v itrauphanie A propos du coriège aux lumières. Actes olïiciels. Encore ['exposition de Beaux-Arts. Musique. Bracooiiage. hén. i autre les concurrents qui avaient trois et deux poissons. Les sociétés d'Ypres se sont toutes distin- j guées. Geiles de Warnêton et d'Ixelles ont o'ote- j nas les primes accordées au plus grand j nombre <-.t k l'éloignemeat. De l'aveu de tous, le concours s'est fait de la fa con la plus régulière. II u'y a eu qu'un regret ce mauvais temps. Après distribution des primes, M. l'Homme aux clioux déja vu, mais toujours intéressant a revoir Dans le clan des dames, s'occupantdepeinlure il importe de réserver un rang spécial a la J toujours vaillafate Mllc E. Beernaert qui soutient une reputation méritée par le tableau Soirée j d'Automne. 1 Gitons pour terminer la série féminine les envoi de Mmc Ransy-Pulseys,M1IcBastin, Breydel, Dauw, de Bourteoff, MMmcs De Weerdt, Eeker- mans, Geleeds, P. Jamar, Lambiotte, Stiénon. S Mm0 Eug. Thys, dont un charmant portrait Le d'enfant, etc., etc. l'Echevin Coiaert a retnerció les présidents M. Edg. Farasynavec son tableau En Zélan dé des sociéiés de leur concours, et le Cercle reste l'artiste sincère que tout le monde appré- Lafaugère de l'initiativequ'il avait prise. 11 a cie,cetteceuvreestforta'dmiréeetellp{emérité. I Jos. Wiilems atUre 1 allen lion avec le buste trés exprimc 1 espoir que 1 an procbain un nou- réüssi d.un bébé. Corneillc Van LeeinpuUcn vesu concours aura ueu et qu-. ternes les remporte uq vrai uccès avee son Temps Veuillêz, Me; duurs, doneer les, c o s iuen qa'eUe certifie lous nécessaires aux agents de ''autorité pour exacts. qu'ils exercent une surveillance sévère, et qu': n se conformant aux disposüi nis de far-. tide 11 de la loi sur la ebuisse, ils fjssent chezlos maróhands de comestibles, les trai- teurs, les au; erosies etc. souppoir-.és do cooirovoor aux dispupi'.ior.s de i'artic' 5 10, les recherches nécessaires, afin de yeriialïser h ctiarre des dciinquair s. Le Gouverneur, B°" RUZETTË ces détails groupe sortira satis doute l'an proehain. Notts verrons alors combien La Lulte salt se mettre.. dans l>cei.l. Je doigt sociétés présentes y prendront part. M. 1c Pi sident de la socié'.é d'Ixelles a remercié la viiie d'Ypres. II a fait Moge de rus beaux lossés et dor ié l'aséurance que la f société d'Ixelles reviendra k Ypres, une des plus belles villes du pays. II sur le bon sccuol qui a été fait aux pêpiseurs nature attireut l'attention, M. Léon Moerman I ni au sujet du banquet. Constatons plu vieux, magaifiqué étude de moutons et Frans Van Leemputten triomphe avec deux toiies qui expriruent neUement sa persoimalitó. Au catalogue ligurent deux mannes de Domain Steppe que nous avons ciiercbées en j La Lulte doiine un 'compte-rendü. absolument 'autaisistf des teles du 8 A out. Liste des éiigibles au Sónat pour Pannés 1897-1898. Arrondissement d' Ypres. MM. Berkin Féiix Boedt Jules, Breydel Georges, Ctnvtr.ci César, de Tbibault de Bv'.sr';.. Er t-si, re Tn Lu uit de fioesinghe Louis, de V inek Gaston, Donck Amand, Fluor Jules, Fraoys Ernest, Godtschalck Aüfuste, Iweins Eugèoe, Iweins d'Eeck- beu .ie Hcnri, idazexaas» de Gouthove et de 'P! Vuindansrie Saion. De Heuri Stacquet.un subtil 'dj 1 a iosisté aussi j effet de neige, de M. Smaelen deux paysages trés de 1 arrnree <le Messieurs les Mmistres Nous lie lui répondrons ni au sujet j L-'tiliru R;oul, ïMesersseman Napoléon, Mer- k la ligne tant par Fad ministration commu nale que par le Cercle Lafausère. Aiasi s'est u-rminée L lête de iu pêche qui cut été magaifiqué si le temps tie l'avsit con- trariéc. Nous'lisoos dans le jourpal la Federation artislique de Bruxelles do Disnanche dernier expose de bonnes aquarelles bien lavees; Jules j sim pietneut que La Latte regrelie que ii Montigny dansses Boeufs au paturage fait ni'niiüü H» i si son numero da Samecli i a out avail pieuve ae séneuses quuiites de dessin et se i i montre toujours aniniaiier distingue; Isidore i paru,elle auratidoutcouimesoncouj rere ji Meyers le roDuste eoloriste expose sa Rueile a j LeProgrès, mis es amis en garde et I Yt>1'?8 dui. ici, plus que panout ailleurs, a le j les aurait enqaqés de s'abstenir de toule siwes que mérite ce tableau tres exact d'aspeet j l et de rendu artistiquu; Adrien Lemayeur dans j participation. Pourquoi Parceque les clericaux Lemay I une prestigieuse marine intilulée Levée de l'ancre, garde bien cette note-spéciale qui lui e;t propre et fait de lui un de nos premiers in- terprèles de ia mer; Léon Uerbo a trois intéres- santes études qui dénolent sa grande l'aeiüté de technique et sa variété de talent; il y a en effet faire d'un compte-rendu de notie Exposition de i uue notable difiérence entre ie Beaux-Arts que nous nous empressons dé lisanf et Oriëntale. Darmi les paysagistes qui témoigneut d'un communiquer d nos lecteurs. sentiment poétique et subtil il faut citer Victor j Gilsoul et Juies Guietie, ie premier expose U n i Go in d'église de ion ratline, et le dernier I t Prés des F er mes et Soir sur iE s c a u l j delicateiiiL-nt traites; et uarmi lus pemtres de l Beurs, de Keghel garde toujours son faire inéii- j culeux, comme M. Deii' Acqua resle bien lui- i j meme dans son O neii tale M. P. de Ghestret a une toiie sincère intilulée i I out- fait dc la visite oüicieile de.s Mi- j nistres une manifestation politique La Lutie a eu tort de ne pas parai- tre ce jour ia. On auraii pu constater que iunanimité des abstentions libé- raies, prêcbées par tous ies joufuaux libéraux, n'apu mire a ia miniiesta- tions. La pluie seuie a fait du' lórt, comme nous i'avons dit nous-même. Mais parions du Lumières. gbelynek Arthur, Merghèlynck Ferdinand, j Poupart Antoipe, Rabau Emile, Surmoat dé Vo!sbergbé; ArtruK TacS Léon, Valcke I Lmtie, Var; dea Bergiie Philippe, Van Eecke I Arsèno, Vaii E slando Césaire, Van Elsiande Gb.ub'S, Véi.beuiö Louis, Van Merris Jules, l, v,; J-i. n, V..ys iacodore, Volbrecht i Louis. Par anê;é royal du 31 Mars, M. E. Froi- i dine, lugénieui' de 2e classe k Ypres, est promu au grade d Ingénieur de lre classe. Cortege Lu rnêté royal cu 10 Aoüt a sanctionné j la décision par laquelle la députation perma- i beiue jlu CuiiSeii provincial de ia Flandre j Occidentale a autorisé le sieur Jules Fran- c iomme Maiiisu, ustiiel a Wervicq, k j (;l sn cetio co nmune, sur la Lys mi- aux 11.000 mèii-'-s er aval du pont de Wervicq, un passage o'e .u particulier son La Lulte éerit osagc et celui d. ses ouvriers. Vuiei pat le m-.ru la pctiiq fête qui se j Dans la superbe salie des Halles, décor presti- gieux et beau vestige des splendeurs del'antique cité des Fiandres, la Société des Beaux-Arts a ouvert une exposition qui mérite d'ètre visilée. Mlle Louise de Hem, l'une de nos artistes beiges les plus en vue, y triomphe; etcependant ëlle est chez elle, ce qui veut dire qu'eile fait mentir le proverbe nul n'est prophéte dans son pays Son tableau Vision de S*-Cécile est un du baron F. deBeeckmuu d uue" Lcta7u" I ou libéraies qut ont eu la boméd ametie^ i morceau de précise et large pemture, affranchi suimelie et d'un cliauh colons. Mii. Üériez dans ffi6Ure eii r,l u, l0 „ül.,xa..x ,a j de toute hantise academiqueietoü la recherche souFumeur, sa Forge, ses Joueurs de I mponège aux iüimo- psycbolögique est personnalisée j usque duns yuiiies et son Save lier fan preuvè de I reS j ratlitude hiératique de la sainte. Dans le fond quahies d'hdrmonie, de soupioS3e ut d'oxécu- U KalkoU''Le Wü<>fy fm-aiait uu groap» j nos compatriotès, M. Eug. Cre._ une nuee d anges aux tons diapres, subtils, uou plus large que cede quTl emploie se üism;;.uairni surtout 15 jeunes gens moicir uxpour piano, qui-nous serablent de viennent évoluer autour de la figure de S" Cécile, généralemeni; Paul Bayart montre un Matiu coiffés de cbapeaux baut forme, formant ia- j fort bonrie alJurc. La inarche Yores for ever Marée l>as se voici trois bonnes uquareiies j pi'éparaitpour ridiCuaser ies'sociéiés nouU' es Nous iisofis dans le Carillon d'Ostende Kous avons rat;u d'un jeune compositeur too, deux la transportant dans une radieuse et célesto j félicité! Ge soudain redressement extasié de la jeune femme, son expression d'effaremont ébloui devant la splendeur de la vision est vraimenl admirable. Dans son ensemble, le tableau est d'un art et d'une vie intenses; il impose et denote chez Mlle de Hem une vivacité d'imaginatiorr bien au-dessus de la moyenne de ceile de la femme, même artiste. Nous croyous qu'eile a trouvé lk sa véritable voie. Dans un pastel A l'a teller, nous retrouvons toutes les qualités qui l'ont dés a présent classée au premier rang parmi les pastellistes. Puisque nous avons commence par pariet' d'une peintresse, conlinuons a examiner les ceuvres des autres femmes peintres. Mlle De Bièvre, dans deux tableaux de moyenne impor tance montre la souplesse de son talent. L'un Fraises, gagnerait encore si le ton en était plus net, Les Biscuits, dans une gam me plus sombre, sont traités avec art. MUo Berthe Art, un nom bien porté jusqu'ici, est moins heureuse que d'habitude dans ses trois pastels; la carte do visite de M,ie Alice Ronner Violëttes est charmante et trés fine;- un peu flou ies Vahneaux, pastel de MlleEmma Pionner, mais bien présenté; M»°M. A. Tibbaut, envoie trois pastels et deux aquarelles; les dernièrespriment par leur vigueur et le Verget en fleurs surtout est h remarquer pour sa justesse d'observation. M"'° Dutry-Tibbaut a trois paysages qui dénctent un sentiment sincère de ia nature; Mllc Boterdaele expose des fleurs intéressantes! Mme L. Dael a une Bohémienne de style cou- vetitionnel mais bien dessinée; M1Ie Rucloux fait preuve de coloris robuste, dans ses fleurs diverses; Mllc Alice Léotard est en progrès et le tableau de genre dont on a déja parlé dans ces colonnes, Flagrant délit, est trés apprécié iciMllc Marcotte expose son tableau intitulé a jN ie upon d'üii elïui souple ut juste. Enfin pour terminer cette enumeration Hop sommaire meutionuous de Léon Abry, ie Moineuu du Lesbte et d'Alphonse AsseiJjergs ie Ravin de Gowan, qux n est pas une du ses narche Ypres for ever, u. rue vémueune ils représemaient i écbvc j trtumcrite pour orchestra, sera exécutéë pro des qutnze canaidats libéraux aux elections J cbainemnjtau thé Ure dé la Scala k Ostende.» j dèrnières. Puis sulvait uu immense berceau coosiruit eu beis et en papier daus iuquel dertnères loües, pensons-nous, mats qui denote Ciö-' euueiie Utie ...raTide poupée représentant Gisocolafc De! f'cre garanti pur. sou excellente technique. le gévetgueuxu'Ypresjoutiepoupéeaclijimée 1 s A 1'eUiaI'quei' encore les envois de Dardeune, J pai- des ressorts devuU se redresser au tut et i Cassiers, Boudry, Gh. Goemuuts, Uu Vreese, t i Braeke, Duiry, Douüeiel (dessins)'Sibert, i'ilé ïnon, Vviiiacrt, Mme VooiTniau, Franz Van Lup- puii, f'oeliaert, Van tien Bussclie, Van Hovu le gothisam et d'aulrés encore exposant des ceu vres daus leur faire habitué! connu. P. R. I M. ie gouverneur Je la province I viöul cl envoy er la circulaire s ui van te t aux administrations communaies daus ia province Gust parucolièrement L ce moment de 1 untéu que ies oraoouniers oétruisent de giandes quantilés de gibier, des perdreaux liotummein, qu'ils expedient daus les grands centres de consommation oü lis en obtien- uc.-t des pnx élevés. 11 importe de sévir avec toute la rigueur de la loi contre cefte chasse et ce commerce illicit; s. Jui 1 bonneur de appeler a cette occasion aux autor.tés comaauin ;es, et teut pariicu- ltèremema celles .ies villes et dcstaubouigs. auisi qu dus stations balnéaire.-, lts j. struc- tionscoi:tenues dans la circulaire ministé- ri e du 8 Juiliet 1882. tic ia üU'i'ïproisü aiiait ciaüöer uiita itfüCic vtU'.oui' üc i auicdafé gh chaüiaiu, pa- I ït;üie saciitègc, ie de Profundis et ie Mise rere. ü'énormes buses en papier devaie.Aètre bi éus égalemeut. Nous .ct'i'tiiioiis tous ces details exacts. Vous v .-yea d ici ia tète qu'allaient takte les. libéraux invités par 1'Administration -cjm- mu.üale. Lette dvrtuère qui était au courant de cu qui ailuia se-passer, n'a-t-elle pas posé iej;h ucicux des v.rreaux. ia ua tiüite de gOiijaterie ei d'uypocrism? j 'i'Giioix varlé dó dessins. Üu liep;.:!que ia peiiie fêiö aiü laiéu; quo it pu ee. poursuivre jusqu'au dos (iiaiues li u.a roste pus moins flagrante La Lattequi pretend ètre séricuse, s est iaissé niystiiier par queique ious- tic, ou inaune en erreur pus son ima- ginution Mannent trop iéconJei Nuus sommes poits, n'est-ce-pas En ven te cbez GALLEVVAERT-DE MEU- LLNAnnE, rue uu Buurre, 3G, k Ypres LA VITIiAÜPHANIE imitation parfaite des vitraux «estiaéek fornem-intatiiui des surfaces vi- tiees uvs J utas d biver, Fenètres d'églises er d escaiiers, Vefaüdas, Lanterneaux, Serres etc. etc. S°{' Pr'x PtóU clevé pormet de supprirner p;s'.'tout ms rrdeHux'/aiosi que ie mattage si bout 1 L nitemioa üs .Employez alfment Delacre pour béués, pesuz enfant avant et après succès. Te bekomen bij CaLLEWAERT-DE ...ULfcNAERE, drukker, Boterstraat: versciiiiiige f. or ten van allerbeste La vériié est que, nuus fout ie récit Keukenboeken voor het bereiden van spijzen en confituren. ae ia consoeur, ii n y a rien de vrai, -«www «VT? p> ii iii.ölil (|Uü ik Cks» tè.^<3 v crliQiiifc, ij0 [lij i_ S üu DciCdüU ét- it ükiLii'ié tic cüifions iï.ihibés dt yêuole. A la Grand'Piace on devait utLiire iv; iU i.,U (jfCUZt tidUZt pUi6 iU iioUi' SOU v XLCULiOü li

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1897 | | pagina 2