D'ignobles écrits calomnieux, visant des
industriels et des négociants des plus liono-
rables du canton de Wervicq, sont distri-
bués dans ce canton.
L'auteur de ces infamies est connu et dé-
noncé a la Justice.
Les radicaux-socialistes vont bien
1
ww IEH
2
La signification
votez sous le n° 1.
Colmrt
Van Merris
The vel in
Sous le N° 1
Nos Candidats
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Ck
du vote deuimanchej™ ie k^r qUe fe»it
VERKIEZING VOOR DRIE VOLKSVERTEGENWOORDIGERS
Colaert
Van Merris
Thevelin
Thevelin
J Eraeijs
Brutsaert
Nolf
Brunfaut
Aux Abimcs
C'est voter pour qui a en-
couragé par son silence, ou
approuvé par 1'a Ilia nee con-
tractée, les menées socialis-
tes; c'est épauier Janson, qui
s'est déclaré, a la Chambre,
républicain et socialiste; c'est,
en définitive, voter indirec-
tement pour un socialiste
Nous défions 31. Nolf de
31Nolf est complice des
sociALisTEs, a moius qu'il ne
SOit INCONSCIENT.
Dans I'un com me dans
l'autre cas, le suffrage des
hommee d'ordre ne peut al
ler a M. Nolf. lis voteront
done tous pour M. 31.
M. Colaert
M. Van Merris
Mi Thevelin
AIRIROlSroiSSEIIVEEIN-T YPER
DEN 25 MEI 1902
STEMT HIER BHH VOTEZ
ICI
jSSflKS!
PLAATSVERVANGERS
PLAATSVERVANGER
J J n, li Nous ne saurions trop roettre
_T courir au pays la politique libé-
Voter pour UU ra ical, ra{e si, par malheur, les elections
qu'est-ce que cela signifle a j fiu *25 Mai devaient ritévsr le
l'heure actuelle f
pouvoir aux catholiques. Lc
toyen Vandervelde attire impi-
toyablement vers un ablme béant
les deux compères de 1'alliance
libérale, Janson et fluysmans.
Janson y va de bon coeurHuvs-
1
mans veut résister niais, encha?-
ne son coliègue, il doit marcher
malgré lui s e socialisme entraine
le radicalisme et celui-ci tire le
libéralisme avec lui. Ainsi est ré-
1 alisée la parole prophétique de
M. Frère-Orban, s'écriant la
Chambre, le 18 A ril 1881, en
désavouer M. Janson, Ie RA -j s'adressant k M. Janson: Vous
DICAL, SOCIALISTIC ET cherchez k conduire le pays aux
RÉPUBLICAIN. »'y a moyen
d empecher la catastrophe annon-
Votez done poui ia liste J cée par le seul hom me d'Ëtat du
catholique et conservatrice, Pai i liberal11 faui voter pour j
les conservateurs, qui viennent de
faire triompher l'ordre et la lé<ra-
i j
lité. Contre ceux qui s'ach anient,
par cotnplicité ou inconscience, h
compromeltre les intéréts les plus
graves du pays.
Nos candidats sont connus nous n'en
dirons plus que quelques mots.
Notre premier candidat est
Avocat plein de talent et Bourgmestre
d'Ypres.
Intelligent, expérimenté, homme d'initia-
tive,il était naturellement désigné poursuc-
céde" a M.le Baron Surmont de Volsberghe,
devenu Ministre de l'ludustrie et du Travail.
M. Colaert est un travailleur sans pareil.
Ses adversaires même lui rendent ce témoi-
gnage, et proclament, avec nous, que s'il
n'avait pas une santé de fer, il ne pourrait
résister a tout son labeur.
II siège depuis plus de 18 ans a la Cham
bre et ses électeurs ont constamment renou-
velé son mandat.
Et ce n'est pas sans raison vraiment a
part les nombreux services qu'il a rendus a
ses électeurs, M. Colaert fait preuve, en
toutes circonstances, dun talent d'orateur
remarquable. A la Chambre il est très-
écouté quand ses adversaires l'interrom-
pent,il les met bien vite a leur place,toujours
avec esprit, toujours aussi sanB blesser per-
sonne.
M. Colaert a souvent été rapporteur de
projets de lois et de budgets importants. Les
jurisconsultes de tous les partis lui donnent
leur préférence, surtout dans les questions
qui concernent l'ordre social, le droit et la
familie protection de l'enfance, lois réglant
la procédure civile ou pénale etc.et récem-
ment encore Tim portante proposition de loi
sur la recherche de la Paternité, dont le
rapport lui a été confié a l'unanimité des
membres de la section centrale, y compris
MM. Hymans et Denis.
C'est surtout a M. Colaert que les culti-
vateurs doivent des DROITS PROTEC-
TEURS POUR LE BÉT AIL ET L'A VOINE
ET L'ABOLITION DES DROITS SUR LA
CULTURE DU TAB AC.
M. Colaert est toujours sur la brêche
quand il s'agit de défendre les intéréts de
sou arrondissement.
Voyezle a, l'ceuvre pendant la campagne
électorale II parle dans presque toutes les
communes de l'arrondissement. II enthou
siasme sonauditoire, littéralementsuspendu
a ses lèvres. C'est un tribun dans toute la
force du terme. Aussi pourrons-nous dira
que si notre victoire du 25 mai est complete
et nous en sommes convaincus c'est a
lui que nous le devrons en grande partie.
M. Van Merris fut, pendant de longues
années, conseiller provincial. II siège ala
Chambre depuis 1896.
Son dévouement, sa serviahilité sont pro-
verbiaux a Poperinghe et dans les environs,
comme du reste dans tout Parrondissement.
C'EST L'HOMME DU PEUPLE.
Dans nos meetings, M. Van Merris se
distingue par sa parole aisée, par sa chaleu-
reuse conviction, par l'expression de ses
sentiments profondément chrétiens.
M. Van Merris parle a la Chambre quand
l'intérêt de son arrondissement est en jeu.
II ne prodigue pas ses paroles, mais il est
actil et sait faire les démarches nécessaires
pour obtenir des faveurs gouvernementales
pour ses électeurs.
L ami et le compagnon de lutte de M. Co
laert,,il s'est rendu dans la plupart des com
munes de l'arrondissement portant partout
la bonne parole, et travaillant de tous ses
efforts pour le succès complet de la liste ca
tholique.
Quand le comité de l'Association eut a
désigner un candidat pour le troisième
siège, son choix se iixa immédiatement eti
unanimement sur M. Thevelin, notre can
didat de 1900.
M. Ihevelin est spécialement le candidat
de 1 agriculture et de la partie Wallonne de
l'arrondissement.
II est conseiller provincial du canton de
Messines depuis 10 ans. En cette qualité il
a rendu de grauds services a ses électeurs.
M. Thevelin a un caractère droit et loyal;
il est instruit et jouit d une longue expérien-
ce, acquise tant dans sa pratique du nota-
D
B
Cl-
N