SAVON
2
Wervicq
Le congrès international de
chant Grégorien
Lli TiiEHMOGÊNE
Faits divers
Huwelijksafkondigingen
MENAGE
RIVAL POUR
•tnj iHflvpf: pD offregratuitement
Uil Mm til'l de faire conn ai tra
a trus ceux qui sont atteints
d'une maladie de la peau dar
tres, eczemas, boutons, déman-
geaisone, bronchitis chroni-
qu.es, maladies de la poitrine,de
i'estomac et de la vessie, et da
rhumatismes, un moyen infail»
lible de se guérir prornptement,
amsi qu'il l'a été radicalement
lui-même, après avoir souffert et
essayé en vain de tous les remè-
des préconisés. Cette offre, dont
on appréciera ie hut humanitaire,
est la conséquence d'un vceu.
Ecrire,par Jettreou carte postale,
èl M. VI^C'EMT, 8, Place Victor-Hugo,
éi Grenoble (France),qui répondra
gratis et franco par courrier,et en-
verraies indications demandées.
IVetoussez plus-Je garantie
la guérison du rbume el de la toux la plus
opmatre en deux jours au moyen du Siitop
Pefratere au goudron décoloré et au baume
deTolu. C'est le pectoral le plus prompt, le
i lussOr et le plus agréable qui exisite. C'est
uu remède incomparable, mais faites bien
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Cotnines, Van Windekens; M nin. Si oen pi
Ro'.inrs; Warneton, Vanior Marlière; Cour-
trai Hulpiau et De B :ey; Roulers, Veys;
ihxmude, Ghyssaert; Iseghem (Grand'place),
Rodenbach.
Vou!ez-v jus des sucresde toute première
qualité Prenez les p quels de la Raffinefie
Tirlemontijise.
BURGERSTAND VAN YPER
Le drame renferme de salutaires conseils
et d'édifiants exemples tres bien traduits en
vers flamands par Mr le Du-ecteur de la
conférence.
Les élèves de la section inferieure ont
chanté avec délicatesse, sous la direction de
Mr Van Eegroo ils étaient si agreables et si
doux, ces deux chants de Grieg, dont la
conception a premier abord parait un peu
étrange, mais dans laquelle on _trouve bien
tót du charme et de la beaute. ai
patience et la connaissance du Directeur
pour apprendre aux enfants cette musique
difficile.
Vint le tour des élèves de la grande
section, qui exécutèrent un chceur a trois
voix par Peneranda Zondag poesie
charmante de A. Rodenbach. La chorale
du college a parfaitement chante avec en
train et mesure. tantot avec force tantót
avec douceur, d'après le sentiment de la
composition. Le Directeur, les choristes et
les symphonistes ont bien mérité les applau-
dissements de l'assistance.
Au collége on mêle parfaitement 1 utile a
l'agréable. On y travaille tres bien les
succes aux concours et aux examens le
prouvent on s'y applique aussi aux arts
apreuve les cinq chceurs, la mélodie finale
du drame, l'accompagnement de la sym-
phonie etle chant, ouverture de Vaudeville.
Les habitants et les visiteurs du moulin
Le chat qui fumeont joué a la perfection.
Par le geste, la parole, les traits d'esprit et
Phabilité a se tromper l'un l'autre, a se
menacer et a se sauver, ils ont amusé laudi-
toire a loisir. Trufï'ardin (V. Ooucke) et
Nicolet (M. Dejaegere) ont excellé dans leurs
roles si difficiles ils étaient constamment
sur la scène et par leur gaité, leur malice
ou leur na'iveté, ils ont facilité la tache des
autres acteurs que tous ils entrainaient.
A la persécution et a la fourberie ont succédé
la paix et 1'entente saluées par un chant
joyeux.
Les tableaux vivants étaient bien appro-
priés au glorieux anniversaire. L'un La
Belgique a travers les siècles représentait
les princes, les héros, les Saints, les savants
et les artistes qui ont, pendant les temps
écoulés, ou gouverné ou illustré notre pays.
L'autre glorifiait la Belgique indépendante
et montrait aütour du buste du Roi, les
puissances protectrices de notre neutralité
a cótó et au dessous étaient rangées les
neufprovinces, ügurées paries habitants et
leurs industries. A la demaude de l'assistan
ce chaque tableau a été représenté deux
fois pour le premier, l'orchestre jouait
Waar Maas en Schelde vloeien pour le
second la Braban^onne La dernière
représentation mit 1 enthousiasme dans les
spectateurs, dont un grand nombre se mit
a accompagner 1 air national et fit en sorte
qu'on eut voulut se lever pour saluer res-
pectueusement la patrie si splendidement
gloriüée.
Au nom des pauvres a secourir par les
aumónes recueillies, noüs remercions Mr le
Principal, Messieurs les Professeurs et les
élèves qui tous ont contribué a nous procu
rer uue récréation si utile et si agréable.
des finances, de décomposer 1
deux cents contribuables qu| e
plus imposes a la 3me bas
obtenus furent présentés au
a taxe d'environ
je croyais les
Les chiffres
ollège échevinal
et au Conseil communal quj t jUgèrent urgent
de les modifier. En effet>W,\ s'était glissé bien
involontairement, des /;,rreurs telles, que
certains contribuables eVajent tondus comme
des moutons de Panu-;;r'ge, alors que d'autres
se trouvaient impose^ pQur sommes Vrai-
ment dérisoires et^ue, jg l'aveu de tous, ils
possèdentles plus grancjes fortunes mobilières
de la ville.
Le ConseijJ' COnsacra trois séances tres
laborieuses cette ^tude el le résultat en füt
a 1 amelioration de 1 hopital
les soins et le
de 5
i° 20 mille fr
oü les pauvres trouveront
confortable dignes des plus grandes villes
2° 3o mille fr. pour la construction
nouvelles classes destinées a l'enseignement
primaire, seul enseignement qui intéresse la
petite bourgeoisie et la classe des travailleurs.
Le niveau de nos écoles a pü être aprécié
par les succès des enfants Brayer et Tydgat,
dans une classe de 6rae
qui
vote a
ry:
umammite.
-le Pfetends que la justice, lequité et lim-
partóalité, ont présidé a mon acti
ve interven-
M.le DocteurDumont,échevinde Wervicq,
nous prie d'insérer la lettre suivante, qu'il a
adressée au Progrès, en réponse a un article
paru dans ce journal.
Monsieur ÏEditeur
Votre N° du 21 a rendu les honneurs de la
publicité a deux lettres émanant de Wervicq,
qui,avouez le,lancées ainsi ex-abrupto,étaient
un vrai non-sens. Aussi, je suis certain que
je n'aurai besoin que d'invoquer votre obli-
geance, pour les compléter aux yeux de vos
lecteurs par les explications suivantes
L'apparition des feuilles d'abonnement,
provoqua une fusillade des plus nourrie,dont
je fus le principal point de mire,sous l'accusa-
tion de partialité. M. Lootens avouait même
la na'iveté, d'ajouter foi a une plaisante mysti
fication, qui me désignait commc ayant seul
fixée les taxes.
Voici la vérité Plusieurs contribuables
étant venus me faire des reclamations pri
vées; étant donné que la 3m' base, e'valuation
des capitaux en portefeuille, commerce et
industrie est la seule discutable et que depuis
plusieurs années déja, on avait senti, au
Conseil, le besoin d'en faire un minutieux
examen,je crus de mon devoircomme échevin
thjn dans ce travail de correction.
Je provoque tout contribuable, quel qu'il
soit,a une discusion publique a ce sujet; que j
peut on exiger de plus correct 1
Jedéfietout contribuable capable, juste,
loyal et désintéressé de trouver deux erreurs j
dans les décisions du Conseil.
Ce travail,comme nous l'avons dit du reste
a la Députation Permanente, nest pas la
répartition d'une augmentation du chiffre
global de l'abonnement, mais simplement
une correction trop longtemps négligée.
Aussi, je ne doute pas, que cette haute
assemblée, moins bien placée, il est vrai, que
les onze conseillers pour juger ces fortunes
mobilières locales, ne suive le Conseil dans
ses décisions.
L'autorisation d'exhausser la maison du
cabaretier Broucke, me valut de nouvelles
imputations calomnieuses, alors que le N°
439 de l'ouvrage de M.Delannoy sur la voirie
urbaine, aurait renseigné M. Lootens a la
recherche d'armes.
Le 2 Janvier, j'eus au Café de l'Hótel de
ville, une conversation au sujet de ces deux
points avec le futur gendre de l'ami de M.
Lootens, qui se déclara stupéfait de toutes ces
critiques. Mes paroles répétées a M.Lootens, j
n'eurent pas le même accueil: aussi, le Jeudi
5 Janvier, au Café Francais, je me heurtai
a une bande, venue expres pour m'accabler
d'injures et de menaces de coups.ce que dans
son style euphémique, M. Lootens appelle
une réplique a effetI
Voila done 2 accusations toutes personnel-
les: J'avais convié M. Lootens a les discuter
dans une causerie contradictoire et publique,
mais craignant qu'il ne me "Suive pas dans
cette voie.jelui propose de déposer tous deux
un plainte au Parquet, afin que le Tribunal
prononce qui de nous a été injurieux Si
c'est lui ou les siens, ou si c'est moi.
I..es autres critiques intéressent plutót
l'Administration fout entière, mais je ne
refuse pas cependant de renseigner M.
Lootens.
Procédons par l'argument populaire: Le
Défi
io J'affirme que sous les administrations
antérieures et actuelle, la loi pour l'affichage.
des Comptes, des Budgets et de l'Abonne-
ment, a été observe'e.
Combien M. Lootens tient-il
N'est-ce pas du reste, d'après la copie des
taxes d'abonnement faite par un de ses amis,
qu'a paru un brave et courageux pamphlet
anonyme Est ce feinte ou na'iveté de sa part
quand il dit dans sa lettre: «Donnez les taxes
(il veut sans doute dire bases) d'après lesquel-
les vous fixez la taxe d'abonnement des
citoyens etc.» alors qu'il suffit de connaitre
les 4 régies de l'arithmétique, de tenir d'une
main une feuille de contributionjet de l'autre,
le verso de la feuille d'abonnement, pour en
décomposer les bases: vrai problème du 3rae
cours d'école primaire.
2° Dans son accusation a propos de huis-
clos, M. Lootens a-t-il osé tenir le défii de
1000 fr. contre 100 que je lui ai proposé le
5 Janvier.
3° Un défi de 25 fr. par erreur sur les listes
électorales de 1903, a été aussi refusé par ses
amis. Je fus nommé rapporteur cette année
pour les 6 reclamations adressées a l'Admi
nistration Commmunale et refusées par elle;
Combien M. Lootens tient-il pour chaque
erreur dans mes conclusions
Vous voyez que M.Lootens a en l'occasion
de se fournir d'armes et de connaitre la
gestion financière de la ville. Pour suppléer
a son manque de zèle, je lui dirai done que
notre Compte de 1903 s'est clóturé avec un
bel excédent.
Le Conseil a de plus décidé de consacrer
cette année
latine d'une
flngtame d élèves, ont été premiers 1 un en
iqo5 et 1 autre en 1904, et cela d emblée. eest
a diredès leur entrée au Collége, avec les
connaissances acquises a l'ccole de Wervicq.
30 35 mille fr. pour la construction de
15oo mètres d'aqueduc, en vue d'assaiuir
les rues habitées spécialement par la classe
ouvrière.
40 25 mille fr. pour les cinq kilomètres de
gravier décrétés pour la campagne.
50 Sans compter que la ville a dü porter a
mille fr. le subside annuel du Bureau de
20
Bienfaisance.
L amortissement de toutes ces dépenses,
auxquelles, nous devons joindre 3o mille fr.
pour T acquisition indispensable ducimetière,
sera fait sans augmentation de centimes addi-
tionnels, alors qu elles sont chez nous quasi
les moins élévés dela province.
Je finis ma lettre, qui, je compte, sera la
dernière, le sujet s'adaptant peu a une polé-
mique épistolaire. Mon but n'est du reste pas
de convaincre M. Lootens les sourds qui ne
veulent pas entendre sont les moins curables.
J'ai voulu plutót dissiper les affirmations
erronées que l'on s était plu a propager dans
le peuple et la bourgeoisie.
On devra admettre cependant, que M.
Lootens n'a pas été sérieux après m avoir
attaqué, lui et ses amis pendant de longues
mois, a ma première riposte, il appelle au
secours et medemanda des armes c'est, on
l'avouera, de la cranerie a la Rodómont.
Veuillez agréer, Monsieur Editeur, mes
civilités distinguées.
Dr DUMONT.
Mle docteur Wagner, professeur a l'Uni-
versité de Fribourg, vient de recevoir un
bref de féliciations et d'encouragement, en
vue du prochain Congrès international de
plain chant grégorien.
Ce Congrès aura lieu a Strasbourg du 16
au 19 aoüt prochain.
Ce qui Nous fait surtout espérer de
grands fruits (du Congrès), dit le Pape, c'est
que vous vous proposez, non seulement de
diriger les efforts vers le chant antique de
1'Eglise romaine, mais de donner encore
ce qui est trés utile pour la pratique des
exécutions modèies, qui permettront aux
hommes compétents d'apprécier justement
et exactement la somme d art, de beauté et
de piété,qui résulte de l'observation de Nos
ordres.»
La Fe'de'ration accordera a chacun de ses
membres, qui a versé en 1904 au moins
1 franc, un subside supplémentaire de «5
centimes.
Le président communique que le Fédéra-
tion participera a 1 exposition de Liège. II
apprendqu.au numéro 29 de la rue des
Chiens.un bureau est installé oü l'on pourra
trouver tous les reseignements concernant la
mutualité. Une question portant sur une
meilleure répartition éventuelle des subsides
provinciaux et communauxest mise a 1 étude
entre les différentes mutualités de retraite,qui
dresseront un rapport.
Rhumes
Rhumatismes
A relenir. Quand ou tousse, ou bien
quand on souffrc de la gorge ou des bion-
ches, c est la Pastille Walihéry qu'on em-
ploie, mais pour les autres derangements,
c est la Pilule Purgative Walthéry.
YPRES
La fédération des mutualités de retraite de
larrondissement d'Ypres a tenu son ensem
blée générale annuelle, jeudi après midi, a
la salie Iweins.Au bureau se trouvaient MM.
Gustave Werbrouck, président, C. Hallaert,
secrétaire, l'abbé Delameilleure, trésorier,
A. Debusschere,A. Camerlynck, C.Boudolf,
D'Huvetlere, membres du Conseil.
D un rapport présenté par M. le secrétaire
C. Hallaert, il résulte que l'arrondissemt
d Ypres compte 71 mutualités de retraite
avec 7,064 membres. Toutes les communes,
a l'exception d'un seule, Wulverghem, ont
leur mutualité de retraite. La ville d'Ypres
atteint le chiffre de 1.628 membres fédérés
répartis en différentes sociéte's dont la plus
forte, la Saint-Pierre, a 476 membres. Onze
communes de f arrondissement ont plus de
10 °/o de leurs habitants membres d'une mu
tualité de retraite, A Dickebusch, le pourcen-
tage atteint 23,5 grace au zèle de l'abbé Le-
fevere.
van den 27 Januari totden 3 Februari 1905
Geboorten
Glaeys Ferdinand, Esplanade.
Gouwy Juliaan, Oude Houtmarkt.
Six Zoë, Bruggesteenweg.
Ameloot Ivonne, Tegelstraat.
Decoek Germana, Beluikstraat.
Vatidevyver Gsrmana, Kalfvaart.
Deryck Gilbert, St Jacokstraat.
Moerman Gaston, Zonnebeke steenweg.
Pottel Maria, Neêrstraat.
Huwelijken
Glaes Frans, gendarm te Melle, en Mahieu
Octavia, z. b. te Yper.
Bartier Alois, landwerker en Visage Philo-
mena werkvrouw beiden te Yper.
Sterfgevallen
Mahieu Sidonie, 5 jaren, Dickebusehsteenw.
Grevestein Amand 67 p z. b. echtgt Jannen
Rosalia, L. Thouroutstraat.
Dejonghe Rosalia, 77 j z. b. ong. Bollingstraat.
Spillebout Pieter, 68 j stadswerkman echtgt
Duflou Paulina St Janstraat.
Thoulouso Virgenia 75 j. z. b. ong. Kalfvaart.
Verminck Jooris 5 j. Nieuw Houtmarkt.
Deboeck Alexander, 61 j. daglooner, wedr
Taccoen Emma, en van De Coninck Amelia,
Rijselstraat.
Stanislaus Lierman, werkman in het voe
dermagazijn te Yper, en Maria Vanneve,
landwerkster te Sysseele.
Juliaan Vandevyver, timmerman te La
Madeleine, voorgaande lijk te Yper, en Julia
Dreus.ie, dagloonster te La Madeleine.
August Verschoore, leurder te Yper,
weduwenaar van Maria Arienille en Flavie
Baelen, kantwerkster te Yper.
Theophiel Deturck, landwerker te Rous-
brugge en Alixia Gowy landwerkster te
Voormezeele, verblijvende te Yper.
Hector Lootens, landbouwer te Yper, en
Maria Maeyaert z. b. te Beveren aan Yser.