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A LO U ER
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I. FLAM4N!-MUTM&N
WOONHUiZE
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I,1:1
I
Allemagne
Un bébé en prison
ON DE MA !SDE
bel appartement
Un infanticide a pres
L'accident d'A erseele
On demande
lllfs
Acies ofliciels
Faits divers
goede partij land
ii
y in.
f; I
ïjjiculière énergie, centre ia piétentioo des
I isans du monopole de couler toutes les
j lligences dans le naême moule.
I Eh bien, non dit il, je ne veux pas
j ucun de mes neuf enfants soit naesu'é h
i e mesure. Je veux qu'ils s'élèveiu en
ne liberté et que nulle entrave ne soit
'osée k mon libre arbitre. Je veux les
i er k l'image de mes propres parents qua
s'efforce de prolonger.
lette politique qui tend partout substi-
la tyrannie de l'Etat k la libre initiative
1 citoyens est elle du moins conforme aux
1 hx du pays Qui oserait le soutenir Mais
il1 'volontés de la nation, les maitres du jour
1'Ven soucient guère. lis nous avaietu déjh
|H btré le peu de cas qu'ils font du suffrage
Mj irersel, lors de la discussion des demandes
ij! Uorisation ils escamoièrent les avis des
J|l iseils municipaux selcrrelleroent sollici-
)n flatte le suffrage universel lorsqu'on ie
icite on l'ignore ou l'on couvre sa voix
nd il ne répond pas fidèlement k l'appel
f 'est encore l'un des scandales du temps.
jB|!i l'éminent orateur rappelle ce qu'en a fait
lij arseille même, avec plus d'audace eu-
:oj 3 Un an après que le peuple souveram
écarté de l'Hótel de Ville le cbef du col-
|iivisme municipal, un cortège se forma
li iprenant k la fois le cbef du gouver.ee-
[II it et le maire chaviré et parcoui ut la
L s, suivi d'une plèbe cosmopolite, faisant
i jndre les chants les plus étranges, les
|l s sacriièges. L'Internationale remplapa
s son pays d'origine la Marseillaise aux
s accents (Applaudissetnents proion-
i! fait n'est pas dü au hasard, il était vou-
iprémédité. 11 correspond k la conception
iitique du moment. Nos ministres s'accom-
jdent du drapeau rouge et du chant de
Ij! itcrnationaleA la Ghatabre, du kaut do
1 Iribune, se font entendre les propos les
lli is déconcertanis, des paroles sacriièges.
Ij Ab messieurs, quel respect le monde
i I rdera-t-il k notre infortune si nous ne
i bons pas la respecter nous-mêmes 11 y a
1 li'!13 fierté propre aux nobles malheurs et
«uil faut savoir porter non seulement dans
ji!|iW maïs sur le front. Ah je suis un pa-
que de nature, tout m'y prédispose, ie
Oieu, les affaires, la familie, mais ia paix
Ijxclut pas l'honneur et l'on ne peut oublier
llils s'éteignent vite dans lame du peuple,
I sentiments dont on se fait une loi de ce
li parler I
jLa salie enthousiasmée fait une ovation k
I Motte qui poursuit en signalant la singu-
ilté de l'attitude de ces ennemis de la re-
ifiche qui furent aussi les adversaires de
$tpansion coloniale, Ils trouvaieut séant,
'til, de nous laisser moisir dans la prison
'tlurope
14 Tout, d'ailleurs, en eux est sophisme.
La santé de l'Empereur
Contrairement aux informations des join
naux francais et anglais relatives k l'état de
santé de l'Empereur, la Gazette nationale af
firrae d'une source bien inforraée que les pro-
grès qui se sont. manifestés dans l'état de
l'Empereur sont absolument satisfaisants.
L'aventure, si méchaaitnent travestie,
de la princesso Alice de Schoenburg, est sur
le point d'avoir l'épilogue judicaire qu'atten
dait patiemment la princessedepuisplusieurs
mois.
Son procés en divorce avec le prince «le
Scboenbu?g-Waldenburg s'est ouvert en effst
lundi, devantle tribunal suprème de Dresde
La princesse est rentrée k Dresde depuishier
soir, afin d'être mieux en contact avec son
avoué.
Dans la Libre Parole, sous le litre Les
Fous Furieux M Albert Monnoit raconte
le dernier incident de la persécution sauvage
contre les congrégations et ceux qui saluent
en élus les'victimes de la tyrannie jacobine
Un échappé de prison, Bsltzer le
Beltzer que y m'honore d'avoir fait casserau
gages sévissait en Bretagne au nom des
viis proscripteurs du gouvernement. L'ancuin
prisonnier mobilisait magistrals «tescadrons
contre les couvents, refuge des kmes meur
tries, contre les höpUaux et hospices reli-
gieux, abri de la vieillesse et de l'infirraité,
contre l'écoleavec Dteu, asilo des enfants des
bumbles qui, plus encore que l'instructiori,
ontbesoin des espérances qui bercent la mi
sère humaine.
Au moment oil I'homme du Bloc noté d'in-
famie opéraitk Meuillac (Morbihan), lesfem
mes ne purent maitriser les protestations in-
dignée» qui leur raontaient du coeur aux
lêvres: huil d'entre elles,des plus houorable-
ment connues, furent arrêiées, et il se trouva
des magistrals, des juges, des hommes, des
Francais, pour les condamner huit jours de
prison sans sursis.
De tels faits sont ignobles. Quels comraen-
taires pourraient assez les flétrirEt M.
Monniot ajoute
L'une d'elles, Mme Lelu retenez ce nom
de vaillante -- était mère de sept enfants
elle ne trouva pas plus grace que ses co-ac-
cusées.
Le dernier de ces enfants tétait encore le
sein de sa mère il a six mois.
et Aertssens; Fi$moghe-, pharov. Monteyne.
Comipes. Van Windekens; VI oin, Sioen
Rotiers; Warneton, V a or Marbèn Cour,
trai, Hulpiau t De B' ey; Roui-ws, Veys
Dixmude, Ghyssaeri; Iseghim (Grand'placeV
Rodenbach.
Demandez cbez vos fournisseurs les sue; es
eri paquots de le R&flRnerie Tirlemontoise.
Cxar^ou de magasiu,
16 ans environ. S'adresser au bureau
du Journal.
Rue d'Eivet dinghe, n" 4*2
S'adresser rue de Lolie u8 132.
Vendredi soir, la Police fut avertie qu'une
jeune filleétait devenue raère et quelle avait
fait disparaitre sou enfant.
Aussstót une enquête fut ouverte k ce
sujet. Ön découvrit que c'était une nommée
D,.dgée de 19 ans ln emogée sur Ie fait,
elle finit par avouer son crime, disant qu'elle
avait caché l'enfanl dans une marmitw der
rière, le lit, dans sa chambre k couoher.
Immédiatement M. le Commissaire de
Police et son adjoint se rendirerit sur les
lieux, accompagnés d'un médficio et décou
vrirent le petit êirek l'endroit indiqué par la
osaratre.
D'apiès las premiers recseignements, la
mère lk jeune fille aurait éié complice de
sa fille.
L'inculpée a été remise k utoriié supé
rieure.
Saraedi' matin, le Parquet re présenté par
M. Tnienpont, Procureur du Roi, MM. Van
daele, Juge d'instruetion, Dumon, greffler,
le Commissaire de Police et son adjoint, se
sont rendus k l'hópital oü l'autopsie a eu
iieu par deux médecins légistes.
Lesoir, la fille dénauirée a été écrouée k
la prison d'Ypres.
ij'enquète se poursuit.
II est k craindre que l'accident do cbemin 1
de fer k A rseele n'ait de tnstes conséqueh
ces l'état du chef-garde, M. Ju! s Van
Hoonacker, habitant P -peringbe, est tiès
grave. Les médecins dés; spèicnt de s uver i
le malheureux employé. Cr lui-ei f-isr-ir u«i
service extraordinaire en r mplicrment d'un
camatade en congé. I ON PEUT se procurer chez JULES
L'accident s'est produit k dix minutes de 1 vanhecke, rue des Plats, n° 6, aYpres, do
la station d'Aerserle, dans la direction de j je»«es
Hector O J%.. S I J52
CU ISI MIERE boui,ècise, OM-
1 tra (.qui lie, pfoprê. S'adicsser
bureau du Journal.
Tbielt, .T en face d'une cabine de garde
barrière. Une femme qui surveillait, k oö
moment, la barrière, fut projetée k terre par
la poussée d'air que produisit l'explosion.
Cette personne, par bonheur, pui se relever
sans avoir la moindre blessure, et cependant
des quantnés de raorceaux de fer,de boulons,
de tuysux, etc., provenant de la machine,
j avaientété projetés dans toutes les directions.
I Le ccuvercle de la chaudière fut trouvé k
200 mèires du lieu de l'accident. Piusieurs
de ces terribles pr jectiles avaient dü passer
j au dessus de la têie ei au cóté do la garae-
barrière.
G'est également k un hasard piovidentiel
Je ne puis me séparer de mon enfant, j que le machiniste et le chauffeur doivenl la
'|ont la bouche pleine d'idées humanitaires
iis e'est pour l'usage externe.
II faudrait, dil il, que nous intervenions
'I Armenia et non pas pour notre influence
J|endaire en Orient. Les Arméuiens sont
Iferessants peut-être. Mais pousquoi sur
Hre propre sol, traiter en Arméniens tant
^Bretons, traiter en Irlandais tant de Fran-
||||{!|Et après avoir, en termes énergiques,
I 'igmatisé la politique d'osiracisme k l'inté-
I If li Sur, d'effacement k lVxlérieur, 1 orateur
j 11 IJns'une chaleureuse péroraison fait appel
j}! Ij jdévouement de lous les bons citoyens pour
"re triompher une politique d'unioc et de
'|rté nationale.
Le succès de M. Motte a été trés vif et trés
;itime.
proclama la aière si vous l'osez, jetez-le
en prison avec icoi.
Les juges osèrent... et voiik comment, k
cette heure, un enfant de six mois est pri
sonnier de la Répubiique franpaise. Liber
té, égalité, fraternité.
Devant de tels faits, la plume est im
vie. On se demande comment ils n'ont pas
été tués sur le coup. Par bonheur, leur état j
n'inspire aucune inquietude.
La voie était teiiement endomtnagée qu'il 5
a fallu en créer une provisoire k cöté de
l'autre. Le travail s'est effectué avec d'autant
plus de difficulté, que dans la nuit de ven
puissante k traduire i indignation on se d> edi toute la campagne a été inondée, k la
demande comment soufileter assez vigoureu-
sernenl ces faces de bandits de ia magistratu-
re pour les faire rougir; on ne salt comment
traduire sa respeclueuse admiration pour les
vaillantes Fran(?aises dont la erhnerie et l'ab-
négation. mettent en un si facheux relief la
veulerie générale.»
Un arrêté royal du 14 novemhre 1903,
contresigné par le Ministre de la justice,
autorise
1° Le conseil communal de Wervicq (Flan-
dre occidentalfk acquérir des hospices
civils de cette localité un terrain en vue de
l'établissement d'un nouveau ciraetière
I 2" Les bospices civils de Wervicq, k aiiéuer
le terrain dont il s'agit.
suite de l'ouragan. li était impossible d'up-
procher de la voie autremem qu'en suivant
la hgne du chemin de fer.
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Dinsdag 15 December 1903,
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