f
sim
BERKENHOUT
Hoppepersen
BOO MEN
HAKHOUT
ua? nüiat
8 SPARREBOOMEN
A VENDRE ZTSoÜ
(7fy3TCUX
6i?ig!l!
DIHNNI1NG vnn SPARREN
BRANDHOUT
La musique a Ypres.
La Noël a Ypres.
La R. P.
Déraisonnement.
Actes Officiels.
Nominations de
Bourgmestres.
Nouvelles Diverses.
de
GEVRAAGD 17 jaar, Vlaamsch en
VERKOOPING
OP ZATERDAG 4 JANUARI' 1896
VERKOOPI1VG
ZATERDAG 11 JANUARI 1896,
Décidément l'Harmonie des Anciens Pom
piers veut se faire passer pour la première
Société musicale de la ville.
L'Harmonie communale, bien. Mais elle,
c'est autre chose
A la messe de la Ste Barbe, l'Harmonie
communale, dirigée par M. Wittebroodt
avait exécuté une fantaisie sur 1 Masnadieri
de Verdi. Le succès était complet, de l'avis
de tous ceux qui ont assisté k l'exécution.
L'Harmonie des Anciens Pompiers, sous
la direction de M. Moerman, a exécuté le
même morceau, au local de la rue du Sémi-
naire, s'il faut en croire La Lutte.
Naturellement. c'est la dernière qui a le
mieux exécuté le morceau en question, bien
qu'elle ne l'ait étudié que pendant trois se-
maines, tandisque l'Harmonie communale y
a mis quatre mois.
Avons nous besoin de répondre k ces sot-
lises?
Bornons-nous k constater qu'eri fait de
musique, La Lutte en connait k peu prés
autant que le dernier musicien de l'Harmonie
des Anciens Pompiers. C'est peut-être bien
celui-ci qui a écrit son article, s'il faut s'en
rapporter au nom qu'elle donne k la fantai
sie en question: Imasdieri au lieu de Mas
nadieri.
Qui sait Ce n'est peut-être pas le même
morceau que les deux Harmonies ont joué
Mais alors, toute comparaisori devient im
possible. El La Lutte s'est tourrée une fois de
plus le doigt dans l'ceil.
Ce que c'est de vouloir s'exalter et cher-
cher k humilier les autres On flnit par se
rendre ridicule.
La fête de Noël a donné l'occasion k notre
religieuse population de manifester ses
sentiments de respect et de fidélité aux
vieilles croyances catholiques et chrétiennes.
La messe de minuit,célébréedansquelques
couvents, a été suivie par un grand nombre
de fidèlrs et des plus notables de la ville
qui avaient obtenu la permission d'y
assister.
Dans toutes les églises, les services divins
ont attiré la foule, malgré la rigueur de la
température.Partout.nous avons pu observer
nne grande dévotion et un recueillement
parfait.
Dédidément la Foi catholique se réveille k
mesure que l'impiété emploie ses efforts k
la combattre. Nous souhaitons que ce réveil
puisse entrainer ceux que l'éducation pre
mière a tenus éloignés de nos pratiques
religieuses, et finir par régénérer la société
Décidément la R. P. baissé. Le premier
essai qui en a été fait a créé le gachis élec-
toral, en attendant qu'une expérience de
quelques mois donne, dans les communss
oil il a fallu passer par cette mécanique
uhinoise, le plus beau gachis administratif
imaginable.
Les impénitents disent que c'est la faute
du quorum! Citl, que serail il ariivé s'il
n'y avait pas eu de quorum
Au lieu de deux ou trois fractions, nous en
aurions vu éclore des dizaines. Au lieu d'un
gachis électoral et administratif, c'eut été
une véritable anarchieautant de conseillers,
ou k peu prés autant, que d'intérêts différents
ou de prétentions divetses.
D'aulres incorrigibles croient que le remè
de se trouve dans l'extension du sys'eme k
toutes les communes du pays. Comme si un
mal devenait moindre paree qu'il s'étend
davantage
Encore, s'il était vrai de dire que grace k
la R. P., tous les partis le parti catholi
que notamment soient représentés, mais
représentés dans le vrai sens du mot; c'est-k-
dire de fapon qu'ils puissent exercer le con
trole dont l'idée forme la base du système.
Hélas il faut bien le reconnaltre, le con
trole sera bien peu efflcace; et, en tout cas,
la minorité catholique sera réduite partout,
ou k peu prés partout, k l'impuissance.
Ce qui s'est passé lors de la formation des
colléges échevinaux dans les localités oü la
R. P. existe, nous donne l'idée de ce que
sera Taction de nos amis dans les conseils
de ces localités
On aurait pu penser, tout au moins,
qu'avec l'application de la R. P., nos adver-
saires auraient enfin gagnéce que Ton peut
uppeler le respect de la majorité.
Pas davantage. Voici que le Journal de
Bruxellesun proportionnaliste, écrit, dans
son numéro d'hier. Serait il désabusé le
confrère Quoiqu'il en soit, nous reprodui-
sons son article
I Sous Tancicn régime on lisait. pres-
que tous les jours dans la presse libérale de
Bruxelles une expression grotesque, pour
désigner la députation indépendante de
notre arrondissement.Majorité de hasard
écrivait l'Etoile. La Réforme, moins gênée
dans sa iiltérature énorme, avait coutume de
dire majorité escroquéeetc., etc.
On savait que les libéraux avaient sur la
possession des raandats parlementaires,
dans les grands centres dits intelligents, un
droit éminent, inaliénable, imprescriptible.
Quand un candidat libéral échouait, il était
convenu de dire II y a eu fraude, il y a
maldoune le candidat élu n'est pas le re
présentant de la nation. Etait-ce assez
amusant
Nous pensions qu'avec l'application du
principe de la R.P. les journaux libéraux al-
laient cesser de se rendre ridicules, et qu'ils
auraient enfin le respect de la majorité vraie,
issue de scrutin, tout au moins en matière
communale. Nous nous trompions. Voici que
1 'EtoUe recommence ce déraisonnement.
Liscz ceci
Le Journal de Bruxelles oublie que
les cléricaux tiennent moins leur
mandat du corps électoral que de
M. Scliollaert, Tauteur de la belle loi
electorale que Ton sail.Préter.dre que
les cléricaux sont entrés a Thötel de
ville par un acte conscient du corps
électoral, c'est de Timpudence. Si la
loi Schollaert, n'avait pas existé, pas
un clérical n'eüt été élu, et la majo
rité libérale attestée par les chiffres
du scrutin, t ut. élé écrasante. Et si la
R. P dégagée du quorum, out été
appliquée hom élement, U s cléricaux
n'cusserit pas éiassez itojmbreux
pour jouer le töle qu'ils veüiént rem-
plir aujourd'hui.
Tenant leur mandat d'une loi ab
surde, eondamnée par leurs propres
amis, les cléricaux sont done mal ve
nns a se prévaloir de la volonté du
corps électoral, et le Journal de, Bru
xellesen levant ce lièvre, dessert Ia
cause qu'il espère défendre.
Ainsi, les élus de la liste de l'Union con-
servairice indépendante ouvrière ne sont pas
fexpression de la volonté populaire, repré-
sentée par 8.000 suffrages, lis ne sont que
les élus de M. Schollaert 11 n'y a que MM.
De Potter, Dustin et De Mot qui sont le pro
duit d'un acte conscient du corps électoral
Si vous osez dire le contraire, vous serez
impudentOn sait que les voix obtenues par
les candidats de la liste socialiste, unies aux
voix données aux candidats de la liste de
TUnion conservatrice indépendante ouvrière,
représentent prés des deux tiers de tout le
corps électoral.
Ge chiffre ne gêne pas l'Etoile. Elle écrit
bravement que ses élus k elle de la liste doc
trinaire représentent seuls la volonté du
corps électoral de la ville de Bruxelles.
Gelte fapon de raisonner et de calculer
nous inquiète un peu la santé politique de
l'Etoile doit être troublée,
Puis, faire intervenir dans ce déraisonne
ment M.Schollaert,c'est vraiment renversant,
car tout le monde sait que M. le miriistre de
['intérieur n'adopte la R. P. qu'k son corps
défendant, par esprit de transaction et par
sagesse politique.
Avec le système majoritaire, au scrutin de
ballottage, la liste de l'Etoile était par terre.
Prr arrêté royal du 18 Decembre 1895,
la médaille de lre classe est décernée k M.
Dezutier (Arthur), employé communal de la
ville d'Ypres (Flandre Occidentale) en récom-
pense des services qu'il a rendus dans le
cours d'une carrière de plus de vingt-cinq
années.
V3LQCH
BixscholeM. Vermeersch, A Neuve-
Eglise, M. Glorie. C OostvleterenM.
Deboo, R PasschendaeleM Bayart, J
Voormezeele, M. de Gheeus, LWarneton
M. Godschalck, A.
La maladie de M. de Burlet,
Nous apprenons de source autorisée que
l'amélioration qui s'est manifestée dans l'état
de M. de Burlet se maintient, et que l'hono-
rable Président du conseil pourra reprendre,
après un repos de quelques semaines, ses
occupations habituelles. Nous en formons le
voeu le plus sincère pour le bonheur du parti
catholique.
Hier. le cheval deM. Burgho, pris d'une
congest'on, s'est abattu k la grand'place.
Quand on l'a relevé il n'était plus qu'un ca-
davre.
BURGERSTAND VAN YPER.
Van den 20 tot den 27 December.
Geboorten.
Mannelijk geslacht 4. Vrouwelijk 5
Sterfgevallen.
Lamote Rosalie, 77 jaren, zonder beroep, we
duwe van Parmentier Pierre Lange Thourout-
straat. Bossaert Lucie,78 jaren,zonder beroep
ongehuwd. Rijselstraat. Glarebout Henri, 62
jaren, hovenier, echtgenoot van Verhack Amé-
lie, St-Pieters buiten. Podevyn Hermine, 67
jaren, zonder beroep, weduwe' van Speybroek
Pierre, Kiekenmarkt.
Rinders beneden de 7 jaar.
Man. geslacht 2 Vrouw. I
LE NOUVEAU LONDON
auESt^^»H
knventea Ypreschez Vs Ommeslagh-Podevyn
a Poperinghe chez Theeten-Lefever. 399
'Vo"tf-SS
o
Dépot a Ypres chez Donck frères rue de
Lille.
wi'/UUO
Fransch kennende, om te dienen als
winkelknecht.
Zich te wenden ten bureele dezer. (481
Burgerlijke Godshuizen
van Yper.
van
10 koopen gesneden
10 koopen
20 koopen
138 koopen
boon- hage- inleg- vlake- en
en 12 koopen
op verscheidene hotsteden,
ten 1 ure namiddag in de Zit
tingzaal van het Belfe Godshuis,
Rijsselstraat n° 38 door het ambt
van den notaris EUGÉNE VAN-
DERMEERSCH, te Yper. 508
Burgerlijke Godshuizen
van Yper.
van
19 KOOPEN
met
in de hosschen gelegén te
Zillebeke, Zandvoorde
WytsrhaeleVoormezeele
Bixschole, Brielen en
Westvleteren
l&
en
in het Nonnenbosch
te Wytschaete
op
ten 1 ure namiddag
in de Zittingzaal van het Belle
Godshuis, Rijsselstraat n° 38. door
het ambt van den Notaris PAUL
LAUWERS. te Yper.
chromatique (système Vancowelaer).
Prix trés modéré. S'adresser au
bureau du Journal. (*69
uv i o a .v l..*
v 1 N K. p NT A NOT
(A base vègètale) fait dispa-
raltre les cheveux gris on
peu de jours fortifle la cheve-
fure, en arrête la chute. II ne
tache^ pas la peau.
En flacons de I fr. 50 et 2 fr. 50
Teinture anglaise spéciale pour barbes 2 fr. le flacon.
BOITE
If. BO
iLesSEULES^guérisse^-,,,^^^
IRRITATIONS4®deS V
cl toules les Maladie
Dépot w»'
(jaruuh pur cl ocrilaOle
j'Vijor'aiil de nos usinc? a acquit,
7 - itM, une reputation de si bonneet
si pure a >ricaima. quo plusieurs produits
cIkivIioii: a enlr^r dans la consonimatio*
a\ ce ui co pie laxiut'lle de nos étiqueUes, dê
notre nuirqae el de nulre paquelage.
pour meiire tin a ces controfaQons dóloyalee,
WM. BLOCH previenneut le public quo It
Tapioca sonant de leurs L:sinus' sera vond*
doroiuivaiil sous la denomination de Tapleoa
bi toch.
Nous prions lo public de róclamer It réri*
table Ha pioen O toch.