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d'être 1'®
richi. vous qui vous vanlcz
du ppupls, l'aaii de l'ouvrier.
(applaudilenis. M. Vermeulen incline la
tête, tou| jntenancé).
M. Co i coniinue Et puisque vous
M'avez ii ompu plusieurs fois pendant
cette diston, pour me lancer !e mot de
contrólet vous répondrai que mon con-
tróle s'eo ;né k exercer le mandat que j ai
regu de lomraettanis.
Est-co j mes collègues out eu k se
plaindrejuon attitude au conseil 1 Ai je
jamais olié visk-vis d'eux d'égards ou
de dignil
Gontril, ouiInquisiteur, comme vous
venez de|re, jamais Et-ce que j'ai sou-
gé un imt k contróler ce qui se passe
chez les, is Vous ai-je jamais reproché
k vous (|i cusiez tout-k-l'heure encore les
catholiqie etre les éterneis ennemisde
la lumifejl de la liberté, d'envoyer vos
enfants ties Frères?...
M. Veilen. II ne manquerait que
cela.
M. CoPrécisément; et c'est paree
que je n is le droit de contróler ies actes
de voirtt privée, que je no m'oceupe pas
devous.(igs applaudissemenis que M, le
présrdeni jroit pas devoir réprimer).
M. Ba t, Président. Et quant aux
enfants ii riers et de petits fenctionnaires
qui fiéqn nt gratuitement les écoles pay-
antes, natlevoBs maintenir !e statu quo. j
Cesera 1' nel honneur de la classe ouvrière
et de la ,rgeoisie d'avoir vu s'élever de
leur seia plus grands hommes de noire
siècle, es lui ont rendu le plus !e services
k la socii
M. Vei ilen applaudit...
M. Bu ft. Je n'ai pas besoi.n de vos
applaudÉents. Les manifestations soot
interdite ins un sens comme dans l'autre.
Si touts eure je ne les ai pas arrêtées
pendant1 M. Golaert parlait,c'est qu'après
l'incidec ilevé par M. Vermeulen, et que
je regreOaucoup, je n'ai pas cru pcuvoir
y mettrelerme. (très-bien dans le public).
Nous ndons ici nos opinions nous ie
faisons
autres
conviction, les utis comme les
laut pas que des incidents de la
nature diiui dorit je viens de parler, en-
lèvent k débats la dignité qui doit y pré-
sider. (t ben).
M. Vtsulen. Je n'ai pas voulu être
désagréaï k M. Colaert. Mais après ies
plaidoieri que nous venons d'estendre, et
qui soDt »rès tout une scie palriotique,
(M. le sident Bossaert et M. Golaert
saluent), n'ai pas pu me retenir. On dit
alors deiases qui,... que...
M. Bo rt. Prerioas que vos paroles
ont dép^fotre pensée. (rires)....
Vermeulen voudrait ren-
Et ci
trer a I Id de ville
Jamais,
rons M.'
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ainsi qu'il l'a été radicalement
lui-même,après avoir souffert et
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rétabli en |.eu de temps ma santé 'branlée. Ac-
tuisllement, je ne souffre [dus du tout et travail-
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souffrez d'anémie: prenez les Pilules Pink, vous
guérirez. Non, on vous cite siinplement un
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personne a été guérie, elle ne souffre plus. La
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qui souffrez, serait de suivre son exemple et de
guérir. Des mdiiers d'atte tations existent,
prouvant quo les I'iltiles Pink ont guéri des mal-
heureux attaints des inaladies suivantes ané-
mie, chlorose, neurasthéni i, Jaiblesse générale,
faiblessa nerveuse, rrunaafJsma, sciatique, né-
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M. M8,!ernand, houilleur a Trivière, prés
ffu 3ois-[ -ue, est une preuve vivante de la
remarq^emcacité du remèdn si réputé «les
Pilules P". M. Mainil souffrait hornblement
d'un éta^mio trés avancé et de douleurs de
reins. Lrffrauces lui reudaient la vie misé-
rable dl 1901. Quelques boites de Pilules
Pink on® pour ie rétablir ainsi qu'il le dit
lui-mê®!
Depn®t, écrit-il en effet, je n'étais pas en
bonne safo tout. J'étais trés faible. j'avais
continue®11 des fourmillomeuts dans les
jambes les poignets, et aussi de trés for
tes douls le reins qui me génaient pour tra-
vaillerUllstomae était asse'. bon, cependant
je resse'!,assez souvent des tiraillements
d'estomn;stais trés anémie, r- ssentant des
points Vhtres violents, et de Te-souflement
au moiq^Tt. j'avais aussi trés souvent la
migrair2118 eet état, j'avais, vous le compren-
droz fa#eQt, la plus gra ide peine a faire un
travailf^hibie. On m'a indiquó un grand
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