59 millions. 165 millions. GHROMQUE DE I/ARRONDISSEMENT Achèvenient du C.anal de la Lys a l'Yperlée. Boesinghe de Pont-Rouge Le chemin de halage a Henin Les accidents du travail Discours de M. Colaert k la séance du 2 Vlai de la Chambre des Représentants -Vrnement -noncer la gestion financière du gourer- ent Electeurs vous les enverrez pro- aer 15,769 en plus. ,-uats prouvent que in- J" if'profitable -s le ministère liberal Ton Proportion de 21 p. c. d'illettrés -sgent militaire, sous le ministère Me on en trouve 9,65 p. c. N'est-ce le gouvernement catholique k miné publique ill II est tout de même miné l enseignement Leur manifeste intangible l'affirme! Regardez bien ne voyez-vous pas sortir l'oreili ma- gonnique Venseignement public est miné, paree que l'Etat accorde des subsides d len seignement libre catholique. Ce que le mani feste libéral n'a pas manifesté, M. Hymans s'est chargé de le dire a la Chambre, a la séance du I mai dernier, dans un discours qui suinte le fanatisme. Ah I les taupes de la Loge s'apprêtent a miner Lenseignement catholique. Voila leur tolérancevoila leur respect des opinions, voila leur amour de lenseignement. lis se proposent de démolir la superbe situation de notre enseignement public. Nous voila édifiés, messieurs les libéraux, le pays se détonrne de vous et rous crie disparaissez, crétins, qui pour une question de gros sous abaisseriez l'éteignoir sur notre enseignement si prospère GRIEF LIBÉRAL. Les finances publi- ques sont en péril le déficit est la, qui nous guette la dette publique a dépassé le chiffre énorme de 3 milliards Soo millions. RÉPONSE. Tout cela sont des mots, des mots, des mots. La situation financière de la Belgique est brillante et nous le prouvons. Le déficit Compare Sous le ministère libéral, chaque année, de 1879 a 1884, nous eümes des DÉFICITS a enregistrer pour un total de Sous le gouvernement catholique, leg BO NIS de chaque exercice, depuis vingt ans, s'élèvent au total de Voilk comment le déficit nous guette Voila en deux chiffres, de quoi apprécier deux regimes La dette publique. Si nos adversaires avaient pour deux sous de loyauté, ils reconnaitraient que les trois quarts de notre Dette ont pour contre partie le railway national, dont l'Etat encaisse les recettes ils reconnaitraient que l'argent que nous avons emprunté a également servi a l'extension et au perfectionnement de notre outillage économique (ports, routes, canaux, etc.) qui sont, indirectement, une source de revenus pour l'Etat. Considérons un instant ce tableau Au 3i décembre 1870 la dette consolidée était de 681,880,913 francs. Fin 1878 elle était de 1,253,995,647 fr. Fin 1884 1,768,0x2,048 fr. Au 3i décembre 1900 elle était de deux millions 650,898,150 francs. Done La dette publique augmentait Sous le ministère libéral (1879-1884) de 85,671,433 fr. annuellement. Sous le ministère catholique (1885-1902) de 61,742,889 fr., malgré la reprise du Grand Central et autres chemins de fer et canaux. Une remarque finale. De 1879 a 1884, le parti libéral n'employa que 75p. c. de ses emprunts a des travaux de rapports, il fut même obligé de consacrer 11 p. c. de ses emprunts combler les défi cits des budgets ordinaires. De 1886 a 1900, le parti catholique affecta pSp. c. de la somme empruntée a des dé- penses productives. 11 put en outre, giMce a des bonis considérables sur les budgets ordinaires (156 millions), réaliser sans qu'il en résultat aucune charge d'intérêts, des travaux de première utüité qui mirent en oeuvre l'activité de la classe ouvrière. Ces simples rapprochements sont saisis- sants. Done malgré tous les travaux, tous les dégrèvements, toutes leg diminutions d'im- póts comme nous 1 établiruns tantót malgré toutes les augmentations de traite- ments, malgré toutes les dépenses, notre situation financière est magnifique. Après cela, les libéraux auront-ils encore l'audace 6* Grief liberal. Les impöts ont aug- menté. Voye\ le tableau ci-joint Réponse. II faut tout le toupet des parti sans de l'obligatoire pour mettre sous le nez de leur3 lecteurs bénévoles, sous prétexte d'établir l'augmentation des impóts, l'au- mentation des recettes. Que prouvent tous ces chiffres tapageuse- ment alignés dans leurs manifestos de contre- vérités Uniquement ceci, et nous avons le droit d'êtrefiersque, depuis l'avènement du ministère catholique, laprospérité et le bien être de la Belgique se sont accrus dans des proportions inespérées. II n'y a qu'une augmentation de recettes qui ait pour cause une augmentation d'impots e'est celle relative aux alcools de consommation, et de celle la nous n'avons point a rougir. A part cela le ministère catholique a au contraire supprimé les impóts de consommation établis par le gouvernement libéral sur le café, le thé, ie cacao. II a dégrévé le sucrealiment populaire par excellence, eu réduisant de 50 a 20 fr. 1 accise sur la fabrication du sucre. Et les bourses le sucre ne cotltant plus que 0,55 fr. le kilogr. au lieu de i fr., prix ancien ont profilé de ce dégrèvement. 21 millions de francs par année.Lapreuve en est que, de 60 millions de kilogr.en 1902, la consommation du sucre dépasse dès aujourd'hui 80 millions. Les impöts ontaugmenté 1 Allons done La somme annuelle supportée par chaque habitant du chef des charges de la Dette non courerte par ie revenu net des capitaux empruntés, est tombée de fr. 6,75, qu'elle en 1884, a fr. 3,27, au 31 décembre 1904. Que reste-il après cela, du fameux tableau dont le manifeste libéral fait un foudre de guerre A 1'usage des adversaires du gouver nement catholique Rien que la conviction de la déloyauté de pareils procédés 7e Grief liberal. Les lois sodales qui ont été votées, sont des lois de facade. ^RÉPONSE. La Belgique possède une legis lation sociale qui fait I'admiration et lenvie dautres pays. Les catholiques ont élaborédès aujourd hui un code de lois sodales nombreuses,auxquel- les un socialists, le député Destrée, a été forcé de rendre hommage contrat de travail, règlements d'atelier, mesurage du travail, paiement des salaires, incessibilité et insaississabilité des salaires, travail des femmes et des enfants, unions profession- nelles, réorganisatiou des conseils des prud''hommes, conseils de l'industrie et du travail, habitations ouvrières, allocations de pensions de vieillesse, pensions de retraites, réparation des dommageg, resultant d acci dents, repos du dimancfie, etc. Qu'ont fait les libéraux par rapport a toutes ces mesures législatives pour améliorer la condition des travailleurs Ils ont voté contre presque toutes ces lois; ils ont sotte- ment mis leur anticléricalisme audessus des intéréts des ouvriers, audessus de la solution des questions sodales. Voyez ce qu'écrit le Peuple, a propos du discours-programme de M. Hymans, le leader de la gauche libérale Tout le monde sera frappé qu'il 11e s'est pas trouvé dans l'exposé de ce discours- programme, la momdre place pour la question sociale,pour les réformesouvrières, qu il faut d'urgence remettre sur le métier. M. Hymans n en souffle mot, comme si ie parti libéral en était encore, dans ce domaine, a ses perpiexités d'avaut 1886 O'est ainsi. Au point de vue social, le parti libéral n'a rien appris, et si les ouvriers l'appelaient au pouvoir, ils pourraient attendee les réformes qui! reste a accomplir. Electeurs, voila done tous les griefs que les candidats libéraux dansl'arrondissement d T pres font valoir contre le gouvernement catholique. Vous conviendrez que pareils griefs sont ineptes et vides, que pareils efforts annoncent la fin prochaine d'un parti qui est agonisant et qui dans l'histoire, restera marqué du stigmate da 1 egoïsme, de lTutolérance et de 1 impuissance. Le parti libéral ne peut plus supporter la vérité. Pour soutenir la campagne furieuse, mais impuissante qu'ils mènent contre la droite les candidats libéraux sout réduits a dénaturer tous les faits. Cela les juge et les condamne. Le libéralisme est un parti de réaction, sa haine anticléricale l'a rendu prisonnier du parti de la révolution sociale. Le cadavre du libéralisme est prés de la losse, le 27 mai on l'enfouira enveloppé dans le drapeau rouge, et dans notre arron dissement, son unique représemant dispa- raltra balayé par les élections du mépriB. Le gouvernement avait iuscrit. au budget des travaux extraordiuaires, un cró ut de 250,000 fra .cspour expropriatione» travaux en vue de l'aclièvement du canal de la Lys a l'Yperlée. MM. Colaert et Van Merris out proposé de porter ce crédit a 400,000 irancs, donnant, par l'organe de M. le Bourgmestre d Ypras, cette signification a 1 augmentation du créditque les travaux seraient mis en adjudication et entamés sans retard. M. le miuistre des Finances et des travaux publics, au milieu du vacarme de ia deruière neure de la session, a permis a M. Colaert de se rasseoir, en disant que 1 augmentation du crédit était accord ie et la Chunbre l'a adoptée, a lunauimité des membres encore présents. M. Nolf n'a pas pris part au vote Nous félicitons MM.Colaert et Van Merris de leur succès. La ville et Tarroudissement d Ypre» leur en seront reconnaissants. De concert avec nos sénateurs catholiques, ils ont multipliéleurs efforts et leurs démarches auprès du gouvernement, qui estirne enfin que les difficultés d'ordre technique sont vaincues. Nous avons annoncé, dans un précédent numéro, que le gouvernement,constammeut sollicité par M. Colaert, a consenti k laisser l'eau de l'Yperlée s'évacuer dans le canal. La barrage de l'Yperlée est ferme et l'eau est regue dans le canal. Une bonne nouvelle pour nos mariniers La question du chemin de halage est réglée pour Comines. Le gouvernement en a informé M. le Représentant Colaert, en lui laisant savoir en même temps que les expropriations pour l'étahlissement du chemin de ha age a Wervicq seront com- mencées dans quelques semaines, Lesradicaux continuenta exploiter,contre nos candidats, la loi sur les accidents du travail. La vérité est que nos députés n'ont pas voulu de l'assurance obligatoire réclamée par les radicaux et les sociaiistes. Pour ce qui concerns l'agriculture, les cultivateurs ne sont done pas obligés d'assu- rer leurs ouvriers. Et s ils ne le font pas, la conséqueuce de la loi estqu'en cas d accident ce qui est assez rare a la campagne, les indemmtés sont fixées par la loi et sont beaucoup moins élevées que sous l'ancierine loi. VoilA ce qu'il importe de dire et de repeter, si l'ou veut être juste. 11 est vrai aussi que la gauche voulait appliquer la loi a tous les cultivateurs, quel- que soit le nombre de leurs ouvriers, et que les catholiques ue l'ont pas voulu. - - ff 0 |f «gp- 1 Nous donnons aujourd'hui la suite du discours de M. Colaert, traitant de plusieurs objets et notamment de la question agricole. Je me serais borué, messieurs, ces observa tion* la,si depuis qua l'honorable M M Terwagne a parlé, uous n'avions eu un discours de mon ho orabie collègue M Nolf, qui, lui, a traité la question agri ole, en nous parlant en même temps de certaines oeuvres d'initiative libéia e. Je desire, a moti tour, entreteair la Chambre de qjielques questions intéressant l'arrondissement d Ypres, arrondissement presque essentielle- ment agricole. La question des droits d'entróe sur le boublon n'est pas tranchée et no Ie sera probablement pas dans la présente session. Avec mes honorables collègues, MM. Woeste, de Bethune et van Merris, j'ai eu l'bonneur dè déposer une proposition de loi qui n'est malheu- reusement pas encore soumise a notre examen. Kite n aura pas plus de succès, cette année, que celle deposée par l'honorable M. Daens II faut cependant que la question des lioublons fasse 1 orjet de nos continuelles préoccupations.Aussi esperons.-nous que le droit modique de 25 francs par luo kilogrammes pro.osó par nous sera adopte dans notre sessiou prochaine. Ou a également parlé,messieurs, de la question du congé préalable a donner aux fermiers. Des observations lort justes ont été présentées, mais je dois dire qu'en fait les congés sont donnés en temps utile et que, sous ca rapport, les proprié- taires s entendent avec leurs fermiers. M van der -truggen, ministre de l'agriculture - L est trés exact. „„i^£0la?.rt- Pour ma. Part- dans ™a longue carrière d avocat, je n'ai rencontré aucuu cas d expulsion d un fermier sans congé ou avertis- seraeDt prealable. La loi n'est pas aussi absoluequ'on le prétend J admets cependant que Particle 1774 du code civil, stipulant queles baux en matière rurale faits sans écrit, prennent fin ft l'époque oü les fruits on été recuaillis done, 4 la rigueur chaque année. s'il olait au propriótaire S0it modifié Mais la réforme serait purement plato- nique s'il s'existo pas d'abus. ur, je le répèto je 11'en ai, pour ma part, jam isconstaté. M. van der Bruggen, ministre de l'agriculture Cette situation est générale. Elle prouve des relations cordDlas antre bailleurs et preneurs Leurs inté êts d'ailleurs sont harmoniques. M. Colaert. - Ou a également parlé de la question des droits du fermi»r sortant. Je n'ai pas besoiu de vous (lire, messieurs,qu'il y a dans le Code civil uu article 1778, qui dit que le fer- mi r sortant doit laisser dans la ferme les pail- ies ot ongrais de l'année, s'il les a rejus lors de son entree en jouissance et quand même il ne les aurait pas regus, le propriétaire pourra les retenir suivaut l'estimatiou.LA encore pas d'abus possible, le propriétaire, ou le fermier entrant, reprend les paillos et eugrais contre le prix de ia prisóe. Muis il y a aussi la question des arrióre engrais qui est plus ou moins complexe. En géneral, dans les Flandres il est dfi des inilemnité.s au fermier sortant et, en cas de con testation, alles sont fixées suivant des ta'-ifs établis par les coutumes. Flus géuéra'euiönt, et dans tout le pays -i, lor.i de on entrée en jouissanoe,Te fe mier sortant a payé soit directement au propriétai e, soit au nouveau fermier, une indemnité pour arrière- ongrais, ilans ce cas, il est de jurisprudence constante de lui aecorder des indemnitós a sa sortie. Ce n'est que dans le cas oü les coutumes s mt muettes et que le fermier sortant n'a payé aucune indemuitó a son entrée en jouissance, qu'il n'eQ regoit pas a la ttn de son t ail. Sous ce rapport, il y a lieu de modifier la loi, en y inscii vantcequi existe dans la plupart de nos con" trees. J'appilla la bieuveillante attention de M- le ministre de l'agriculture sur ce point. Mais voici une autre question le privilège du propriétaire 1 Ce privilège est exorbitant, je l'ai toujours reconnu et je l'ai critiqué souvent dans cette assemblée. Le propriétair-> jouit d'un privilège pour trois annéss et pour l'année courante, ce qui fait quatre ans, et même, d'aprós la loi hypothécaire, pour toutes les annóesde la durés du bail, si celui ci est authe; tique ou s'il a date cei taine.O'ótait l'article 20 de la loi hypolhócaire qui lui accordait ce privilège exorbitant. F*ut il aller jusqu'a demander la suppression du privilège? Je n'oserais pas le faire. M. Giroul. Le privilège d'un an suffirait. M. Tack. Le propriétaire ferait payer comptaut. M. Giroul. En accordant un privilège tro>p long au propriétaire, on ruine le fermier. on lui coupe tout crédit. M. van der Bruggen, ministre de l'agriculture. Je pense que le privilège a été réduit. M. Colaert. M. le ministre pense que le privilege a été réduit par une loi, mais je crois qu'il fait erreur M. van der Bruggen, ministre de l'agrieulture. Je n'oserais pas i'afflrmer, mais je pense qu'il a été réduit. M. Tack. Oui, il a été réduit. M. Colaert. J'ignorais, comme l'honorable M. Giroul, qui appartient au bar/eau comme moi, qu'il en fut ainsi. (RiresJe dois recon- naitro que jo ne me rappelle pas avoir voté pareille loi. Nousisommes done d'accord pour dire que le privilège dure trop longtemps et qu'il devrait être réduit a un an.Ce qui prouve que j'ai ra/s on, e'est que l'honorable ministre croit que cette disposition a dója été votée. Mais abolir tout privilège serait préjudiciable au fermier lui même. L'honorable M. Giroul est d'accord avec moi sur ce point.Du reste ce privilège se justifie dai s une certaine rnesure par cette cons deration que e'est le propriétaire qui fournit au cultivateur, outre son habitation, le moyeo d'exercer son industrie II procure le fonds que le fermier fait valoir. Si le privilège était complètement sup primé, voici ce qui se passerait. Lors de l'enti ée en jouissance du fermier, le propriétaire stipu- ler'ait, dans le bail, que le fermier doit payer par anticipation Ce serait créer au fermier une situation qui ue lui permettrait par de s'inslaller, ou qui lui enlèverait les moyens de faire valoir ses labeurs. Nous sommes tous d'accord sur ce point. L'honorable ministre de 1'aaricuUure croyait que la modification que je propose existait déja dans la loi. II lui reconnait done un excellent caractère ou point de vue du fermier et du crédit agricole, et dans ces conditions je ls sup- pliede vouloir traduire l'idée en projet de loi. Je suis convaincu qu'il trouvera dans cette Chambre une majonté pour voter non pas 1'abolitioD, mais la réduction du privilège du propriétaire. M. van der Bruggen,ministre de l'agriculture. Permettez-vous une interruption, monsieur Colaert Je trouve dans le code au titre P;i- vilèges e hypothèques remplacé, vous le savez, par la loi du 16 décembre 1851, la note suivante a l'article 2J L'article 9 de la loi du 15 avril 1884 sur les prêts agricoles réduit le privilège du bailleur quaud il s'agit d'un bail a ferme. "II y a done eu modification et mes souvenirs messrvaient exactement. M. Colaert. La réduction n'a pas été opéréa dans les termes dont je parle. M Giroul. - La question de la réduction du privilège a figuré au programme des congrès progressistes de 1884, 1893, 1894. fruSgen, ministre de l'agriculture. De 1 abolition 1 u-Si' k}ro)É' Je m0 souviens avoir défendu lidee de la reduction du privilège a un an. II n a, certes, pas été réduit a un an par une loi 1 M. van der Bruggen, miuistre de l'agriculture. Ne confondons pas voici la note: ie n'ai pas sous la mam les documents nécessaires, mais je S18lla'0r qu'on a touché 4 cette question en ioo4. i„^,^Colaert. Le privilège a été réduit pour ^Undepasser troL années et l'année courante. II existe done encore pour ces trois années et 1 année courante. Or, ie dis qu'une année et l'année courante suffisent Je passe a un autre ordre d'idées. s.,J"6,aC?i!LdeVair.dir9 fiUölques mots de la loi n!m«nt i,ïï 9 loi fut votée sous legouver- M L 911 1882> sur la proposition de n"Jaequem,yns- alors luiaislro de l'inté- neur ot qui avait la chasse dans tes attributions. Cotte loi a été trés mal accueillie. Je ne 111e iais pas te deteuseur des braeouniers, quoi qu'on en ait ait quelquefois au Sénat, mais jo me suis toujours révolté contre les pénalités excessives próvues par cette loi.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1906 | | pagina 2