le C.\ F.'. Vander-
straeten ne trouve, parait-il, d'autre moyen de
boucher les trous laissés par leC.\ Fr. Anspacb
que d'en faire un nouveau a son tour! II faut
respecter les traditions du libéralisme et ne pas
oublier que c'est le libéralisme qui a mis en lu-
mière eet adage cólèbre: Les affaires (politi-
ques), c'est l'argent... des autres.
On écrit de Bruxelles a VAvenir
Les fètes de Septembre ont vécu: pour la der-
nière fois elles ont été célébrées en 1879. Leur
suppression pour de bon est décidée en haut
beu.
Désormais, elles seront remplacées par de
grandes fêtes communales a célébrer chaque an
née a la fin de Juillet.
Cette suppression, dont on parlait depuis nom
bre d'années,et que Léopold Ior désirait voir s'ac-
complir dés les fêtes du 25e anniversaire, nous
parait parfaitement sage.
Pour les fetes comme pour le deuil des nations,
il y a des lirnites.
Un nouveau journal quotidien, la Tribune,
paraitra a Mons aujourd'hui ou demain.
C'est un organe du libéralisme avancé.
Depuis buit jours, dit le Jour nol de Mons,
traversent notre gare des bandes ft'émigrants
venant de France, d'Autriche, de Hongrie et
principalement d'Italie; ce sont des pauvres gens
qui, ne trouvant plus de travail dans leur pays,
et poussés par la misère, ont décidé de se rendre
en Amérique, oü ils espèrent qu'un sort meil-
leur les favorisera. Ils se dirigent tous sur An-
vers, oil ils sont embarqués pour le Nouveau-
Monde. Hier soir encore, un trés grand nombre
de ces malheureux, Italiens pour la plupart, ar-
rivaient par le train venant de Paris a 6 h. 20,
pour reprendre celui partant de Mons pour Bru
xelles et Anvers a 6 h. 46.
L'émigration s'étend également a notre pays.
Ainsi l'on nous assure que dix families de Mar-
cbiennes et trente families de Roux sont parties
pour Anvers oü elles ont dü s'embarquer ce ma-
tin pour l'Amérique.
8«3
van
01' HET GROOT HOOGHE TE ZILLEBEKE,
BEWOOND DOOR PETRUS SAMYN.
125 fr. zijn vooruitgegeven.
1° Oppervogel, 50 Franks.
2° Zijdvogel, 25
3" 25
4° Kalle, 12-50
5° 12-50
Tataal 125-00 Franks.
Art. 1. Den inleg van eiken schutter is 6 fr.
Art. 2. Er zal 5 franks betaald worden voor
ieder kleinen afgeschoten vogel in 't bureel ge
bracht.
Art. 3. Telkens dat er 20 betaalde vogels
zijn,zal de pijramide vervuld worden.
Art. 4. Er zal maar één vogel per scheut
naar verkiezing gelden.
Art. 5. Men zal zooveel kleine vogels op de
pers stellen als dat er schutters zijn, de eervo
gels medebegrepen.
Art. 6 Indien de 5 eervogels niet afgescho
ten worden zullen zij na de schieting verlot wor
den in deelen van 5 franks.
Art. 7. Als er eenige geschillen in de schie
ting zouden ontstaan, zal de Commissie dezelve
bemiddelen.
Art. 8. De inschrijving en inleg zullen plaats
hebben in het lokaal der Maatschappij, bij Petrus
Samyn, Groot Hooghe), van il 1/2 tot i urejuist.
De schieting zal beginnen fix om 2 ure en eindi
gen om 6 ure 's avonds. De laatste toer begonnen
zijnde zal voleind worden, waarna de verloting
der niet afgeschotene vogels.
Art. 9. Alle andere voorwaarden en gebrui
ken der schieting volgens gewoonte.
De Hoofdman,
Baron Gaston de Vinck.
De Vice-Hoofdman,
Samyn Emile.
De Ontvanger-Secretaris, de Kapitein,
Verbeke Frederik. Masure Honoré.
VOORWAARDEN
N° I, fr. 15 en een Haas.
N° 2 en 3, 10 en een koppel Kiekens op ieder.
N° 4 en 5, - 7,50 c" ieder en een Haande
Inleg 5,50 cent.,
terug 5 fr. voor ieder vogel nedergeveld.
De oppervogels
uit den algemeenen inleg genomen.
De inleg in het Gildhof, bij A. Lacour, (St-
Jorishof,) van i tot 2 1/4 uren en daarna onmid-
deiijk begonnen schieten tot 5 1/2 uren. voor
waarden naar gewoonte.
Wij verhopen met uwe tegenwoordigheid ver
eerd te zullen worden.
De Eer-Voorzitter,
L. de Thiebault de Boesinghe.
De Gouverneur,
Edgard de Thibault de Boesinghe.
De Groffler De Kapitein, De Hoofdman,
A. Desegher. P. Devos, P. Donck,