Aïe! Aïe't En is ikke nie 011 l'exploitation du vicinal Ypres-Neuve-Eglise Noces de diamant a Ypres, Nouvelles Biverses. eu peu de durée, et, b part quelques jours de II nous sera saus don te permis de gelée vers le Noël, la majeure partie du mois rire un bon coup, et, après, de nous deDécembre, et la première quinzaine de j demander quel est le journal qui a Janvier,avaientjouid'unelempérature douce, été le mieux mystifi(S 0„ K trop douce et trop huiaide même. Vers le 1 F par son collaborateur occasionnel i '15 Janvier le vent a toürne brusquement au j nord. L'eau s'est congelée et, depuis uae j dl(aie' °.u togrès par dizaine de jours, les patineurs s'en donnent a !'^e P'esSls^c Oh! oh! oh! bcoeurjoie, sur la glace qui couvre les prai- j ions nous raison de dire aussi, ries inondées b la porte de Lille. Certains a quinze jours a peine, a propos amateurs de patir.age se risquent même sur d un autre incident, que le Progrès leseaux des fossés qui entourent la vilie j serait encore pris en flagrant délit de nous en avons remarqué une dizaine, des gatisme par La Luttel Ët pourtant gamins pour la plupart, qui patinaient sur le j ils sortent tous les deux des mêrnes fossé dit Kasteelgracht. C'est défendu j presses Ah! la cruelle soeurette cependent par les règlements de police, et Mais, ce n'est pas tout Voici' crue on fait bien de le défendre.oarun malheur est M p> Vermeulen, j t 1 si vile arrivé,comme il v a deux outroisans, j A j j collabot ateur occasionnel de La Lulte quand deux jeunes gens se sont noyés, dans «m i, les mêmes conditions, h la porte de Menin. i ,m< G, cl Par';ic et décoche au Un excellent résultat de cette tardive gelée j 1 °9> cs fl'reiques coups de tarifs el de est que la ville a pu remplir ses deux gl'aciè- j Mards. res. Craignant avec raison de voir arriver le dégel avant d'avoir fini cette opéralion.notre Done, dans l'occurrence, au blamer nos édiles, il faudrait, au contraire, demander quo le service d'Ypres-Furces soit exploité par les cotntriur.es b l'expiration du conlrat en cours Recevez, Monsieur l'Editeur, mes salu tations amicales. P. Vermeulen Decoene. vite. Mais nous faisons des maintem toutes nos réserves an sujet des on'* nions progressistes, ou plutót social listes, émises par M. Vermeulen et l Lil! Ie.... T Is IKKE WEL édililé a engagé.tous lesouvriers sans tra vail, a aider ceux de la villc darts cette be sogne. En quatre jours, plus de 250.000 kil. ont été emmagasinés de cette fagon et cette énorme quantité de glacé produira une jolie somme l'été prochain. I Notre éditeur, dit La Lultea recu a ce propos de noire excellent ami, I M. P. Vermeulen, la leüre suivante que nous insérons très-volontiers Monsieur l'Éditeur, En ma qualité de négociant, d'industriel et de libéral progréssiste, je ne partage pa En procedent ainsi, la ville a procuré une votre manière de voir dans la question de i 1 exploitation des chetnins de fer viciriaux et j ï0 n'approuve pas votre article du 23 c', in- j tilulé A nos édiles. bonne journée aux pauvres travailleurs, forcés de cbómer par suite de la gelée. Après le dégel, qui est presque complet aujourd'hui, plusieurs semaines se passeront j II y a prés de trente ans que le Cercle encore avant que le travail ne reprenne pour j Commercial d'Ypres lutte pour obtenir la re de bonjespérons que l'beureuxessai fait pour j prise des chemins de fer de la Flandre Occi- la glacé engagera le collége a en agir de dentale, exnloités par une scciéié particu même par exemple, pour le curage partiel lière. II y a plus de quarante ars que notre du Majoorgracht. province 30 troure, eauso da cola, dans une situation trés défavorable et trés inté- I ri ure. Elle ne parvient pas, malgré tant de j démarches el d'efforts, a sen dépétrer. j Mcsaituis les aciionnaires ont lb une excel- lente affaire et ne la lacbent pas. Leur sc-ule j préoeeupation est leur intérêt leur seuj i souci est d'arriver b palper les plus gros j dividendes possibles. Quel bienfait si nous eussions eu affaire b 1 Eiat dés l'origice Non seulement les profits auraient été Nous avons répondu, dans notre numéro de Mercredi dernier, a La Lulte et au Progrès, au sujet de leurs critiques de l'idée de faire exploiter le chemin de fer vicinal nouveau par les communes inlércssées. Dans sou dernier numéro, La Lulle mais nous aurions eu de meilleurs tarifs, un Et, ce n'est point fini. La Lulle ajoute encore quelques mots aux ex cellents arguments de M. Vermeulen: Nous est avis qu'il vaut mieux, si le vici nal Ypres Neuve Eglise produit des béré- lices (ce qui paratt devoir être), que c: s bénéfices entrent dans la caisse des com munes intéressées, plutót. que dans la bourse des aciionnaires d'une compagnie partieu- lière. Si, simple hypothèse, l'exploitation de la ligne devait occasionner des pertes aux exploilants, les communes, qui retired fis béiiéfices indirects de toute extension d; s moyens de transport, som mieux b même de supporter ces pertes sans en faire patir le public Au surplus, les communes intéressées out, pour ainsi dtre, la main torcée par ia province celle ei iutervient pour un quart, croyons-nous, dans la formation du capital d'établissement de la ligne, b condition que ies communes s'engagent b i'exploiter col- lectivement. Sans la réalisation de cette condition, la province n'intervient pas. Cette situation diminue s: ns doute la part i qui revient b l'initiative des communes darts la décision prise par eües d'exploiter eollee- j tivement la ligne. Mais elle ne peut influer j en rien sur les avantages que présente, b tous points de vue, cette exploitation colloc l've- La Lutte De Strijd. Ah Vra boent nos mailres sont vengés, vengés par leurs adversaires Nous avons déja relevé l'appt obaliou du Progrès a la transformation du Marché au bétail, et celle du Week- I blad a la solution de la question de la pêche. Voici que la grosse affaire de 1 exploitation du chemin de fer vi cinal Ypres-Neuve-Eglise recoit la pour 1 Etat, c'est b-dire pour nous tous, ^lül'te approbation de M. Vermeulen retracte ses critiques, dans ies termes meilleur service, du meilleur matériel, des que voici I stations mieux appropriées aux nécessiiés du Dans ie dernier numéro de La Lutte- service, etc., etc. De Strijd a paru ua articulet intitulé A nos Tout est avantage b voir les moyens do édiles, émanant d'un collaborateur occasion- transport aux mains de la coilectivé. L'expé- nel et inséré sans avoir pu, par raison for- j rience démontre qu'il en est ainsi pour les tuite, être soumis b la rédaction ordinaire vicinaux. du journal. La rédaction aura it rejeté eet j Votre rédacteur redoute pour plus tard article sans hésitation, parcequ'elle ne par- j du gachis dans le service. II n'en sera absolu- tige nullëment les idéés qui y sont expri- j ment rien; le service par la sociélé inler- mées ces idéés sont d'ailleurs en contra- communale doit être meilleur que par une diction absolue avec l'article VIto' du pro- société anonyme particulière quelconque gramme générai du congrès progressiste. certainement, ne ferait l'affaire que pour j Fort bicu mais que devient alors j 8U retirer le plus de bénéfices possibles. 1 articulet du Progrès concu comme Le service de l'exploitation de lp li-me Ypres-Furnes est concédé b une socié'é Dar ct de Laci Lutte centre le Progrès et contre le collaborateur occasionnel de La Lulle Que dira le public de tout cela Né mal in, il ne peut manquer d'ap- prouver l'attitude. de V. P. Vermen- j' lei) clui ï'e"d loyalement et publique- j ment hommage a nos édiles. Mais il dira aussi si dans certains cas les j adversaires doivent reconnaitre que nos mailres ont raison, ilsepourrait bien aussi que ceux-ci n'aient pas j tort sur d autres points, et, par exem- pie, qui Is aient le hou bout, quoi- j qu'onen disc, dansles questions des j travaux publics, des eaux,de la pêche, des orgues, des écoles etc. etc. Que voulez-vous Le public est M. Hof, ancien directeur de notre abattoir et Mme Hof, née Missy, ont célébré aujour d'hui, trois Février, leur jubilé de soixante années de mariage. La santé de Mmo Hof ne permettant pa3 les émotions qu'eut entrainés une fête pu. blique, la familie a décidé de célébrer l'heureux événement sans aucun éclat. Nous apprenons que le collége échevinal a offert plusieurs objets d'argenterie, comme cadeau, aux dignes jubilaires. A deux heures de relevée, M. l'Echevin Golacrt, accompagné de M. le Secrétaire communal, sest rendu dans la derneure de M et M,ne Hof, rue Nouveau Chemin St Martin 0C1 la familie des lieureux jubilaires se trouvait réunie. En leur remetlanl un bouquet et le cadeau de la ville, l'honorabla écheviri a adressé aux deux vieillards quelques paroles bien senties, rappelant les longs et loyaux ser vices rendus par M. Hot b la ville, et qui ont vaiu b l'ancien Directeur de l'abattoir la décoration civique de Ire classe. M. Co- laert a exprimé Ie regret de ce que, par la volonté des jubilaires, la fête n'eut peu rece- voir aucun caractère officiel et public. Inutde de dire combien M, et Mme Hof- Missy et leur familie étaient heureux et fiers de eet acte de courtoisie et de participa'ion b une fête qui célèbre un événement presque unique. Les jubilaires, et après eux, M. Alphonse Hof out remercie M l'Echevin et I'adminis- tration communale de leur délicate attention. A son tour, Ie Journal d Ypres présente toutes s- s félicitations b M, et Mme Hof Missy, I et exprime le voeu que le C: 1 leur accorde I encore des jours longs et heureux Nous apprenons qu'un douloureux accident est arrivé hier, b Poperinghe, dans la bras serie de Mme Vve Vandonberghe Devos, rue de Furnes. Ls fils alné de M"'e Vandenberghe, qui avail tiré au sort la semaine dernière, est tombé dans la cuve rempli d'eau chaude, sous les yeux de sa mère. Aussi tót retire, Ie malheureux jeu ne est moitpeu de moments apiés, dans d'atroces douleurs. i uuc öucieie p Nous faisons notres les observations t,cul'ere ies plaintes sonl nombrenses- h (premières, bien entendu) présenlées par I Public. c'est-b-dire les communes Lvra La Lutte dans la question de l'exploitation rien h dire la société, dansles i e -r c t de la ligne vicinale d'Ypres b Neuve Egfise, son contraf, fait la strict nécessaire" i Vent' P.resque toujours, qui figure b l'ordre du jour de la séance I Dernièrement elle a, par mesure a'in re3Cl'ye sori appréciation pour plus - - eco- tard, et il fimt par se retourner contre ceux qu a propos dc Ia question du (du conseil communal d'Ypres) du 23 cl. C'est a pouffer de rire Et le «s coups f nomie, transformé le train de voyageurs ar rivant b Ypres b 42 h. 19, en train mixte dé de tarifs, et les coups de retards que v°ya8eurs et marchandises, qui arrive "v«" deviennent-ils a leur tour des retai'ds souvent considerables C'el Avions-nous raison dc dire que La ainsi Tue eeux 1ui comptent arriver b teJL Lulle et le Progrès seraient, par conti- pour diner' arriveiit et furieux lor - nuation, mauvais propbètes La Lutte dcsavoucc por clle-mcme Le Paogrès desavoue par La Ij'tile raiment on ne saurait etrc meilleur prophéte que ne l'a été lc Journal d'Ypres l femps spi es le dtMr. U socié.é n'éoome pom leSp|s,„teSi elle fait pep p,us jj bénéfices et c est tout Lb oü les communes exploitent elie's memes, on peut améiiorer le service autant que possible, autanf que l'on veut vicinal Ypres-Nouve-Eglise nous avons faxes, i,y a buit jours, de critiques quand meme. Toujours est-ii que si l'opinion pu- hiique absoud, celte ibis, M PYer meulen el La Lulte, elle restera in- traitable pour le Progrès, toujours Je meme depuis qu'il est au monde Nous reviendrons sur ce sujet'iron interessant pour l'ahandonner trop j Uu accident est arrivé hier soir b Ypres, i vis b vis du chateau d'eau. Charles Baecke- landt, fontainier, et Liévin Verbois, méca- nicien, en ouvrant la vanne par laquelle leau arrive de Dickebuscb, ont été surpris pai une explosion de gaz qui s'était accu- j mulé dans le puits par suite d'une fuile daes le tuyau b gaz, situé b proximité de la vanne. hes deux ouvriers de la ville en sont Quittes pour quelques brulures assez fortes au v'sat?e et aux mains, qui, heurcusement j fl'auront aucune suite faeheuse hncore un accident. Lundi matin, on a jetiidu canal, derrière la fabrique de M. Ernest Seys, le cadavre du nommé Van- damme, ouviier chez M Cudinael, qui, dans lobscuiité de la nuit, y ólait tombé en se rendant chez lui. auidiciit Ulü 1 'O V ia rnoic nritia 1 JL 1 r j v bat iid, uil j w ooal Ks

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1897 | | pagina 2