lTssor econwiqüëT de ia situation indus-
Au Cercle
Les abords de Ia gare
L'éclairage de la Grand'Place
Les accidents du travail
en section centrale
Actes Officiels
Expropriation
pour cause d'utilité publique
Expropriation
pour cause d'utilité publique
La Banque de Courtrai
L'ESSOR ÉCOfiOilOUE, et le dimairche,
L'ESSOR ECOITOMIQUE, fgitfggg
LESSOR ECONOMIOUE, l[0aite toutesles ques"
L ESSOR ËCONOmigUE. raents préois et
LESSOR ECONOÜIIIQUE, cité financière dans le
L'ESSOR ECONOMIQUE, KSSKKt
L'ESSOR ÉCOAOrmpUE. ïïSttaSTïïï
L'ESSOR ÉCONOM!0UE, cial dont le programme
LESSOR ÉCONOÏQUE, ^elesoülderédi"
LESSOR ÉCOHOilpUE,est lu dans tous les
En venie partoistBEL0I0LE, 10 cmes le numéro;
Éiranger, 15 Gr"cs ie numéro.
rait d'ailleurs l'accorapagner en orchestre j
par des unissons, des accords plaqués et
des contrepcints, pour les dessus et les
basses le cas écbéant. Ge serait d'un effet
grandiose il n'y a en efiet pas de chant plus
beau que ce cbant d'allégresse enthousiaste
de St Augustin, dans toute la liturgie ro-
maine.
M. Vandenabeele nous a donné parnile
occasion peudaut son trop court passage la
maitrisede St Martin, une interprétation d'un
Te Deurn, composé par un alletrand, dont
le nom nous échappe et qui tinissait par une
belle fugue. G'était un vrai chef-d'oeuvre. II
y a done k présent une grive pour le moins,
a la bibliothèque musicale du jubé de ceite
église.
Dire qu'il y a des artistes en ville, qui
poussent la rigueur en fait de musique reli-
gieuse jnsqu'k l'exagération, en prétendant
entre'autres, que la splendide messe k Ste
Cécile de Gounod nest pas d'un genre assez
sévère pour le temple du Seigneur
Que doivent-ils dire alors d'une machine
pareille t Du Te Deum entendu dimanche
dernier, délivrez nous, Seigneur
Quoi qu'il en soit, les chceurs et l'orchestre
ont rnarché, sous l'habile direction de M.
L. Vanhoutte, avec un brio, une justesse et
une stricte observance des nuances, dignes
d'une oeuvre plus distinguée.
Une fête de gymnastique sera donnée par
la Turngilde Si Michel au Cercle Gattio-
lique, Dimancbe 28 Juillet, k 5 heures.
Les membres du Cercle et leur famiiie y
sont invités.
Faut-il que les abords de la gare promet-
tent d être beaux
Le Progrés lui-même en fait l'éloge
Tous les réverbères sont arrungés. Le Bec
Auer fonctionnera done avant la Thuyndag.
Nos félioitations k l'administration com
munale.
La section centrale chargée d'examiner le
projet de loi sur les accidents du travail s'est
réunie pour la septième fois Jeudi matin, k
40 heures. Elaient présents MM. Heynen,
présidentVan Cleemputte, Denis, Carton
de Wiart, Derbaix et Trasenster.
La section centrale a pris connaissance
d'un travail trés approfondi de M. Dubois-
d'Engbien, établissant par plusieurs volumes
de calcals la comparaison des charges qui
résulteraient pour l'industrie charbonnière
de l'application du projel de 1898 (projet
Nyssensjet de l'application du projet de 1901
(projet Surmont). D'aprèsce travail, la char
ge du projet Nyssens, calculée pour l'exer-
cice 1897 de l'industrie charbonnière, aurait
été pour celle-ci de 1.89 pour cent des sa-
laites payés.
D'aulre part,la charge du projet Surmont,
calculée pour l'exercice 1898, aurait été de
2.46 pour cent des salaires pays.
Cette diftérence k l'avantage du projet
Nyssens doit être attribué surtout k ce que
les deux projets règlent, suivant deux prin
cipes tout différents, l'allocation des indem
nités en cas de décès de la victime.
Le projet de 1898 proposait dans ce cas
d'allouer k la veuve la valeur d'une rente
viagère égale k 20 p.c. d'u salaire quotidien,
aux eufants et ascendants une somme repré
sentant la valeur d'une rente égale k autant de
fois 5°/. du salaire qu'il y a d'ayants-droit
de cette catégorie. La somme de ces indem-
nités ne pouvant, en aucune hypothèse, dé-
passer la valeur d'une rente viagère égale k
30 p. c. du salaire quotidien moyen.
Quant au projet de 1901,il se borne k ap-
pliquer les régies du droit civil. Eu cas de
décès de la victime, les indemnités, qui ne
peuvent dépasser 25 p. c., sont attribuées
aux héritiers de la victime suivant les régies
du droit civil.
Les parents jusqu'au douzième degré, et
même l'Etat, k défaut de successibles,
peuvent, sauf dérogation par contrat de ma
nage ou testament, prétendre au bénéfice
des indemnités.
La section centrale semble être unanime k
combattre le système de la dévolution d'au
prés les principes rigoureux du droit civil.
Ce système peut done laisser sans aucune
indemnité les personnes qui avaient l'intérêt
le plus direct et le plus légïtime k voir main-
tenir le salaire de la victime. De véritables
iniquités sont k craindre.
M. Van Cleemputte propose de combiner
les principes de la descendance et de la dévo-
volution. La dévolution ne serait plus ad-
mise que pour les descendants.
Cette question sera tranchée dans la pro-
chaine séance de la section.
La section centrale a abordé ensuite la
discussion détaillée de l'article l".Par parité
de voix (3 voix Gontre 3), elle a refusé d'é-
tendre le principe de la loi k la réparation de
tous les accidents survenus aux ouvriers des
entreprises industrielies, commerciales et
agricoles, privées et publiques.
D'aulre part, la section centrale, par 4
voix contre 2 abstentions, a voté une modifi
cation assez importante k i'alinéa 2 de l'art.
1". Cet alinéa prévoyait l'application de la
loi aux accidents occasionnés, dans les en
treprises agricoles et commerciales, par
i'emploi des machines mues par une force
autre que cette de l'homme ou det animaux.
La section centrale a décidé de dire que la
loi, dans les entreprises, couvrira tous les
accidents occasionnés par I'emploi des machi
nes, sans qu'il y ait lieu de rechercher si ces
machines sont actionnées par une force élé
mentaire ou par toute autre force. Cette pro
position avail été faite par M. Heynen.
Une longue discussion a surgi ensuite sur
l'assimilation aux ouvriers des employés
techniques gagnant moins de 2,400 francs.
M. Carton de Wiarta proposée la suppres
sion du mot teennique et M. Trasenster
de ne pas tenir compte de l'importance du
traitement, sauf k limiter le montant de la
réparation.
Le vote sur ces propositions aura lieu
dans une prochaine séance. XXSiècle
Par arrêté royal du 4 Juillet 1901, la
commission administrative de l'Institution
royale de Messines est autorisée: 1° k céder
k titre d'échange, k Mme veuve Auguste Ma-
hieu, propr étaire k Armentières, une bande
de terrain boisé d'une largeur de 7 mètres,k
prendre dans la percelle sise sous la com
mune de Wytschaete, section A, n* 627,
s'étendant du pavé de Messines k Ypres vers
la propriété.de la dite veuve Mahieu 2° k
recevoir, en contre échange, une partie de
la drève connue au cadastre de Wytschaete,
seclion A, n° 666, s'étendant du pavé dè
Messines k Ypres,jusqu'k l'extrémitó du bois,
dit Capelleriebosch de l'institution
royale précitée, pour une contenance de 11
ares, 25 centiares.
Par exploit de l'huissier Van Hoo-
naeker, a Bruges, en date du 17
Juillet 1901, les administrations com-
munaies de Westroosebeke, Staden
et Langemarck, poursuites et diligen
ces de leurs colléges des Bourgmestres
et Echevins dont les bureaux sont
établisdans les maisons communales
de Westroosebeke, Staden et Lange
marck, pour lesquels est constitué
et occupera Maitre Colaert. avoué au
tribunal de lrc instance d'Ypres rue
Saint Jacques 14 ont fait donner
assignation a Monsieur Jean Edmond
Desagher, notaire a Lichtervelde, en
saqualitéde tuteur des demoiselles
Lucie et Sophie Debruyne, proprié-
tairesa Ypres, a comparaitre le huit
Aoüt prochain dés les 10 heures du
matin devant le tribunal de lre in
stance d'Ypres, au palais de justice
portedu cloitre Saint Martin audit
Ypres, pour voir déciarer que les
formalités nrescrités par la loi ont été
remplies pour parvenir a Impropria
tion de 19 deux ares quinze centiares
du n8 2 F et 201 de quinze centiares
sur ie nB 1 A de la section A du
cadastre de Westroosebeke, néces
saire a la construction d'un chemin
vicinal,pavé de Staden a Langemarck
avec embranchement vers la station
de Westroosebeke, décrété d'utilité
publiqueVoir procéder au régie
ment de l'indemnité et voir statuer a
fin de dépens.
Pour extrait,
L'avoué
R. COLAERT
Par exploit de l'huissier Devos a
Roulers, en date du 18 Juillet 1901,
les administrations communales de
Westroosebeke,Staden et Langemarck,
poursuites et diligences de leurs
colléges des Bourgmestres et Echevins
dont les bureaux sont établis dans les
maisons communales de Westroose
beke, Staden et Langemarck, pour
lesqueiles est constitué et occupera
Maitre Colaert, avoué au tribunal de
lre Instance d'Ypres, demeurant a
Ypres rue Saint Jacques 44, out fait
donner assignation a Mademoiselle
Louise Vandamme, servante domici-
liée a Roulers, a comparaitre le huit
Aoüt prochain dés les dix heures du
matin devant ie tribunal de première
instance d'Ypres, au palais de justice
porte du cloitre Saint Martin audit
Ypres, pour voir déciarer que les
formalités prescrites par la loi ont été
remplies pour parvenir a Impropria
tion de un are de terrain en parti
bati faisant partie du n° 59 A de la
section A du cadastre de Westroose
beke,nécessaire a la construction d'un
chemin vicinal, pavé de Staden a
Langemarck avec embranchement
ven la station de Westroosebeke
décrété d'utilité publiquevoir pro-
ceder au règlemeat de l'indemnité et
voir ststuer a fin de dépens.
Pour extrait,
L'avoué
R. COLAERT
H u welij ksaf kondigingen
Arthur Garey, kleermaker, te Poperinghe, en
Octavia Dewulf, huishoudster, te Yper.
Henricus Vandamme, hoveniersknecht, te
Yper en Alixia Dieusaert, dienstmeid, te Yper.
Julianus Dehuysser, koetsier, te Yper, en
Félicia Hofiack kanten werkster, te Vlamertinghe.
iuforme le public qu'elie doiine en
location a des prix modérés une
nouvelle série de COFFRES-FORTS
de toute dimension.
Elie négocie sans frais tous les
coupons de titres et exécute 1 achat
et la vente des fonds publics la
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mum 25 centimes, sans autres frais.
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Pays»Bas, et France (départements frontière)
1 an, 1 2 fr.Union postale 20 francs.
99, Marehé-aux»Herbes, 99, Bruxelles
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