Honoré Anlony-Permeke,
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MAISON DE MAITRE
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A. VONCK- CLEMENT
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CHAUSSURES
UNION C0MMERC1ALE D'YPRES.
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ar monts et par vaux,
A VENDEE
au VIJFHOEK
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SANTÉ, LONGUE VIE.
LA BOITE 1 FR. 50
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D,manche 13 A out. aura lieu la
fête du concours de pêche au
r„racht qui amènera en ville
Lie d'étrangers.
ridant toute cette période de fêtes,
jeu en permanence aux Halles,
Tnifique exposition de tableaux
jous avons parlé plus bant et a
je prendront part, outre les ar-
étrangers déja nommés, Mel,e De
et M. Ceriez, nos deux artistes
si conn us et appréciés.
r Jes fêtes supplémentaires, on
es courses de chiens au marché
irre qui promet aux amateurs
isirs joyeux une bonne journée
s. Rien n'cst intéressant comme
tons ces tou'ons courir au
i du brouhaha des aboiraieiits.
is, des coups de sifflets et ceer-
tni' mail re <p ds n'apor. oiveu'
int (1 aboi d. Cheque série anièee
ut une foi1 !e <1 c druis i ou-
11; (es mis p us joy.'UX que lus
arnsuite les fêtes e jeux ai
hof» et autres euarfiers poj u-
de la ville qui soul toujours une
de profits pour les cabaretiers
res trafiquants de ces cótés. II y
gens qui prétendent que sous
port de l'amusement reel, toutes
tites fêtes sont bien plus joyeu-
agréables que les plus grandes
ssances, dont le défaut est sou-
l'avoirun caractère trop sérieux.
mtons a cette liste de fêtes déja
'ournie les concours, tirs, etc. de
és subsidiés par la ville et nous
is,comme on le voit.une kermesse,
in peut dire qu'il faudrait être
[ue difficile, pour rie pas en être
s lit.
locolat Delacre garanti pur.
L'autre jour done, par une de ces ch&leur»
insupportables,que l'été de 1897 nousaccor-
de libéralement, nous eümes aussi d'idée
d'aller pour un jour ou deux, par rnonts et
par vaux.
Armés d'un parasol et eoiffés dun large
chapeau de pailte,pour nous prémunir contre
les ardeurs par trop grandes de Monseigneur
Phébus, nous arpenikmes.k grandes e'njam
bées, ia route fade en montagne russe qui
part du sud de notre ville vers la France. Ce-
ci nous conduisit tout droit dans une des
communes, une des plus pétulantes même
de la contrée, celle de VVytscbaete, oü par
tiasard hasard pour nous c'était la Ker
messe.
Une chance inattendue! Car nous eümes
un moment l'illusion detre restés k Ypres,
mus ceux que nous rencontrions étant des
mis de notre ville.
Notre étonnement cessa, quand nous ap-
primes que Ie soir un grand concert aura
leu ergat isé pai la sociéié de Maridoli
isies les médiatois Ypiois aveclecori-
iv uis d p u^ ems arüs'es, cant- urs et in
-r urn? bs - o' pi. s. Cé", it k, ma foi, k
imp, u ivo aubaii e, el m us ié
so un s n<- t, sn (j i; n us p :aei u faire
i i <>r k ut u.-> une parlie d; s
i ,.m qu- i iu- y s oü és
Ci roi c ei se do U dans la i.rand« sa
I eeS lê es de i'S i iet He. Hoekskl'll
et u p Au us? Desb.yier Ha ons nous di
•Inv que cé Ai un eonoert de etiariet qu<
c s m uscip inns ei les enuées om produi
une fort joiie. sornme, dont profiieront les
pauvtes de cette commune.
Les principales autorités et l'élite de la
population de Wytscbaeie, Messines, Neuve
Eglise, Kemmel etc. etc. y assistaient.Inutile
de dire done que le public était fort
nombreux. trop norobreux presque, car on
étouffait littéralement dans la salie.
Les médiators sous la direction de M. Al
bert Van Eg. oo exécutèrent avec le talent
qu'ils ont acquis leur réputation est faite
déjkune fantaisie Miss HelyetCiao
une valse Beaucoup une gavotte Pe-
relte et le pol au laii une mazurka et une
autre valse encore.
Pour la plupart des auditeurs cette douce
et agréable musique de mandolines était une
véritable révélalion. II serait oiseux par con
séquent de dire que les applaudissements et
les bis n'ont pas fait défaut aux artistes
Yprois.
M. Albert Van Egroo a charméensuite
son auditoire par les sons encbanteurs qu'il
sait tirer de cc roi des instruments le vio-
lonLa Dame Tzigane et YIntroduction du
grand concertode Vieuxtemps ortapprisk
ceux des habitants de Wyischaete qui l'igno-
raient encore, qu'il existe k Ypres un jeune
virtuose promettant de devenir un maitre
dans l'art du divin Orphée.
La serenade et 1 'Ave Maria de Schuber
joués sur le cor, eet autre roi des instru
ments pour le cuivre, ont prouvé aussi que
notre ville possèdedes artistes detout genre.
Nos concitoyens connaissaient déjk le
talent de M. Gust.. Verbaegen les auditeurs
du concert de Mercredi passé l'ont constalé k
leur touf.
Mais le plus grand succès peut-être a été
M. Hilaire Houssin, un
Nous avons dit plus haut que les habitants
de la Suisse flamande ont le caractère vif et
gai. lis aiment k l ire, ces braves gens. Nous
doutons pourtant qu'ils le fessent encore
d'ici lonaterops pour Ie motif qu'ils doivent
avoir épuisé tout leur puissance bilarante,
quand MM Derudder et Verhaegben ont
cbaritèOreste et Pylade, une scène comique
de Pessard et pour le bis Les 28 jours de
Clairette. Ce qu'on a ri en voyant sur les
planches ces deux excellents chanteurs de
genre, dépasse en effel toute imagination.
Comme nous lecteurs le voient, ce fut un
magnifique concert auquel nous eümes la
chunce d'assister. Si nous rencontrons, dans
la suite de notre excursion, d'autres bonnes
aubaines de ce genre, nous nous baterons
d'en faire part k nos lecteurs.
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lifie rapidement sans aigreurs Vente partout
N. J. BLOCH
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le plus fin, le plus délicat, le plus exquis,
préjéré penéralement pour les grands
diners, bals et soirees.
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voyage pendant 12 ans,) a partir du 15 Avril il
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sans l'rais.
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a douzaine. 11S
J
arret k Wytschaete
sud de notre Westflandre, s'étend une
8 e montagneuse, qu'on pourrait k bon
i Dommer fa petite Suisse de le Flandre.
I Uines, qui se suivent pendant piusieurs
torment une chaine, coupée de val-
de plateaux, qui s'avance vers l'ouest
o relier en France aux moots de Picar
<6 "est lk un magnifique but d'excursion,
cux qui sans vouloir voyager au loin
(ftpasser quelques jours par monts et
P K, en voyant du pays nouveau.
Ifcureusemeni beaucoup l'ignorent
tl.ee pittoresque pays.salubre et agréa-
Plusieurs communes populeuses et
m ts s'y rencontrent. Les habitants de celui obtenu par
Tages sont industrieux, laborieux et enfant k peine agé de 7 ans qui a exécuté sur
caractère joyeux et gai. Quand ils la mandoline la polka des Farfadets Ce
3 du sympathique M. Gustave Hous
sm, que tous coonaissent k Ypres, a déjk un
fort job talent, et deviendra plus tard, s'il
s'applique au violon, dont la mandoline peut-
étre considérée comme un précurseur, un
artiste distingué. Pendant que cel. aimable
enfant jouait, nous avons remarqué piusieurs
dames qui tiraient leur mouchoir pour
pssuy- r utm douce larme d'émotion.
P U' 1 p*-stie vi!o nou- av >ns eu M
Det urlii r qui ha-- técomi
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-t.
:e,|t, ils travaSpflent bien, mais quand
Musent, ils samusent bien aussi. II
0I|cpas étonnarit que les kermesseset
ifs. y soient fort animées.
H3 si tranquille d'ordmaire, oü on
"d habituellemr.nt d'autres bruits, que
J||son des laboureurs travaillant aux
lS. lerire fraisdes jeunes filles qui
1 et le son du marteau frappant l'en-
e n maiécfvd, rteviern ei cesj'Uis
c"e ot urdii.-na ,:u i;, os? un
0.. nVfil iri ),.ii« i A
j n'etto ltd (v i és qn
ll: U' on e use u son d>. fo^ul
CC'Oéon (!(J c' u v i 10) mn. sous In
4 Cuoitue dit ia ctmnson. mats talis
j»8. Cabarêi et même sous s t,< utts
,tPlacées poui la circonstaece
0 c« sont cits chanteurs ambulants
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la?n» y,.,
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"S f'f <l Van "'t" tneedeh mowdtmnr
''core, dais de belles ei sp cu-uses
"IS- s. qui d'un- vc/ix échi
?e, si >u ie e»s. cn ret?
<rr. lie a i-e. 15 ism-, ou la
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