CAISSE RÉCLAME
Carter's Ins Company
in 20/»Jouas
PIANOS DERDEYN
SURETÉL.
Sainte Cécile
Au Volkshuis
La séance de Vendredi
Les espérances des libéraux
evert/son I k^ja/
radicale l'Anémle
TH. STEINWEG, succ.
CANARIS SAXONS
Callewaerl-De Meulenaere,
Nous prendrons k cceur comme dsns le
passé, vos intéréts spirituels et matériels,
l'entretien des écoles et. surtout de cette
école industrielle, si bien montée déjk,
quelle a été l'objet des félicitatioBS des in
specteurs de l'Etat.
L'ouvrier ne doit pas savoir absolument
qu'elle distance sépare la terre des astres
du firmament, mais il doit connaitre k fond
son métier. G'est lk le but k atteindre afin
qu'il puisse lutter k armes égales, contre
l'ouvrier des grands centres.
Gbarpentiers, mapons, forgerons, etc.
apprennent k l'Ecole industrielle les moin-
dres secrets de leur métier. Ceux qui en sui-
vront assidfiment les cours connaitront leur
métier k fond.
Js bois done, aux membres du Volks
huis» et kleur bien être; dit en finissant
M. le Bourgmestre, au milieu des applaudis-
sements sans fin de l'énorme assemblée, qui
entonne Ie chant triomphal de circonstance
Met Sunnont hoven aan
La fête se poursuit joyeuse au milieu d'une
animation sanscesse grandissante.
Tout k coup des cris incessants réclament
la présence sur l'estrade de M Henri Bece-
laere, afin qu'il chante Garita
Gomme toujours 1Antoine Glesse d'Ypres
s'y prête de fort bonne gikca.
Poussé par cent mains, il est littéralement
porté sur l'estrade.
Pendant que M. Becelaere roucoule:
Carita, Carita, chante encore! ou que, pour
le bis il imite les roulades d'Adeline Palti,
de Dinah Beumer ou de n'importequelle autre
diva, on se tord littéralement dans la salie
C'est égal, nous avons passé Dimanche
soir au Volksbuis, une bien agréable soirée!
M de Smet de Naeyer aurait consenti k ce
remaniement de son cabinet, afin de conten-
ter ia partie de la droite qui s'est séparée de
la majorité conservatrice sur la question
électorale. M. Helleputte entrerait dans le
cabinet au lendemain raême du vote définitif
du projet électoral.
La Grande Fanfare fêtera Dimanche pro-
chain la Sainte Cécile, par l'exécution pen
dant la Messede 11 1/2 heures en l'église
de St Martin, de deux morceaux de choix
La croix rouge V. Turini
Ouverture Jubilaire Van Perck
Le soir, k 7 heures, Banquet annuel k la
Salie Iweins.
La section dmmatique de la Garde Catho-
lique jouera les 10 et 11 Décembre
I.odevvijk of de gevolgen
van het spel drame et De na
gelvan SintJaDsberg comédie.
Le XXe Siècle éerit au sujet de la
séance de la Chaaibre de Veudredi
Le vainqueur, c'est M. Georges Lorand.
11 règne, il est vainqueur, le gouvernement
s'incltne devant savolonté...
Comme le sort de l'amendement est indé-
cis, M. Lorand se décide k dépenser la car
touche suprème. Si vous adoptez un quo
rum quelconque, s écrie t-til, c'en est fint du
parti progressiste k Bruxelles et je n'oserai
plus reparaitre k l'Association libérale de
Bruxelles..
Et l'on voit eet argument produire aus-
sitöt son eflet. Manifestement, la Ghambre
hésite k infliger k M. Lorand et k ['Associa
tion iibérale de Bruxelles un cbktiment aussi
cruel. En vérité, cela ne se peut. Que de-
viendrait l'Association sans M. Lorand? Que
deviendrait M. Lorand sans l'Association?
Que deviendrait la Belgique, privéek la fois
de ces deux belles colonnes
Aussi, après une brabanponne de M.
Scbcllaert, M. Nyssens retire son amende
ment, et M. Lorand se pavane. Heureux
homme Le gouvernement et la Ghambre
naarchent k sou commandement. Et on ne
lui demande rien en retour
La Patrie fait la réflexion suivaote
Nous rendons hommage aux intentions
qui ont déterminée l'intervention de M.
Schollaert. Mais il n'en est pas moins in-
quiétant pour l'avenir de voir la simple op
position d'un radical décider de 1 abandon
d'une disposition toujours défendue par les
notables proportionnalisies.
Confirmant la nouvelle donnée par le
Courrier de Bruxelles, le correspondant
Bruxellois du Matin, feuille libérale d'Anvers,
écrit
a Le bruit courait, Lundi soir, dans les
milieux politiques, que le portefeuille du j
ministère des chemins de fer serait offert j
avant peu k M. Helleputte, uninominaliste
acharré.dans un mimsière proportionnaliste,
étonnerait beaucoup de monde; seulement
Gomme nous, les libéraux considèrent que
le vote de la R. P. est certain. Et, dès main-
tenant, ils envisagent l'avenir que leur fera
le nouveau régime électoral,
lis voient tout en rose. La Liberté, le pur
journal doctrinaire de la capitale, résumé
fort complèiement les perspectives d'ave-
nir que la R. P. fait scintiller aux yeux du
parti libéral.
D'abord, la Liberté admet que la force
numérique du groupe parlemeniaire socia-
liste ne se modifiera pas sensiblement G'est
aussi notre avis. Ge que les socialistes per-
dront ici, ils le regagneront ailleurs. Leur
personnel s'en trouvera seulement changé.
La Liberté poursuit
Les bénéficiaires de la réforme seront
évidemment, si l'on se borne k envisager la
conquête des mandats, les libéraux. Ils n'ont
actuellementrien oupresque rien. Ilsauraient
quelque chose et le morceau n'est pas négli-
geable. On peut évaluer raisonnablement k
30 o'u 35 le nombre de sièges qui leur seront
dévoius etdont ils n'éprouveront pas grande
peine k s'emparer, la proportionnelle ayant
eet a vantage et ce défaut de n'exiger ni effort
de propagande ni courant d'opinion. Elle
agit mécaniquement. On pourrait la compa
rer k un distributeur automatiquede mandats.
Les victimes, si encore une fois on ne
mesure la perte comme le profit qu'au cbiffre
des siéges qu'obtiendront respeciivement les
partis concurrents, ce seront les cléricaux
dor t la présente majorité se trouvera réduite
kdix voix au maximum, disent les uns, k
moins encore selon des calculateurs des op-
timisles.
Dix voix, ce n'est certes pas beaucoup
comparé k la majorité actuelle. Les libéraux
ont modifié les lois essentielies du pays, out
aboli notamment la loi de 1842, déchalnant
une véritable guerre civile des ames, avec
moins que cela. L'unique voix d'un sénateur
élu lui même k une voix de majorité leur
a sufifi pour cela.
Le mariage de la princesse Stéphanic.
Pour beaucoup de personnes, le mariage de
la princesseStéphanieavec le comte Longay,
tour k tour démenti et confirmé, sem'blait
surtout après la récente information publié
par le Figaro et par plusieurs organes ayant
des relations plusou moins directes avec le
Vatican, définitivement abandonné.
Un décret impérial en date du 19 Novem-
bre accorde k la princesse Elisabeth, fille de
l'archiduchesse Stépbanie, et dont on célé-
brait hier le seizième anniversaire, la
majorité.
En conséquence, l'Empereur perd son
titre de tuteur et la jeune archiduchesse oc-
cupera, dans quelques jours, les apparte-
mentsoccupés jusqu'ici, k la Hofburg, par la
princesse Stéphanie sa mère.
Celle-ci, dit un correspondant berlinois,
libérée par cette heureuse décision impériale,
est sur le point de partir pour la Hongrie,
faire les derniers préparatifs en vue de son
mariage, qui maintenant aura lieu inces-
samment.
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C'EST LE SALUT. Notre fapon de vi-
vre, nos passions fébriles. nos excès, 1 usage
immodéré que nous f.iisons du café, de Is
bière, des alcooliques, nos aliments impurs,
frélatés, échauffants sont une cause certame
de la grande maladie de notre époque, la
dyspepsie qui se trahit par les maux deslo-
mac, bile, glaive, maux de têie, etc. Contre
tous les maux il exisle un remède infaillible.
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mes salatatous empressées.
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micile pour ouvrir les huitres.
M. Marquinier, place de la Justice, 15, k
Bruxelles, écrit:
Je devais garder la chambre par suite d'un
accès de rhumatisme goutteux, j'éprouvais de
fortes douleurs. J'essayai l'élixir antigoutteux et
antirhumatismal Vincent. L'effet fut vraiment
surprenant; au bout de deux jours je pouvais
'eprendre mes occupations.» Marquinier.
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M. J.-B. Lerminiau, agent inspecteur de po
lice, Ixelles-Bruxelles, écrit
Monsieur Vincent, pharmacien,
rue de la Limite, 33, Bruxelles.
Depuis plusieursannées j'étais attaint de dou-
leur» causées par le rhumatisme goutteux et
qui, tous les ans, s'accentuaient de plus en plus.
Cette affection périodique m'occasionnait des
souffrances latentes et aiguës, m'enlevait tout
appétit, paralysait complètement les membres
attaints et, malgré les remèdes de toute espèce
que j'employais, il fallait encore se résoudre a
lui laisser suivre son cours ordinaire. Votre
Elixir antirhumatismal el antigoutteux m'a
guéri radicalement en trois jours de temps. Je
ne puis done que recommander chaleureusement
l'emploi de eet Elixir en se conformant stricte-
ment a vos prescriptions
L'agent inspecteur de police d'Ixelles,
J.-B. Lerminiau.
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teyne. Prix 3 fr le flacon.
M AMQIfïTD offregratuitement de faire
I, il HlUliÖlCiUn connaitre a tous ceux qui
-o.it atteints d'une maladie de la peau, dartres
eezémas, boutons, démengeaisons, bronchites
ehroniques, maladies de la poitrine. de l'esto-
mae et de la vessie, do »huraatismes, un moyen
infaillible de se guérir promptement ainsi qu'il
l'a été radicalement lui-mêmeaprès avoir souffert
et essayé en vain tous les remèdes préconisés.
Cette offre, dont on appréciera le but humani
taire, est la conséquence d'un voeu.
Kcrire par lettre ou carte postale M. Vincent
8. place Victor Hugo, a Grenoble, qui répondra
giatis et franco par courrier et enverra les
ii.dications demandées. (43
Alphonsus Fasse de Heer, bediende bij den
ijzerweg te Yper, en Gelina Vlaminck, zonder
beroep, le Yper.
PolydorusRosseel, smid, te Yper, en Steplia-
nia Liebaerl, strijkster, te Yper.
Valerius Coene, slachter, te Yper, en Eugenia
Salomé, zonder beroep, te Yper.
Polydorus Lacante, langzager, te Yper, en
Victorina Ommeslag, kantenwerkster, te Yper.
Emilius Tanghe, handelaar te Hooglede, en
Maria Carrein, zonder beroep, te Yper.
Gustavus Verhaeghe, koetsier, te Yper, en
Silvia Trawant, dienstmeid, te Woesten, voor-
gaandelijk te Yper.
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