CARBQNYLE PILULES STANDAERi [Ai ^^■48 Grand'Place «1 s LIILLE (France) HENR! GHYSEL FLAMANT-BAUTMANS SPÉCIALITÉ pour MA Rl AGES BIJZONDERE KEUS VOOR HUWELIJKEN m1 Poperinghe Nominations Faits divers SANTÉ, LONGUE VIE LA BOITE i FR. 80 m m S ni BIJOUTERIEJOA1LLERIE, HORLOGERIEOUFE VRERIE JUWEELEN, GOUDE WERK, HORLOGEN, GOUDSMEDERIJ Pou!' inoiUit|uo j aurai la santé ct la Lr ce de le faire, je me iendrai avec Mr Struye notre vénérable Président, avec ces Mes sieurs, dontaueun ne nous a délaissés, quoi qu'en disent. nos adversaiies, avec voustous amis ei frères dans la tot et dans la liberté, auprès du drapeau catholique que nous ne laissevons pas défaillir. Amis, c'est k Sa tiedi alois, avant le combat du lendemain 7 février, nous prea drons nos dernières mesures poui' assuiei ie tri om p be de nos croyances dans le succés de nos deux déveués caudidats MM Van d«^r> Boogaerde et Lemahteu. Ovation vibrante.) M Boane ne veut pas laisser les membres de l'associaüon catholique se disperser,sans dormer un solennel et énergique démenti aux injustes insinuations dont i! a été l'objet de la part de M Nolf qui a tronqué ses paro les. II est et, il restera toujours Boone le cathoüque. Qu'on lesache bien, s'il quitte la citadelle il nV.n reste pas moins tidèle k sou parti et il conjure tous ses amis et conaais- sances de faire toujours leur devoir co mme il le fera lui-ffiême le 7 février comme i) l'a toujours fait, en volant sans restriction et en travaillant pour les maudataires du camp calholique. bravos La saile se vide lentement et queiques ardents expriment le désirdevoir M, Fraeys manilester ccrase M Boone qu il u y i ien de commun entre lui ei le parti libéral. De mé moiré d'üomcne il ne sest vu Poperinghe de tê e, ui d affluence, commf au dimanche 31 Janvier 1904 et si le temps n'eu; été défectu ux dans la matinée, il y aurait eu écrasesaent, c'est certain. l«;« maisons, les rues étaient ornées de tentures, d'onflamrnes, de lumignons etdj fleurs n^urelles, bien qu'on fut en jflein hiver, maq point de fleurs com, arabies toutefois-aux visages gais et Spanouis des habitants, lls&ubilaient d''-t3e et de bönheur el pai tout des.inscrir-'Ons, des chronogram- mes, sur frontons, sur portiques, disaient et redisaient la joie d'ébordante de leurs coeurs et le motif de ce te exubérante allégresse. Et lk point de note diseordarite dans ce „..iiique concert d'enthousiasme. C'estk l'unisson des voix et des sympathies qu'on chantait lag.- reet la louange du père de la cité, du tiénéré et du trés méritant M. Félix Va: M ris, représeniant b. i« Cham bre et derechei désigné comme bourgmestre de Poperinght par Sa Majesté royale Léo- pold II. Les magistrals de la ville, ses notables et les cuots administrations réunis k la gare vers trois heu-es, lepurent et comphmentè- rentle nouve! alter ego du Roi. Deux angé- liques fillettes lui offnrentles palmen bono rifiques de si dignité et lui souhanèierit la bienvenuö, .'assurant que tous les citoyens !u ai ent co ïialcment soumis et fidèle- .at de »oués. dvement étcu, M Van Merris remercia et prornit le se souv nir toujours de leurs promesses et de leur bienveillant accueil. v and k nouveau Bourgmestre fit son ap ;tion tur la place de la gare, hondée de ade, ce fut une ovation indescriptible, des acclamations sans fin et des salves d'ar- till qui anBoncèrei t aux campagnes en- vironnantes l'heureuse intronisation du nou vei i; bourgmestre de Poperinghe. Vn magnifiqus défi admirablement or- ga isé par les soins dt M. Schabalie et comp ter; plus de quaranie -oupes de confréries, d'asrociHtioris de Mutu flités et de cercles, tan de je.unes gens q ie d'hommes, se dé rotia dans qn ordre pirfait sous la vigilance des otganisatcurs et u suprème ébahisse- tne dos inénuméra des spectateurs. Les coBSeillers communaux et les fabriciens clóturent ei cortège que suivit tout naturel- lement ctluii qui désrrmais présidera aux destinées de Poperinghe et c'est ainsi qu'il s'av i <y>.. '.rioinphalement jusqu'au coeur da la place. Lk M. Vai| Merris eüt un mot affable ut cordial puur lihacum de ces sociétés qui avaient, par lVur concours volontaire et spontané, octroyè tan, d'éclat k cette prise de possession. Un ccha it flumand de circons- tance acoeva la par de la céi éffionia et vibrants écios que son père. Dans l'liótel de vifie^ discours. M. Vanden I De Hulster, doyen, ex convaincus Ks sentiments titude, de confiuice "i d': pénéirés les babitaptë e Poperingii. peur leur é- oi. bpuromestre. La paix, l'uniou in'ime, 1 prospérité de la cité son vigilance et de sa soiiie extérieure et publique ndit au loin avec sas peringhe conservait ce fut l'heure des he, échevin M. èrent en termes aoimes de gra- iur dont sont aroiss'ieris de zc!é et ■Ltr.uble concorde, la résultat de sa II nest pas settlement bun père maïs il est aussi vaillam gardien s'il cause ia jon- des bons par la sécurité proloride t fruclueuse qu'ii leut procure, il cause ussi ia terreur des mé chants pur ia craintc et la réserve qu'il leur impose. Les applaudissemenis qui souiignen ces harangues disent amplement combie» elles sont véridiques et l'expression parfaite des sentiments universcls. M. Van Merris qui peut k peine naaltriser l émotion qui l'eiap igne, ne snit commen; remercier pour tan- d'honneur dont on l'ac cable, pense-t-il, e: promet de tendre par de n uveaux efforts k mériter ces louanges ex cessives qui revienuont bien plus k la doei l'té et k la filiale Section de c^ux qui les adressent qu'k la sagacité de celui qui les repoit. Quand la nuit fut venue, une brillant il'.ucuinatión plongea la viüe entière dans un bain étincelant et un feu d'artifice splendide, précédé d'une retraite aux flambeaux non moins belle que nombreuse, clötura cette fêie qui fait honneur aux Poperingois et promet au nouveau Bourgmestre un Paternal heureux et prospère On annonce la nomination de M Ramault, notaire k Proven, comme notaire k Wervic-q et de M. Haghe'oaert, candidat-notaire k Vlsmertinghe comme notaire k Proven. IVe toussez plus. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1904 | | pagina 7