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Les orgues
La seconde fête dramatique
Faits divers
Banque de Courtrai
Succursale d'Ypres
Damas-Soie fr. 1.40
II
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liet» l un ou 1 autre abus Quelle pitoyable
deli tie
Nous l'av mis dit, les vieillards ne se plat-
gnerit pas, moins que I'un ou l'autre lousiic
ne fasse des confidences k La Lulte, pour
u' jouer un uiauvais tour.
La Lulte saisit l'occasion de cette polé
unique pour nous poser quelques questions.
Ei d'abord, fait elle observer, du temps
des Iméraux les Hospices de vieillards étaient
dim. és p o-des pariiculiers, pères de familie,
qui se fmsaieiii aider par des donestiques et
d serva.hi.es, de Ugori cue ce qu'ils ga-
graietn profi at en grande partie aux négo-
ci ints de la ville.
Comme s'il et» éiait autrement sous la di
rect! ui des soeurs Ge)les-ci remplacent les
domesliques.et les servanies, et ce qu'elles
consomment va aux négociants de la ville,
comme avant.
Les religieuses, dit aussi La Lutte, re$oi-
vent sans doute les uiêcnes salaires que les
anciens directeurs elles n'ont pas d'enfants
élever elles doiv nt done mettre de cöté;
leur surplus va 1 maiscn-mère et par con
séquent est. en levé au négoce Yprois
La Lutte apprendra sans doute avec bon-
heur que ia direction des soeurs coüiera
moins aux Hospic sque leu< personnel
est plus monbreux et quil y a done plus de
bras poui' venir en aide aux inalbeureux hos-
pu disés.
Si La Lutte n'avait pas les religieuses en
horreurce qui lui fait perdre toute idéé
d'impaniaiité elle apprécierait les soins
dévoués des soeurs qui ne peuvent être rem-
pl cés par les m ilieurs soins des personnes
l- ïque Ne sait-elle done pas que la plupart
des vieillards hospiialisés sont des infirraes
qui réelament un dévouemera lout particu
lier
Nous ne disons pas que Ips anciens direc
teurs n'étaient pas dévoués. Mais les Hospi
ces de viei'l -rds sont presque des höpitaux
et toui lf monde sail, les méd eins sur-
iout qui fréquent c s établissemerns que
s K-ligt uses, dont fa vie est touie d'abné-
gaiion, de dévouemeut et de sacrifices, ne
scroti, jamais favorablement remplacées par
des directeurs ou des directrices laïes.
Mais La Lutte passé condamnation. S'il
n'y avait que cela, ce serait un demi mal
privé» d'uiie tag >ti ou dr- l'aulre des secou-s
de la religion, est ur>. crimeG'est cependant
ce qu - vi udraie i les anus de la Lutte. Muis
c'est ce que la population Yproise ne veut
bourgmesn de Qu tftnoM. Roger, de
ses fonctions de bours. mestre. C'est le maxi
mum de la peine.
Si M. R 'ger est encore up.r fois suspen-
Ellesso d aussi l'.n u i' ylair-mx -t|
ifépuraïif partaib: ei i imitable.
Eu veme en dé !i Ypms cliv, Socqiu
Terrière; it Routers cuezVeys.
pas.et eest ld un des principaux moiifs pour du, il sera révoqué Cette rr.esu e a prise 1
lequel les hommes k tendances pareilles out
été renversés.
Lii dessus nous ne serons jamais d'accord
avec les partisans de La Lutte, paree que
nous n'avons pas la même point de départ.
Inutile done d'irisister davantage.
La Lutte annonce, dans son numéro
d'auj urd'hui, qu'il est question, ii l'hólel de
vil t:, de modifier le règlementsur les orgues
et les bals publics. Mais elle ne sait pas
ex clement quelles sont les modifications
qui seront proposées
Rassurez-vous, consoeur, le principe du
règlement, sur iequel vous avez fini par
vous déclarer d'accord avecM. Golaert el
M. A; scele, restera debout, et nous vous
détio s de le modifier jamais
Quant aux détails, soyez tranquille aussi.
II n'est pas question d'y apporter le moindre
cbaogemern. Vous prenez de nouveau vos
désirs pi ur la réalité.
au <t Volkshuis
k la suite de deux coudamnau-ms qui lui ont
été intligées
1* 15 jours c'o prison et 50 fr d'amende
2" 2 mois dr prison et 50 fr. d'aioetidn, pour
insultes et coups au bourgmeslrc d'Hau rage.
M. Malbrecq éctievin de Quaregnon, est
suspendu pour 8 jours k la suite d'urie con
damnation k 50 francs d'amende.
La duch-sse de Suxe CobourqLe cor-
respondant viennois de Modem Society dit
savoir de source certaine que la duebesse
Louise de Gobourg sornra trés proc! ine-
ent de la maiSon de santé de Parkersdorf,
piés de Vienne, oil elle est internée depuis
p'usieurs mois.
Nous avons eu le plaisir d'assister Diman-
cbe et Lundi k Ia seconde fête dramatique,
donnée au «Volkshuis par la société «Wil
len is Kunnen.
Les acteurs, sous l'habiie direction de M.
Dejaegher, ont exécuté leurs róles avec un
talent toujours tproissant et vraiment remar-
quable. Nous devrions les mentionner tous.
Citons spécialement M. Van Aken qui pro-
met de deveriir un artiste, digne des ;uires
membres de la société.
II y a cependant une observation faire.
Le public ouvrier semble ne pas encore se
rendre suffisamment compte de la différence
qui existe entre le drame et la comédie,
L'éducation de certains ouvriers est k faire
sous ce rapport. Les scènes les plus empoi-
gnantes, qui font impression sur les person
nes sérieuses, excitent quelquefois les riies
de certains individus qui n'y comprennent
que fort peu de cbose. La comédie excite
naiurellement. leur hilaritétl en est de même
du drame. lis se figurent que ce n'csi que la
Nous tenons note des observations de la con representation d'une action et qu'ii n'y a dans
L'avant-dernière nun, vers 1 heme, un
violent incendie a réduit en cendres le ma-
gaSin d'étoftes et de vêtements occupé par
fis épcux Phalempin-Gogniez, au haraeau
du Montaleux, it Mouscron.
M. Phalempiu a été réveilfë par leciépite-
ment drs flarames. 11 n'a eu que le temps de
réveiller sa femme et ses troib enfants qu'on
a sauvés k moitié vêtus, en sautant d'une
fenêtre sur un matelas jelé sur un lanterneau
i dormant dans la cour.
Dans leur chute, deux enfants ont été
grièvement blessés par des éclats de verre
du lanterneau.
Lorsque les pompiers, avertis par le toe-
sin, sont arrivés sur les lieux, l'immeuble,
le mobilier et les marchandises étaient en
flaaimes. Les livres et l'argent ont pu être
sauvés.
Vers 5 heures, on était maitre du fen et la
maison ne formait plus qu'un vaste arnas de
cendres. Les dégats, qui sont évalués k
40,000 francs environ, sont couverts par
ur»e assurance.
De l'enquêie ouverte par la police, il ré-
sulte que l'incendie a dü être allumé par des
voleurs qui s'ét-Rent introduits dans la mai
son des ép.-ux Phalempin. I!s auraient même
erilevé plusieurs pièces d'étoffes. Ju-qu'k
présent les auteurs de ce crime sont incon
nus.
soeur qui partage sans doute l'avis de certain
administrateur des Hospices, qui voulait la'i-
ciser tous nos höpitaux, il y a douze ans.
Ge qui horripile la Lutte, c'est qu'h cha-
que établissement se trouve attaché actuelle
ment uri prêtre, et ces yens ne fonl pas celu
pour rien.
Nous supposoos qu'il en soit ainsi. Toute
peine mérite salaire. Nous n'envisageons que
le bien que font les prêtres aux vieillards des
Hospices.
II ne suffu pas, k noire avis que les vieil
lards repoivent des secours matériels. lis ont
besoin, surtout sur le déclin de la vie, de
conseils, d'encouragements, de secours mo
raux et religieux.
La plupart, la presque unanimi.é sont été
él vés dans la religion eatholique lis voient
dans le prêtre le minislre de cettc religion,
l'komme dévoué par excellence, celui qui
consolera leurs derniers jours et les prépa-
rer-a k la mort prochaine.
Pcurquoi ne pas leur dormer ce bonheur
Pourquot ne pas faciliterdans l'établissemem
mènae, les exercices pieux dont iis seraien».
privés, sans la présencé du prêtre?
Gar ces gens ne sont pas iocrédules, com
me ceux de h Lutte lis croient,ils espèrent,
ils out confiduce en Dieu. A notre avis, les
tout cela rien deréel. Ils ne savent pas se
mettre h la hauteur de la p èce jouéeils ne
comprennent pas les mouvements, les ges-
es, les paroles de i'autc-ur; et comme tout
cela leur parait une fiction, ils ne sont pas
touchés. Nous ie lépétor s, leur éducation
est encore k faire.
Peut-être vaudrait il mieux commencer
par la comédie et finir par ie drame. G'est
un essai h faire. Ils -ont h la fête dans ie
bui de rire, de s'amuser. Après avoir bien
ri, ils seraient disposés peut-être h subir
d'autres impressions, la pitié, la colère, 1 in
dignation Après tout, ils sont hommes com-
I me nous etcapables par conséquent d'appré-
cier Ie beau, le grand, I esthétique.
Hatons-nous d'njouter que la faute de tout
cela u'> st pas aux acteurs, dans nos drames.
Ils sont Jt la hauteur de leur róle, et le public
connaisseur les admire. Ge sont quelquefois
même les scènes les mieux rendues qui font
j rire davantage.
Un mot pour l'erchestre dirigé par M.
Ernest Wenes li fait des progrès que tout
le monde constate avec bonheur;
Lundi dernier le Parquet d'Ypres s'est
rendu h Wervicq oü une tentative de parri
cide a eu lieu. Lenommé.a tiré k bout
portant sur son beau-père Quelle mceurs
La députation permanente du Hainaut
vient tie suspendre pour trois mois le fï. de
Lisle des 105 obligations Société li
Chemins de fer du Tessin rewboursailtl
le 2 Janvier 1899 paria Sooiéié Généré
pour fa voriser i'indusu ie nationale, fin-
xelles ou p ir les banques e-'iarg&s d: sou
service d'agenceen province.
NUMÉROS
716 k
720
3G41 i) 3645
726 h
730
3736 it 3740
1206
1210
4001 h 4005
1321 it
*325
4061 k 4065
1716
1720
4621 h 4625
2146 it
2I50
4961 h 4965
2206 b
2210
5866 k 5870
2256 it
2260
7011 k 7015
2661 it
2665
7126 k 7130
3436
3440
7396 k 7400
3631
3635
Les obligations des tii ages - iiérieurs do
lesnuméros suivent, n'ont pas encore été
préseniées au remboursement n01 1466S
1469. 2035 3023. 3024. 4891 i 4895,
2133 k 2135. 2916 b 2920 3900, 4531 5
4535, 5481, 5482 6566k 6570.
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M J
It n'y a rien au monde qui ait un effet
si remarquable sur les enfants de tenir
pérament faible que l'Emulsion Scott.
Cette preparation est la forme la plus
facile et ia plus pratique d'absorber ia
plus pure huile de foie de morue encom-
binaison avec les Hypophosphites de
Chaux et de Soude. Elfe possèds le grand
avanlage d'etre douce au palaiselie est
aimée par les enfants au point qu'ils la
considerent comme une gourmandise.
Dans l'Emulsion Scott, le goüt de
l'huile estcompi' l ement masqué, et élant
parfaitement émulsionnée, cede prepara
tion nedonneaurun travail aux organes
digestifs. Les Médecins remarquent tres
fréquemment que l'Emulsion Scotl est as-
ainsi que Ilennebersr-Woio noire, blan
che et couleur, partir de 95 cts.jusqu'a fr. .8 50
le mètre en urn, rayé, quadrille, fagonné, Da-
mas etc. (env. 240 qual. et 2000 nuances et dessins
diff.), franco de port et d douane k domicile.
Ecliantillons par retour.
G. Henneberg,FabriquedeSoie (foura.i.&a.) Zurich.
SfsSi®
sinnlee même
dans les cas
oü la nourri-
ture ordinaire
ne l'est poinl.
ce qui revient
a dire que l'E
mulsion Scott
nourrit le sys-
tèmealorsque
glous.le8 autres
Bnfneit CHAXXET fant dans la
période de la croissance, ne se dévelop-
pant pas bien.lis I rouveronl. dans l'Emul
sion Scott une préparïition idéale pour
fournir a tout l'organisme une nourriture
ellicace sous une forme discrete.
Ainay-le i hf'ilettu (All!- Mai 1897,
Monsieur, j'al rail prendre voire Emul
sion Scoit A rnon bébé ayé de -20 mois,
atlelnt d'un amai r ssemenl general sur-
verui A la suite d'une grave broncblut
Les bons eflets de votre précieiix remède
ne se sont pas fait aitendre et quelqu. s
jours de traltem'ent ont amené une trés
s> nsible amelioration dans l élal de tnon
petit malade. Le mieux A peislsté, ati-
Jourd'bui 11 est complètemenl rem is,
mais je continue A lui laire prendre votre
Emulsion Scotl que je consMére comme
le mellleur forllflant.
Agréez, Monsieur, l'expresslon de toute
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(Signé)Cbaulet, instttuteur.
L'Emulsion Scott se trouve dans toutes
les bonnes pharmacies. Dépot général:
Ch.Delacre et Cic, pharmaciens,Bruxelles.
Van den 46 tot den 23 December 1898
Geboorten
Mannelijk geslacht 6 Vrouwelijk 2
HUWELIJKEN
BTEEFOEVALLEN