CUAMBARD des PurgaüS**
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Extension Universitaire
Histoires de Brigands
Le Printemps
Chronique religieuse
Faits divers
Actes officiels
yin
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A VIS
C'est devant un public choisi et nombreux
que le distingué Conférencier le Doeteur
Paul Moreau a développé un sujet tout d'ac-
tualité L'immunité par le sérum et le
vaccin.Certesc'étaitun titre peu engageant
pour un public rien moins que familiarisé
avec une méthode Théropeutique formant
une science des plus spéciales et pourtant si
pleine d'intérêts scientifiques et médicaux.
Ce sujet a été traité pourtant en termes si
clairs et si précis, accompagné de tableaux
démonstratifs si simples, que l'auditoire,
admirablement attentif, a pu s'assimiler des
notions trés netïes sur la nature des micro
bes, sur leur manière d'agir dans les maladies
qu'ils occasionnent et sur la manière de
combattre efficacement ces ennemis de nos
santés, par le sérum et le vaccin.
Nous ne pouvons que féliciter Mr Paul
Moreau de la clarté et de la méthode de son
enseignement, puisé d'ailleurs a la source si
connue du célèbre antagoniste de la tubercu
lose, le Piofesseur Denis de l'Uuiversité de
Louvain.
Nous pouvons dés k présent annoncer
qu'une dernière conférence aura lieu après
Pkques, et nous fera connaltre un des pays
les plus intéressants.
Tous lesjournaux de la péninsule applau-
dissent k la brillante et rapide opération des
autorités siciliennes pour la libération du
riche propriétaire de Marsala, M. Spano,
capturé il y a envirén un mois par une bande
de malfaiteurs.
Toute la population vivait depuis ce temps
dans les transes le coup accompli pour
ainsi dire aux portes de la ville, k la tombée
de la nuit par buit maladrins bien armés,
faisait croire qu'une nombreuse bande allait
désoler les environs et l'on n'esait presque
plus sortir de chez soi. II était évident que
cette séquestration du riche Spano avait été
méditée de longue main.
La consternation s'accrutencorequand l'on
apprit que les bandits demandaient un ran
pon de deux millions. lis devaient done se
senlir bien forts.
Naturellement les pourparlers avec la
familie du captif pour en arracher la forte
somme tralnèrent en longueur et pendant ce
temps la police agissait, chercbait, inter-
rogeait.
Enfin, ces jours derniers des indices
certains mirent les autorités sur des traces.
On sut que M. Spano avait été emmené sur
la montagne et caché dans un maison aban-
donnée et solitaire. Un beau soir, le repaire
est cerné par une escouade d'agents et des
carabiniers.
Le prisonnier avait été caché dans une
espèce de souterrain de cave une couche de
fumier, en dissimulait l'ouvenure et les
agents furent quelque temps k chereher.
Les deux bandits qui gardaient k vue M.
Spano lui mirent leurs revolvers sur la gorge
pour l'empêcher de crier. Tout k coup, des
bruits sourds au dessus de leurs têtes leur
apprennent que les agents déblaient l'entrée.
Les deux bandits, se voyant découverts,
prennent la fuite par un passage secret et
qui n'était pas gardé. Deux minutes après,
le captif, sain et sauf, embrassait ses libéra-
teurs.
Sans perdre de temps, une fois descendu
de la montagne, M. Spano est placé dans une
voiture et en route pour Trapani, d'oü le
lendemain il prenait le train k destination de
Marsala en compagnie du préfet.
La population, musique en tête, fit une
escorte enthousiaste k M. Spano aiors qu'il
se rendait k la gare et il en fut de même k
l'arrivée a Marsala. L'ovation était aussi en
partie en Thonneur du préfet de Trapani, qui
avait piussé les autorités avec vigueur dans
leurs recherches.
Le jour même on arrétait le propriétaire
de la maison ayant servi k la séquestration et
avec lui deux de ses fils.Tous les trois avaient
pris part k l'enlèvement. Presque simultané-
ment,trois autres se faisaient prendre au mo
ment oü ils allaient monter dansle train pour
Marsala, avec l'espoir de toucher la rangon.
Parmi eux, se trouvait un des gardiens de
M. Spano et, coincidence curieuse, pendant
que les agents l'emmenaient en prison, il
rencontra celui qu'il avait tenu captif durant
un mois. Le bandit supplia les agents de le
laisser approeher de M. Spano arrivé en sa
présence il se jeta k ses pieds en lui deman
dant pardon.
Le second gardien a cru bien faire en se
livrant aujourd'hui même k la justice. Mais
plusieurs arrestations sont encore en vue,
car d'autres individus ont, paralt-il, trempé
dans cette affaire.
(Ghant d'Ecole). Mus. de Oscar Callebert.
1.
Le doux printemps
Vient réveiller les bois, les champs
Voyez la terre rit aux cieux
Ft tout redit en chants joyeux
G'est le printemps,
Tout plein d'accents
Doux et charmants(2)
2.
Le doux printemps
Fait résonner les doux accents
Le coucou sur le chêne altier
Au gai pinson vient de crier
G'est le printemps,
Tout plein de chants
Doux et charmants (2)
3.
Le beau printemps
Refait les coteaux verdoyants
Partout se relèvent les fleurs,
Et charment les yeux et les coeurs
G'est le printemps,
Tout plein de chants
Doux et charmants (2)
4.
C'est le printemps
Et vers les prés et vers les champs,
Les abeilles, les papillons
S'en vont en joyeux tourbillons
G'est le printemps,
Tout plein d'accents
Doux et charmants (2)
5.
Le doux printemps
Rassemble aussi tous les enfants.
Après l'école, ils vont joyeux
Aux prés, aux bois, chantant heureux
G'est le printemps,
Tout plein d'accents
Doux et charmants (2)
Comines. P. P. Denys,
Eglise de St Martin.
Confrérie de N. D. de Lourdes ei Apostolat
de la prière pour la conversion des pécheurs.
Mercredi 25 Mars fête de 1'annonciation de
ia Ste Vierge.
Indulgence plénière.
Messe solennelle k 8 heures k l'intention
des associés.
Mardi, l'adjudant a regu un formidable
coup de pied de son cheval, k l'école d'équi-
tation. La jambe du malheureux lieutenant
est cassée en deux endroits, et l'on craint que
l'amputation ne soit ordonnée.
On signale plusieurs rixes, qui ont eu de
fkcheuses eonséquences k Poperinghe, k
Boesinghe, et dans d'autres communes de
l'arrondissement.
ELIXiR VINGENT.
Est un raméde composé de sues de plantes, il
n'a qu'une action bienfaisante sur l'organisme et
améne en peu de temps la guérison de la goutte
et du rhumatisme.
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teyne. Prix3 fr. le flacon.
A Watou. Les deux fillettes de De Smyter
cultivateur k Watou, prenaient kurébatsau-
tour d'un feu de déchets en pleins champs,
lorsque tout k coup les jupes de l'alnée
s'enflammèrent.
L'enfant pritsa course vers la maison en
hurlant de douleur, mais k peins eut-elle fait
quelques pas qu'elle tomba demi-morte. Ses
parents accourus, s'empressèrent de la rele-
ver et lui donnèrent les premiers soins; mais
les brülures étaient si graves que l'efant a
succombé le même soir.
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i qualité Prenez les paquets de la Raffinerie
I Tinemontoise.
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tousser quand je garantis publiqueraent, que
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pharmacie De Boey et Hulpiau.
La santé k tout age
II faut que tout le monde le sache bien, non
seulement les pilules Pink rendent la santé aux
gens affaiblis en régénérant leur sang et guéris-
sent anémie, chlorose, neurasthenie et rhumatis-
mes, mais encore, elles entretiennent la vigueur
du corps aussi bien chez lesjeunesgensquechez
les vieillards. Par elles, les jeunesflllessefontun
sang riche qui leur permet de lutter contre les
accidents delaformation, les femmes par venues a
l'époque critique la vie supportent plus facilement
las dangers qui menacent leur santé. Les vieil
lards enfin, trouvent par l'emploi des pilules Pink,
le moyen de rester plus sains et plu* vigoureux.
Les pilules Pink sont, aujourd'hui, couramment
employees. Ainsi M. Valentin Cousin, carreleur a
Mignault (Hainaut), a pu retrouver la santé par
l'emploi des pilules Pink. Peut-être que le métier
qu'il exerce a contribuó h développer la maladie
dont il a souffert pendant quatre ans. On emploie
fréquemment le ciment pour lecarrelage, or ce
produit dessèche et brüle, et lesorganes du corps
sont facilement altórés par la poussière du ci
ment.
Par arrêté royal du JO mars, M. A. Godt-
sehalck, bourgmestre de Warneton, est
aommé membre de la commision administra
tive de finstitution royale de Messines, en
remplacement et pour achever le mandat de
M. H. Iweins d'Eeckhoutte, décédé.
M.Cousin Valentin, d'après une photo.
J'ai souffert de l'estomac pendant quatre ans,
nous écrit M. Cousin. Je ressentais une pesanteur
constante sur l'estomac ainsi qu'une douleur qua
la pression rendait plus aiguë. J'éprouvais en
outre, un sentiment de sécheresse a la langua et
a la gorge, une grande inappétence, des malaises
fréquents accompagnés de nausées. Je digórais
difflcilement mes aliments, jedormais mal et
mon sommeil était troublé par des cauchemars.
J'avais toujours les pieds et les mains gelós. Au-
cun remède ne me produisait d'efïetseules les
pilules Pink m'ont apporté, non-seulement un
soulagement rapide, mais une guérison complé
te. Elles sont en vente dans toutes les pharma
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d'une maladie de la peau dar
tres, eczémas, boutons, déman-
geaisons, bronchites chroni-
ques, maladies de la poitrine, de
l'estomac et de la vessie, et de
rhumatismes, un moyen infail*
lible de se guérir promptement,
ainsi qu'il l'a été radicalement
lui-même, après avoir souffert et
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