BEESTIALEN
BEESTIALEN
La rentrée des classes
Les miliciens de 1830
Une parade
La santé de la Reine
L'éleetrique
Bruxelles-Anvers
Fails divers
Vruchten te velde
LandbouwalaamHerberg
en Menagiegerief
te fetation, (dreef)
op Maandag 29 September 1902,
om 12 ure middag, ter herberg Sta-
dendreef
Appareils photographiques
Callewaert-De Meulenaere
ble. S'ils l'emportent au point de vue du
nombre des distinctions obtenues, ils ne
l'emportent pas moins par la qualité de leurs
prix et accessits. Le collége de Thielt par
exemple obtient un grand nombre de prix
premiers ou uniques.
Les élèves du collége de Thielt rempor-
tent
4. En rhétorique, le 4" prix de langue
franpaise, le premier prix de langue latine
(prix d'honneur), le premier prix de langue
grecque, et Yunique accessit de langue an-
glaise
2. En seconde, la première place (accessit)
en langue frangaise, et le premier prix de
langue latine.
3. En troisième, le prix unique de langue
franpaise.
Le premier prix de langue latine.
4. En quatrième, le premier prix de lan
gue latine le premier prix de langue grec
que le premier prix de langue franpaise.
Le comble, c'est que la légende eolporlée
par nos adversaires et faisant accroire que
dans nos colléges catholiques seul l'enseigne-
ment du latin était sérieusement orgamsé
cette légende tombe d'elle-même, car les
élèves du collége de Thielt, par exemple, se
sont signalés en toutes les branches, sans
aucune exception.
II est bon, au moment oil les families font
choix d'une école, de faire connaitre les bril
jants succès obtenus par nos colléges patron-
nés, et de proclamer k la face des incroy-
ants la déflnitive supériorité de l'enseigne-
ment libre catholique.
elle-même, dans tous ses éléments, est em-
i preinte de l'esprit religieux.
I A la veille de la rentrée des classes, el en
jj présence de la propagande scolaire que lont
I nos adversaires, c'est pour nous un devoir
I d'opposer une propagande énergique k celle
I de nos adversaires.
Dans quelques jours se tera la rentrée des
classes.
Nos journaux libéraux font appel aux pa
rents, pour les engager k faire inscrire leurs
enfants dans les écoles communales et it
1 école moyenne.
Ces écoles, disent-ils, se trouvent sous la
surveillance éel'administrationpubliqueetpré-
sentent par conséquent toutes les garanties
désirables au point de vue de la morale et
de l'enseignement.
Nous n'y contredisons pas pour ce qui
concerne les écoles d Ypres. Mais il n y a pas
que ces conditions. L'éducation doit être
chrétienne avant tout.
En supposant que sous ce rapport les
écoles officielles laissent beaucoup moins k
öésirer qu'autrefois, nous devons insister,
comme toujours, pour que les parents don-
nent la préférence k l'enseignement catho
lique.
Quoi que fassent les maitres d'ecoles, len-
seignement officiel n'oflrira jamais, au point
de vue religieux, les garanties de l'enseigne
ment catholique.
Comme nous le disions l'an dernier, les
écoles officielles sont peuplées d'anfants ap-
partenant k des families libérales, radicales,
voire roêtne sociulistes.
Les enfants transportent naturellement,
forcément, de leur foyer k l'école, les idéés,
les sentiments, les vues de leurs parents.
Les maitres peuvent enseigner k leurs
élèves les notions de la morale et de la reli
gion qui sont au programme. En les suppo
sant tous de bonne volonté, ils ne parvien-
dront jamais k corriger complètement les
idéés qui se sont emparées de l'enfance au
foyer paternel.
Le contact de ces enfants avec ceux de nos
families catholiques est done toujours dange-
reux.
Aussi estimons-nous que c'est un devoir
de conscience pour les parents catholiques
de ne confier leurs enfants qu'k des maitres
et des maitresses catholiques, dont 1 école
La liste des miliciens qui figuraisnt dans
l'armée de septembre 1830, au commence
ment de 1831, vieni de s'augmenter d un
certain nombre de combattants de cette caié-
gorie qui avaient été oubliés dans le premier
relevée. Ces miliciens de 1830 jouiront
désormais, comme leurs frères d'armes, du
subside annuel de 400 fr. Parmi eux nous
trouvons: MM.Bruynsteen, k Ypres; Godens,
k Zonnebeke Mestelis, k Hulste Soetaerd,
k Menin et Van de Putte, kOost-Nieuwkerke.
Done, c'est décidé le parti socialists va
tout mettre en oeuvre pour obtenir la journée
de huit heures. Les chefs déposeront une
I proposition de loi, les Chambres seroni
sommées de la voter, et si elles regimbent,
on agitera de nouveau l'épouventail de la
grève générale.
En d'autres termes, ces messieurs se pro
posent de recommencer pour la journée de
huit heures ce qui leur a si bien réussi pour
le suffrage universel.
On prononcera des discours, encore des
discours, toujours des discours, etlesmou
lins k paroles du parti feront accroire aux
ouvriers qu'ils servent leur cause,
jj «Ce serail risible, si ce n'était navrant,
S dit l'Éioile
uüs ouvriers n'ont rien k attendre d'une
propagande de cette espèce. II n'est pas sé-
rieux, en effet.de prétendreréglerla question
des heures de travail sans régler en mé me
temps la question du minimum de salaire.
Prétendre résoudre l'une sans l'autn est
une entreprise ridicule, qui doit donnet' k
tout homme raisonnable une singulière idéé
de la clairvoyance de nos tribuns.
Supposons que la journée de huit heures
soit imposée législativement aux patrons. II
est évident que les salaires vont diminuer.
L'Etat ne peat pas dire aux patrons Je
vous enlève plusieurs heures de travail jour-
nalier par ouvrier mais vous continuerez k
payer comme auparavant.
Done l'ouvrier, travaillant moins, gagne-
rait moins. Tel serail le fait le plus certain
de la journée de huit heures, si les Chambres
écoutaient les prometteurs de beaux jours
qui prétendent améliorer ia condition des
travailleurs.
La proposition que les socialistes nous
annoncent n'est done et ne peut être qu'une
vaine démonstration pour la galerie.
a Si les sociaiistes veulent qu'on discute
leur proposition d'une manière sérieuse et
pratique, il faut qu'ils y joignent uno propo
sition établissant un minimum de salaire.
Les deux questions sont inséparables.
Admettre ia disjonclion, c'est se décer-
ner un brevet d'incapacité.
tr'aordinaire. La souveraine vient de donner J
une nouvelle preuve de cette résistance mo
rale et physique en triomhant de la crise re-
doutable qu elle vient de traverser.
La maladie ct-pendant est grave. L'hydro
pisie paralyse complètement la malade qui est
cond .mnée k séjourner des journées et des
nuits entières dans une chaise longue. Depuis
plus de qutnze jours, ellen'a plus reposédans
son lit.
La Reine a Ie pressentiment de sa fin pro-
chaine.
Elle craint le raois d octobre et s'en est
confessée,parait-il, k M. de La Fontaine, cu
ré doyen de Spa.
Au baron Goffinet, qui accompagnait le
Roi, iers de sa dernière visite k Spa, elle dé
clara, en lui disant adieu Ge sera pour le
mois prochain.
Cette présence d'esprit continuelle et cette
disposttori mentale rendent naturellement
plus péaibles encore les douleurs physiques
que la Reine endure.
Voici une nouvelle note que télégraphie en
dernière heure ce correspondant
L'état de santé de S. M. la Reine ne s'est ea
rien amélioré. Le pouls de l'augude malade
est devenu imperceptible.
La familie royale a été prévenue de la gra-
vité de la maladie de la Reine.
La princesse Clémentine arrivera k Spa
mardi ou mercredi au plus lard.
La discrétion la plus sévère a été imposée
au personnel et aux personnes fréquentarit
le Palais. Ainsi s'expliquent les nouvelles
optimistes adressées aux agences et trans
mises aux différents journaux renseignart
un mieux considérable.
Ges nouvelles ne reposent que sur une
tolérance tendancieuse laissée aux gens du
Palais de dire que l'aggravalion ne serail
qu'un accès d'astüme et que déjk une amé
lioration trés sensible estk constater.
Tout ceci sous les plus expresses réserves.
L'ami reput, avec stupéfaetion, le texte
suivant
«Prière d'expédiercorbillardk trois roues!
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sur l'organisme et amène en peu de temps la
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VENDITIE van
VRUCHTEN EN ALAAM
en MEUBELS
te GHELLFELT
op Dinsdag 30 September 1902,
I. om 9 ure voormiddag ten huize
en verzoeke van Ch.-L. Garrissi-
moux metser te G'ieluvelt,
II. om 1 ure namiddag, ten huize
van Fraudes üelahaye, hij «'t Kan
tint je», door't ambt van den nota
ris Joseph BAY ART, verblijvende te
Becelaerc.
Les nouvelles l°s plus contradictoires cir-
culentausujet de l'état desantédeS.M. la Reine.
Un correspondant d'un journal bruxellois
écrit
Diraancbe, le docteur Thiriur est retourné
k Bruxeiles, apiès avoir constaté un mieux
sensible dans l'état de Sa Mqesté, dont le
courage estk -.ouieépreuveet qui supporte ses
souffrances avec une force de caractère ex-
Le conseil supérieur des chemins de ter
de l'Etat vient de tenir deux réunions coosé
cutives en vue d'élabottr lc projet de eonven
tion destiné k être soumis aux Chambres k
l'appui d'un projet de loi, -lés l'ouverture de
la prochaine session parlementaire.
Selon les prévisions la nouvelle lignedevra
être livrée k ('exploitation d'Anvers k Bruxel
les (Nord), le ler octobre 19U5, et la section
Nord-Midi, k partir du moment de la mise en
service de la jonction projetée.
La vitesse commerciale des trains re
pourra êue inférieure k 100 aiiomètres k
l'heure entre ie terminus k Anvers et le point
d'arrêt k Bruxeiles.
Le gouvernement se réservera éver.tuelle
meat le droit d'exiger du concessionaire,
dans la suite, les accroissements de vitesse
réalisables qui auronl été obtonus dans la
pratique en Belgique ou k l'étranger.
Le chemin de ter électrique Bruxelles-An
vers sera assimilé aux services detramways
il ne pourra d'aucune fugon assurer le trans
port des marchandrses, des bagages et des
dépêches ou colis de la poste.
Des boites mobiles destiuées k recevoir
les iettres et autres correspondances seraient
cependant adaptées k toutes les voitures.
Les erreurs télégraphiques. Un amateur
de poissoii, d'Anvers, uvait lélégraphié k un j
de ses amis d'Ostende
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