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Le marqaage du bétail
Cha bre des représentants
.4 propos (Tune nomination
f 1
plas les épouvantables épidémies, les famines
d'autrefois.
La durée moyenne de la vie s'esl allongée.On
vit plus longtempset mieux qu'il y a un siècle.
Mais a eóté des iléaux anciens, il y en a un nou
veau. L'ivressea étéde tous les temps. Ce qui
est relativement nouveau, c'est l'alcoolisme. 11
n'y a guèrequ'un siècle que ce fléau existe, un
demi siècle qu'il a montré tout ce qu'il renferme
dans son sein de force et d'horreur.
L'alcool est essentiellement homicide. Sur
120,000 cas constatés en Belgique chaque annee,
20,000 sont dus k l'alcool.
L'alcool raccourcit l'existence.
Les sociétés anglaises d'assurance pour la vie
estiment que la diminution moyenne de la vie
des aleooliques est de 10 ans.
Chez tous, d'ailleurs, l'alcool s'attaque aux
sources même de l'être qui est frappé par ce
poison dans la génération actuelle, dans les
générations k venir, et cette dégénérescence va
toujours en s'accentuant. C'est ce qui amène
15 p. c. des consents k être réformés en Bel
gique eomme impropres au service.
L'alcool est aussi un poison social, il tue l'in-
telligence, le goüt, l'habitude du travail.
La science a démontré que l'alcool n'apporte
aucune compensation a nos maux. 11 ne nourrit
pas, ne réchauffe pas, ne réconforte pas. Plus
de deux cents expériences ont démontré que
l'homme qui ne boit pas fournit plus de travail
que celui qui a l'habitude de boire. L'on con-
nait certains grands exemples Stanley, avant
d'entreprendre son gigantesque voyage k tra
vers le continent rioir, avait exigé de ses com
pagnons l'abstinence compléte d'alcool.
En Suisse, el vous savez si l'on buvait jadis
dans ce pays, les participants des grands con
cours de tir s'abstiennent d'alcool pendant plu-
sieurs semainës avant les épreuves. Les maux
de l'alcool sontconnus et incontestables, comme
"Windhorst le disait. 11 faudrait pouvoir pros-
crire le genièvre, en face de semblable flóaux,
les demi-mesures ne suffisent pas. Si, en Bel
gique, on pouvait renoncer au genièvre, toute
familie ouvrière pourruit acquérir sa maison.
Les dépots de mendicité se videraient comme
par enchantement et la misère serait réduite
dans de notables proportions.
La suppression est peut-être actuellement
impossible, mais ne laissons pas chömer la
propagande antialcooiique qui est la raison
d'être de cette société,
On a dit souvent que nous occupions, rela
tivement aux aulres peuples, la place la plus
facheuse dans l'échelle de la consommalion de
l'alcool. Cette allégation est exagérée et tient
k un défaut bizarre mais commun chez nous.
Ailleurs, on est chauvin en Belgique, il
semble que l'exercice le plus agréable auquel
on puisse se livrer soit de dire du mal de soi-
même. Jamais a l'étrunger je n'ai entendu dire
autaut de mal des Beiges qu'on en dit en Bel
gique. (Rires). Les chüïres vrais, c'est que, au
plus mauvais moment, en 1892, nous avons
en Belgique consommé 9 1/2 litres d'alcool k
50 degrés, par tête d'habitant. Cette moyenne
est formidable, mais eile n'est pas exception-
nelle.
L'Allemagne arrive a 11 litresles Pays-Bas h
9; la France a 8.64. Done il n'est pas exact, je
tiens a le ridire pour l'honneur du pays, que
nous ayons une situation exceptioundlement
mauvaise.
En 1892, l'Angleterre n'avait qu'une consom-
mation de 5 litres 42; les Etats-Unis, 5 litres 02.
Voila la comparaison des chifl'res d'autrefois,
et j'ai le vif plaisir de vous annoncer qu'il y
a amélioration. L'année 1898 marque le point
de départ dans la ,décroissance de la consom-
mation de 1'alcool. Les derniers chil'fres parve
nus au ministère des finances indiquent que la
moyenne de l'année sera de 8 litres seulement.
Quant au nonabre des débits les chiffres ne
sont pas toujours exactement donnés. En
1889 le recensement que je faisais faire a l'oc-
casion de la création du fonds spécial des com
munes lors de l'établissemeiit du droit de li
cence, constatait l'existence de -185,036 débits
d'alcool indépendamment de 6,080 débits de
bière.
Ces chiffres étaient d'autant plus épouvanta-
bles qu'ils aceusaient un progrès rapide et
constant; en 1870 y avail 100,000 débits seu
lement. Leur chiffre avait done pre»que doublé
en 19 ans.
Chaque année, on en voyait éclore 4 a 5,000
et dans certaines communes, les pères de fa
milie eroyaient rempir un devoir en pendant
au-dessus de la porie le rameau de genevrier
qui annoncait leur fiile a marier. (Hires pro-
Iongés.) ll'élait temps d'aviser.
La commission du travail réclamait une ré-
duction de débits et k la fin de 1897 le chiffre
desdébits est tombé grkce au droit de licence,
a 139,225. C'est done une erreur fkcheuse de
soutenir qu'il n'y a pas amélioration. J'ai d'ail-
leui'a a ce sujet k douner un cerlilicat debonne
conduite k ia province de Liège En 1889 elle
avail 21,600 debits pour 754,000 ames, en,1897,
ei ie n'eua plus que 16,302 pour 827,000 kmes.
C'est done un débit pour 50 habitants, c'est
énorme, mais c'est relativement trés bien.
(Hires.)
En France, il y a un débit pour 71 habitants;
dans le» Pays-Bas, un pour 175 en Allemagne,
un pour 225 en Norwège eutin, un pour 7,812
habitants, etil arrive la-bas, k ceux qui n'ont
pas oublié l'alcool, de devoir faire dix lieues
pour s'en procurer le -plaisir. En Belgique
done, la situation est mauvaise.
Les chiffres officials du prix des consorn-
mations sont encore différents de ceux que l'on
a l'habitude de citer. Nous consommons en
Belgique pour 150 millions de genièvre par an;
si l'on ajoute a ces chiffres ceux de la consom-
mation de la bière, nous arrivons k une dépen-
se annuelle de450 millions, chiftre plus formi
dable que celui de tous les budgets de 1'El.at,
plus élevé que tout ce que nous dépensons pour
la défense nationale, 1'enseignement, etc. Et
vous savez quels sont les corollaires de ces
chiffres.
Avec la marée montante de l'alcool, nous
voyons augment'er la folie, se mu tipiier les
suicides, grandir la criminalité. La majeure
partie des pensionnaires de nos maisons d'alié-
nés se compose d'alcoolisés, les suicides ont
triplé et la Belgique, le pays le plus productif
du monde, compte encore 1/6 de sa popula
tion qui parfois doit recourir a la charité pu-
blique ou privée.
Le mal est done énorme. L'alcool entrave
tout progrès, toiites améliorations. 1! corn pro-
met toutes les oeuvres sociales. Qu'importe
l'amour de ia familie, la sainte solidarité, les
progrès de nos industries, les commaudes de
l'étranger, la hausse des salaires, si la liste ci
vile de monseigneur le genièvre ne cesse de
croitre. Vous voyez combien est grand l'intérêt
de votre croisade, j'ai pleineconfiauce d'ailleurs
dans son succès.
11 y a 20 ans, on ne serail pas venu k une
réunion comme celle-cion en aurait ri. Main-
tenant l'homme comprend ce qu'il a a redou-
ter de l'alcool pour lui et pour sa race.
A la guerre, rien ne réussit mieux que de
montrer le succès, d'indiquer aux soldats que
l'ennemi lache ses positions avancées.
Voyons oü nous en sommes. En Angleterre,
il y a 4 millions et demi d'abstinents. En 1897,
la première société d'abstinence fondée en Bel
gique fut accueillie par des sarcasmes.
Depuis lors, la Ligue patriotique du Bien-
Etre Social a été créée el prospëre. L'orateur
insiste sur les points dèja acquis, sur les pro
grès inouïs dusa la propagande du Bien-Etre
Social. II semble d'ailleurs que l'union des
partis, si difficile a réaliser sur d'autres ter
rains, soit a la veille de se faire.
L'épiscopat beige tout entier encourage la
propagande et notamment l'éminent prélat qui
nous fait l'honneur de présider cette séance.
11 y a quelque temps la ligue démocratique
et la fédération des associations conservatrices
prenaient des mesures contre l'aieool. Deux
groupes, qui ne devraient en former qu'un,
votaient, des dispositions en faveur de la lutte
contre l'alcoolisme. Les socialistes vienuent.
aussi de commencer une campagne et le gou
vernement a donné k cette croisade un con
cours sérieux et effieace.
L'orateur passé en revue les mesures prises
dans certaines provinces et certaines com
munes.
Tout cela doit vous encourager. Les moeurs
s'améliorent. D'autre part les progrès de l'épar-
gne et de la mutualité se développent merveil-
ieusement. Toute cela démontré le progrès des
moeurs, tant valent les moeurs, tant vaut la
législation.
M. Beernaert fait l'éloge de la loi sur l'ivres-
se publique de 1897.11 en fait ressortir les dis
positions utiles trop peu counues et qui ont
déja amené la suppression de bien des abus.
Profitons du progrès actuel des moeurs pour
légiférerk nouveau. Que faut-il faire? Augmen-
ter les droits d'accise? Heiever le prix du petit
verre? Edicter la prohibitionabsolue de ce que
l'ondébite sousle riom d'absinthe? Ce n'est
guèrele lieu de discuter tout cela, mais le mo
ment est venu pour le législateur de faire son
devoir.
Les femmes ont aussi leur place dans la lut
te. Qu'elles convertissent leurs maris et leurs
enfants.
Mon excellent ami, M. Lejeune, a saisi le
Senat d'un projet basé sur le maintien des si
tuations acquises avec la limitation des cabarets
proportionnelle.mentau nombre des habitants.
11 demande aussi, dit-on, que la police des ca
barets soit cbnflée au gouvernement. Ilsuffirait
peut-être d'etendre les attributions de la
gendarmerie. II veut enfin introduire Faction
populaire et ici je suis ubsolument d'accord
avec lui. Pour guérir la société, entreprenons
dubordia lutte contre nous-mémes. C'est la
le devoir des classes supérieures.
Les femmes ont aussi leur place dans la lut-
te. Vous le savez mieux que noes, mesdames,
car vous ne buvez pas ou vous buvez moins.
(Rires). Depuis Salomon,je croix ce que femme
veut, Dieu le veut. Convertissez done vos maris
et vos enfants.
M. Beernaert recommande aussi la construc
tion des maisons ouvrières. Fournir un logis
confortable a l'ouvrier, c'est faire la plus rude
concurrence au cabaret.
L'orateur pssse en reveu l'état de la lutte
anti-alcoolique dans les autre pays afin d'y
trouver des encouragements et quelque sujet
d'imitation.
Quant au monopole d'alcool, l'honorable
président del la Chambre n'eu veut pas. Boi-
rait-on moins paree que i'Etat vendrait l'aieool
Je suis surtout hostile k cette mesure pour des
raisons de haute moralitë. Est il possible que
fEtat veilde d'uue main ce qu'il combat de
l'autre Je suis effrayé de voir encore s'au"-
menter celintérêl a ce qu'on boive.
L'orateur parieen terminaal du romdc La
qui doit avant lout se préoccuper nu respect
du droit, du développrmcnt des moeurs. La
politique, a dit Bossuet, c'est la morale apph-
auée au gouvernement des hom nies o ui
c'est la morale; voilk ponrquoi 1 Ltat ne doit
pas se faire débitant de boisson, 111 proteger
lesjeux.
L'orateur renouveile ses encouragements a
poursuivre énergiquemenl la lutte contre ial-
cool (longs applaudissements).
L'assemblée afaitk l'orateur une ovation des
plus enthousiastes.
-
il est sérieusemeut question, an ik^
partement de l'agriculture, de la sup
pression definitive de ia bouclé d 'orei 1 le.
Ou parlc de son remplacement par
uue marque au fer rouge sur la corne
ou le sabot.
La chambre a cousacré ses séances
de Mercredi et de Jeudi a rinterpella-
tion du eitoyen Smeets au sujet des
agissements du bourgmestre et de ia
majorité du conseil communal de
Seraing.
La libérale Gazette écrit au sujet de
j cette fastidieuse interpellation
Encore une beuro de M Smeets. Ce
n'est plus de l'éloquence, pa c'est de la
diarrbée
De la réponse de M. Schó'lfaert ii ré-
sulte, cependant, que ce n'est pas du tout le
bourgmestre libera! de Seraing,.qui a e n-
piété sur les prerogatives''du collége sociu
liste, mais bien le collége socialists qui a
piétendu se f.-.icher afosolumeni des deci
sions de la majoriiédu conseil, qui marebe
d'accord avec !e bourgmestre. Le conseii a
une si grande confiance dans ie collége
qu'il lui a enlevé, depuis un an et demi,
toute délégation poui les nominations quei-
coeques et qu'il a retusé d'approuver 1 s
quarante rieuf déplacements d'mstituteurs
(il y en soixante dix en tout), imaginés p-ir
ce collége encombrant. Et aussi des aulres
griefs de M Smeets, qui parait avoir perdu,
encore une fois, une belle occasion de se
taire.
M. Hubin, de Huy, encore un joy ux
compère, et 1e suave M. Roger n'eu cor-
roboretit pas moins les jérémiades de M.
Smeets. Eux aussi, ont les pocht-s pleines
de cas d'oppression dont les pauvres Col
lèges socialistes, si respectucux de la lé.
lité, sont les victimes, Et quarid ils ont .tini,
M. Smeets... eh bien oui voiis ne le croirez
pas si vous voulez, mais M Smeets recotn
metice
Quartd il a fini, M Denis, k propos de la
Conférence de la Paix, projeléo par lo Cz:
saisit l'occasion de nous en Lire une sur les
vices de I'Etat social capilaliste.
Le pays attendait ca avec une impa
tience
La séance de Vendredi a été consa-
crée a l'interpellation de M. Denis, ie
sublime raseur.
Heureusement l assemblée a decide
qua l'avenir les interpellations auront
lieu a cinq heures, après la séance.
La Lulte dans son numéro paru bier soir,
recommence son hisioire k propos de la no
mination ou de la designation de M. Ver-
gracht com me officier des pompiers et,
pour produire plus d'effet, elle traduit son
article dans son sosie De Strijd
La consceur radicale se livre k tous les
exeès de laugage que sa juvénile imagination
-- elle n'a que quatve ans lui inspire.
Nous n'allons pas répondre k tout son long
factum. Il taudrait plusieurs colonnes pour
réfutèr toutes ses allégations.
Bornons nous k quelques unes.
Le conseil communal a préfcré M
Vergracht d MM. LéonDonck et Albert
Boonedontles opinions catholiques,
j connues de tongue dale, ne lui ont pas
i paru présenter des garanties suffisan-
les de sincerité.
Lr. véMie est quo, tie vou!» .1. pas dormer
une coutem politique u corps des Pompiers
ei désirani tenir compte des propositions
111ims par le corps d-s officios; le conseil
communal ;s donné la première candidature k
M Vergracht, la seconde k M. Donck, la
troisième k M Boone.
Le raisonnement de La Lutte revient k
dire que tous ceux qui étaient nommables
et ils sont nombreux dans notre camp ne
présentent pas des garanties suffisantes de
sincérité.
Est ce sérieux
M. Vergracht— nous passons sur les injures
el les diffamations, dont La Lutte ferait peut-
être bien de s'abstenir a su se faufiler
dans le corps des pompiers d'oü son
pére eul été impitoyablement exclu, avec
son ami, M. Brunfuut, s'il eat encore
été en vie.
II est d'abord odieux de méler la mémoire
d'un défunt k eet incident Mais puisque La
i.utte, après le Progrès. a cru devoir le faire,
nous allocs kur répondie, k propos des
prélendus bienfaits dont la familie Vergracht
aurait été comblée par Vadministration libé
raleque du jour du décès d" son chef,
cette familie, compose ri'une veuve et de
plusieurs orphelins, n'a plus repu aucua
bienfait de la vil Ie. pas même pour le fameux
festival de 890S/iriquiète-t-ou il'une veuve
et de mineurs, qui ne sont pas électeurs ou
dont l'influepce électorale est minime?
Ensuite, si M. Brunfaut a été excluc'est
sa faule. 11 s'tst exclu lui même et rien
ne noüs proüvo que feu M. Louis Vergracht
se fut fait complice de i'incommensurable
gaffe que M. Brunfaut a commise en s'ex-
cluant, avec ses amis, du corps des Pom
piers.
La Lutte dit encqre: Pour nous la
perte est pen sensible. Yous avons un
faux fi ére en moins.
Pourquoi alors tous ces grincements de
dents et ces colères iritempestives
Vous avez un faux frère en moins f
II y en a done beaueoup ciiez vous, des
faux fières
H ibituée k devoir frayer avec des socia
listes qui, en effet, lui toot souvent faux
bond, La Lutte voit un peu partout des
faux fières el p ui être des tausses sceurs.
Mms elle ne discerne pas bien.
11 y a encóre, chez vous. pauvre Calypso,
des ïi ères qui vous lachèrönt et qui vien-
dront k nous, paree qu'ils préfèient notre
politique k la vótre.Et rmus espérons même,
avec la grace de Dieu, vous convertir aussi
qu 'lque jour 11 y a déjk un peu de revire-
menl, chère atnie. Vous ti'avez plus que deux
pas k fairek cinq ans vous serez doctri
naire et, comm.* vous n'av tz pas les ran
cunes de vos aHiés modéréé, vous serez
conservatrice, k dtx ans Retenez le nous
y viendrons.
Le poste d'officier du corps des Pom
piers communaux est un poste d'hon
neur continue La Lutte.
Cei tainernent, consoeur, et nous le disons
avec vous. Et, sous ce rapport aussi, M.
Vergracht tigurera avec homeur k son poste
d'hotmeur,
Ceux qui désertent leur drapeau ne
sont rien moins qu'honorables, conclut
la ooriscéur.
Mms il en est aulremont, nous semble-
t il, de ceux qui .ne veuknt pas se ranger
sous la loque rouge, avec Anseele qui leur
crio' derrière notre drapeausil vous plait.
Et nous croyons même que si M. Ver
gracht doit reprendre toute la succession de
M. Ceriez, il portera le drapeau d'honneur,
le drapeau national, que vos amis ont bruid
dernièremeritC'est cela qui vous fachera
eucore davantage, peut-être.
A ce propos, une petite diversion, chère
consoeur Que pensez vous des misérables
qui ont été si maladroitement défendus dans
la Ré for me par votre ami Georges Lorand
Ei' s-vt.us pour ou contre le drapeau trico
lt- e Qu pe seï vous de la cetidamnation
d vos amis
La Lutte fu.it sa jérémiade en disant
qu'il ne lui viendra jamais d lapensée d'écro
qu'un catholique cónvairicu lui donne des
nausées. Merci, cbère amie. Nous vous
croyons. Vous direz bientöt la même cbosc
mmm
--•«■«Sx
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