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jjrtj,.© d'enipoisonne ISi-dessous autre chose qu'un projot d'union
j'08teo(le* Oh sait quejcoriclue centre le gré de la jeune fille. Qui
jonseil de Bruges a confirmé prouvait que le valet de chambre n'avait pas
Hit
It Sbre
du cu
.ecoflde fois Ie maudat d'arrêt décer
eM V... Celui-ci a immédiatement
appel de cette ordonnance.
prévenu est renvoyé devant la Cour
fis, il sera défeniiu Par Me Seresia' du
ii j de Bruges, ct Me Bonnevie, du bar-
n jBruxelles.
iocolat Delacre garanti pur.
»e<
descent© du parquet
une maison de jeu.
j i, versla soirée, le parquet, repré-
MM. le juge d'instruction de Cam-
fc Beaudimont, et le substitut du procu-
n Roi Declercq, accompagnédu greffier
1|L et de fofficier de police Fronville, a
i deseente dans un tripot de la rue
Faux-Loups.
Lue les magistrats instructeurs firent;
iement irruption dans le cercle privé,
dlbreux amateurs de jeu se trouvaient
I des tables et jouaient gros jeu.
uatériel a été saisi.
t fort tard dans la soirée que les bom-
la loi se sont retirés après avoir fait
les interrogatoires aux joueurs.
tables et les autres objets saisis sont
isaugreffedu tribunal.
nté assurée aux bébés par emploi
if de l'aliment Delacre. Vente partout.
fameus© affaire de sé-
etration d'Anvers. Le
(j >te donne les détails suivants au sujet
tte affaire, qui a fait Vendredi, b la
>re, l'objet d'une interpellation,
a environ un mois, une dame de la
soeiété, qui habite Anvers, recevait
fille, bgée de 28 ans, un billet dans
celled déclarait quelle quittait la
nkn paternelle en compagnie d'un valet
de atnbre qu'elle désirait épouser. Si elle
onnait ses parents, e'est qu'elle crai-
leur opposition au mariago projeté.
j une fille ajouttait que si, contraire-
b It son attentë, on consentait b lui voir
ser qu'elle aimait, on n'avait qu'b écrire
p( restante, b des initiates qu'elle indi-
séquestré Mlle X
Bref, craignant des ennuis de la part de la
justice, le jeune homrae finit par révéler l'en-
droit ou setrouvait sa compagne. Elle habi
tait un appartement dans un quartier d'An
vers, appelé Zurenborg.
Aussitöt qu'il eutconnaissance de ces fails,
le père et son fils montèrent en voiture et se
firent conduire chez MllaX... Geile ci ne lit
aucune difficulté pour réintégrer le domicile
paternel.
Le procureur du roi fit visite b la jeune
fille et lui déclara que, vu son age, on
n'était aucunementen droit de la retenir si
elle préférait rejoindre celui qu'elle venait
de quitter.
M"e X... témoigna uu extréme regret de
son escapade et certifia qu'elle était heureuse
d'avoir retrouvé ses parents.
S'il en est ainsi, dit le magistrat, pour
qu'on ne puisse pas accuser vos parents
d'avoir dépassé laurs droits b votre égard,
déclarez par écrit, mademoiselle, que e'est
de votre plein gré que vous êtes ici.
La jeune fille s'empressa de satisfaire b
celte óemande.
On conpoit qu'un pareil dénouement b son
idylle ne faisait pas le coropte du domesti
que. Aussi alia-t il partout raconter qu'on
s'était violemment emparé de sa future et
qu'on la séquestrait. II adressa rnême en re
sens une plainte au parquetmais celui ci.
qui savait b quoi s'en tenir.envoya promener
uotre homme.
La Commission administrative des
Hospices Ci viIs d'Vpres, procédera le
Samedi IT .luiHet 1897 b
3 heures de relevée a 1'Hospice
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fixé a 3000 francs.
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devis estimatif peuvenf être con-
su Ités au Secretarial des Hospices,
rue de Lillen" 38 a Ypres, les
jours non fériés de 9 heures du
matin a midi et de 2 a 4 heures
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nè e commun qua 1" billet b s n nari,
(jiijomha de soa haul. Sa surprise, en eff
•core plus grande que son chagrin.
n'avait remarqué le moindre symp
inquiétant. La domesticiié, interrogée,
tojiaanime b déclarer que l'intrigue de la
fille et du valet de chambre avait tou
été un mvstère pour elle.
père pris le parti de s'adresser au pro
ir du roi. Peut être y avait-il en cette
li 'e autre chose qu'une amourette.
magistrat conseilla au malheureux père
i v°yer une lettre poste-restante, aux ini-
indiquées par la jeuue fille. En arrê
Persoane qui vieudrait retirerla lettre,
"rviendrait sans doute b découvrir la re
Kfede MUe X
Père se conforma b eet avis. Ce fut le
de chambre qui alia b la poste centrale
fp la lettre. Au moment oü on lui re-
celle-ci des gens de police invitèrent
si lat °mme ^es accomPagner au commis-
'e valet de chambre se refusa absolu-
a avouer 1 endroit. oü se trouvait celle
a't ui avec lui. Au surplus, ajouta-t-il
'n' es' msjeure, par couséquent libre
ecsontxo. Si elle consent a m'épouser,
ne ''«garde qu'elle et mei.
It comprendre que la situation
as aussi nette qu'il le prétendait.
Le secret de la confession.
Vers la fin del'année 1894, un prêtre
catholique, M. Lutz, futcondamné par le
tribunal de Baltimore (Etats-Unis), b dix
ans de travaux forcés sous Pinculpation
d'avoir abasé de son ministère pour voler b
un banquier gravement malade une impor
tante somme d'argent. Les journaux antire-
ligieux firent grand tapage autour de cette
affaire.
A l'audience, M. Lutz déclara ha ut et fer
me qu'il était innocent du méfait dont on
'accusait, pour le surplus, il refusa d'rxpli
quur comment et pourquoi l'argent qui avail
d:sparu de chez le banquier se trouvait en s
tossession. Aujourd'hui, les journaux améri
mins n us apprennent qu'après avoir reprir-
'instruction da cette affaire sensationnelle,
e tribunal vient d'acquitter ce digne prêtre
qui avail déjb passé plus de deux ans en
prison.
Le président, au milieu des applaudisse-
ments de l'auditoire, a déclaré qu'il regrettait
profondément cette erreur judiciaire. Voici
ce qui a amené la revision de ce procés
dans les papiers du financier, on a décou
vert une note expliquant clairement que le
défunt avait chargé M. Lutz, qui l'assistait b
ses derniers moments, de restituer b une
personne désignée, etb laquelle le banquier
avait causé un prejudice grave, la somme
d'argent qu'on avait trouvée en possesion du
prêtre.
Msis cette restituation tombait sous le se
cret de la confession, et, dans ces conditions
le ministro du seigneur ne voulut rien révé
ler. II avait compris son devoir.
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