Extrait Extrait J. FIERS-LOUWYGK OHYSEL-GÏLLEr ÖN DEM&N0E pour une maison de commerce un JEUNE HOMME de bonne conduite, connaissant le Iranpais et le fla- mand, apte k voyager, de préférence ayant déja été dans une maison de commerce. A LLEIUA GISE Liste des Conscrits pour 1908 Hollande L'extension universitaire catholique Monsieur Van Cayzeele Atelier: Bue de Stuers, 85. dü piêiei un sou, puisque, pour réatiser l'emprunt provisoire de 40,000 francs, la ville pouvait déposer 52,800 francs en rente Beige. Entendez-vous, Progrès1 ou fermerez-vous vos oreilles k la vérité, cornme vos yeux la lumière du jour Le Progrès suppose encore que les Hos pices, en 1900, ont prêté la ville 29,400 francs. Cela résulle, dit-il, du rapport des Hospices de 1901. Etc'est un ancien administrateur ou fonc- tionnaire qui écrit ces choses lk Oti a-t-il vu eet emprunt provisoire de 1900 ou1901 Et e'est ce sourd, pire que tous les sourds, qui écriton peut juger par ce qui précède quelle créance mérite toutce que notre mielleuxbourgmestre débite auxgensnaïfs du Volksbuis. A Sarnedi, Monsieur, les comptes restifiés par la députation permanente. Vous aurez sans doute vérilïé déjk ceux de l'administra- tion libérale. La fugue Princière La prétendue influence des jésuites Un démenti officiel. Le Dresdner Journal donne un démenti of ficiel k l'allégation que la princesse aurait été la vietime dune intrigue cléricale. II y a d'abord k opposerk cette alléga- liori, ditle Dresdner Journal, que les pour parlers qui ont abouti k la nomination de M. Giron comme professeur, ont eu lieu non k l'intervention de personnagesecclésiastiques, mais par voie diplomatique. II était recommandé que l'on choisit un homme absolument honorable, ayant de sé rieuses connaissances scientifiques et spécia- lement connaissant k fond la lingue frarcai- se eütiu it faliait que le candidal füi, il esi vrai, un bon catholique, raais ce ne pouvait être un jésuite. L'engagement a été définiti vement conclu par le gouverneur militaire des princes royaux. D'apès les déclarations faites par Giron lui-mêine, il est né en 1879 kGand. Son père était capitaine du génie. Les établissements dans lesquels il fit ses études n'étaient pas sous la direction des jésuites Quant aux récriminatioris que cer tains journaax prétent k la princesse au sujet de 1'influence qu'exerceraient les jésuites k la Cour de Saxe.il suffit d'y opposer ce fait que le §56 de la Constitution Saxonne ne permet pas d'admettre des jésuites dans le pays et que, d'après une disposition légale au re speet de laquelle on a tenu, jusque dans ces derniers temps sévèrement la main, les fonc tions de prêtre ou des fonctions religieuses officielies ne peuvent être confiées dans le royaume deSaxe k des ecclésiastiques qui se seraient formés dans une séminaire dirigé soit par les jésuites, soit par une communau- lé aux jésuites. En ce qui concerns les membres du clergé, qui exercent actuellement des fonctions offi- j cielles k la cour, on peut leur rendre, sans j exception, eet hommage qu'ils se sont tou- jours loyalement et irréprochablement com- poités, et se sont abstenus de tout ce qui aurait pu compromettre la paix confession- nelle. Au surplus on ne saurait citer le moindre incident k l'appui de cette allégation que les jésuites ou leurs affiliés auraient, de l'étran- ger, exercé une influence sur l'éducation des princes impériaux, notamment en restrei- griant les droits de la mère k eet égard. Toute ^instruction primaire a d'ailleurs, comme on sait, été donnée au prince, sauf en ce qui concerne la religion et les langues étraugères, par un professeur attaché k une école évangélique luthérienne saxonne. II est boa de rappeler sussi qu'k laseule exception du directeur général de la Ghapelle musicaleetdu théatre de la Cour, ainsi que du gouverneur militaire des fits du princehé ritier, toutesles personnes attachéesaux mai- sons du roi et du prince royal appsruennent au culte évangélique-luthéri' ii. II en était de même des deux grandes maitresses de la Cour en fonctions pendant que la princesse Louise était ici. Ces fails suffisent k faire justice des allé- gations relatives k un parti catholique de cour qui exercer-it une influence cléricalisante ou ultramontaine. Depuis l'avènement du roi Georges on ne saurait citer un seul fait qui donnerait une apparence de vraisemblance k la supposition que le roi n'aurait pas, k l'exemple de ses prédéceseurs agi en toute circonstance comme roi d'un pays presque exclusi vement évangélique-luthérien. Le roi Georges a déclaré, lors de son tvè nement, qu'il dirigeraitlegouvernementdans le mêaie sens et le même esprit que son frère et en recevant pour la première fois ie repré sentant de l'Eglise évangélique luthérienue, leur a donné l'assurance que 1 église évangé lique ne serait pas moins bien traitée sous soa règne que sous celui de son frère. Quiconque connait les sentiments du véné- rable monarque, qui san son inébranlable attachemenl k sa conscience, k sa fidélité et k son devoir, sait que cette promesse royale était la plus süre garantie de I'm variable rnaintien de l'entente, de l'harmonie qui n'a cesséde régner jusqu'icientre le tróne et les sujets, notamment sur Ie terrain religieux. Serait-ce la fin d'un roman Au cours des négociations qui ont eu lieu entre les représentants de la princesse béri- lière et ceux de la Cour de Saxe, une modi fication s'est produite dans l'attitude de la princesse qui serait. parait-il, disposée k quitter le professeur Giron, et k accepter de faire ses coucbes en Autriche. Une décision definitive est attendue. Un comité de dames de Dresde réunit des signatures pour une adresse suppliant la princesse royale de revenir k Dresde. L'étal du docteur Scbaepman, le chef du groupe catholique k la seconde Chambre, qui s'était rendu en Italië pour sa santé, s'est subitement aggravé. Le malade, atteintd'une affection de cceur, a repu les derniers sacre ments. fondée par l'Institut supérieur de phiiosophie de l'IJriiversité de Louvain, organise, dans le courant de janvier une conférence k Ypres Hu welijksafk ondigingen D'un jugement par défaut rendu ie vingt-uu Novembre 19 cent deux par le 1 ribuual civil de première instance d'Ypres, entre Hortense Lowage de- manderesse, boutiqu ière aWytscaaeto, admise au benefice de la procédure gratuite par jugement du Tribunal susditen date du trente Avril 19 cent deux,ayant pour avoué Me BEGEREM, contre son mari Pierre-Elie Vande vyver, meunier a Wyischaete, défen- deur, défaüiant, il appert que'la nom inee Hortense Lowage a été déclarée séparée de corps et de biens d'avec son mari. Pour extrait conforme BEGEREM, Par jugement du Tribunal de pre mière instance d'Ypres,f.f.de Tribunal de commerce, en date du Ut Janvier 1903, le sieur Alois VANDAMME- VANLERBERGHE, boutiquier a Be- veren lez Roulers, est déclaré en él,at de faillile M. le Président L. Biebuyck est nommé Juge Gommissaire et Mtic J. Gourouble, avocat-avoué a Ypres, curateur Les créanciers son! priés de faire leurs déclarations de oréauce au greffe du Tribunal,avant le 30 Janvier 1903; La cloture du procés-verbal de véri- fication des créanees est fixe'e au 13 Février, a 9 heures du matin, et les débats sur les contestations de créance au 27 Février, a 10 heures du matin, en i'auditoire du dit Tribunal. Pour extrait conforme. Le Curateur: J. COUROUBLE UNE MERVEILLE. Pourquoi vouloir tousser quand je garantis publiquement, que le Sirop De prate re au goudron décoloré et au baume de Tolu, guérit le rhume le plus opiuiètre en 2 jours. G'est le pectoral le plus prompt, le plus sur et le plus agréable. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1903 | | pagina 2