LA HERNÏÊ GUBRIE FA ITS EMP YPRES RPF" Dl SANTÉ D I £fW: Sport hippyquo, LE TiiËKMOGÊNE L age n'y fait riei. UMCULEüÊÉ AVIS IMPORi ANT >5-- É3F* La commission du Sport hippyque de la ville d'Ypres, a l'honneur d inforiner Mes sieurs les intéressés qu'elle recevra jusqu'au 27 courant a midi les soumissions cachetées pour la location du buffet principal Is jour des courses. Cette location se fait pour 3 ans avec faculté pour le conces-ionnaire de renoncer moyennant préavis de 3 mois. Le comité. Une intéressante communication Se méfier des contrefagons PAREIN D'ANVERS VILLE 1>'Y P li E S DE ÉL* 1 CHEMINS V1CI N A U X Mai 1906, Le Lundi '1 i 10 hein es du matin, ii sera procédé, a I Hólel de Lille d'Ypres, a ['adjudication publique des travaux d'empierremeDi du chemin vicinal ur8, Bellewaartstraat, sur ie ternioire d' pres. Les plans, devis et cahier des char ges sont deposes au Secretariat coai- iijut.ai, amsi que ciiez l'iogénieur d'Arfocdissenaent du service tech iiiquc. Le devis s'élève a lrs 10,769,24. Les sourni8»iutts doivent èlre dépo- sées a ia poste au pl s tard ie 19 fiiai 1906. Ypres, le 7 Mai 1906. Le ff. Sechétaire. N. BOUDRY. R. COLAERT. BURGERSTAND VAN YPER van den l Mei lolden 11 Mei 1906. Geboorten Carlier Margarela, Palteelstraal. Tasseel Simonna, Hondstraat. Tiesy Florent, Lioorgangstraat. Olievier Maria, Patleelstraat. Beddeleem Leopold, Hondstraat. Kools Alfred, Gustaafde Stuersstraal. Schoonheere Adriana, Bukkerstraat. Huwelijken Üecramer Valeer, behangersgast Warlop Philomena, kantenwerkster beiden te Yper. Dchollander Franciscus, leurder Detnan Eulalia, leurster beiden le Yper. mnssfLL SerapbieriH Salomé Mari^- Van Belle Henj"j': -. Celina, L. Thouroutstmt Beun Carool, 60 j. kV. De Braband Rosalie, Staiiesln Les piluies ihnk «uérisserA les vieux comme les jeunes. IA lO* 1ÏÏJMÏÏ i^biuiü^iii^feii Achat et vente de Fonds publics. Echange <ie coupons. Conversion et, souscription a tous emprunls Beiges et E'rangers Délivrance sur tous pays de lettres de crédits, traites et chèqu°s.' Avances de fonds. Dépóls de fonds. Com pies-courants de Dépots de fonds avec carnet de chèques. 15, RUE DE MEN IN, Verification des tl rages de litres remboursables. Les iisies qui me sont présentécs doivent être dressées p,ar ordre numérique. Le bureau est ouvert de 9 a VI h, du matin. ^ifllMèïi 'hf-Off C'est ainsi qu'il m'est arrivé de voir coudara- ner des braconniers a des mois d'emprisonna- ment ou ce qui revient au même k des amendes excessives qu'ils étaient incapables de payer Je oonsidère ces pénalités comme draconiennes. Dés i8S5, j'ai signalé trois dispositions qui sont odieuses. J'ai alors rencontré a gauche, surtout de la part de M Eudore Pirmez, une violente opposit on. Voici les dispositions que je critique II y a d'abord celle qui probibe la detention d'engins propres k prendre le gibier et qui punit la simple détention d'engins de cette nature. Nous avons vu des cas d'application trés singuliers de cetto loi. G'est ainsi qu'un jour, un f fermier d'une d s communes de mon arrondis- t gement a étó poursnivi et condamné pour avoir dófenu des lacets. Or, ce fermier était aveugle f Rires11 lui était done bien difficile de placer f un engin prohibé. On avait trouvé des lacets chez lui et cela suffisait pour le faire condamner, parce que la simple détention d'engins, sans intention d'en faire usage, est suffisante pour encourirune condaranation. Pour une question de lacets permettant de prend;e des ièvres. Ton voit la gendarmerie faire des perquisitions et couimetire pour ainsi dire des violations de domicile, ce qui est déténdu par la Constitution. II y a la une sitna- I tion qui ne peut perdurer II n'est pas admissible 1 que quelqu'uu possédant des lacets,mais n'ayant pas l'intention de les placer, puisse.être con- damné. Or, dans le cas que je viensde signaler, les lacets avaient places sous un coffre par un ancien domestique qui avait quitté la ferme et i et qui agissait par vengeance vis-a-vis de son ancien patron. M.d'Huart, rapporteur.- Ge sont des questions de fait que les tribunaux ont a apprécier. M. Colaert. Ah oui.je le sais, e'est ce que l'honorable M.Pirmez m'a répondu dés 1886,mais l'appréeiation des tribunaux est celle-ciil suffit du corpus, il ne faut pas 1 'animus, il suffit du fait simple de la détention et les tribunaux cou- damnont. J'ai entendu les tribunaux prononcer des condamnaiions de ce genre, avec le regret de j devoir appliquer une loi aussi draconienne. Voici, messieurs, une autre disposition que je i critique ógalement et a laquelle la jurisprudence I ne peut apporter aucun tempérament: l.orsque I le délinquant est pris, il doit remettre son arme a l'agent verbalisant Voila ce que dit la loi.G'rst trés bien et je comprends parfaitement qu'il doive remettre son arme, lorsqu'il est pris en I flagrant délit par l'agent verbalisant. Mais'lois- i qu'il n'y a pas do procés verbal, la cour de cas- j sation a décidé qu'il ne fallait pas moios remeUre i l'arme. On est ainri en butte a toutes les vengo- i ances, et bien qu'il n'y ait pas do procés-verbal constatant le flagrant délit. on est condamné,sur f de simples témoignages, a 1 0 francs d'amende, j pour n'avoir pas remis l'arme Cela est il raison- f nable M. d'Huart, rapporteur. - S'il n'y a pas d'agent 1 verbalisant, qui fait il remettre i'arme M. Colaeri. Précisément. Le délinquant doit i donc aller trouver le procureur du roi et lui dire j'ai clélinqué, j'ai chassé Voici mon arme j S'il n'agit pas ainsi, il sera condamné Eh bien, messieurs, je dis qu'une disposition pareillo est ij non seulement injuste, mais qu'elle est parfaite- j ment ridicule. Personne n'a l'obligation de se 1 dénoncer. M. van der Bruggen, ministre de l'agriculture. G'est la confection vicieuse des lois M. Colaert. Je le voux bien, mais quand depuis vingt ans je signale cette situation a la Gbambre, il me semble que les divers ministrt-s qui se sont succédé au département de l'agricul ture auraient pu y remédier. Voici une autre disposition draconienne c'est la condamnation de la personne civilement responsable. II s'agit d'un fermier et de son domestique Celui-ci au lieu de se livrer aux occupations auxquelles it a óté préposé,va braconner a 1 insu de son maitre. En bien, messieurs, cette disposi tion qui ne serait pas applicable au fermier dont le domestique aurait tué un homme, pérmet de condamner ce fermier a des dommages-i itérêts, parce que son domestique a tué un üèvre Mes sieurs, je 1c répète, j'ai entendu maintes fois des tribunaux exprimer le regret de devoir, en pareil cas, appliquer la loi mais '1 n'y a absolu- ment rien a y faire; il n'y a pas pour les tribu- naux faculté d'apprécia'ion dans des cas pareils, ils sont tenus d'appiiquer la loi. Nous.avons failli aboutir, avec l'aide de M. le ministre de l'agriculture actuel, a faire d'sparri tre ces abominations de Ia loi. C'éiait il y a six ans. J'ai dit alors que j'avais l'intention de déposer un projet de loi modiflant ces mauvaises dispositions. Seulement, depuis lors.la Chambre n'a r as eu le temps de ee livrer a l'étude d'uns réfor e de ce genre et, je dois le dire, on n'a rien fait. Si l'honorable ministre de l'agriculture ne croit pas devoir prendre l'initiative d'uné réfo/me, je serai obligé d'user de mon i itative parle mentaire pour faire disparaïtre les dispositions que je viens de signaler. Ces dispositions sont mauvaises non pas seule ment pour les fermiers, mais aussi au point de vue de la loi elle même En effet, lorsqu'une loi est draconienne a ce point,quand elle soulève de nombreuses protestations, une pareille loi est de nature a faire plus de mal que de bien. M. le président. Monsieur Colaert, permet- tez-moi de vousengagner abréger. M. Colaert. Je n'en ai plus pour longtemps, monsieur le président. M. Braun. II y a encore vingt orate' rs inherits. M. Colaert.Je veux dire encore quelques mots de la pêche. M. Braun. II serait bon de limiter le temps de parole. M. Colaert. En effet, qu'on limite pour tous les orateurs le temps de parole. Mais je conserve le mien. M. le présideDt. Docnez toujours l'exeraple monsieur Colaert. Sourires M. Colaert. Oui, monsieur ie président Je signale a l'bonorable ministre un point que j'ai soulevé souvent dans cette Chambre.Je voudrais voir aceorder a ceux que organisent des con cours de pêche l'autorisation de se passer de faire payer la licence par les participants au concours. M. van der Bruggen, ministre de l'agriculture. Combien coüte cette licence franc C'est donné, car elle permet de prendre part a tous l«s concours. M. Colaert. C'est trés vrai, seulement tous les ouvriers qui prennent part au concours ne sont pas Beiges il y a des ouvriers francais qui viennent pêcher dans les arrondissements de Furnes et d'Ypres si vous pouviez rendre ces concour- absolument gratuits, pour les étran- gers seulement, je crois que ce serait une disposition qui, sans nuire au trésor, iavoriserait les concours paisibles et fort rnoraux de pêche k la ligne. Messieurs, je dois dire quelques mots en reponse a ceux de nos collégues qui ont eu l'oc- casion de parler de questions étrangères a la discussion du budget. Je veux simplement constater qu'en ce qui touche les oeuvres sociales dont on a parlé oeuvres sociales qui concernent spócialement le budget de i'industne et du travail les oeuvres cainoliques sont de loin les plus nombreuses dans les Flandres. Lans l'arrondissement d'Ypres, nar example, snee qui concerneles mutualités pour maladies, i 1 y a37 sociétós dont 4 sont libér&les et les autres sont toutes (l'initiative catholique. Quant aux mutualités de retr aite, it y en a 3 libérales et 70 catholiquss Et je ne connais, dans toute notre province, aucune oeuvre agricole due a l'initiative de nos adversaires i J'ai cberché, messieurs, pour répondre a l'honorable M. Hambursin, ce qui a étó fait au point de vue de l'agriculture par le gouverne ment iibéral de 1878 a 1884 et je n'ai trouvé qua ces deux lois la loi sur la cbasse de 1882 dont j'ai parte tout a l'beure, loi absolument odieuse, et t'impöt sur le tabac qui a été créé par l'hono rable M. Graux... M. Braun. Et que vous avez conservé. M. Colaert. Pardon; voila comment vous écrivez l'histoire Nous avons aboli le droit sur le tabac en 1895, après l'avoir au próalaüo réduit. Nous nel'avons done pas co iservé. M Braun. Mais vous avez conservé tous les impöts. M. Colaert. Cela n'est pas plus exact. Depuis que nous sommes au pouvoir. nous avons aboli ou léduit piusiaurs droits. II n'y a que vous qui l'ignoriez. Je viens de signaler les deux seules rnesures prises par le gouvernement Iibéral de 1878 1884 non pa*, en faveur de l'agriculture, mais conlre l'agriculture. Je pourrais énumérer les diverses lois qua nous avons votées et les mesures prises pour favoriser l'agriculture. Nous pourrions nous prévaloir des droits motliquos ótablis sur i'avoiiie et le bétail ét anger et dire que ces dernier droit alimente le fonds spécial créé par l'bonorable M. Beernaert, bienfait inappreciable pour les communes du pays. D'autres orateurs ont rappelé ou rappelleront encore que depuis 1884,1e gouvernement catholi- que a dèpensé 15 millions pour la réparation des j pertes subies par l'agriculture, 16 millions pour répandre la science agricole: conférences écola.i de laiterio, laboiatoires pour les ana yses, etc 10 millions pour l'améüoration de chemms com- munaux. Enfin, mes-ieurs, nous pouvons oppo- ser aux lois sur la cbasse et sur l'impót du tabac, les lois augmentant les indemniiés pour la moriahté du bèta; 1celle encourageant, par de forts subsides, 1'; ssurance mutuelle agricole, la loi admettant au transport gratuit, sur nos chemins de fer, certains produits agricoles,celle diminuaot les droits d'. nregistrement pour les acquisitions des petites propriétés rurales. etc. La vérité est que le gouvernement catholique a beaucoup fait* pour l'agriculture et souvent pour le pefit cultivateur, tandis que, de 18/8 a 1884, le gouvernement Iibéral s'est signalé exclusivement par sa guerre scolaire, qui a occasionné de folies dé enses et qui a été la cause non seulement des déficits que nous avons constates sous ce ministère, mais de la cbute même de celui ci. Trés bien a droite.) i es membres de la gauche ont exprimé l'espoir de nous battre aux proehaines électioDS et, di voir le libéralisme triompher dans la Flandre occidentale. Qu'ils conservent eet espoir Qua t a nous, nous avons la con vie tion contraire; nous conserverons notre situation dans tous les arrondissements. A l'élection sénatoriaie d'Ypres, en 1904, nous avons gagné, sur l'élection ae 19) 2,220 voix, et cela sans qu'un travail intense ait été fait de notre cöté. Nos adversaires, je dois lo reconnaitre, n'en avaient pas fait davaritage. En présence de pareils progrès, je crois. pouvoir dire que le 27 mai 1906 ne róalisera pas les espérances des libéraux, et quo le corps electoral nous conser- vera i-a conflauce Je me bornea cette prediction qui se réalisera au dela de uotre attente. Appro bation a, droite). Par la Méthode CLAVER1E de Paris Cette terrible inflrmité qui était considérée comme incurable eft aujourd'hui radicalement guérie par la nouvelle mótbode de M. CLAVE- RIE, le grand spécialiste de Paris. 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Mes digestions étaient en outre trés mauvaises et par suite de tout cela, j'étais trés aff'aiblie. J'ai consulté plusieurs fois, on m'a prescrit plusieurs remèdes, mais je n'ob- tins jamaisaucun résultah Ayant lu bien souvent dans les journaux des attestations prouvant l'ef- fetalutaire des pilules Pink, je me suis décidée aussi a essayer ce remède. Après avoir pris ia première boite, j'ai ressenti une ^certaine ame lioration. II me semblait que je rec.ommenqais une nouvelle vie et j'ai oependant soixante ans. J'ai continué le traitement ot toutes mes so ffran- ces ont disparu. Je puis certifier que j'ai été guérie après l'usage de quelques boites.'Je me sens aussi gaio, enjouée et vigoureuse qu'avant ma maladie. - Los pilules Pink par leur puissante action sur le sang et sur le système nerveux maintiennent tous les organes en bon état de fonctionnent. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1906 | | pagina 3