m Aucun point du programme socialiste. li Voor uil. NE s'ATTAQUE A LA 1 ii!k' u li mw- i 1 i i y o jVr :u I i t ij? ii- JifJ Mercredï 22 vril 1903 10 een li mes le N 38® Annéb N° 3738 mmsm Bulletin politique Hollande et avec ia paix religieuse y règne une A i'extension Universitaire Catholique Service militaire France INTERIEUR L'école ofllcielle ei ies socialistes Une exposition universelle en 1907 Les cheoiins agricoSes iiM l! - 'i iu ii V'M lij I 1 I i SI m«s wmh lil jfi Smsm mmi On s'abonne rue au Beurre, 36, Ypres, et a tous les bureaux de poste du royaume. Et aujourü'hui, le catkolicisme y a iitrailger pleine iiberté sa bienfaisante action, Hier,a eu lieu en Hollande !a reprise nouvelle prosperite.^ compléte dn travail. Mais les curriers Souhaiton» de voir b.eolól auss, en employés par les entrepreneurs de j f™**» ap> es les J,-unices de troub.e, transport out dft s'e Wr t n> pos tes >mnfs de f*-. s""s atandoonrr le traval! sur Por ire d'uue SMl ':lles Pas °»cor': Procllcs- Quand les comervateurs libéraux out dit repris sa place lionoréo. i! y exerco eu ctupeuple.tuncdois plus croireau Cielqu l ils ont écrit sur la porte de leurs ateliers Dieu n ent re pas ici quand ils ont éta Après nous avoir donné successivement eet, i.i! ver, i'Antisémitisme, la Musique et i'Exp issioo du sentiment, et rimmunité par Comité Yprois de tierce partie. Quant a la plupart des grévistes des chemius de fer de l'Etat, j ils seront réintégrés dans un grade 0I! v a une tendance un peu par tout inférieur a celui qu'ils occupaieut j a réduire la durée du service militaire, avant la grève. La compagnie bol lan ds isc inflige d s pênalilés plussévè- res la période de service déja aeeorn- plie par les ouvriers réintégrés ne comptera pas dans l'évaluation des pensions de retraite. 11 en eoüte gros d'écouter les me- neurs qui, eux, n'ont ri,-n a perdre! La dissolution des congregations re- En France, le service de deux ars, déja adoplé par le Sénat, ne tarde: a pas a devenir un fait accompli.D'autre part, le Zeitde Vienue, dit savoir de I bonne source que la direction supé- rieure de i'armée vient de decider d'intröduire le service militaire Je l deux ans daus I'armée austro-hov- groise. On travaiilerait en ce moment avec be ucoup d'activité au ministère de ia guerre a ['elaboration d un pro jet en ee sens. (Ex rit du discours de M Vunderveldc, son premier exercice par une conférence prono cé Ir 20 septembre 1894 au meeting pius ia portée de chacun. de 1 Nouvelle Gourde Bruxelles.) Après celle-lk.il ne faat plus seulemenl du toupet pour préteadre qu' aucun point du j programme socialists ne s'attaque k ia reli j Le Baron Kervyn de Volkaersbeke, nous a entrètenu jeudi soir, du Canada Frangais, oil it a vécu cinq années. Sa causerie, émail- lée de délicates descriptions des beautés de ia forêt. Ganadienne, des plaines fertiles et des grands lacs, complétée par un beau cnoix de projections, qu'il expliquait avec C'est de la démence ou de l'insigne mau- vaise foi le Vooruit ne sortira pas de Ik. - s humour et avec une grande richesse de co- LeS SUCieS jorjSj abondalt en apergus trés instructifs. Le moniteur de ce matin publie ut arrêté noUS soit permis en passant de re- ■royal du 23 urn 1902 disant que la Lonven- merejef M. E. F^ai- k qui revient une bonne I 'non relative au régime des sucres conclue a j part ja Hussite des projections, puis- Bruxelles le 5 mars 1902 entre 1 Allemagne, j qU'q a miS gracieusement sa lanterna k la ligieuses commence a faire éproover a la France ses déplorables effets. En supprimant les congregations enseignantes, on a évidcrtiment sup- primé leurs écoles. Ges.écoles doivent être remplacées, sous peine d'arriver a unecomplèiedésoT'gauisationde l'en- seignement public qui bien quobh- pier encore 1 - gatoire ou peut-être paree que obliga- religion toire n est déja pas trop brillaut ea France. Le gouvernement a done fait voter le 2 avril, par la Chambre. un projet de ioi décrétant la construction d'office de nombreuses maisonsd'école. Or, voici que Ja Ligue des contri- buables et la Ligue pour la Iiberté de l'enseignement, que président MM. Jules Hoc be et Edouard Rousse, adres sent aux conseils généraux un appel oü ce projet est vigoureusement cri- fustifier du besoin les ententes e- les compfn tiqué. mis avec les hommes d'une inteliectyalné L'ère des difficul'és a commence; 1 exempte des préjuqés dune autre époque. elle n'est pas prés de finir et embras- Le citoyeri P ulsen z la logiquc- pour lui. sera tous les domaines. Les écoles neutres ne sunt elles pas, foi M. Combes l'aura voulu. (Ju'il se souvienne il y a a peine 20 ans, en Allemagne règuait la per- sécution. Des 12 évêques vivants, 7 t'Autriche-Hongrie, la Belgique, i'Espagne, la France, la Grande Bietagne, l'Italie, les Pays-Bas et la Suède sortira son plein et en tier efifet Nous n'en voulons pour preuve que est ar- tiele du Peuple coosacré par ie compagr n Pauls cn k 1' Ec le cfficielle et oü fl u e notamment cette phrase Pour cette entreprise (la conquête des hotels communaüx), les socialistes beiges doivent, être unaoimes sauvegarder les ém- les officielies, les protégèr contre les assauts du cléricalisme, en améliorer l'organidation etlestendances, c'esi, plus qu'il n'en fuut pour stimuler le zèle de cos amis, c'es< assez pour L'un des promoteurs de I'exposition inter disposition d.u Comité. Doté sans doute des qualités familiales d'historien et de littérateur, le Baron Kervyn a magistralement retracé les principales éta- pes de l'hisloire du Canada, sa découverte par Jacques Gartier, sa colonisation par les Francais et enfin sa conquête par les Anglais, inalgré les héroïques efforts des Montcalm, nationale derBruxelleseu 1897^1.1,1 sénateur des VaudruÜ. II nous a ensuite montré sur Dupret, aconvoqué chez lui, hier, les repré- sentantsdela presse bruxelloise et anversoise, afi de leur présente^ un avant-projet d' x- position Universelle et internationale,k ouvrir j k Bruxelles en 1907. Las auteurs de cat J avant projet, MM Paul Sainteuoy et Rem y Vaes, étaient présents k la réunion, et c'est M S ïintenoy qui a développé les grandes li- gnes de l'idée, avec plans k l'appui. Aptè3 l'exposé des plans, M. Dupret a tail remarqu r que i'éuorme avantage du projet est de placer l'expositior» dans la ville méme, au rand profit du commerce local.LVxposi- lion sr.: qu era l'inaupration du ohemia de fer électi qu- Bruxei' s-Anvers,qui doit avoir lieu k l'ép-ique i diquée. étaient sons les verrous, les 5 autres erraient sans abri, sans ressources. Sur 8.000 prêtres, 2.000 étaient ïn- carcérés ou bannis, 1.200 paroisses étaient [irivées cie tout secours reli gie 11 xPlus de séminaires, de cooèges catho'iques, d'écoies confessionuelles. d'Anseele, des pépinières de socialistes Or, qui dit «ncutre», dit athées li bres penseurs d'hier na sont-ils pas less -c- taires de demain, p êls k tous ies compro mis avec les hommes d'une intellectuality exempte des préjugés d'nne autre époque Voilk pourquoi s socialistes !o,-iquement doiveat en vouloir et en réalité s'attaquent k la religion. Voici d'ailieurs un argument qui, pour ne pas être neufnous le rappöliions hier en core n'ea est pas tnoins péremptoire. Le département de l'agriculture vi -nt de metu ri tou une sé ie de communes k même d'eff icteur l'empi- rrement de li urs chrmins agricoles, au tnoyen de déchets de carrières dont le transport gratuit leur est assuré par le départo.m t des chemins de fer. Ges cheroii s constituaront d'excellentes pistes qui permett.-om aux cyclistes d'aban donner les grand'routes, parfois si monoto nes, pour sa risquer k travers champs et - atteindre aiasi des petits coiiis ravissants généralament ignores. le vif les qualités et les défauts des deux races blanches Anglaise et Frangaise qui se disputent la prééminence, et de la malbeu- reuse race indienne constamment refoulée dans ses réserves et que la civilisation n'a pu parvenir k arracher k sa traditionnelie fainéantise. Le conférencier nous a décrit ensuite les richesses écor.omiques de ce pays peu connu bien que d'uae civilisation trèsavancée, les modes d'exploitation du sol et des grandes forêts, ies chasses, pêches etc., en même temps que par saaints técits de sea propres cultures il nous faisait connaltre les moeurs canadiennes dans les diverses manifestations de la vie publique et privés, sans orneUre des scènes d'audieace, ni les joyeuseiés de I'administration. Bref, cette conférence qui tranchait par son caractère, avec celui plus doctoral et partant plus austère des précédentes, n'en était pas moins instructive. C'est urm beu- reuse initiative de la part de ceux qua le voyage a instruit de faire profiler ceux qui restent, de la science acquise de visu aussi le aombreux auditoire,qui assistait k la con férence de j udi, a-t-ü cbaudement applaud! le jeune conférencier. Li Wit i 1 »- -: i ilr1 i 1 T I 'I!l Jjli I u- nJlLY 1 ii iH| 'il'ijji «:|j llfllf lt jiii. i m j i ii H -:k ,«w" N^SSkS^ i/ it'-.i bilMmlii Le JOURNAL D'YPRES paraït le Mercredi et le Samedi. Le prix de l'abonnement. payable par anticipation, est de 5 fr. 50 c. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularissent fin Décembre. Les articles et communications doivent étre adressés franco de port a l'adresse ci-dossus. Les annonces coütênt 15 centimes la. ligra Les réclames dans le corps du journal -Ou' a centimes la 1 gne. Les iwtioüs judiciaires; t franc la ligne. Les .umóros supplémentaires coütent 10 fraais les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (exceptó les deux Flandres) s'adresser a 'Agence Earns Bruxelles, rue de la Madeleine, n° 32 et a Paris, 8, Place de la Bourse. BLI l'eNSEIGNEMENT LAÏC ET EXCLUSIVEMENT NEUTRE j ILS ONT TRAVAILLÉ A FAIRE DISPARAITRE CE QUE NOU i CONSIDÉRONS COMME LA PRINCIPALE ENT RAVE A LA REALISATION DE NOS DÉSTRS. LA RELIGION Grace a eux, la voie est ouverte pour nous. l'Jsxn-.aowu ÜLive.o•- C^Lolique a elóturé t gion» f 1 i .1' li! 'I I - 1 ISMlfl il V !iii i I dn •'14; 'f! i r BI RH (i Ij i|i|,3 I i iI- I; ,i U- 'i li I:: iv f 1 I' I I ta' 1 j' il.f-: j; I i ''I Hit I ti' [j

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1903 | | pagina 1