r LA HERNIEl
C'est une iuv
divine I
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RIJË m L'ETÖlLE, 9,
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I
ITOiS.
Actes ofliciels.
CO R R ES PON DA NC
Me Iiange et le Huis-clos
Bal-Soie p. robes et Satins p-
mascarades 95 ets. iffiefaiS
Chronique Religieuse.
EXPOslilON U BBHELtiS 1897,
Wad. W£U\m PÜÜWËLS
BAUME PECTORAL
Martin t O M
5
f
4M
(Aocienae Maison H. GÊüAIiD-WATHEMEZ.)
Voiq
>r
iaroles (it
liono
elles lLtiment public
,rt Je n'entends voter ni l'un
es ordres du jour proposés
prouve
grave u
Ahmed
J'adtj
droit st
Les con
rêts de
pouvaiebi
reste les paroles <ie notre cotnporie point do de^rés, il est impérieux
Ljépnlé.'Elles aunmt pMr«»b8,lu: vous r... <i„„c .iolét™, »»ss. Comi(. d tn de
„p niiKlin giavemeut eu raconlant les incidents du 1
huis clos devant deux personnes que si vous
aviez porie vous-même l'article au journal
le Matin
Encore une fois, que pourra répondre Me
Demaoge
Nous :ie le voyons pas.
li se contentera sans doute de courber la
tête et de laisser passer 1'orage.
C'est dur k son age, et !e pauvre hoaune
nods fait vrairnent de la peine.
Ses intentions étaient si pures
A. de Boisandré.
M.C
ni l'aut
M. LW]. - Voila la protestation
M. Ci^t. - Est-ce a dire que je désap-
uvernement d'avoir pris la
re d'expulsion vis-a-vis de M.
que le gouvernement avait le
de procéder comme il l'a fait.
tious internationales et les inté-
ompatriotes établis en Turquie
lui en faire uu devoir.
Mais j'est impossible, comme chrétien,
d'approj. une telle mesure vis-a-vis d'un
hommel je considère comme honnête,
qui n'a troublé la tranquillité publique,
qui meait incapable de commettre un
crime oju délit et a qui on n'impute
d'autre tait que d'avoir défendu nos
frèresekens d'Orient dans des écrits...
que je si? capable de faire moi-même.
Trés bi a gauche.)
Voilkiotifs qui m'engageut a m'ab-
stenir |e voter ni l'un ni 1'autre ordre
du joui
Noiremarquons que, dans la
mêmence, M. Colaert a demandé
et obi; que le projet de loi De-'
M. Toms, pharmacien-chiniiste,
104, rue de la Loi, Bruxelles.
Je suis vraimei t touché du service que
vous tnavez rendu et sne guérisani de ma
bronchite et de mon mal de gorge. C'est en
vain que jSvais eu recours k tous les remè-
des et c nisulté bien des médecins; j'ai connu
voire Baume Pectoral par les cenificats de
guérison, et je ne puis assez m'en réjouir.
Je vous autorise k publier ces lignes dans
tous lesjournaux.
Votre tout dévoué
Armand Stas,
Grand'Rue, 28, Andenne.
vrieudiremans conserve le tour de Dépot .exelusif pour Ypres Pharmacia
faveure la loi sur le flamand avail Socquet-Temére, Grand'Place.
précéèient obtenn.
(dnpos de 1'affaire Zola).
Paui* Demange Ges cboses-lk n'ar-
riveni tui
Deuijes étudiants qui s'intéressent k
la causflraltre au point de distribuer
des fed e pétition en sa faveur, viennent
un beai ft trouver l'éminent avot.at. On
fait natiment un brin de causeUe un
mot attiiiutre, et. petit k petit, voilk M"
Demanj! se met k conter tout au long
les incididu procés, sans même se rap
peler qu« incidents s'étaient produits au
cours
mot qui
professii
A prés
«es k buis clos et que cbaque
lil êtait une violation du secret
il n'y avait point grand mal k
cela. lDpas d'huis clos pour les amis,
et le st( professional, pa n'existe que
pour lesnaux. Aussi, les deux jeunes
étudiants atetit pas encore au bas de l'es
ralier qiplezélé défenseur de Dreyfus
rie pensi is k ce qu'il leur avait dit.
Savea la farce que lui om jouée les
deux gai
Gei saus pitié, c'est le cas de le
dire bq0ut simplement transform^ la
conveisf'1 une interview de deux co
lonnesW^"1 publiait Lundi, première
journéePcès Zula.
M' We m est malade. L'éminent
avocat sfd "bornpie en effet mieux qu
person^ 'a gravité des indiscrétions
qu'il a c#es iadirectementil comprend
mervé'Ue Ie conseii de l'Ordre, dom
il a été nrejadis, ne peut se dispenser,
rnoiflj!^61" 'oute dignité, de lui de
mandei1 douses explications.
gt q#plicarions pourrait dormer le
zélédégFf' Dreyfus?
gansè il expiiquera qu'il ne s'atten
dail p'5
publi^8
stance t'f
que ses révélations fussern
ce n'est la qu'une circon-
èrement atlénuante, et nuile
mentu»?6-
Le rap' r ne peut manquer d'être
procba'11' nommé dans cette délicate
affaire- f1' Detnange
Le'
cat, De"
P'ofessionnel, pour un avo-
't one chose relativeil ne
A Wervicq. Une bande de mal-
faiteurs mise en fuile a coups de révolver.
Les deux préposés, de service Lundi après
midi, auhameaudeLa Basse-Flandre, avaient
remarqué les allures suspectes d'individus qui
ue cessèrent de róder, jusqu'au soir, aux en
virons de l'estaminet du Beau Séjour, tenu
par M. Brunelle- Warlop, qui est en même
temps épicier et fait un important commerce
de iabacs la maisonest oompiètement isolée
eléloignéede plusieursceniairres de mètres
de toute habitation les douaniers, quoique
séparés de Testaminet par ia Lys, se promi-
rent de faire bonne garde.
A la chute du jour, deux individus vinrent
se joindre aux trois autres, et la bande se
dirigea, avec précautioo, vers un hangar
attenant au magasin de tabac de M. üesruelie.
A onze heures et demi, celui-ci s'éveilla et
enténdit un br uit de pas dans son magasin
il descendit aussiiót armé d'un revolver et en
déchargea les coups sur ces cinq individus
qui prenaient la fuile da cóté de la Lys.
Les préposés Laguerre et son collégue,
qui étaient couchés sur leurs chaises d'etn-
buscades, se levèrent, croyant k une atta
que de fraudeurs, et virent les cinq hommes
toujours courant sur le chemin de halage. lis
disparureut ensuue par la route qui conduit
k Menin*
Les malfaiteurs ont été égalemeat aperpus
parM. Lomast, brigadier.
La por te du magasin avait été fracturée ei
des marebandises étaienf déjk empaquetées,
toutes prêtes k emporter.
/'arrondissement d'Ypres.
MM. Angillis (Emile), avocat, k Ypres
Cappoen (Fidéle), charpentier, k Lange-
marek
De Leersnyder (Ivo), ancien entrepre
neur, k Ypres
De Saegher (Louis), agent d'affaires
k Ypres
Ivveins d'Eeckhontte (Henri), proprié
taire, k Ypres.
que Heïi*ie*>er£t--S5oïe noire, blanche et
couleur, a partir de 95 ets. jusqu'a fr. 28.50 le
mètre en uni, rayé, quadrilJé, fagonnó. Damas
etc. (env. 240 qual. et 2000 nuances et dessins
diff.JJ franco de port et de douane d, domicile.
Echantillons par retour.
G.Henneberg, Fabrique deSoie(fourn. I. It.(Zurich.
D'un exploit fait par Fhuissier
Emile Noliet a Ypres le 5 Février
1898 enregistré, il appert: que
l'Etat Beige, agissant |)Our la 80
ciété deschemiris de fer vicinaux
(lont le siégeost a Bruxelles, re-
préseniée par Monsieur de Burlet,
directeur général, ayant pour
avoué Maitre K n Colaert a
Ypres,a fait assignor: 1* Monsieur
le Baron Arthur Surmont de Vols-
berghe, bourgmesire a Ypres.
2° Madame Marie Surmont de
Volsberghe. 3° Son époux Mon
sieur Albéric de Pierpont a Na-
mèche. 4° Mademoiselle Madelei
ne Surmont de Volsberghe a
Ypres. 5° Mademoiselle Jeanne
Surmont de Volsberghe 1 Ypres,
a comparaitre devant Ie tribunal
civil a Ypres, a l'audience du 28
Février 4898 a 10 heures du ma-
tin, aux fins de voir procéder au
règlement des indemnités du
chef de i'emprisede 05ares54
centiaros de terre situé a Voor-
mezeele, faisant partie savoir 06
centiarësdu n" 427b, 51 centi-
ares du n° 127', 04 ares 83 ceeti-
ares du o° 429d et 44 centiares
du n* 313a de la section A du ca
dastre de Voormezeele, en vue
de rétablissernent du chemin de
fer vicinal d'Ypres-Neuve-Eglise.
Sur le même exploit, il a éié
donné information aux cités.que
l'arrèié royal et le plan indicatif
des travaux et des parcelles a
expropier ont été déposés au
greffe du dit tribunal.
L'avoué
Colaert.
BURGERSTAND VAN YPER.
Van don 4" tot den lln Februari 1898.
Mannelijk gesiaebt 3. Vrouwelijk. 6.
Delangbe Gustaaf, kleermaker en Jacob Leo-
poldine, naaister.
Sterfgevallen.
Rosé Melanie, 84jaar, zonder beroep, echtge
nootevan Verbaeghe iMartinuS, Meenenstraat
Flamant Clemence, 77 jaar, zonder beroep
eebtgenoote van Buseyne Henri, Hondstraat
Leun Karei, 74 jaar, landbouwwerkman
echtgenoot van Oogbe Amelie, Lange Thourout
straat. Roosebeke Blondine, 60 jaar, kanten»
werkster,echtgenoote van Odent Louis,Beesten
markt. Kerrinckx Louis, 49 jaar, metser,
weduwaar van Tangbe Marie, Meenenstraat.
Theirssen Marie, 77 jaar, zonder beroep, wedu
we vanvCollet Amand, Rijselstraat.
Kinders beneden de 7 jaar.
Mannelijk geslacht 0 Vrouwelijk 0
Prière de quarante heures a
l'église St-Pierre.
Dimanche 13 Février grand'messe k 10
heures. Vêpres, salut, sermon, procession k
4 4/2 heures. Luudi 14 et Mardi 45 Grand'
messe k 9 heures, salut k 5 1/2 heures.
Thoux Inflïienza II est próu
vé par l'expérience qu'il n'y a qu'un remède
vrairnent efiicace. Aucun thoux, aucun rhurn
ne lui résiste. Ce remède merveilleux est
nomuté partout le sirop DE PRATERE.
Prenez dunc du sirop De Pratere contre ie
thoux. Prix 2 fr. la bouteille. Refusez les
ctmirefacons.Eu vente cbez les pharmaciens:
Gbyssaert k Dixmude, Veys k Roulers et
Socquet k Ypres.
Pour eviter töute erreur le dentists
Maurice üieïei* 0 Gou o, 1' ou
neur d'informer sa nombreuse clientèle ai
que les pers nines qui auraietu i'int mtien d
venir le consujter, qu'il y uu nouv. au r u-
Lste portant le même nom et avec lequel il
n'a aucune relation comioerciale, qu: vi
k Ypres k deux maisojts de sa d neure. 11
les pi ie de bien s'informer s'ils sont cbez
i'ancien dentiste MAURICE MEIER de
Gourtrai, qui est k consultor k Ypres depuis
tfans, chez Mme V'e VANKEMMEL, Grand'
Place 5 (maison fermée) les Lundi, Jeudi et,
Samedi de 9 k 4 h. II n'a ni fiére, ni fils, m
narent chargé de représpnter sa maison. 38
Diplome d'Honnèur
k l'ancienne et honorable maison
L. LaFOURGADE, de Bordeaux
ayant déjh obtenu les premières recompen
ses en Belgique oü elle est favorablemenl
connue. La Maison aceepterait un He
présentant offrant de sérieuses réfé-
rences. Eenre rue Fondandège 153-155 a
Bordeaux.
POfSSON NE RIE
J'ai 1'honiieur de vous infor
mer que depuis ce jour, moisde
Février, j'ai de belles huitres
d'Ostende a 1 fr. la douzaine,
royale a 1,20 fr. la douz., huitres
Impériales a 1,50 fr. la douz., et
belles huitres Zélande al,75fr.
la douzaine.
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tróler I'exactitude, que le
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et un pot d'onguenl pour friet
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Dépöt général A l'Institut Mi
Toms, rue de la Loi, 104 (ci-d
avenue des Arts, Bruxelles).
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