EIKEN
BELLE OCCASION
EM. B EIRNAERT-VA N DA E LE
PILULES SI U AERT
EN SLAGHOUT
Chronique musicalc
Le concert de l'Orphéon
Cessation de commerce
A Vendre:
vc! os o! i( n S-
Syndicat des Vignerons francais
Chronique de vol
LOUIS YAÜHÖUTTE
AUX BONNES COULSURS
SANTÉ, LONGUE VIE.
LA BOITE 1 FR. 50
is j'aurai I'occasion de voir M leBourg
re de Vlamerlinghe et de lui parler.
(Adopté).
Chaussée d'Ypres Furnes
Vanden Boogaerde demande que le
^ge tkehe d'empécher que la chaussée
at vers Furnes soit dépavée t les pavés
placés pai du macadam. M. le Bourg
tre d 'Elverdinghe s'eöorce d'amener les
rgmestres d'Oostvleteren et des commu
envirounantes k travailler pour remplacer
vé par an gravier. Le public est exirê-
aent opposé k ce changement. D'ailleurs
lai fait k Proven et k Rousbrugghe est
sant pour prouver que ce travail ne vaut
2500 fr. pour l'Ecole indusirielle.
670 fr. pour le service des boueurs.
365 fr. 25 pour le placement de sonnettes
électriques dans les maisons habilées par
les clairons des pompiers.
575 fr. pour de nouveaux réverbères.
32 fr pour un compte resté en souffrance
co neer riant les fêles de la Thuy. dig.
II est décidé de demander k la deputation
permanente par voie administrative d'ins-
crire 200 fr. de plus pour les glacières.
Elles sont entièrement remplies k présent,
ron n'avait porté que 800 fr. sur le bud
gei et les frais ont été plus grands.
La séance publique est close k 6 b. et
quart.
le Président. II y a longtemps déjk
celte affaire est en train.
I. Boone. La chose est peut-être déjk
idéé en buut lieu depuis longtemps?
f. le Président. Non, mais nous ne
rroits pas l'empêciier pourtant. De plus.
onseii communal d'Ypres n'a rien k voir
is cette question.
Ine chose est certaine, e'est que partout
en viendra aux graviers Avec les pro
s des automobiles qui ne peuvent absoiu
lit pas circuler sur les pavés, dans peu de
ips des changements considérabhs seroni
is dans la construction des chaussées.
la proposilion est de placer có e a cóte
pavé de 4 mètres et un gravier de
tres. Quand je proposal cela k Bruxelles
avail it'aboid envie d'en rire; maïs j'ai
isté et déjk on commence k prendre r
ise en considération.
}uand on commences k tra"sp' rier dr
par les automobiles O - d -u
tessité de faire pa^ouf des yiavi s
Vanden Boogai rde. L s ::t-us qui
vent se servir du gravier de Pioveo nej
a plaignent pas peu; ils ne peuvent plus
csporter que les 2/3 d'une charge. II y a
Is k Ostende aussi on avait remplacé les
lés d'une route par du gravier et on a été
Cé de replacer les pavés. Ge qui prouve
irement que les routes pavées sont meil-
es.
le Président. Et en France done,
sont presque tous des graviers lk bas.
fl. Iweins d'Eeckhoutte. Le terrain y
meilleur et ils sont mieux entrelenus.
4. D'Huveltere. II faut attendre que le
vier de Proven soit bien assis, il serait
alors, bien entendu s'il est entretenu
1. Colaert. J'ai eu cette après-dinée
z moi un des réclamants. Je lui ai propo-
esystèmede M. Surmont et il le trouvait
r. De sorte qu'il faut que rious insistons k
xelles pour l'obtenir. Je suis de l'avisdeM.
iden Boogaerde au sujet des graviers.
I. Vanden Boogaerde. II est certain
s tous les cas qu'il s'agit de soigner k
ps.
I. D'Huveltere. Attendez que nous
ns le vote unanominal, nous vous enver-
s alors k la Chambre.
(Hilariié générale).
I. le Président. Etes-vous satisfait,
Vanden Boogaerde
I. Vanden Boogaerde. Comme ci
ime pa.
Boulevards extérieurs
i'aligneinent du boulevard prés de la porto
rhourout sera fait aux frais des hospices.
Bureau de Bienfaisance
'arrarigemetii avec les héntiers de Stuers
approuvé.
■e Bureau de Bieofaisanco payera ariunel-
mt 59 fr 75 k ia tabrique d'Egiise de
lariin pour le service anniversaire d>-
louckenaere et de sa familie,
lusieurs crédit» supplémentaires sont
is.
La société chorale l'« Orphéon marche
de succès eri suocès depuis quelques années.
Après avoir eu l'beureuse inspiration
d'ofFrir dans son local, les deux années
écoulécg.des soirées-tabagies k ses membres
honoraires.elle s risqué, cette fois, d'organi
set' un grand concert et La fortune couron
ne ïaudaee dit le poète latin, le succès, un
succès réel est veriu récompenser la commis
sion de son heureuse idée.
C'est k la Salie Iweins que ce concert a eu
lieu Bimancbe soir.
Ure foule aussi nornhreuse que choisie.
dont faisaieot parne plusieurs autorités d la
villc MM Colaert président d'honneur.
Svruyr, Iweins Eeél u te F aèijs, etc...
remptissaii la saPe
L e' I 'i ->• -v a
nx
e*Cl-< es i 5 ia- t p.
Vo<ie> lann de Uv Tw t
O-s dei.xoeuv-ps'óri i ■é-ski-p«i
fectioi'. La dernièi e es un nouvelle compo
sition de notre concitoven, professeur dans
nos écoles cutholiques
Nous admirions avec grande raisori sa bel
le valse v Les échos de la nuit exécutée
l'arinée dernièie, dans une des soirées taba-
gie de la Grande Fanfare. La nouvelle oeu
vre ne doit pas le céder en beauté, en dis
tinction et pureté de style k la première.
Toutes deux prouvent qu'il y a en M. Cyr.
Tieberghein l'étoffe d'un compositeur d'ave-
nir.
M. Jules Antony, le président de la société
et M. Joseph Derudder ont admirablement
cbanté la Berceuse de Jocelyn et La
Fermière par d'Hardenot. Tous deux ont
été bissés et c'était vraiment justice, car ce
sont deux chanteurs d'élite. M. Antony
prend I s notes élevées avec une facilité
étonnante et M, Derudder, outre une splen-
dtde voix de basse taille, a une méthode
splendide. Un chanteur de gente M. Rutteau
a fait grand plaisir également. Ses chanson-
dettes, fort distinguées, ont désopilé la rate
nu public.
Quant k la partie instrumentale, elle était
digne de la partie vocale.
Les Médiators Yprois sous la direc
tion de M. Alb. Van Egroo, ont exécuté k la
perfection, une fantaisie sur Carmen uue
mélodie Pas du tout et deux aulres
moreeaux pour les bis.
Celte société,née d'hier, peut désormais se
présenter pa'rtout dans les grands centres
mêmes, pour la qualité, la finesse et l'ex-
pression de son jeu.
M. Van Egroo, sori directeur, dont la
virtuosité est trop connue, pour que nous
soyotis obligés de faire l'éloge de son jeu, a
exécuté la Ghacone de J. S. Bach pour
violon seul, la polonaise de Wieniawski, et,
pour le bis, uue mélodie fort distinguée et
trés bien faile.de sa composition, qui prouve
que les L-qous d'harmonie qu'il a repues
d un de nos coucitoyens. lecons continuées
au Conservatoire, n'ont pas été données en
pure perte Le compositeur, on peut le pré
voir déjk, sera digne du virtuose.
M Gust. Verhaegheu a exécuté un air
pour. Cor par H. Craner. Jamais eet artiste,
on peut l'appeler ainsi, car c'est un des
meilleurs cors que nous ayons encore enten
dus, n'a mieux réussi. malgré les conditions
ingrates de son exécmion provenant du
piano accompagnateur qui avait du être
tiansposé.
MM. Gyr. Tieberghien et Gust. Desra
mault ont exécuté, aux applaudissemenls du
public également, un quatie-mains pour
piano et M. Léon Antony, le Ills du dévoué
président, a dit avec une grace parfaite ur.
monologue Napoléon II,de Victor Hugo.
Citons pour fiuir et pour les remercier de
leur dévouement, les accompagnateurs qui se
sout tirésk merveille de leur röle difficile:
MM. Julien Antony, Gustave. Desramault,
Joseph Derudder et Alb. Van Egroo.
Soirée-Tabagie
&la Grande Fanfare
Samedi soir une magnifique soirée tabagie
aura lieu k ia Salie Iweins.
On y entendra outre plusieurs exécutar-ts
de la ville, un ancien concitoyen M. Em.
Sircux, directeur de la musique de la garde
civique de Laeken et Saxophoniste de 1"
ordre, ensuite un chanteur de genre et la
chorale «l'Orphéon» qui cliantera ses deux
chceurs de dimanche dernier.
On aura aussi une première audition d'une
suite d'orchestre-ballet composée par netre
concitoyen M. J. Maurau, inspirée par l'bis-
toire légendaire de notre ville, et qui a été
réduite et arrangée pour violon, piano et
contrebasse.
Cette suite d'orchestre intitulée Le
Géant Goliath comporte 3 parties 1
Un rêve 2*Uaeprière et 3° Un ballet
final. Nul doutr que la Salie Iweins ne soit de
nouveau trop petite pour cornenir la foule
de connoisseurs e>. aniMieuvs d« hoone musi
que, qui iron' appi- u-l'r I s »1iv. >s rentes
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Des voleurs se sont introduits dans la nuit
de luridi k mardi au café de la gare k Hout-
hem, prés de la halte.
Ils ont enlevé k M. Desoubry, cabaretier
et casquetier, des marebandises et objets
pour une valeur de 500 francs environ.
Ils sont entrés dans la maison d'une fapon
qui n'est pas vulgaire du toutils ont perforé
des trous dans le mur et sont parvenus k
enlever un bloc de pierres faisarit une brêche
par laquelie un homme peut lacilement
s'introduire.
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