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ne voulant pus déroger a son principe d'offrir a
sa nombreuse clientèle aux entrées de saison des
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1 - i, défilé les métaiis tie i'automobiiisfü"
Lu ci'egi j3 par dps natures fiscrii s qa'il
faut rêfrèti' lts «bus Prerie: drs arrêiés de
police.
Gomtnirgumpni capital en a dit Frap-
pons lejtk D'aeco.d. Mais qu'esi-ce que In
luxe Ce«0n'tst p«s sau: em uécessaiiv;
la vie, fivefit (!H cotisidèie cotnrae luxe
cequ'ot I pas, ni - c* qu possède le
voisin.
II est 0*0 des objets de luxe qu'on ne sou
ge pas Slimier. Preuur d ais I'tubitstioii
les bslcorj, iDgid'is, verandas, espiotis.
M. Sr^AERT. Mais il faut bien laisser
quelqu«cü«eaux communes.
M. Brujel de Montpellier J. pourrais
encore (iisfJts pianos.
DaB^Éjfeégorie de la locomotion Si
vous pdispz une automobile vous payez
actuelltnat 100 fi\ Vousavezun tutelage k
deux clieiitf vcus P-*yez 40 fr. 20 tr. par
cheval,»p province ne petQoit rien pour
la voituie Tout proportion gardée, tenant
comptesd:»pital ïu-mobibsé, vous pryez
déja iroisiis plus pour ut-c uto.mobiie que
pour ub al lage. Si Vous voulez maintemr
l'équitéet proportioncaüté dins J'impot,
il taut na «r la taxe sur les aUelages.
J'estime ue la proposition qui vous est
soumisawHtsuffisammeui mürie. J'en pro
pose le renoi k la c'éputation pefraameute.
M. DbIiman. Ma première pensée a été
d'opposer question pi'éalaiable a ia pu o
sition en k siion. Notre lèglement taxe est
h peine aiwimg. Est ce que chaque armé®
nous ailoffiBodifier nos rè.deaaents Pour
quoi nousjjesser On ditO'autres provin
ces vont Élement modifier leur taxe, soit.
AUendoisirésultst de cette xpérience. Et
voyonssi 1|gouvernement approuvera ces
taxes noaqes.
Mais quad les nouveaux cbiffres de la i
commissie
nous om
mettons pi
Quos vuil J
affoie ies a
est vrat qu
Ions vers t
diction nou
ag rr.vont encore les premiers,
sou mija me suis ditNe re*
ftaireIe vent eafle nos voiles.
dere Jupiter dementat. Jupiter
ersaires de l'sutomcbilisme. 11
i nous avertissent que nous rou-
sel. 11 es. vrai aussi que la pré-
vient d'un Brugsois pur sang.
li y .i trots ans j'tndiquais i'utilité de l'ëta-
biissement Tun.-, taxe d'ouvérture sur les
nouveaux cabarets et ia possibilité do faire
disparaitre cerlaines distinctions de classifi
cation qui ne répondent pas a une réalité.
Récemment j'attirais 1'aUention sur les frau
des pratiqué sen malière de taxe vélocipé-
dique. Pour aucun de ces points, on n'a
encore trouvé moyen d'avismMuis les
dépenses sortt votées d'ui erice.
On s'oppose vivemerit la majoration de
la tax® sur les automobiles on dit4600 fr.
ne suffirorit pas k équilibrer uu budget s'il
i-st en déficit.G'est possibl Muis ou ne dit
i Pas que eest ia seuie bas® qui peut être
irnppée. Ou v-sut disperser la charge sur
j plusifurs catégories, l'effet de ia rendre
ffloins loui de pour la généralité.
j Les dépenses progressent toujours cette
année on a voté l'assurance des chèvres et
des lapius, et una parlé deréassurance des
ebevaux. Ceia n'a l'air de rien au début
a is le chiffre gonfle toujours. Pensez k ce
qui arrive pour la mutuaiüé. Quand il s'agit
de s'arrêter dans cette veie, nousnerécol-
toas qu - des récriminations.
M. Landas reocontre ensuite ce qut M.
Brunee) a dit de la taxe sur les attelages. Le
second cheval paie une taxe progressive.Puis
ii y a les taxes ccmaujiales.
M. Bruneel de Montpellier. Poui les auto
mobiles aussi.
M. Landas Pius que de modestesattelage3,
les automobiles sont des objets de luxe.
M. Ernest Fraeys expose les obligations
budgétaires et pense qua la majoratioo de
taxe pourrait bies produire. uue dizaine de
mille francs. 11 estime que les intéréts de la
province doivent primer certaincs conve
nances personnelles. (Tres kien
M. le président bonne lecture d'une pro
position de renvoi k la dépultationpermanen- I
te.
M. :.e Cooman insiste au contraire pour f
qu'on vote sur la proposition même de MM
Ernest Fraoys et consorts.
Siise aux voix, la proposition de renvoi it
l_a_dépultation permanente est adoptés par I
io neurps tous ies jours non tenes
a l'Höiel d- Vilie d'Vpres, ainsi qu'au
lureau du Mu ée Commercial, rue
des Augusti s, 15, a Bruxelles, oü des
exeroolaires du cahier général des
charges, du cahier spécial réiatif a
l'entreprise, ainsi que des plans sont
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I 23 vi ix Cut.tr: 16 et une abstention.
(Hilarité.)
Votre taaioü outrée me rappelle le mot
d'uii persoBge d'un gr; d roman c ntem
porsin Build. Un béritage lui était éci-u,
entendael li droits et taxes qui de ce chef
le frappsiel. Bulaud tépcuditVouiez-
vous taa csquise, je va is i'öter. Beaucoup
de petits cisiiffeurs devn. ut renoncer ii ieur
Le conseii, après avoir voté laprorogation
de buit jours de la session, décide de se ré-
um'r mardi 9 1/2 b. en séance publique.
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véloci-, èdesie terroriset les piélons. L-s
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n'est quelqus eoules. Je ut suppose pas que
les si.:natairMe la proposition sont ran
ger d; sCfcWucculente categorie. (Bikritê
Voulez-vousjous punir da- suivre k progrès,
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frappez pas 1I:ö taxe trop foi te. Vous per
drez a votrejfri plutöt qu d'y gagner.
M. Firmi5de 1'hibault de Boesinghe J ene
suis reiïset1-6 sur ce que ia taxe mrjorée
pourrait bit8 faPP°iter. il y a actuellemem,
en noire püSNfie, 4 automobiles payant
400 fr., 24P:T'&nt 7b fr. et 43 vcquiuaat
50 fr. de tase.Cela fei ajp si la prop -sUioo
était tdoptb u|emsjorutio;. de recettes de
4600 L". C#!'®1 P8S <5"C r rv.'c cela qu'on
equilibrt - uitur siidget s'd était en déficit.
M. Landp °ut i morde pro pes a des
dépenses ito»Vif'es- G out.in. toujou.s d'in-
diquer k i*®8® Cl-; 11cspon ante. Quand,
modestecuei" 011 Ii:k!quu uue source de
queique noltta*i r(JVLuu, oi- est accueiili par
des reprocb^iauveiJl plus ou moms joyeux.
u wei i j ksafkondigirigen
Arthur Papin, statiebediende, te Yper en Jo
sephine Cbrisfiaen, kleermaaüster, te Yper.
Aehille Verhelst, letterzetter, te Yper, en .Ma-
j ne Berghman, huishoudster, te Yper.
I Richard Lanaon, landwerker, te Yper, en Eu-
genie Joseph, dienstmeid te Reninghelst.
Alphons Vandenbike, kutper, te Yper en Efe
lene Casteleyn, kantenwerkster, te Yper.
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
AYPRES
.A. V X.
II soifècéolé le SAM EDI 8 A OUT
1903, a ll It ou ces ptéessesdu matin,
öahs une des Mes du Ministère de la
Justice, rue Duca'e, 2, a Bruxtiles,
par de van:- M. le Directeur Géréral
de Is. bie* fais ace ou soa délégué, a
l'puvèrturé des soumissioos préseo-
iées pour l'en'reprise de ;a
et des travaux de parachèvement
k l'Ëcole de bienfaisance, a Ypres. j
Le moüUxiv du de-vis s'éiève a la j
so- me de 154.443 francs,
Lf- cautionncment estfixéa 15,000 f
francs.
Les soumissions devront élre adres-
sées a M. De Latour, Directeur Géné-
ra; au Min «stère de ia Justice, par
lettres recommandées remises a la
peste, au plus fard le 5 Aoüt.
Le cahier dés charges et les pians
y annexés peu vent" être con-ultés
dans les bureaux d' Ministère de ia
Justice, de 10 a 42 heures et de 14 a
P OISS ON NE RIE
rue Longue du Marais o 20
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