ghrokiquTlocale
Extrait
A Furnes et a Vinchem
Les dépenses du
Boulevard Malou
L'exposition de
chrysanthèmes
Garde Civique
Exportation de porcs et lapins
ment en propose la ratification anx
Ghambres, celles-ci s empresseront, a
leur tour, a donner satisfaction it nos
amis brugeois.
Le Progrès donne des détails au sujet 'les
deux manifestations libérales.
Trois cent libéraux Yprois y ont pris part
Eh bien.cela n'est pas. Les libéraux Ypiois
les chefs surtout ont brillé par leur
absence, comme les notables de Furnes.
II y avait avec les musiciens des anciens
pompiers quelques jouvenceaux, notamment
M. Mesure, escortant les membres de la com
mission.
Les libéraux sensés ont cru qu'il ne tallait
pas exalter le martyr Den Dullen, qui n'n
d'autre mérite h leurs yeux, comme aux nó
tres, que d'être un débiteur récalcitrant.
La manifestation de Vinchem n'a pas
d'autre signification que celle-li. Si c'est par
de pareils procédés qu'il faut relever le libé
ralisme dans les Flandres,le libéralisme res
tera longtemps encore it l'état de.cadavre.
Geux qui ont vu la manifestation et en
parient sans parti-pris, attestent que c'a été
un fiasco complet.
De Strijd feint de croire, se basant sur
une bypothèse du Nieuwsblad,qua les travaux
du Boulevard Malou ont coüté h la ville quel-
que chose comme 70,000 francs.
La vérité est que depuis 1887 jusqu'en
1894, la dépense totale a été de 93,936 fr.
acquisitions de terrains, expropriation, tra
vaux etc., etc.
Les dépenses faites de 1887 ft 1891 l'ont
été par l'ancienne administration.
Les dépenses suivantes ont été faites par
l'administration actuelle
1892, rue des Veaux, nivellement bastion
etc. 2089,31
1893, entreprise Bataille,aménage-
ment terrain, percement rue
au beurre, continuation bou
levard, égout 5609,99
1894, acquisition immeubles 9225,68
Etablissement de l'eau 4432,74
Achat réverbères, éclairage 465.00
1897, Rechargement 6000,00
Le calcul est facile, De Strijd voudrait
faire croire que le rechargement a coüté
lui seul 6000 francs.
11 ne dit pas il l'ignore peut être que
la ville a vendu déjft pour plus de 29,000
francs de terrain.
De Strijd est il satisfait?
et plantes ornementales
que sera organisée par la société ri'horticulture
de arrondissement d Ypres, les 6, 7 et 8
Novembre prochain aux «Halles de la Ville»
«Grand Marché au Beurre» présentera cette
année un caractère lout différent de celui des
années antérieures. Outre que,dés présent
déjft, la société en question est assurée de la
participation d'un bon nombre de chrysan-
thèmisles distingués, l'exposition sera encore
rebaussée par un Match, fameux, conclu il y
a quelques temps entre deux cultivateurs
yprois, l'un amateur, l'autre horticulteur.
Les concurrents auront chacun présen
ter le 6 Novembre prochain
1° 25 plantes de bonne culture
2° 50 fleurs coupées variées.
L'enjeu a été fixé ft une somme assez im
portante... plus l'honneur... Quant aux pro
cédés de cultures,ils ont été laissés it l'appré-
ciation de chacun.
D'après ce qu'on nous a assuré, les cultu
res étant arrivées au point de s'égaliser
les Matcheurs soupirent avec impatience
après le moment voulu de se mesurer sur le
terrain de la lutte.
En attendant les résuliats, nous ne pou-
vons que féliciter les deux adversaires de
leur initiative. Nul doute d'ailleurs que
leur exemple stimulera,encore davantage, le
goüt des amateurs pour ces beautés automna-
les.
Le Général Major. Commandant supérieur
intérinaire de la Garde Civique des deux
Flandres,porte la connaissance des intéres
sés que la commission d'examen. insiituée
par arrêté royal du 20 Mai 1898 pour Fob -
tention du diplome d'aspirant officier pour
les divers corps de la Garde Civique, se réu-
nira ft Gand, chef lieu de la circonscription,
les 14 et 16 Novembre prochain a 14 beures
dans la salie des séances de l'Etat Major de
la Garde Civique (Hotel de ville, entrée par
la rue Haut Port).
Les candidats sont priés de se prés. nter
devant la commission aux jour et l.eure
indiqués.
Programme d'examen voir Moniteur
du 25 Novembre 1897, n° 329 arrêté
royal du 28 Octobre 1897.
Pour tous renseignements, s'adresser ft
partir du Jeudi 3 Novembre prochain a M.
ie Capitaine Teirlinek, secrétaire de la com
mission d'examen, au bureau de l'Etat Major
de la Garde Civique de Gand, (Hotel de
Ville,entrée par la rue Haut Port) les Mar dis,
Jeudis et Samedis de 11 ft 12 heures.
(Communiqué)
Nos lecte«rs campagnards liront avec
intérêt le compte-rendu de l'inauguration ft
Bruges, de la société Mercuriuspour
l'exportation de porcs et lapins, compte-
rendu que nous empruntons h la Patrie.
Voir aux annonces les Grands Magasins
du Printemps, Paiis.
LES MÉDECINS L'ORDONNENT
Parjugement du Tribunal de pre
mière instance d'Ypres, siégeant en
matière commerciale, e 1 date du 28
Octobre 1898, le sieur Missy Louis
Joseph, négociant a Zuydschote, est
declare en état de faillite.
M. le Juge Octave, Barou de Négri
est nommé Juge-Gommissaire et Me
Juste Gourouble, Avocat-Avoué, a
Ypres, Curateur.
Les créanciers sont priés de faire
leurs déclaralions de créance au Greffe
du susdit Tribunal avaut le f6 No
vembre prochain. La cloture dn pro-
cès-verbal de vérification des créances
est fixée au Vendredi 2 DécembrEj a
9 heures du matiu et ies débats sur
les contestations a nait.re de cette vé
rification, au 16 Décembre, a 10 heu
res du matin en l'auditoire du dit
Tribunal, Place du Palais de Justice,
a Ypres.
Pour extrait conforme
Le Curateur,
h- GOUROUBLE.
On ne ccsse de le redire l'industrie doit cher-
cher des débouchésü l'étranger, notre production
dépassant de loin les nécessités nationales. Le
Roi pousse le pays dans cette voie.
Cette vérité, incontestable, nous parait-il,
s'applique aussi bien aux produits manufactures
qu'aux produits de notre agriculture, qui est la
première de nos industries. Ce n'est pas, non
plus d'aujourd'hui que le Souverain l'a procla-
mé. II a même spécifié, dans une circonstance
mémorable. Les Flandres, déclarait Sa Majesté,
doivent devenir le jardin potager de Londres.
Mercurius, société anonyme pour l'exporta
tion de porcs el lapins, mais dont les opérations
sontsusceptibles d'extension graduelle, n'a pas
d'autre objcctif. La cérémonie qui a réuni hier
un grand nombre de notabilités du monde agri-
cole, administratif et financier, a f'ourni la preuve
palpable que les efforts tentés dans ce sens peu-
vent aboutir a des résultats fructueux. II suflit,
pourcela, de rencontrer des hommes d'action
et de dévouement- Le Mercurius et ses clients
heureux, out eu cette chance.
Hier done, le conseil d'administration du Mer
curius avait convié de nombreux invités a assis-
ter a l'inauguration ofllcielle de son abattoir
provisoire, établi dans les anciennes étables de
M. Verstraete, modifiés et appropriés sous la
direction M. l'architecte Charles De Wulf', di
recteur de des travaux de la ville. A 9 1/2 on s'est
réuni a la rotonde de la salie des Concerts. Ci-
tons quelques notabilités rencontróes la. Et d'a-
bord, honDeur aux étrangers, parmi lesquels
nous distinguons MM. de Kerckhove d'Oussel-
ghem, sénateur; Maenhout, représentant de
Gand Cartuy veis, inspecteur général de l'agri-
cultureGarnier, directeur commercial au mi
nistère des chemins de fer; Vernieuwe, direc
teur au ministère de l'agricultureStubbe, ins
pecteur, id.; DeVuyst, inspecteur-adjoint, id.;
Itolin, directeur de la section agricole du musée
commercial; baron della Faille d'Huysse, con-
seiller provincial de la Flandre oriëntaleet
Waller-Van Marcken, directeur de la Neder-
landsche gist en spiritusfabriek de Delft.
Parmi les autorités locales et provinciales,
nous notons MM. le baron Ruzette, gouverneur
de la province Verhaeghe et Cauwe, dóputés
permanents le comte Am. Visart de Bocarmó,
bourgmestre et représentantvan Ockerhout,
sénateurB.onse et De Clercq, óchevins et re-
présentants; Otto de Mentock, président d<? la
commission provinciale ü'agricultureG. Van
Nieuwenbuyse, président de la Compagnie des
installations maritimesde Bruges; Verougstraete,
greffler provincialbaron van der Gracht d'Ee-
ghem, commissaire d'arrondissement a Thielt
chevalier Et. de Vrière, conseiller provincial,
président du Landbouwersbond; chevalier Emm.
van Outryve d'Ydewalle, conseiller provincial
E. Jooris, ancien commissaire d'arrondissement;
baron J vanCaloen de Basseghem, membre de
la commission des hospices civils de Bruges
Limbourg, inspecteur vétérinaireEsquinet,
vétérinaire provincialCh. DeWulf, directeur
des travaux de la ville.
A 10 h., une longe file de voitures a conduit
les invités au Rempart du Bassin, oü est installé
l'abattoir frigorifique de la société. Le voisinage
avait voulu s'associer a la solennité. Toutes les
maisons avaient arboré le drapean et au rempart
des poteaux chargés de trophées de drapeaux
nationaux, avaient été plantés, reliés entr'eux
par des draperies tricolores. Un are de triomphe
avait même été dressé, avec une inscription
rendant hommage aux amis de l'agriculture et
particulièrement au baron Peers, l'agronome
émérite, président du conseil d'administration
de Mercurius.
Disons, immédiatement, que la société a tiré
un excellent parti du terrain et des locaux mis a
sa disposition.
En entrant, on trouve le bureau de la direc
tion puis les boxes oh sont déchargós les porcs.
On ouvre la grille. Les intéressants quadrupêdes
s'engagent dans un couloireest la guillotine
des porcs. Une cbaine prend les patients a la
patte. Les voila pendus, la tête en bas. Un a un
ils glissent, ainsi suspendus, Sur une tige en fer,
qui fait le tour de tous les locaux. Un coup de
l'abattour la cariotide est coupée, Du sang
C'est la fin de la vie animale et le commence
ment des opérations préparatoires a la cousom-
mation par les humains.
Le porc égorgé, mais proprement, tourne un
rond point. Le voila plongé dans un bain d'eau
froide. Ua tour de robinetun courant de vapeur
agite et réchauffe l'eau. Après un séjour de quel
ques minutes, le pore, la malheureuse victims,
en sort, la peau est d'une blancheur immaculée,
que le trépassé n'a pas connue pendant sa vie.
En même temps, toutes les chairs sont devenues
d'une malléabilité, d'une mollesse trés grandes.
Une équipe de raseurs. si l'on préfère nous
dirons des barbiers de porcs exécutés s'en
empare. Avec des ratissoires recourbées et plei
nes, ils enlèvent les poils des patients. La toi
lette est achevée en peu de temps.
La promenade le long de la tige de fer conti
nue. Un bourreau de cadavre attend ladépouille
opime. Un large coup de couteau ouvre le ven
tre. Le superflu en tombe. Trois, quatre coups
supplémentaires et la carcasse est d'une pro-
preté ravissante L'aspect d'ensemble de l'ani-
mal qu'on dit immonde est appétissante. Mais
aussi sa toilette est achevée.
Lecourroie entraine le trépassé enseveli dans
une pièce avoisinantec'est le sêchoir oü les
porcs tuós sont rangés en longues filles. C'est la
qu'ils attendent le permis d'inhumation dans
les estomacs des Londonniens, car, il est utile
de le noter, Mercurius ne travaille que pour
l'exportation anglaise. M. Van de Lanotte, méde-
cin vétérinaire,directeur de l'abattoir communal,
délivrece visa, en opposant surl'animal lesceau
requis.
Maintenant nous arrivons a la dernière station.
La file des porcs glisse, glisse et s'arrête dans les
chambres frigorifiques, oü, en peu de temps, les
patients prennent une raideur absolue. Delails
s'acheminent vers la salie d'emballage et sor-
tent par une porte qui donne sur la station du
bassin, oü les attend le wagon qui va les con-
duire a Ostende, d'oü ils seront expéüiés sur
Londres.
Voila, rapidement résumées, les différentes
opérations auxquelles hier.en compagnie d'élite,
nous avons assisté. Qui vent en savoir plus long,
s'approprie les termes techniques de ces diffé
rents stades; qui, surtout, désire se rendre un
compte exact et véridique de l'influence que pa-
reille installation et le trafic qu'il occasionne,
peuveut excercer sur une branche importante
de l'agriculture n'a qu'a lire la trés intéressante
et trés instructive brochure qui a été distribuée
a tous les visiteurs. Elle a pour auteur M.Gérard
Vlietinck.administrateur délégué.Nous en avons
entendu vanter, par les trés compétentes per
sennes qui nous entouraient, la sérieusc valeur.
Peut-être que nous y reviendrons un jour, car
c'est le devoir de la presse d'encourager de si
belles innovations. L,agriculture, surtout, de-
mande des actes. En voila, et des meilleurs,
puisqu'ils sont le fruit de l'initiative privée.
Les différentes administrations publiques ont
le devoir de seconder ces efforts. Elles ne l'ont
pas oublié. Voilé ce qui, excellement, a été dit a
1 agréable réunion de la Salie des Concerts, qui
aelöturé cette instructive excursion.
Mercurius avait convié ses invités a un lunch
servi dans notre coquette salie des fê es Une
longue table, ornée de fleurs et de guirlandes,
avait été dresséeau milieu. Menu copieux, vins
de bonne marque, service irréprochablo. M.
Carpentier, du Grand Café, depuis les panta-
gruétiques assemblées de Bruges-port de mer et
du Congrès de navigation, s'est fait une spécia
lité de ce genre d'entreprise. II y réussit parfai-
tement. N'oublions pas de donner une mention
an menu lui même, oeuvre symbolique trés ex
pressive déssinée par MM. De Haene, litogra-
phes.
Les toasts ont élé nombreux. Ils seraientdignes
detre rapportés en détail. Malheurc-usement
ponr nos lecteurs mais non pour nous qui
pouvons ainsi déserter une partie de notre tache
en mvoquant trés sérieusement un cas de force
majeure, l'acconstique de la salie ne nous a
pas permis de les noter même dans leurs lignes
principales.
Disons done seulement que M. le baron Peers a
remercie tous ceux qui out collaboré a l'oeuvre
entreprise il a bu a M. le ministre de l'agricultu
re, qu un deuil de familie a tenu éloignè de cet-
d M.' le gouverneur, aux administra-
fr at j S0Clété, a M. Van Marken, le chef de
la ijeaerlandsche Gisten Spiritusfabriek, qui
a céde les locaux nécessaire^ 4
gouverneur baron Ruzette a fait l'óloge
Ce» de M-le baron Peers.
M. Van Marcken s'y est associé.
M. Lartuy veis, directeur général de l'agricul-
n/rt'nnn 11 egretsdesoncbefde n'avoir pu
r^ercuriMleanuiti\Pt0rter ses encouragements
a mercurius, qui sait pouvoir compter sur sou
concours. Les autres départements ministériels
ne sont pas moins favorablement disposés M
Cartuyvels en trouve la preuve dans laprósence
de plusieurs de leurs plus éminents fonction-
naires. L'honorable directeur général démontre
ensuite par des chiffres l'importance de l'expor
tation des produits agricoles sur Londres et
signale la partdéjé importante que Mercurius
peut revendiquer dans le chiffro total des affai
res de cette nature. II l'engage persévérer
dans ses vaillants efforts et insiste pour qua
tous les amis éclairés de l'agriculture dirigent,
dans la mesure du possible, leurs efforts dans
le sens de la eonquête de l'immense débcuché
qu'est Londres.
M. Van Besien, au nom des cultivateurs du
Nord de Bruges, remercie M. le baron Peers et
ses amis des services rendus l'agriculture.
M. Stevens, se faisant l'interprête des action-
naires, met a l'ordre du jour M. G. Vlietinck,
administrateur délégué, qui a été la cheville
ouvrière de l'entreprisel'orateur lui associé
M. l'architecte DeWulf qui a su tirer si bon
profit des moyens mis a sa disposition.
M. le baron' Peers, reprenant la parole, tient
ne pas oublier le directeur de la société, le si
compétent M. Claeyssens Sierens.
Enfin, l'honorable président porte un toast a la
presse, ce qui lui vaut un droii de réponse -
M. G Vlietinck, qui en profite pour remercier
l'administration communale de Bruges, celle-ci
ayant trés utilement secondé le Mercurius nais-
sant.
M. Ronse l'en remercie a son tour
Vers 2 h. la séance est levée sur de trés méri-
tées et reitórées féheitations adressóes aux
auteurs de l'oeuvre, qui,espérons-le, ne fera que
grandir et embellir pour le plus grand bien de
l'agriculture.
Personne ne connait mieux que la mère
ou la nourrice les difficultés et les ennuis
d'élever un bébé maladif.
Nous n'avons pas a leur apprendre les
nombreux symptdmes a coniDattre, tels
que derangements des organes de diges
tion, action irrégulière intestinale, ma
laise général qui fait que l'enfant pleure
constamment et devient une perpetuelle
preoccupation pour les parents.
Si vous demandez a un Médecin ce
quel'Emulsion
Scott peut faire
pourun enfant
maladif,il vous
répondra tom
jours quecette
préparationde
premier ordre
fera plus que
toute autre
chose pour
vaincre la di
gestion péni
ble, assure»
une saine nu
trition et ame-
ner le complet
Ciiurluuo t.k tuut. rétablissermnt.
Dans le cas présenté ci-dessous, vous
trouverez une preuve concluante de ce
que l'Emulsion Scott peut faire pour les
bébés, et vous remarquerez que cette pré-
paration fut préconisée par plusieurs
Médecins consultés en cette occasion.
Levallois-Perret (Seine), le 20 juin 1897
Monsieur, je me fats un devoir de vous
Informer des résultats que j'ai obtenus
par l emploi de l'Emulsion scott.
Mon enfant que j'avais mise en nour
rice y était si mal solgnée que Je dus
l'en retirer, déj& trop tarci. Iiélas! car elle
était dans un état de faiblesse qui nous
lnquiétait vivement. Plusieurs Médecins
consultés déclarérent qu'une alimenta
tion reconstltuanle était seuie capable
de la sauver, et l'Emulsion scott fut
ordonnée, alternée avec du bon lalt.
Ma nilette qui refusal!, ou vomlssait
fréquomment ie peu d'allments, lalt,
bouillon et oeufs que nous voulions lui
faire prendre, était gourmande de votre
preparationqu'elledigérati toujonrssans
la moindre difflculté; nous lui en don
names done trés réguilèrement et je puis
dire que ce n'est qu'aux bienfaisants
effets de votre merveilleuse preparation
que nous devons la vie de notre clière
enl'ant dont j'ai le plalsir de vousadres-
ser la pbotograpbie.
En vous autorisant a publier la pré
sente, je vous prte d'agréer, etc.
M. Le cóme, 61, rue de cormeille.