SRirWjaptêine de la Jm CkkOMQUE rPMiJE ej&y -i® 1 *3princesse Marie-José Chambre des Représentant» Au camp socialiste de Gand Salmis de canards Explosion d'une fabrique de roburite Concert Vol Déserteur Francais Fète de Gymnastique Sermon de charité Chronique Religieuse A Ia Chambre des Communes Guérison d'une Dame rhumatisante t .^WviT tous propre '■;- raillite nR (>1ualifié au ds encoura- treprise par vrj-rusdu peuple» atttiou compléte tl« "public» ce sera du lundi prochain.en la grande salie V '-,:j a u fb- A II h. Les interpellations sur le Congo Après les interpellations de M. Hymans et de M. Furnémont, qui ont occupé deux séances, la Chambre a entendu la réponse du Gouvernement. Oicours du Ministre de la Justice Le ministre de la justice rend hommage au Roi, a l'explorateur Stanley et k la diplo matie. II constate qui l'Etat du Congo est organisé et a un budget de trente millions. Tous les litres a la reprise du Congo ne sont ni contestés, ni contestables. Le roi n'entend retirer quoi que ce soit a la souve- raineté qu'il veut léguer a la Belgique. Le roi a travaillé pendant vingt anne'es a constituer le Congo et la Belgique ne peut le disperser après son entree en prossession si des alienations sont nécessaires, il faut des garanties particulières.La Belgique devra respecter les engagements de l'Etat du Congo. L'orateur entre dans de longs détails sur le régime des fondations. M. Hymans, interrompant, dit qu'on ne peut pas comparer les fondations privées et celle du Congo. Le ministre, fréquemment interrompu.dit que lafondation de la Couronne sera soumise aux lois générales. Le ministre estime que la légitimité du domaine national ne peut être contestée. Le Roi ne demande pas que le Comité de surveillance du domaine soit éternel, mais il faut un organisme qui empêche le domaine national de se trouver exposé a diminution. En terminant, le ministre espère que le Parlement portera a son ordre du jour, au plus tot, la discussion du projet de Charte colonial. Discours de M. Woeste M. Woeste, de la droite,est convaincu que ia Belgique désire pouvoir un jour s annexer le Congo. Tut en préconisant de bons rap ports avec l'Angleterre, il blame vivement la campagne menée contre le roi des Beiges. de bal du palais de la rue de la Science,trans- formée pour la circonstance en une élégante et riche chapelle, aura lieu le baptème «officiel» de la princesse Marie-José. S. A.R. aura pour parrain le roi Carol de Roumanie, qui sera représenté k la cérémonie par le due de Vendome. La princesse Marie-José aura deux mar- raines la duchesse Marie-Josèphe en Baviè- re, mére de la princesse Elisabeth, qui a délegué pour la représenter la duchesse de Vendome. La seconde marraine sera la prin cesse héritiêre de Roumanie. La comtesse de Flandre.toujours souffran- te, nesera pas présente a la cérémonie, a laquelle assisteront le Roi, la princesse Clémentine, le due et la duchesse de Vendo me, lei princes Léopold et Charles de Belgi que et les princesses Marie-Louise et Sophie- Joséphine d'Orléans. C'estMgr Mercier.archevêque de Malines, qui officiera. Seront invités k la cérémonie M.le comte de Mérode-Weslerloo, président du Sénat, et Mme la comtesse de Mérode M. Schollaert, président de la Chambre tous les ministres a portefeuille et leurs femmes les dignitaires des maisons royales et les personnalités qui signèrent, a la villa Osterrieth d'Ostende, l'acte officiel de la naissance de la princesse Marie-José de Belgique. On sait que MM. Pierre De Bruyne, uvocat, et Prosper Baudewyn,employé iU Vooruit, tous deux conseillers communaux socialistes, refusent de de suivre dorénavant la taetique de leurs collègues radico-socialistes, et de voter contre les budgets, aussi l.mg- leiups que ia R. P. ne serait pas j appiiquée a la composition du Cu iège écaeviuat. M. De Bruyne a même publié une brochure a se sujet, bro chure qui a été trés commentée. Mil. De Bruyne et Baudewyn ont été invités a comparaitre a l'assem- blée générale du parti socialiste. lis ont répondu a cette mvitauon et ont touguoHieat exposé leur mauière de von qui fut ensuite combattue par M Auseeie. Fiualement, i'ordre du jour suivaut présenté par M. Deviscb, a été voté a la quasi unanimité des socialistes présents L'asseinblée, considérant que par leur attitude les conseulers communaux Baudewyn et De Bruyne se sont mis en opposition avec les résolutions prises par le parti en diverses réunions, décide qu'ils ces- sent de représenter ie parti et les iuvi e a renoncer irrmédiatement a leur mandat de conseillers commu naux. La réunion ne s'est terminée qu a miuuit. MM. Baudewyn et De Bruyne out ia faculté den appeler au conseil géuérai du parti de ia décisiou qui vient d etre prise a leur égard. De la i Patrie Nos reporters libéraux paraissent s'être concertés pour lancer quelques canards, dans l'unique but de répandre des bruits malveil- lants au sujet de nos amis. La retraite de M. Visart, annonce'e dans les termes que nous avons reproduits hier, est une de ces manoeuvres. S'il plait k ces messieurs de s'amuser k ce jeu lk, nous sommes prêts k les suivre Pour commencer,nous annon^ons aujour- d'hui une nouvelle, dont nous garantissons l'authenticité LE DÉPART DE M. TERMOTE II n'est bruit dans les milieux libéraux que de la decision formelle prise par le dé- puté libéral de renoncer a l'exercice de son mandat. Cette décision irrévocable, dit-on met le parti libéral en émoi. II est, en effet, de notnriété publique que M. Alb. Thooris n'a accepté une candidature k la suppléance que par pur dévoüement, et uniquement pour assurer a la liste libérale l'appoint de sa grande popularité. Or, M. Thooris, ne ca- cherait pas son intention de décliner tout mandat parlementaire effectif. On define l'embarras del'a Association libérale pla- cée ainsi devant la perspective d'une élection partielle, réglée par le système majoritaire, L'« Association libérale a cbargé M. Charles De Poortere d'une dernière démar- eie ^acuees sur ordre de la police; che auprès de M. Thooris pour que celui-ci s attend a uue troisième explosion, revienne sur ses intentions. Les détails manquent. On ne sait II y aurait 200 morts Hagen (Westpbalie), 28 novembre. Ce soir, a buit heures un quart, la fabrique de roburite d'Auuen a sauté. Les toits de plusieurs maisons out été eulevés. A Auaeu et a Witten, les devautures et les vitres des fenêtres out été mises en miettes. Une heure plus tard, une seconde explosion se produisait, encore plus violente que la première. Les maisons,sur la route deWitten,ont .s'il y aa déplorer ia perte de vies humaines. Gazette de Francfort). Bochum, 28 uovembre. Le bruit, court ici qu'une ceutaine depersouues sont déja a l'hópital d'Anoeu aucuue d'eutre elles n'aurait été blessée pen dant l'explosion de la fabrique de roburite. A la dernière heure, ou annonce que, jusqu'a présent, on a retrouvé 200 morts. Gazette de Francfort). Une nouvelle explosion Witen, 30 novembre. La gare d'Aunen est détruite. Des trains spé- ciaux ont été organisés pour emporter la population affolée. Utie nouvelle explosion a eu lieu ce matin. La population preud les voitu- res de force pour fuir plus vile. II parait que le Concert de charité de Lundi sera un véritable régal musical, tant par la renommée des artistes qui y prêtent leur gracieux eoncours, que par le choix des morceaux qu'on y fera entendre. Dans la nuit de mercredi a jeudi, trois draps de lit que Mme Paruys, habitant un enclos de la rue des Trèfles, avait suspendus a l'air, pour les sêcher furent volés. La police fit une enquête et retrouva les draps dans la maison d'un individu, condamné a différentes reprises déja pour vol. Un proeès-verbal a été dressé contre ce dernier. Charles Prévost né a Quesnoy-sur-DeüIe, soldat au 4Ïme de ligne a Lille, qui avait quitté son régiment depuis une huitaine de jourset avait gagné la Belgique, vient d'étre arrêté a Ypres pour rupture de ban d'expul. sion. II avait été expuisé de Belgique en juillet 1902. A l'expiration de sa peine, il sera sur sa demande conduit a la fromière hollandais*. Comme on lui demandait ce qui l'avait amené a deserter, il répondit qu'il trouvait stupide d'etre employé a éven trer les portes des coffres-forts. Les Turners Saint-Michel donneront demain dimanche 2 décembre, a 7 h. 1/4 au Volkshuis, le première fête de gymnastique de eet hiver. Le bienveillant concours de l'Harmonie Saint-Michel est assuré. Le sermon de charité qui sera prêché par le Père Olivier des Frères prêcheurs, au profit de l'oeuvre des Dames de la Provi dence a lieu dimanche prochain, a 4 heures, en la cathédrale Saint-Martin. Eglise de St Martin Confrérie de N. D. de Lourdes et Aposto- lat dc la prière pour la conversion des pé- cheurs. Samedi 8 Décembrefête de l'immaouiée Conception de la Ste Vierge. INDULGENCE PLÉNIÈRE Messe solennelle a 8 heures a l'intention des associés. que l'Espagne et la France sont prêtes k prendre toutes les mesures de protection des étrangers que la situation exigerait jusqu'a la constitution définitive de la police régulière, telle qu'elle a été tixée par la Conférence d'Algésiras. La nécessité ne s'impose done pas d'eavoyer sur les lieux un navire de guerre anglais. M. Asthley demande si depuis la sépara- tion de la Norwège, le traité de Paris de 1805 restait en vigueur Sir Edwards Grey répond que le traité n'avait pas été officiellement abrogé, mais que le gouvernement britanique allait sen- teDdre avec toutes les puissances intéressées pour le faire reviser, de fa^on a ce qu'il s'adaptat aux conditions Douvelles. Répondant a une autre question sur les quatre nouvelles compagnies étrangèresdont la créatiou avait été annoncé par des publi cations dans le compte-rendu officiel de l'Etat libre du Congo, et sur l'influence qua cette concession de territoires pouvait avoir sur les intéréts anglais et autres au Congo, sir Edwards Grey dit que le gouvernement veillerait k ce que la liberté du commerce füt sauvegardée, les obligations des traités respectées, et qu'il ne voyait pas pour le moment qu'il y eüt matière k representa tion. Grand-papa a des rhumatismes il va se coucher emportant un paquet de OUATE fHEMOGÈNE qu'il appliquerasur ses douleurs; demain, il se réveiüera sinon guéri, tout au moins fort soulagé. Le THERMOGÈNE (comme son nom l'indique) engendre k la surface du corps cette chaleur douce, bienfaisaute et continue, si utile dans les maladies de poitrine et toutes les affections rüumatismales. II est aujourd'hui le remède populaire par excellence. Tout le monde le counait et tout le monde l'emploien'est-ce point ie plus bel éloge qu'on puisse en faire? Dans les plus petits hameaux aussi bien que dans les grandes villes, la mère de familie soucieuse de la sauté des siens a toujours en réserve une boite de THERMOGÈNE. Qu'un enfant tousse, que le mari ait des douleurs rhumatismales, qu'elle même souffre de névralgies ou de points decóté, on applique un THERMOGÈNE et on ne pense plus au mal. Que faut-il de plus que cette popularité pour consacrer la valeur d'un remède 1 Mais si l'ont veut qu'il donne toujours satisfac tion, il est indispensable de l'appliquer conveua- blement nous insistons done auprès das nersounes qui font u-age du THER uOGÈNE pour qu'elles lisent atteutlvement la Notice qui se trouve dans la Doite. La boite avec notice, t.50 la i[2 boite, 0.80. Les concessions au Congo M. Ashtley ayant demandé des explica- tions sur le röle des navires de guerre francais et espagnols, lors de l'attaque de la maison de M. Harris par les indigenes, et sur l'opportunité éventuelle d'adjoindre un cuirrassé anglais pour la protection des sujests britaniques,sir Edwards Grey répond que dam les circonstances, un débarque- ment ne sinaposait pas, et qu'il est entendu De même que dans les annonces vous trouvez toujours les meil- leures marques pour tous les produits de consommation vous y trouvez aussi les meilleurs remèdes pour calmer vos souf- frances. Madame Vve Brinkman, agéa de 60 ans, demeurant a Wynkamp, Goor, (Prov. Overysel) écrit Je declare que j'ai beaucoup souffert do maux de tête et de rhumatisme. N'ayaut Pu trouver la guérison avec les remèdes quej'avais pris, j'ai demandé aux pilules Pink cette guéri son. Je suis beureuse de vous inlormer que l«s pilules Pink in'ont en effet, guórie compléte- ment. Remarquez bien l'age de la personne guórie. Madame Vve Brinkman est agée de 6) ans; ceci indiqueque Madame Brinkman était rhumatisan te depuis longtemps. Le rhumatisme ne v°uS prend pas a 60 ans. Les personnes arthritiques, rbumatisantes, le sont pour ainsi dire d® naissance.et lessymptömes rüumatismauxcoffl- mencent se manifester, légèrement c'est vrai, depuis l'age de 25 k 30 3lS surtout.Gessymptónie6 vont en s'aggravant, s'il u'y est pas remédiéi pour atteindre leur pleine acoité justement vers 55 el 60 ans. Madame Brinkman souffrait donc depuis longiemps et il était, par conséquen d'autant plus difficile de la guérir que la malad10 était depuis loegtemps ancrée dans son orSall'6_ me. Les autres remèdes ainsi qu'elle le dit e même dans sa lettre, n'ont pas pu parvenir J d'- »rv JP V -■ <»»f. •/- j&ia i - - m f 5, c

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1906 | | pagina 2