(SociétéAnonymeRue Royale15, d met en 1 LE 4 ET LE 5 HOVEMBRE PROCHAIN liilif "Uil 17'^rflfef I. 25,000 actions de 500 francs de Ia Société anonyme LA COMPAGNIE DE GA0ANTÏE pour favoriser Ie dévcloppcment dos assurances; II. 25,000 actions de 500 francs cntièrenicnt libérées de la Société anonyme SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DE PRODLITS CHIMIQUES ET D'ALFAS (Etablissement Malétra.) NOTICE. m c I'0 s c z z «- |!l «■al |p5 s r?? Chaque souscripteur a l'une ou l'autre des actions de ces Sociétcs. recevra gratuitement avec ie titrc déflnitif obtenu a la répartition un rpim D'EPARGNE de MiLLE francs. (Voir la notice). ÖUN Sa ISatiqnc .üuropécunc, S5, rue ESoyale, a ISriixelIes a ka .Ktssï'ïipeeime, ai», rue n t BSOSr'S D'KPAKttiVK. €A8S«K AiliS? BOWI J"" remplacent avantageusement, dans On peut souserire dès mai-ntcnant par corrcspondance tant pour les souscriptions payables en cspèces que pour celles par abandon de titres et espoees et par vente de titres. W O K a> ÜJ CC Lu s i W sc 5g: e c sg :w| tja 5> W sgë® -§11 si .i 9g 1 j's K? SS3 - 7 fllo s 0 s ia 32 w -I 2- s fs g I S I I La Compagnie de Garantie, cónstituée pour pratiquer toutes les assurances est certainement appelée a réaliser des bénéflees aussi briHants que les principales Compagnies existantes, qui souvent ont l'inconvénient de ne, s'occuper que d'uue seule branche d'assurance, et dont la.plupart distribuent cependant, comrne on sait, des dividèndes exceptionnellement élevés. En efïet, il résulte des documents puisés dans des publications sur la matière qu'en 1S78 par exem- ple, pour ne prendre que cette seule année, les Compagnies d'assurancessuiv,antes ont donnó les. di- videndes que voici calculés sur leur capital versé Le Phénix, Les Assurances Générales, La Nationale, Le Soleil, La France, La Compagnie a primes de Bruxelles, Les Assurances Générales, L'Union Beige, Les Propriétaires-Réunis, II est a remarquer que jusqu'ici le public n'a connu les opérations d'assurances qu'au point de vue des avantages qui en rósultaient pour lui, comme assuré, a l'exceptiou des gros capitaux qui seuis ont pu participer aux bénétices de ces opérations, étant donné le pnx élevé des actions des compa gnies existantes, les diflicultés de négociation résultant de la rareté des titres et de la quasi-impos- sibilité de les aborder. La Compagnie de Garantie rend possible a la petite épargne la participation a ces bénéflees, car son capital est divisó en actions dont l'achat n'exige qu'une somme modique comparativement aux autres compagnies. Sa cotisation offieielle la classera dans-les titres d'une négociation courante. Pour peu qu'elle soit appelée a réaliser les mêmes bénéflees que les compagnies existantes, la plus- value a espérer sur ses actions sera considérable, on en jugera par le rapprochement a faire avec quelques chiffres que voici, puisés dans les publications relatives aux 45 p. c. 26 p. c. 35 p. c. 41 p. c. 400 p. c. 26 p. c. 47 p. C. 11 p. c. 34 p. c. compagnies d'assurances L'action de la Compagnie Assurances Générales, Le Phénix, La Nationale, Les Propriétaires Róunis, Les Assurances Générales, (Brux.) valeur nominale 7,500 fr. s'est cotée en 1879, 40,000 fr. 5,000 - 21,500 5,000 - 22,300 10,582 14,100 2,110 5,100 Les souscript ions aux actions des deux Sociétés que nous venons de faire connaitre seront regues 'une AUX CONDITIONS SU1VANTKS Les actions de la Compagnie de Garantie libérées de 100 lr.sont mises en vente au prix de 300 fr 1 PAYABLES i Fr" e" souscriyant. 200 a Ja repartition. Total, Fr. 300 ,^°T®nnan^ le payementde oevS 300 Fr. chaque souscripteur recevra gratuitement avec<le tit™ déflnitif obtenu a la repartition UN BON D'EPARGNE de MILLE FRANCS. Le complément Zt XSd?n???t8' S0I-t ,400 yr' }lar' ac^,on» e?t 3 effectuer conformément aux statuts, en cas d'appel de fonds, s il y avait lieu. II est rappelo que le capital des Compagnies d'Assurances étant un Capital dp est Peu probable quancun autre versement soit appeló. Les actions de la SOClÉTit vS^deWOPfr°SfS CHIMIÖÜES ET cfe 500 fr. chacune wntïïS" Fr. 100 en souscrivant. 200 a la répartition. PAYABLES 200 le 15 janvier 1880. 200 le 10 mars 1880. en TotalFr. 700 .)foye„un.a,nt le payement de ces 700 fr. chaque souscripteur recevra gratuitement avec le titre déflnitif obtenu a la repartition UN BON D'EPARGNE de mille francs cCD,i!Ui<trut'0n a déewlé que des avantages spéciaux seraient faits aux porteura des titres Actions et beiipts Banque Beige, Capital Bassins Houillers et Priori té Prince-Henri. En conséquenee, tout porteur, soit de 2 actions ou de 2 Scripts Banque Beige, Bassins Houilliers Capital, Pl»iApifa Driin/vo. Oonnl II. Société Générale de produits chimiques et cI'Alfas. (Marque Malétra). Cetto Société n'est pas nouvelle: les importantes usiues de Malétra connues, depuis prés d'un siècle, ontune re putation europóenne et la marque Malétra est des plus avantageusement connue.. Les importantes usines du Petit-Quevilly de Lescure (prés de Rouen), et de Saint-Denis (prés do Paris) ont suivi pas a pas tous les progrós róaiisés jusqu'a ce jour dans cette grande.industrie dont ia plupart des autres sont tributaires. Les installations de la Société.Générale des produits chimiques de l'Alfas sont done situóes dans les conditions industrielle.s les plus favorables pour entreprendre avec une supóriorité' incontestable l'exploitation des Alfas algériens. La Société Générale de produits chimiques et d'Alfas a acquis par un traité le monopole absolu de l'exploitation, do la transformation en pate a papier et de la vente de l'Alfas provenant des 300,000 hectares eoncédés a la Compagnie Franco-Algérienne et reliés au littoral par le chemin de fer, au- jourd'hui en exploitation, de Saïda au port d'Arzew; elle puisera dans sa vieille organisation, dans les 3,000 ouvriers et employés qu'elle occupe, le personnel nécessaire a la creation rapide de la nou velle branche d'iftdustrie qu'elle va s'adjoindre. On sait que l'Alfas sert a fabriquer un papier de qua- lité supérieure et que les débouchós ne manquent jamais a ce produit. La Société Générale de pro duits chimiques et d'alfas s'est assuré, par un fermage, l'ex,ploitatiou ctu lac salé d'Arzew, c'est-a-dire de la saline la plus puissante qui existe en Algérie, pour y établir une usine a sóude. Les usines pour la fabrication de la pate a papier, du eblore et de la soude seront groupées a portée du lac d'Arzew, des plateaux d'Alfas et du chemin de fer d'Arzew-Saïda, de telle sorte que les prix de revient défieront toute concurrence. La quantité d'alfas que la Compagnie transformer;) en pate a papier, ou en papier, ira chaque année en s'augmentant avec les agrandissements et les perfectionnements de 1'outiliage. Mais la vente des alfas bruts mis en ballots pressés produira déja un très-brillant benéfice. Par traité, la société du Crédit Lyonnais s'est réservé le monopole de la vente des alfas pour toute l'Angleterre. Voici, du reste, comment le Consejl d'adnjinistration de la Société Générale de produits chimiques et d'alfas apréciait i'avenir réservé a cette société dans le rapport qu'ü a présenté aux actionnaires le 10 Octobre dernier. Le Conseil d'administration estimait 1° Les bénéflees des usines actuelles comme dëvant atteindre fr. 1,000,000 2° L'exploitation des salines d'Arzew comme devant donnet' en.dehors des bénéflees nets de la fabrication des produits.cbimiques en Algérie, un bénélice de 250,000 3° Le bénéfico do l'exploitation des alfas et de Ia pate a papier a 3,750.000 Ensemble 5,000,000 On voit done que la Société Générale des produits chimiques et des alfas se trouve dans d'excellen- tes conditions industrielies et que le plus bril'lant avenir lui est réservé. soit de 2 soit de 2 Priorité Prince-Henri seta aamis a sousertre a 1 une ou 1 autre des actions mises en vente et recevra un Bon d'épargnede deux nnlle francs pat' chaque titre obtenu a la répartition. De plus, S 0USage a acheter aux souscripteurs et aux actionnaires de la Banque nrfv ifw'iat a coPcurrence du prix de la raise en vente, pour ótre appliqués. a-la liberation du pnx d achat, les titres suivants 175 francs l'une 200 70 Qu est-ce que le Bon d'Kpargne Le Bond'L'pargne, erddpar la Compagnie, de Garantie,, est une vÉritaU.e obligation. pnSvaai»ï?i!Ëdh 001U° ob!i8'a,tion est la representation mathómatique de placement a intéréts ment au tarif de la Compagnif' peudant9° ans' do la sommo versée Pour son acquisition, conformé- iiAT°r.om^°x«u<lae/eiiBow d^Parffne, est une vèritable obligation, car il est garanti par des valeurs nnfn recent iniv lit,el'es,que.: nnmeubles, fonds de villes et d'litats francais, beiges et autres Etats nni li f ««t rfóBAm,A1 pLus'ii- trouye 1111 intérêt rómunérateur dans la participation de 25 p: c. qui lui est ïescrvce dans les benefices reabsós par la Gaisse spéciale des bdns d'épargne. ritA0tm pfr la Compagnie de Garantie-pour assurer, avec la plus entiöre sécu- nte, le mouvement regulier de ses. opérations. Elle est dotée d une administration particuliere, avec comptabilitó distincte et spéciale. nnfnllótlo fi'cCru?,f°U8 s,uryolllauce constante d'un comité do fldeicommissaires, cboisis parables notorietes fes plus considerables. mPüf ifJ70!1® dit' fs t°nds provenant de la réalisation des Bons sont employés, sous la fn, ïnhut f u if valeurs de premier ordre. Un inventaire annuel, dressé sous'le coutróD a mi 10 .C0S r®ailse? Par la Caisse dans l'anuée. 25 p. c. des bénéflees ainsi constates efltre l^s pLorteurs^de ^ns Pa'' S°U1S deS fltleicommissaires, pour ètre, tous les cinq a'ns, répartis .j ans, a la diligence du fera soit sous forme ue certain nombre de Bons. \a par conséquent toujours négociables-: la Compagnie de Ivlfhiof rnn ni?,t ,a<(liet®r a toute epoque, sous escompte a 4 1 2 p. c. l'an. 11 est facile de voir quels ff;-'il tü'er de la creation des Bons d'Epargne. lis constituent, en effet, une véntabie 1 i loilw ff iilf.'iiit. ff, 1 donnant au plus petit os economies la faculté de participer aux eux-mêmes une sorte d'assurance -*^r«.«^-xet-avaiitage-pKécieiwtau@-lö Bond'Epar- gnc e, t toajours et a tout moment realisable sans perte [lour le porteur, iirivilége inestimable dont ne jouit pas le benéöciaire du contrat d'assurance sur la vie. tf) r* i Ifa 'r S o O •ES) "tC 'Jï rf) .Co -4—' ®'-»P 5 t- b 2 LU c o O o o q «t- ie P c o o N b 1 o O rö u O'S Zu V5 LU es CÖ O O in r^> c Co Có - to Bh o S w cc'-Q l <5j 3 I i >i C2 O O 2^ ?h S 1 .-2 o O §-9 SjeS o 1 CuG LO? r- - 'h m 5 Sp- S JU en O (f) O o 23 o o rf. 2 'o Xï tp - «w c c s O O tg, O o m «V C l£ o 73 paS Cl r-i X O UI 'SI O r_ c c - 9 f C3 Cu JS CL s O O £K 33 CS. O "g'Ö D Q) ei Ci -u. r~ a - 2 c£> G ■Wr3 L CO .n o 1 co La? Z) ■fj c fcc a o O" CO 2 iU OtO "3 T Co G G O öC CO 5 S-Sr a g §2 O CC CO o ©^1 Yf: oT" 'O) M G r- tL~~' Co G «-» O o *G 2 'o m r— tsi -.d CL. O O a. «c O CO -o -G 5 o ©O o o" o g 'CD^ 0 cc o O ft .„O -G 0 0 co co 5 r, O 00 o G"w G -2 -o 3 O O co co 1 tCG 3- '-5 6 ei !,22 is o <J "-iCD •O G CO cS a <u ai ft s o S.B'rea a .2 öo»£ o 'S 0 0 -® a a o, 2" as ®.2 cp ca co y, r O-, - C3 cd 0 o co, pp O CO co 2 "G G fcc LG cd r O o k 2 c g o.^ G. Eb G C 3 2 00 P. g G- 'Sl o J o-c c'Et' «3 O co -JJ O C--cd G 2 i 3 "G 5~ S J C x G 3 c.ti 3.© co JZ cd o i G tJ cd SS g cTog 03 co o- cz co -r -2 C "G cT Oh Q G CO cc G co O O? G co-— CG© CO ^•p «o co H - CO 'seE Sof, -= p. a «-01 s-Q f§.B iQ cé I CO O G G 3 ïg'3-© bDé c co 50 O - O -o ©-W G Q 2,©Cu Oh- m - o t>-> O s G co G O O O O CQ> L: o co"-h' Kol 0 J3 co o 10 o 'i So 1 o ,0 .<0 2 'fT—r f" S o CO OH O s M Ci ^H Tf - .«So'dsS"" Ow i-q CQ -H O g oi r- p- iO 10 G o Q O ex; 1 W 10 1 s- cm ie O b Oh co (5 e>H0 lGnw I §'1 oocd~ g g -' „-S'.JS S S a OH Co 77 c s .0,0 s C'É CD G- G H u Qü 1 se'-S O G se 3 ^•0 1 "G to O— O -H So CC c> H.10 cc 00 0 r- -co -r< CO .O O-- Cd r-10 1 K o» 50 r iO >3 «I I eq I I-O fe; ScoSJ ÏO •-c 05 rS 'OO CM ïO iO Siè-7® .S CO CM GS s I g I - .V-. - - - 9 uo'g G gSOl G P G 'O -T-I-Ogj-'S'S

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1879 | | pagina 4