Miliciens d' Ypres pour 1907 A VENDUE Pilules Pink 8AV0U Sans Rival CHÏÏRBONS POUR I? Acics ofüciels Jean Astic Bibliographie Ha welijksafkond igingen g fHotépiau^ de ^onstpu^tion w CYCL/STES Caisse d épar^ae. Comparuis n entre la llelgique et la France Pmis POUli LES SUIL 1\TISMES il YPRES, rue d'Elverdlnghe, 44, YPRES Prés de 1'Abattoir, 17, et au Quai. ^e. w w 25, rue Jules Vnu Praet, BRUXEl^LIÏS (Bourse). L'encaisss de la Caisse d'êpargne d Belgique s'élevait au 3i Octobre 1906 1,263.6*7.002 fr. 10. Versements du mois d'Octobre 19J633,2t9,C27f.89 Remboursemeats 32,637,756f.t3 Excédent des versements sur !es remboursements durant le mois d'Octobre 571,27 If.7 Versements du 1 Janvier au 31 Octobre 19; 6 352.317,250f.78 Remboursements 3-i3,264,i 82f.8; Ecxédent pour lamême pédiode.... 9.053,167f.9S II est bon de mettre en regard de ces cbiffres ceux du mouvement de la Caisse d'épargne en France. Le relevé publié par le Journal officiel pour la période de dix jours, du 21 au 3i De'cembre 1906, porte Depots de fonds 3,990.626.04 Retraits de fonds 6,954,881.02 Excédents de retraits 2,964,354.9! Pour l'année 1906 l'excédent de retraits est de 41,565,248 fr. 28. Ce courant ne fait que s'accentuer. Du 1 janvier au 20 janvier 1907 l'excédent de retraits sélève a 1,147,856 fr. 5o. Comme le gouvernement blocard inspire confiance a l'épargne francaise nHMH» Un arrêté royal rccoonait les nouveaux statutsde la société mutual isle La Mutua lité Cominoise établie a Comines. Le lieutenant L. tiuiot du 3m= légiment tie ligne est nommé adjudant major de bataillon. Sout nommés membres et membres sup pléauts des conseils de milice pour la levée 1907. Président effectifM. Henri barret, conseillerproviucial a Zonncbeke.Sappléanis du président MM. C. D'Huvettere'et de ThibauL do Boesinghe, consciliers provin ciaux Membres effectil's M. Eudoxe Victoor, bouigmestre a Messieurs Sup pléants du membre effectif: MM. Eug Struye, óchevin a Ypres et Jules Vuyiste leer, bourgmestrc a Gheluvelt. Un arrêté royal dn 24 Janvier institue uue commhsiou cbargée de refondre les disposi tions législatives concernant les droits denregistrement, de timbre de greffe, dh\- potnèque et de succession. Sont nommés par arrêté royal bourgmestre de Boesinghe M. E. de Thiebault de Boesinghe, de Wulverghem;M.E. Lemahieu. Tableau comparatif des recettes cffectuées par les lignes des ckemins defer vicinaux pendant les mois de Novembre 1905 et 19üb et du lr Janvier au 30 Novembre 1905 et 1906: Ypres-Furnes 16.103f.08- 16.048 f.65 180.240 fr. 93 186.006 fr. 01 Ypies- Neuve-Eglise-Warnêton, 12 348 ff. 99 13.456 fr. 39 96.842 fr. 93-99.593 fr. 19. Poperinghe-Furnes-La Panne 6.534 fr. 71 8.172 fr. 42 -43.108 fr. 73 108.782 fr. 73 '108 782 fr. 61. Ypres Gheluwe 2.375 fr. 92 2.781 ir. 12 48.866 fr. ul (depuis le 14 Juillet 1905) Dixmude-Ypres Poperingke 4.379 fr 43 (Novembre 1906/ 11.067 fr. 98 (depuis 25 Septembre 1906). Un arrêté royal accorde 5.468 fr. 72 a la fabrique de l'église de Passchendaele, pou la restauration l'église. et l'agrandissement de J'étais arrivé assez gaiment et trés naturel- lement insouciant, a l age oü lhomme est obiigé de prendre part a la première ioterie de son existence, non pas encore a celle qui classe un homme parmi les contents ou parmi les dégus de ce monde, maïs a cdle qui lui dit bi utalement entre deux chansons sans sel ni saveur, vous serez soldat ou vous ne le serez pas. Get age la est généralemeut considéré par les gensles plussérieux comme étant,depuis longtemps déja, 1 age de la raisou, et cepen- dant, j'en suis encore toujours a penser que ce n'est que l'age de 1'insouciai ce, de la gaminerie et de 1 inconséquence par des sus le marché. Mais a quoi bon philosopher Cette première Ioterie done, m'avait été plutot désagréable, car, bientót après et un peumalg.émes preferences, j'étais trans- planté dans une morne petite ville de garai- son, oü se trouvait le dépot de mon régi ment, remarquez avec quelle fiertó je dis déja mon régiment, et oü, tout le premier mois durant, je n'étais parvenu a trouver comme objet d'admiration, que le reflet rouge de mon pantalon Lasalle. Pensez done, il mettait constamment devant mes yeux, la crête de notre coq 1 Mon naturel joyeux s'en resseutit. J'eus ce que l'on appelle, la nostalgie du Jiays. Le brigadier Grattemoustacke, un vieux at de caserne, et de cantine surtout, mquel je payais quelquefois la goutte,s etait ipe. gu de mon état d ame et, quoiqu'ii ffti le nature trés fruste et tres cantine, je crois lien qu'il aurait tout fait pour m ogayer un iii, ii la condition toutefois que cela ne lu citat rien. *r, un jour que, assis sur uno borne qu ét plantée a la grand'garde, je m'étais oublié a rêvasser, mon esprit vagabondant au loin et cherchant l'endroit oü pouvait bien ss trouver mon petit clocher natal, Grattemoustache me donna un formidable coup de coude dans les reins Regarde, mon petit bleu, voila Jean Astic qui passe. J'étais furieux, rapport au coup de coude qui me f'aisait un peu mal, mais pas faché au fond, paree que le type qui pas»ait me mettait sincèrement en gaité. Nous étions aux environs de la Noël et il ne faisait vraiment pas cbaud. Celui que Grattemoustache m'avait sigualó comme étant Jean Astic passait raide et guindé, tel un candidat la députation, les moustaches en pointes de paiatonnerre coucbé, les cheveux trés noirs, un pantalon d'un blanc immaculé et d'une légèreté, oh.emprisonné dans de superbes bottes a cap, des bottes brillant c^mme un devant de poële frotté a a mine de plomb, gilet blanc chargé de lourdes chainc-s d'or, paletot léger, un véritable costume de Pentecóte quoi 1 J'eus un sourire aussi béat que stupéfait. Je lis cette réflexion En voila un, qui s'en va a la reckerclre de l'été. Non me dit Grattemoustache, mais voila 1 homme le plus singulier de la ville. Raconte moi cela, Grattemoustache, je te paie la goutte. Vous comorenez, avec eet argument la, Grattemoustache se serait coupé en deux. S'il n'y avait pas eu d'histoire, il en aurait inventé une. Et il me'raconta En voila un de type qui n'y va pas par quatre chemins et qui, malgré s in age, se couche souvent après le boute feu. Ou dit qn'il est ricbe etjesais qu'il est célibataire endurci. N'empêcba qu'il ne dédaigne pas la can- tinière, par maniere de pafier. Mais voila, parelt qu'il a ses jours gras et ses jours maigres, tout comme les plaies d'Egypte. Oa ne l'a jamais incorporé dans la garde civique, rapport que le colonel d'icelle ci-aignait qu'il aurait pü se tromper d'uni- forme et qu'il serait sorti trop souvent, rentré surtout, avec son plumet. Quand il est dans ses jours gras, parait qu'il dépense sans compter, dansles patis series, clans los cafés,dans les boustriugues, même qn'il offre quarante sous pour embras- ser une commère sans lui demander si elle s'est lavée depuis quinze jours ou si elle porte des chaussettes. Bar contre, quand il est dans ses jours ligres, il coaperait un sou en deux. Absent ma colonelle L'kistoire, un peu militairement contée, m'avait intéressé. J'y voyais le moyen d chasser le spleen qui commeitgait a men- vahir désagréa' lement. Je rémlus done dótudierJean Astic, de plus prés. Je ne mis pas beaucoup de temps a savoir quels étaientses calés de prélérence, et souvent je m'efforgais a y être en même tsmps que lui. J'arrivai ainsi a savoir bientót qu'il s'y rencontrait presque toujours avec les mêmes gouailleurs et que ceux ce s'entendaient a inerveide pour flatter ses manies et se faire rincer la bouche... pardon, pour un peu allais employer un terme encore plus caserne. J'étais sur le point de linir mon terme de milice, quand je rencontrai Jean Astic pour la dernière fois, transformé, mais pas en bien, il s'en faut. On lui avait fourré dans la tête qu'il avait pouvoir d'hypnothiser tous ceux qui s approcbaient de lui, et il croyait ferme- ment qu'il possédait ce pouvoir surprenant. Or un jour qu'il se trouvait au métropoli- tain, nous avions un métropolitain dans notre petite garuison, avec qnelques uns des loustics qui formaient sa garde habituel- ie, tout le monde s'était laissé endormir docilement, saufun compère resté dehors et qui devait arriver au bun moment. Le compère entra juste au moment oü Jean Astic commengait a être lort inquiet de son pouvoir d'endormir et de son impuis- sance a réveiller Le compère, après avoir tremblé un peu pour la iorrne, insinua Si on leur ingurgitait quelques bouteilles de champagne Le docteur Boitsec m'a dit un jour que le remède est souverain. Jean Astic, saisi par la peur, se laissa convaincre. Dix bouteilles de Cliquot de ciuquième ordre y passèrent. Heureusement pour Jean Astic, tout le monde eut la bonne grace de s éveiller. Depuis ce jour la Jean Astic n'est plus sorti de mon temps qu'avec des lunettes bleues, de crainte d'endormir malgré lui, les gens qu'il rencoutrerait en rue. Si seulemem il les gardait toujours, ses verres bleus. Paul Laceoix M"« WARLOMONT, rue des Chiens, demande une apprentie. le Le Davidsfonds vient de publier a l'inten- tion de ses membres le compte rendu officiel des travaux du Congres de Lierre (4-5 sep tembre 1905) et 1'Hommage du Davidsfonds a Guido Gezelle. Cette dernière plaquette contient des discours prononce's par l'avocat los. Schramme, échevin des Beaux-Arts a Bruges, lede Eug. van Oye, les abbés Wal- grave et Hugo Verriest, Angillis Daniel belli®or Cesar Priem Cyriel Baolen Gamiel Devaux Aimè Priem Emiel Baelen Robert Devos August Pyck Camiel Bardyn Edward Dezitter Florentin Pyncket Valeer Bartier Camiel Dezwaene Emiel Reynaert Camrel Bartier Leon Oomicent Alfons Roffiaen Florent Beele Jules Doolaeghe Alfons Ronse Hector Berghman Valeer Doolaeghe Henri Ronsse Albert Beun Maurits DuflouEdmond vrjjw. Roscamp Georges Blootacker Maurits Dupont Albert Rotru Cyriel Bollengier Gamiel Durnez Marcel Ryckelynck Valeer Boogaerts Albert Faes August Sabben Hubert Bories Aclnel Fiers Georges Salomo Henri Bossaer-t Emiet Gadeync Henri Segers Camiel Boutens Emiel Garain Arthur Segers Erie Bouttens Isidoor Garreyn Georges Sigier Robert vrjjv Breyne Gamiel Gillebert Cyriel Slosse Florent Brigoux Leon vrfjw. Godderis Willem vrjjw. Sonneville Alois Caenen Emiel Goemaere Georges' Speybrouck Oscar Cailliau Prosper Goethals Karel Spinnewyn Leon Callens Cami.l Gouwy Robert Tanghe Tbeopbile Caltens Valeer Grimonprez Remi Tybergbein Jules Cardinael Edgard Gruwez Cyriel Vancampo Oscar Carlier Al.'ons Gryson Desiré Vancappel Karel Cherchye Maurits f enneken Victor Vandecasteele Jules Clarebout Alfons Hinneman Alfred Vandeuberghe Camiel Clarisse Henri Huyghebaert Jozef Vandenboogaerde Maurits Gleenewerck Camiel vrijw Jacques Henri Vandenbroucke Emiel Coffijn Arthur Joos Jerome Vandenkerckhove Richard Costei.oble Maurits Kerrinckx Theodoor Vanderbregt Arthur Craye Jozef vrijw. Knockaert Camiel Vandoorne Daniel Dael Emiel vrijw. I.acroix Pieter Vansteenkiste Georges Dauchy Georges Lauwers Marcel Velghe Arthur Debruyne Alfred vrjjw. Lebbe Firmin Verbeke Isidoor Debruyne Victor Legrand FL>rent vrjjw. Vercouter Karel Decheiver Maui its Legrand Prosper Verhaeghe Oscar Deckmin Jules Lesage Rodolf Verhoest Karel Deckmyn Emiel Leuridon Henri Verhooye Camiel De Clerck Karel Logier oamiei Verleure Camiel Deconinck Remi I.orrain Emiel Vermeersch Adhemar De Gr-yze Camiel Markey Cesar Vermeersch Camiel Dehollander Frans Meyskens Albin Vermeersch Jules Dehollander Leon Moerkerke Leon Veys Raphael Dohollander Robe;t Moerman Louis Viaene Alfons Dejonckheere Jerome Moerman Maurits Vie> ne Edmond Dekeerle Oscar Muylle Arthur Vierstraete Marcel vrjjw Deleye Pieter Neyse'ns Jerome Waulter Emiel Demet3 Hubert vrjjw. Ollivier Gaston Wenes Alfons Pemey Jules Onraet Achiel Weyne Cyriel De Rouck Raimond Ossieur Maurits Wilde Maurits Desaegher Julien Pannekoucke Maurits Wolff Henri Desmedt Jozef Parret Camiel Wouts Firmin Despeghel Evarist Picket Albert Wuylens Alfons vrjjw MEUNER1E sérieuse chercbe représentant au courant des farines, adresse bureau restant A H n"6, Courteai. INK ?P30#»SS au cimetière géne'ral de la ville de Bruges a la mémoire du poête flamand. L'une et l'autre publication sortent des presses de M. Cailewaert-De Meulenaere, a Ypres, qui y a consacré tous ses s^ins, c'est a dire que ce sont des modèles de conscien- cieuse typographie. Patrie pour cause d'agrandissement, un M0TEUR A GAZ, système Hilleforce 2 chevaux, aussi bon que neuf. Pour conditions s'adresser chez M. Callewaert, imprimeur a Ypres, oü le dit moteurfonctionne tous les jours. a l'occasion de i inauguration du monument funeraire érigé Gustaaf Legrandaardewerker, en Maria Bonte, kantenwerkster, beiden te Yper. Henri Scherlynck, smidsgast en Demetria Landerwyn, strijkster, beiden te Yper. Frederic Devroede, trambediende en Alix Vanderheyden, z. b. beiden te Yper. Jerome Lecluyse, dienstknecht te Antwer pen, voorgaandelijk te Yper en Christine Baert, dienstmeid te Yper Jules Priem, bakker en Maria Tegethoff, z. b. beiden te Yper. BURGERSTAND VAN YPER van don 18 tot den 25 Januari 1907. Geboorten Dcleye August, Statiestraat. Soenen Julia, De liaernestraat. Vandaele Leopold, Tempelslraat, Knockaert Leo, Zonnebeke steenwrg. Le>sage Anna, Grimminckslraat. Iïeydaut Maurice, Kanonstraat. Cli; ckemaillie Bertha, Kalfvaart. Bartier Camiile, Zonnebeke steenweg. Du Bosch Simonne, Tegelstraat. De Boo Joanne, llondslraat. Snaps Joanne, Boterstraat. Overlijdens Angiitis Eduard, 68jbehanger, echtg. Demey Joanne, Bukkerstraat. Berghman Lydie, 25 j. naaister, ongehuwd, Kauwekynstraat. Carrein Maria, 4-9jkantwerkster, echlg. Duriez Gustaaf, Lange Thouroutstraat. Bi 1 liet Petrus, 81 j. z. b. ongehuwd, Rijke Klarenstraat. Debauck Maria, 79 j. z. b. wed. Harteel Eduard, St~Nieo!aasstraat. Michiel Magdelene, 1 j. St-E!isabothsfraat. Flamenl Amelie, 68 j.z. b. wed. Delmarqnette Joannes, Poperinghe steenweg. Verhaeghe Ameiie, 90 j. z. b. ongehuwd, Colli;.gstraat. Mauvais sang. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 3