01 OEiVf
N. D. DE THUYNE
Affaires électorales
A propos de la bande Jacob
Echos parlementaires
Littérature libérale
Actes oiïiciels
Necrologie
UNJÜkBELLE
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Les Houblons et les pensions
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Nonobstant ses indémables t®nda?C^
tinu davantage des oléricaux que du gou
vernement libéral.
L'irréductible et opiniatre Manchestena-
nisme du parti libéral, apparait de nou veau
a l'occasion de la discussion de ia loi sui
repos dominical.
La veritable et unique raison de 1 opposi
tion libérale, olie est son asservissement au
principe du laissez faire, laissez passer.
Les libéraux doctrinaires repudient 1 in
tervention de la loi dans 1'industrie pnyee.
De même, ils sont liostiles a 1 intervention
de la loi relative a l'assurance par 1 Ltat, a
celle concernant les pensions ouvrieres, le
minimum de salaire, et aujourd'hui ils reiu-
sent leur adhésion a cette Joi demandee par
la généralité qui accorde, a tous ceux qui Jfö
désirebt, un jour de repos sur sept. j
De plus en plus ils apparaissent aux
cbambres comme les défenseurs de privi-
léges de la bourgeoisie et de l'exploitation.»-
Or,en toute occasion,les socialistes s'unis
sent a ces doctrinaires contre les catholi"
ques. Qu'est-ce a dire, sinon qu'ils sacrifient
l'intérêt do la classe ouvrière a leur passion
anticléricale II est bon que les ouvriers le
sachent, afin de juger ces prétendus redres-
seurs, et de les mettre dans un même sac
avec les doctrinaires auxquels ils s'acoqui-
nent.
Listes électorales. Date d'inscription
aux registres de population non requise
lorsque celles-ci est ahtérieure a igoi.
Monsieur le Gouverneur,
Le secrétaire de la commune de X...
demande si la date de l'inscription aux regi
stres de la population doit être indiquée dans
la cinquième colonne de la liste electorale,
lorsqu'elle est postérieure a 1890, mais anté-
rieure a l'année 1900.
J'estime, Monsieur le Gouverneur, qu'il
n'est pas nécessaire de mentionner dans les
listes électorales la date de l'inscription aux
registres de population, lorsque celle-ci est
antérieure a 1900 et qu'il suffit dans ce cas dy
inscrire la mention avant 1901.
Les registres de population ont, en effet,
été renouvelés a la suite du recensement
décennal au 3i décembre 1900, et tous les
électeurs inscrits dans ces registres avant cette
date avaient, au ier juillet dernier, les trois
années de domicile requises pour l'électorat
communal.
II est évident, toutefois, qu'il n'y a pas lieu
de modifier les listes qui indiquent les dates
d'inscriptions antérieures a 1900.
Je vous prie, Monsieur le Gouverneur, de
répondre en ce sens au secrétaire de la com
mune de Xet d'appeler l'attention de
toutes les administrations communales de
votre province sur la question qui fait l'objet
de la présente.
Le Ministre,
J. deTrooz.
Anvers. Goutez
Petit-Beurre.
Dans la Libre ParoleM. Edouard Dru-
mont tire les conclusions suivantes de l'attitu-
de du chef de bande Jacob qui, devant la
Cour d'assises de la Somme, s'est donné
pour un réformateur de la société, en s'atta-
quant a la noblesse et au clergé.
§H« On voit que Jacob a appris l'histoire a
bonne école, a l'école officielle, et dans ces
manuels civiques oü l'on dénonce a toutes les
haines cette noblesse qui, pendant des
siècles,a versé son sang pour la France. Après
tout, cette tirade contre la noblesse n'est en
somme que la paraphrase, l'écho prolongé du
mot fameux de CarnotII n'y a pas d'inno-
cents parmi les aristocrates.
Ce mot féroce, implacable et cynique n'a
pas plus nui aux Carnot que les expéditions
nocturnes et les chantages ala guillotinen'ont
nui aux Fouché. Les cendres de Lazare
Carnot reposent au Panthéon,et son petit-fils
a été l'un des présidents de la troisième
République...
Ce qui a manqué a Jacob, c'est la ma-
nière S'ilavaiteu davantage le flair des
circonstances et le sens de l'opportunité, il
eüt fait certainemcnt, avec l'inteiligence et le
temperament qu'on ne peut lui dénier, une
admirable carrière dans la politique.
Supposez Jacob avocat et député.
Avec beaücoup moins de peines et surtout
beaucoup moins de risques, il aurait gagné
beaucoup plus d'argent qu'il n'en a gagné,
en se contentantde plaider,comme Millerand,
pour les liquidateurs des congregations bru-
talement dépouillées.
Emule des Brianyq
et des Allardfil aurait pu
se créer des titres inj. imorte[s Tad miration
et a la reconnaissaruf ce anticl'^cicaux en
déposant un pr0Je* 3 u un contre projet sur la
séparation de 1 E glise et de l'Etat et la
suppression dujes cu|tes qUC ja Qon.
ventioaelle même f avajt declare' faire partie
de la Dette publiq..,ue,
Devenu mimMjf_rCi sa nature active et son
goüt inné du J cambriolage auraient pu se
donner carriar.re qans des expeditions sans
danger. Loiry) rjen craindre de la rencontre
désagréabk^ qes gendarmes, il aurait eu, au
contraireJfSa disposition, des commissaires
de policx décorés, comme Moerdès, pour le
proté^qq-, au besoin, contre la mauvaise hu-
meur/Jes victimes.
ne peut pas dire de Jacob qu il ait
mafnqué de vocation, mais il est certain qu il
ruG pas tire tout le parti qu'il aurait pu de ses
/lacultés brillantes, faute a avoir su les adap
ter convenablement au temps qu nous
vivons. Sa faute faute capitale qui a faussc
toute sa destine'ea été de ne pas compren-
dre que la Révolution, a notre époque, se
lempère de parlementarisme et que parle
mentarisme est synonyme d'kypocrisie..
Ce tard ou ce trop tot venu ne s'est mon-
tré moderne que sur un point. Au lieu de
visiter Ferrières ou l'hotel de la rue Saint-
Florentin oü s'entassent par milliers les
chefs-d'ceuvre de 1 art, il s'est borné scrupu-
leusement a cambrioler les églises ou les
vieux castels des nobles de province,auxquels
gouailleusement, a diverses reprises, il s'est
plu a repiocher la médiocrité de leurs bijoux
ou Tinsuffisance de leur argenterie.
Sur ce point, tout au moins, Jacob a mon-
tre' qu il était dans le train, dans le dernier
bateau comme on dit aujourd'hui. II a
compris qüe voler la noblesse, voler la
bourgeoisie, voler le peuple, voler les ètres
de dévouement, de sacrifice et de travail,
n'était que pêche's véniels,et que le seul crime
vraiment irréparable, irrémissible.impardon-
nable, serait d'essayer de reprendre aux Juifs
une partie des milliards qu'ils ont razzie's sur
toute la France.
Ce mouvement de délicatesse sera certaine-
ment compris et apprécié par le président de
la République. M. Loubet ne permettra pas
que le couperet du bourreau fauche cette
jeune tête dans laquelle,au milieudu naufrage
de tous les principes, subsistait encore intact
le respect de la seule autorité qui compte en
France a l'heure actuelle le respect du Juif
et de sa toute-puissance...
Les sections out autorisé la lecture et
rimpression de deux propositions de loi.
La première modifie le tarif des douanes
et établit un droit d'entrée sur les houblons
étrangers.
A partir du Ier mars 1906, il sera pergu,
sur les marchandises ci après dénommées,
les droits d'entrée suivants Houblons, les
100 kilogrammes,25 francs; lupuline,39.50.
Cette proposition porte les signatures de
MM. Colaebt, de Béthune, De Coster, Van
der Linden, Van Merbis et Woeste.
La deuxième stipule que la loi du 10 mars
1900, qui accorde une allocation annuelle de
65 francs a tout ouvrier ou ancien ouvrier
beige ayant une résidence en Belgique, agé
de 65 ans et se trouvant dans le besom, est
applicable a tout petit bourgeois et cultiva-
teur, aiusi qu a tout employé industriel ou
commercial remplissaut les mêmes condi
tions.
Les auteurs de cette proposition sont MM.
Ad. et P. Daens.
Prenant pour prétexte le portrait du libéral
de campagne tracé par un organe local de
l'autre Flandre, la. Flandre libérale,oubliant
sa traditionnelle réserve, va jusqu a meuacer
des plus noires représailles les «calotins» qui
tomberont un jour sous sa griffe.
L'organe du doctrinarisme gantois écrit en
toutes lettres
Lejour du reglement des comptes il
faudra bien que cela ce fasse la prêtraille,
et avec elle la Religion, en sortira terrible-
ment meurtrie. Elle l'aura voulu. Ou n'accu-
mule pas impunément tant de ressentiments.
Le vieux De Geyter, auquel Anvers faisait
hier de nobles funérailles a, dans son Chant
des gueux, traduit avec énergie l ardente
prière qui jaillit en clameur de bouche de
plus en plus nombreuses
Van 'tongediert der papen.
Verlos ons Vaderland.
Voila pourtant un de ces organes libéraux
qui périodiquement reprochent aux socialis
tes leurs violences de iangage, et qui ren-
draient des points aux plus fougueux orateurs
de meetings anticapitalistes.
Cet échantillon de littérature libérale n'est
d'ailleurs pas unique.
Nous en trouvons un autre dans une revue
tres sérieuse sous la plume d'un professeur
de l'Université libre de Bruxelles.
Ce docte auteur écrit
«Ne perdons pas notre temps a essayer de
convaincre nos adversaires... Nous croyons
avoir raison, cela suffit; dès lors notre devoir
est de t&cher de faire prévaloir les idees que
nous croyons justes sans nous inquiéter de la
liberté...
L'Allemagne, la Suisse et 1 Italië nous
ont donné l'exemple; suivons-les si nous
voulons être sauvés.
Si les libéraux beiges veulent sauver leur
pays et leurs idéés, il iaut qu'ils recourent a
des rnoyens plus e'nergiques; il faut qu ils
travaillent sans reldche a la suppression des
convents et des ordres religieux, qu'ils arra-
chent l'enseignement aux mains du clergé
qu'ils arrétent par des mesures sévères et
radicales le développement inóu'i des mira
clesdespèlerinages et des stigmatisées qui
sont un scandale et une home pour notre
pays.
Quelles sont ces mesures? sans doute, il
ne s'agit pas de faire des martyrs... mais si la
répression a perdu son caractère de ferocité,
elle n'en existe pas moins, car elle est la
sanction du droit. La prison, les amendss ei le
bannissement sont des amies léga'es; pourquoi 11e pas
s'en servir?
Si nous voulons faire oeuvre sérieuse,nous
devons oublier les doctrines de i83o et mettre
de coté nos beaux rêves de liberté La liberté
est bonne parfois, qui le rile? Mais la vie
sociale est autrement précieuse et pour la
préserver telle que nous le comprenons, il
faut que nous sachions user de la conlrainte
On croit rêver en lisant cet appel aux liber-
ticides entreprises de la Terreur. Car, ces
extraits, si éloquents par eux mêmes,peuvent
se passer de commentaries; toute amplifica
tion ne pourrait qu en affaiblir la portée.
Tout au plus demanderons-nous si un tel
Iangage se recontre dans la bouche d un
homme instruit, maltre de lui même et qui
écrit dans le silence de son cabinet d étude,
ou sous la plume d un journaliste sérieux
qu'influence tout au plus 1 atmosphere du
bureau de rédaction que faut-il attendre
de ceux qui se laissent aller a toutes leurs
passions antireligieuses, et qui ne dominent
pas la fougue de leur caractère
Si ces monstrueuses aberrations trouvent
bon accueii dans une revue sérieuse,^ la
Revue de Belgique, et dans un organe géné-
ralement mesuré tel que la Flandre libérale,
fquels écarts ne trouvera t-on pas dans les
euilles de combat oü 1 écrivain, emporté par
la fièvre de la lutte, n a pas le temps de
mesurer toujours la portée exacte de ses
expressions
Vraiment, nos libéraux n'ont plus rien a
reprocher aux pries révolutionnaires leur
littérature est de celles qui mènent a toutes les
violences. (La Patrie)
Par arrêté royal du 21 mars, M. H. Du-
mortier, vice-président au tribunal de iie
instance de Courtrai, est nommé conseiller a
la cour d'appel de Gand, remplacement de
M. Heiderscheidt, démissionnaire.
Par arrêté royal de même date, est accep-
tée la démission de M. C. Vestibule, de ses
fonctlons de greffier a la justice de paix du
canton de Messines. M. Vestibule, est admis
a faire valoir ses droits a la pension.
Jeudi, est mort a Roubaix, a lage de 71
ans, M. Glorieux. Ié doyen des aéronautes
francais.
M. Glorieux avait fait plus de 600 ascen-
sjons ia première en 1861, la dernière il y
a quelques mois 11 en fit plusieurs a Ypres,
oü il a laissé de bons souvenirs.
11 se prononce pour le droit des assoc^
tions religieuses de former une fédpi-.,, 'a"
nationale
II croit qu'en ce qui concerne la locati
des églises, les fabriques s entendront' tr''<
aisément avec les conseils municipaux et ÜS
se mettront pas en lutte avec la majorité
la population.
M.Deville exprime le désir que les paysan
voient sur leur feuille de contribution nS
dégrèvement correspondent aux sommes
qu'ils paient pour le budget des cultes
ajoute que la séparation doit ètre faite avant
les elections générales et termine en invitan't
la Chambre a voter la séparation libérale
qu'on lui propose. II pourrait se faire que
demain il soit trop tard.
L'estomac du commissaire adjoint d'Ypres
L'nejtucrison de* pilules Pink
Monsieur LóJpold Van deu Hende, la syruna-
thique commissaire-adjoiiit d'Ypies,a un estoruac
qui ees temps derniers lui donna plus de lour-
ments que tous les malf'aiteurs de la vj||e it,I
pilules Pii k out guéri cet estornao malade 'airisi
que ie racoute M Van den Hende
- üepuis environ un rnois et demi, nous dit-i!
mon estomac qui jusquVt ce moment ne m'av'Pt
jamais donné d'i.iquiétudes fj'ai 44 ans), eoni
men ga de me faire souiïnr. II y avait déjit qUe|".
ques jours qu) Tappétit me faisait défaui. u*
nourriture rie me disait rien, pour uu peu'elia
m'aurait répugné Vers f t heures du matin et
vers 5 heures du soir.les tiraiilements d'éstoiuac
me prenaient. Cela medonnait 'comme l'impres-
sion d'avoir faim et cependant comme je viens
de le dire, je n'avais pas /aim du tout. A més
repas je mangeats légèremeiit paree que mes
digestions etaient plutót diilieiles Au sortir de
table, j'avais le sang a la tête, puiscommeu-
caient a me torturer I 'S pesanteurs.les nuasé. s
j'avais envie de vomir, it me semblait que mon
estomac était en feu. Ces malaises ne cessaieut
que deux ou trois heures après mes repas. ue
me laissaut tranquille qu'un petit nombre d'heu-
res dans la journée.Je commencais a me ressentir
de c -t état, j'étais devenu faible, pour un rien
j'avais da l'oppression et des battements de
cmur, et la nuit je dormais mal. J'ai pris plu
sieurs romèdes mais sans succös. n de mes
amis qui connait intimemout M. Libotte, le
pharmacion bien connu d'Yures, lui paria de'ma
inaladie. M. Li botte me lit conseiller deprendie
les pilules Pink. J'ai done pris les pilules Pink
et m'en suis trés bien t ouvé. Mon estomac après
quelques jours de traitement a repris son bon
loDctionnement d'autrefois. Ii neme fait plus du
tout souffrir
L'estomac du commissaire se trouvait rebelle,
il ne pouvait pas ibnetionner. Ce n'était pas la
faute de l'estomac.. L'estomac, s'il est suffisam-
ment fort ne vous ne refusera jamais son con
cours. Mais si votra sang est pauvre, si votre
sarig ne nourrit pas sufflsammentles muscles de
l'estomac, ce dernier trop faible no travaille pas
et ne digère pas. Du jour oil M. Van den Hende
a pris les pilules Pink il t>' st donné du sang
nouveau, rich pur. etson estomac forti/ié par
ce sang riche s'est immédiatomont remis a bien
fonctionner eomme auparavant. II ne faut pas
prendre pour guérir vos maux d'estomac des
medicaments qui digèreront la nourriture. Du
jour oü vous ne les prendez plus. vous recom-
mencerez a souffrir paree que votre estomac ne
sera pas guéri. II faut aller a la raeine du mal,
au sang qu' l faut changer. Les pilules Pink
donnent du sang riche et pur et c'est pour cola
qu'etles guérissmt les maux d'estomac d'une
faeon durable. Elles guérissent aussi l'anémie,
la chlorose, la neurasdiénie, la faiblesse géné
rale, le rhumatisme, ïes migraines, névralgies,
seiatique, irrégularité das ferames, palpitations,
danse de St Guy, troubles nerveux, e'est-a-dire
toutes les maladies qui proviennent d'un sang
pauvre.
Elles sont en vente dans toutes les pharmacies
et au dépot: pharmacie Deriievill«,66, Boulevard
de Waterloo, Bruxelles. Trois francs einquaute
la boite, dix sept francs cinquante les six boites
franco.
Depót a Ypres, pharmacie C. LIBOTTE. Po-
peringtie, pharmacie Montoyne.
Paris. 24 mars.
A la Chambre. On continue la discus
sion du projet de loi sur la séparation des
Eglises et de l'Etat.
M. Deschanel dit que le projet est certai-
nement le plus grave que I'assemble'e ait
abordé deputs longtemps. 11 fait 1 historique
de la question et declare que limmtsston de
l'Eglise dans la politique est odieuse et que
l'ingérence de l'Etat dans la religion est
funeste.
M. Deschanel estime quevouloir continuer
le pacte avec l'Eglise serait une folle gageure,
mais ilne faut pas que que la rupture soit
une déclaration de guerre. Le cabinet Wal
deck proposa le reinforcement du Concordat.
Aujourd'hui on propose la séparation pure
et simple. Quelle sera la situation des asso
ciations cultuelles On veut les diviser par
régions. C'est une erreur, car leur centre de
fédération se réformera a Rome.
II vaudrait mieux organiser ces associations
de matiière a pouvoir faire une fédération
nationale, étrangère a toute influence exté
rieure.
M. Dcville, socialiste, se déclare partisan
d'une séparation trés libérale. II rappelie que
l'Assemblée constituante reconnaissait que la
nationalisation des biens du clergé n entraï-
nait nullement l'obligation de salarier le
clergé done, aucune indemnité n est due au
clergé et 1 Etat a le droit de supprimer le
budget des cultes. M. Deville constate qu'il
est établi juridiqüement et historiquement
que les cathédrales et les évêche's appartien-
nent a l'Etat et les églises et presbytères aux
communes.
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un magasin voulant s'occuper d'un dépot de
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