VERSPREIDE BOOMEN Actes OflSciels Gifles au Palais de Justice d'Anvers Conférence sur la Chine Nécrologie Salie Iweins Evviva Sant' Antonis! VER KOOP ING En vente PASTILLES PECTORALES DE KEATING wam Un arrêté royal du 23 décembre por te La Société Nationale des chemins de fer vicinaux est déclarée concessionnaire du chemin de fer vicinal de Poperinghe-Furnes- La Panne. L'Etat interviendra pour ,175,000 francs dans la formation du capital nominal afférent au prédit chemin de fer vicinal et se libérera au moyen de 90 annuités de 42,300 francs cbacune. Le délai d'exécution est fixé deux ans compter de la date du présent arrêté. Si, raison de Sexploitation du dit che min de fer vicinal, il est reconnu nécessaire d'élargir en certains endroits, soit la cbaus sée, soit même l'assiette des voies publiques empruntées, la Société Nationale devra exé- cuter ses frais les travaux qui lui seront prescrits par le Ministre des chemins de fer, postes et lélégraphes. Par arrêté royal du 20 décembre, la déco ration civique est décernée, savoir La médaille de 1" classe MM. R. Van lerberghe, bourgmestre d'HoogstaedeF. Baes, fossoyeur de Knocke I Vercruysse, commandant des pompiers volontaires de Wacken A Van den Berghe, bourgmestre de WenduyneP. De Rnudt, échevin de Wulverghem; J. Heughebaert, bourgmestre, id.; P. Huyghe, échevin, id.; A. Vanden- bulcke, bourgmestre de Zonnebeke. La médaille de 2® classe h M. A. Van den Ameele, garde-champêtre de Wulverghem. Un incident trés grave est survenu, hier matin, vers 10 henres, dans la salie des Pas-Perdus du palais de justice d'Anvers. M® Van Calster, avocat, correspondant de la Chronique et rédacteur en chef propriétaire de l'Orchestre, élait en train d'appeler par un tube acoustique l'huissier de la bibliothèque des avocats, lorsque descendit du premier étage l'avocal Bernays, fils de la victime des frères Peltzer. L'avocat Bernays apostropha vivement son confrère Van Calster, lui re- prochant un article paru dans 1 'Orchestre et ayant trait au procés Peltzer. M' Bernays administra M° Van Calster une paire de gifles si violentes que le sang jailiit. Au moment oü M® Van Calster, trés ahuii, voulait tiposler, et oü M® Bernays levaitsa canne, on sépaia les deux confrères ennemis. Me Van Calster, tiès pa!e, s'écria Vous recevrez, Monsieur, mes témoins. Je ne me battiai pas avee vous, ré- pliqua M® Bernays, vous es disqualifié Et, remontant l'escalier qu'il venait de drscendre, il lappa, comme dernier témoi- gnage de mépris, un jet de salive dans la direction de M® Van Calster.Celui ci exquissa le mêms mouvement. Cet incident est vivement commenté au palais. On explique que M® Van Calster a entre- pris depuis quelque temps une campagne trés violente contre M. Delvaux, représen tant libéral, beau père de M Bernays. (On sail que la veuve de M. Bernays, père, a épousé en secondes noces M. Delvaux.) M* Van Calster, qui est, comme nous avons dit, correspondant de la Chroniqueavait éreiuté, dans une de ses correspondances, M. Delvaux. Or, ces jours derniers k la Chambre, M. Terwagne.rappelant un article de l'Orchestre, dit que cet organe était un journal de bour ^'eois. M. Delvaux interrompit, disant L'Orchestre est un journal de cocottes. Le samedi suivant l'Orchestre publiait sous cette signature La rédaction de 1 'Orches ire un article prenant violemment M. Del vauxi partie, lui disant que la rédaction de l'Orchestre était composé de libéraux bon teint, ne devant rien personne, et comptant parmi ses collaboratrices Mm® Delvaux elle- même, qui écrit dans différents journaux libéraux sous le pseudonyme de Christiane. L'Orchestre terminait en promeltant des révélations qui mettraient en singulière !u- mière les agissements de certaines person- nes. Cet article était suivi d'un articulet annon pant que Léon Peltzer écrivaU ses mémoires dans sa prison, et qu'k sa sortie de détention il publierait sur certaines gens de3 révéla lions qui étonneraient beauconp. Le samedi suivant, paraissait dans l'Or chestre la reproduction d'un article de la Chronique refaisant de fapon tendancieuse, parait-il, l'üistorique du procés Peltzer. C'est la publication de cet article qui a ému Me Bernays. Le conseil de l'ordre des avocats a été convoqué d'urgence par son bütonnier pour ce matin, afin de s'occuper de l'affaire. no 'us revenir bientót, par exemple l'occa- BURGERLIJKE GODSHUIZEN DER STAD PER sion de la soirée pour Dames qui aura lieu k la fin de ce mois MM.Erri. Wenes et J. Derudder qui out eu le róle fatiguant et difficile d'accompagna- teur-pianiste, ont, comme toujours, mérité la reconnaissance et les éloges du public, pour leur talent, leur zèle et leur dévoue- ment. Nous apprenons que M. Léopold Mergbe lynck, secrétaire de légation, donnera une conférence avec projections lumineuses sur le siège cle Pékin samedi soir, 11 Janvier, 8 heures, la s-ille Pauwels. Entrée par le Nieuwwerk. i Demandez chez vos fournisseurs les sucres en paquels de ia R&ffinerie Tirlemonioise. La deuxième soirée-tabagie, offerte par Ia fanfare Royale aux membres hono- raires de cette belle société, a été plus bril- lante encore que sa devmcière. La Fanfare a exécuté avec une vérrtabie maëstria 1 ouverture La Bohémienne de Balf, un petit morceau de i urine Si lu voulats et les Czardas u' 1, de Mtcbiels. Tous les auditeurs ont ioué avec raison ia verve et 1 entrain que nos f.infaristes ont mts dans 1 exécution de ces trois moiceaux. M. Albert Van Eegroo a charmé son public c est son habitude du reste en juuant deux concertos pour violon le premier, composé par Max Bructi, hénssé de dittioul- tés, un peu trop aride même peut être, pour la généruiité des auditeurs disons le fran- ctiement d'aiiieurs nous aussi, nous préférons entendre des compositions oü la mélodie est moins absente, surtout sur cet instrument si suave, qui les fait si bien ressurtir. Le se coud concerto par Mendelssohn a plu davan- tage ici, malgré les difficultés, la phrase toujuurs mélodieuse impressionnait et faisait vibrer its cordes sentimentales de l'üme. Aussi ce second morceau a-t-il valu h son excellent interpiète, des bruvos sans lin et un rappel, auquel le jeune virtuose a gra- cieusement répondu on exécutant une page subiime de F. Thomé Simple aveu. La chorale 1 Orphéon a eu également un succès trés mérité avec le cnceur des Ro mans d'flérodiade. La savante et admirable musique de Massenet a trouvé dans nos vaillants orphéonistes des interprètes dignes d'elle. Tous les auditeurs ont été d'accord pour vanter 1 aplomb, la justesse et l'obser- vance des moindres nuances, dans cette trés bonne exécution. Le succès le plus saillant de cette soirée pour ceux qui aiment rire un brin, a été pour le chanteur de genre M. Marien de Malines et sa dame. Apiès avoir chanté en franpais et en fl tmand une quantité de chan sounettes comiques et dit avec esprit plu- s.eurs monologues, M. Marien a offert une nouveauté h son public Le theatre des fantochesvivants. Ce qu'on a ri est inénar- rable. Aussi tout le monde était il d'accord pour exprimer le voeu de voir M. Marien - Le dernier martyr La familie du mis sionnaire dont la mort a été annoncée, ets jours derniers, aux Pères de Scheut et au gouvernement beige vient d'être prévenue. Le martyr était originaire de Waereghem. C'est le Père Van Meirhaegen. Missionnaire depuis cinq ans, sorti sain el sauf des grands troubles, il était venu, veis la fin de l'an passé, embrasser sa vieille j mère. Puis, après un court repos, il avait repris, au mois de uovembre, la route de le Mongolië. Le martyre i'attendait. Nous apprenons la mort de M. De Bouck, Juge de Paix du 3® canton de Biuges. Hier, Mardi, est décédéc presque inopiné- ment, Ypres, Mm® la Baronne de Bieber- s ein, belle Mère de M. Félix Struye, chez qui elle était venue passer quelques jours. On comprend l'émolion de la famill si subitement et si cruellement éprouvée. Faisant le bilaii de l'ceuvre des pains de St Antoine en l'église de St Pierre Ypres, le Révérend Curé put donner ie 31 décem bre dernier la communication suivanle Recettes pour I oeuvre en 1901 2516,34 fr, Six distributions: 9059 pains 2536,52 fr. L'oeuvre reste done toujours également prospère grande est la coufiance des fidèles au Saint Thaumaturge, Uembieuses sont les faveurs qu'ii obtient. Huwelijksafkondigingen Josephus Vanneste, juwelier, (e Rousselaere, en Maria llollevoet, zonder beroep, te Yper. Petrus Talon, metser, te Yper, en Helena i Tegethof, strijkster, te Yper. Cyiillus Barbier, dagiooner, te Eggewaerts Capelle, en Maria Lenoir, zonder beroeo te Yper. UNE MERVE1LLE. Pourquoi voulois tuusser quand je garantis publiquement, qua ie Sirop Depratere au goudron décfforé et sa baume de Tolu, guérit le rhume le plus opiniatre en 2 jours. C'est le pectoral le plus prompt, le plus sur et le plus agréable. Le Sirop Depratere émerveille tous ceux qui en font usage. Prix 2 fr. la bouteille. Le railement revient 0.10 par jour. 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Godtschalck en te Locre in een bosch dicht bij het St Antonius gesticht, en 51 koopen verscheide boo men staande te WYTSCHAETE ophtt hofstedeken gebruikt door de W® en zoon Louis SIX 6 koooen Te LOCRE in hel St Antoniusgesticht 5 koopen Te YPER in het Krankzinnigengesticht 2 koopen Te ZILLEBEKE in den Kapoenbosch dicht bij het hofstedeken gebruiki door de kinders DEFEVER 23 koopen in het Kapellebosch dicht bij het hofsiedek gebruikt door de zelfde 15 koopen De boschwachters Désiré LEROI, te Zillebeke, Henri GaRDYN, te Wyt schaete en Sieur Isedore SCHMIDT, te Brielen, zullen de koopen aanwij zen aan de lief hebbers. De kohieren van lasten voorwaar den en bespreken onder dewelke deze verknopingen zullen geschieden, be rusten in het kantoor der Burgerlijke Godshuizen en bij de werkende Nota rissen. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1902 | | pagina 2